Richard Millet

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Biographie2 Richard Millet, né le Modèle:Date<ref>Notice d'autorité personne sur le site du catalogue général de la BnF</ref> à Viam (Corrèze), est un écrivain et éditeur français. Il est l'auteur de plus de quatre-vingts livres.

Biographie

Originaire de Corrèze — il y retourne régulièrement —, de père protestant et de mère catholique<ref>« Richard Millet. Soldat perdu », Libération, 5 septembre 2012.</ref>, Richard Millet passe une partie de son enfance au Liban (de six à quatorze ans). Il participe à la guerre du Liban en 1975-1976 en tant que volontaire auprès de la communauté chrétienne<ref>« Richard M, le maudit », Le Point, 22 janvier 2009.</ref>. Il enseigne les lettres pendant vingt ans avant d'y renoncer pour se consacrer entièrement à l'écriture. Romancier et essayiste, il peint sa Corrèze natale dans de nombreux romans ou récits et s'attache, dans ses essais, à défendre une certaine idée de la littérature.

Millet fonde avec le poète Jean-Michel Maulpoix la revue Recueil en 1984<ref>Revue Recueil.</ref>, dans laquelle il signe de nombreux textes, ainsi que quelques chroniques sous le pseudonyme de Marc Fournier<ref>Arguments d'un désespoir contemporain, Hermann, 2011, p. 27.</ref>. Il est rédacteur en chef de La Revue littéraire de 2015 à Modèle:Date-.

En 2005, il est avec Frédéric Beigbeder, Alain Decaux, Mohamed Kacimi, Daniel Rondeau et Jean-Pierre Thiollet, l'un des participants du Salon du livre de Beyrouth et contribue au renouveau de cette manifestation.

Il est directeur littéraire des éditions Balland jusqu'en 2001, date de leur rachat par Denis Bourgeois<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Il a été membre du comité de lecture des Éditions Gallimard jusqu'en 2012. À ce titre, il a joué un rôle décisif dans la publication du prix Goncourt 2006, Les Bienveillantes de Jonathan Littell<ref>« "Eloge" de Breivik: le pamphlet de trop de Richard Millet ? », AFP, 29 août 2012.</ref> ; en 2011, le prix sera de nouveau attribué à l'un de « ses » auteurs (Alexis Jenni pour L'Art français de la guerre).

En Modèle:Date-, Le Point révèle que Gallimard le licencie après la publication d'un article critique dans lequel il vilipende notamment le style de Maylis de Kerangal<ref>« La nouvelle affaire Richard Millet », Jérôme Béglé, Le Point, 3 mars 2016.</ref>.

L'œuvre

L'œuvre de Richard Millet se construit autour des thèmes du temps, de la mort, de la langue. Son style se veut l'héritier de la grande prose française, qui va « de Bossuet à Claude Simon »<ref>Modèle:Citation bloc</ref>.

Plusieurs de ses romans ont pour cadre le village de « Siom », pendant littéraire de Viam, notamment dans La Gloire des Pythre, L'Amour des trois sœurs Piale, Lauve le pur, Ma vie parmi les ombres, Tarnac, Le Goût des femmes laides. Plus largement, le plateau de Millevaches, son paysage, son climat, sa situation géographique, l'évolution de la vie de ses habitants au cours du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, sont des éléments essentiels au contexte de ses histoires.

Il entremêle références religieuses et mots crus, ce qui l'inscrit à la fois dans la tradition catholique et dans une certaine modernité littéraire (celle de la liberté sexuelle). Le désir, le mal et la souffrance sont autant de thèmes qui traversent toute son œuvre.

L'essayiste polémiste

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Richard Millet en novembre 2010.

En 2005, dans Le Dernier Écrivain et Harcèlement littéraire, Millet critique les écrivains français contemporains qui méconnaissent les règles de la langue française<ref>Entretien avec Frédéric Beigbeder « Le croisé et le rusé », L'Express, 2005.</ref>. Il dénonce aussi la domination du roman policier, de l'heroic fantasy ou de la science-fiction, « sous-genres » qui auraient entraîné, selon lui, une certaine inversion des valeurs. Il s'oppose en cela à Borges pour qui le roman policier serait le digne héritier de la tragédie grecque, mais rejoint José Ortega y Gasset, lequel prétendait que le roman psychologique dépassait en intensité les autres genres. Reprenant à son compte cette position, Millet oppose aux autres genres littéraires une langue foisonnante, riche et profonde, à la différence, par exemple, d'un Bernanos qui se moquait bien des genres.

En 2007, dans Désenchantement de la littérature, il fustige une nouvelle fois les manquements des auteurs français contemporains, mais aussi la perte du sentiment religieux en Europe. Il soutient que la France, sans son identité chrétienne, ne serait plus elle-même. Ses positions aussi bien littéraires que religieuses ont suscité de nombreuses critiques dans le monde littéraire<ref>Par ex., un article très critique dans Le Monde, octobre 2007.</ref>. Il répond à ses détracteurs dans un livre de fragments paru en Modèle:Date-, L'Opprobre, qui est lui aussi très critiqué<ref>Par ex. : « Richard Millet, généalogie d'un malaise », dans Le Monde 2, 7 juin 2008.</ref>. Contrastant avec ces réactions critiques, l'écrivain Philippe Sollers se montre en accord, au moins partiel, avec le constat du Désenchantement<ref>Entretien avec Philippe Sollers « Quel avenir pour la Littérature ? », Le Magazine littéraire, décembre 2007.</ref>.

En 2010, Richard Millet publie L'Enfer du roman, un ensemble de réflexions sur ce qu'il appelle la Modèle:Citation. Il y critique sévèrement l'hégémonie du Modèle:Citation, et lui oppose la solitude de l'écrivain et la recherche du style, possible seulement en plongeant dans les profondeurs de la langue. L'année suivante, il développe ses positions littéraires et sociales dans Fatigue du sens et Arguments d'un désespoir contemporain.

Le Modèle:Date, sur France Culture, il fait scandale en déclarant que « quelqu’un qui à la troisième génération continue à s’appeler Modèle:Page h' quelque chose, pour moi, ne peut pas être français<ref>« Éloge littéraire d'Anders Breivik, la nouvelle provocation de Richard Millet », Anne Brigaudeau, France Télévisions, le 10 juillet 2012.</ref>. »

En 2012, il publie chez Pierre-Guillaume de Roux un essai intitulé Langue fantôme, suivi de Éloge littéraire d'Anders Breivik, dans lequel il s'en prend au multiculturalisme et à la perte de repères identitaires à l'origine, selon lui, du geste du tueur norvégien. Frappé par la « perfection formelle » des actes de Breivik, Richard Millet leur prête une « dimension littéraire » qui aurait été mal comprise et mal interprétée par la presse : d'après lui, seule une littérature qui ose s'intéresser à la question du mal est valable à une époque où le divertissement domine, et donc l'insignifiance<ref>Modèle:Article.</ref>. Tout en condamnant les actes d'Anders Breivik<ref>Modèle:Citation bloc</ref>, Richard Millet affirme que c'est Modèle:Cita Richard Millet considère Anders Breivik comme Modèle:Cita<ref name="LePoint">« Éloge de Breivik : le cas Richard Millet », - Le Point.</ref>. Il assimile ce massacre à un nouveau symptôme de l'échec de la littérature, supplantée par le fusil d'assaut<ref>« Nouvelle provocation de Richard Millet » sur magazine-litteraire.com du 21 août 2012.</ref>.

Une polémique s'ensuit. Annie Ernaux publie dans Le Monde une tribune intitulée « Le pamphlet fasciste de Richard Millet déshonore la littérature<ref>Annie Ernaux, « Le pamphlet fasciste de Richard Millet déshonore la littérature », Le Monde, 10 septembre 2012.</ref> », cosignée par une centaine d'écrivains. J. M. G. Le Clézio qualifie le texte d'« élucubration lugubre » et de « répugnant »<ref>Modèle:Article.</ref>. Le Point juge que Richard Millet « avait du style mais le gâche dans des propos suicidaires »<ref name="LePoint" />. Il est traité par Les Inrocks de xénophobe<ref>Modèle:Lien web.</ref>, et plus généralement, d'après Le Figaro, les médias l'accusent de racisme et d'apologie du crime<ref>Modèle:Article.</ref>. D'aucuns jugent cette publication incompatible avec les fonctions de Millet chez Gallimard<ref>Raphaëlle Rérolle, L'apologie de Breivik par Richard Millet crée la polémique chez Gallimard, Le Monde, 27 août 2012.</ref>,<ref>L'Express, 31 août 2012.</ref>. Le Modèle:Date-, il annonce sa « démission contrainte »<ref>« Richard Millet : “J'envisage de quitter cette France que j'aime” », Thierry Clermont, lefigaro.fr, 16 octobre 2013.</ref> du comité de lecture des éditions Gallimard<ref>Modèle:Lien web.</ref>. C'est un acte symbolique fort, car Richard Millet est désormais exclu du cercle restreint de ceux qui peuvent décider si une œuvre peut être éditée ou non<ref>Modèle:Article.</ref>. L'année suivante, Muriel de Rengervé publie aux éditions Jacob-Duvernet le récit de cette « mise à mort » de l'écrivain, L'Affaire Richard Millet, où elle défend la liberté souveraine de la littérature<ref>Rémi Soulié, « Terrorisme intellectuel », Le Figaro Magazine, semaine du 22 novembre 2013, page 129.</ref>. Revenant sur cette affaire quelques années plus tard, Benoît Duteurtre note qu'Annie Ernaux en demandant que Richard Millet ne soit plus édité ni ne puisse éditer les autres et en rassemblant Modèle:Cita.

L'expérience de la guerre

Dans La Confession négative, Richard Millet, dans la ligne d'écrivains comme André Malraux<ref>Citation sur nn-plus-1.blogspot.com.</ref>, explique, à travers son double de fiction, comment Modèle:Citation.

Extrait : Modèle:Citation bloc

Il poursuit l'étude de cette expérience dans son livre Tuer paru en 2015<ref>« Richard Millet, une rafale de plus », causeur.fr, 20 septembre 2015.</ref>.

La passion pour la musique

Dans son livre Musique secrète, paru en 2004, l'écrivain évoque son goût pour la musique classique. Son père est un musicien amateur, il joue du violon et du piano. Dès l'enfance, Richard Millet est immergé dans une ambiance musicale, de sorte que la musique a toujours été présente dans sa vie. Il joue lui-même du piano et consacre une heure tous les jours à cet instrument. Son père l'inscrit au conservatoire de musique, il fait un séjour linguistique en Angleterre chez le compositeur Peter Burden et rêve de devenir lui-même musicien. Il écrit même un morceau de piano, une pièce atonale inspirée par la musique de Schönberg, de Berg et de Webern. Mais il est obligé d'abandonner ses études par répugnance à jouer en public.

Sa vocation est l'écriture. Désormais, il écrit ses livres en musicien. Ne pas aimer la musique est pour lui une faute inexcusable. Il s'inscrit dans la tradition des penseurs fascinés par cet art, tels saint Augustin, Rousseau, Nietzsche, Baudelaire ou Proust.

Il a par ailleurs rendu hommage à la musique contemporaine (Pour la musique contemporaine, 2004) et écrit le livret de l'opéra de Marc-André Dalbavie, Gesualdo, créé à Zurich en 2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Sa passion apparaît très clairement dans certains de ses livres comme La Voix d'alto, Sibelius : Les Cygnes et le Silence ou La Nouvelle Dolores<ref>Il avait été, à l'occasion de la sortie de ce dernier roman, l'invité de Lionel Esparza sur France Musique ; voir sur francemusique.fr.</ref>.

Œuvres

Romans, récits, nouvelles

Modèle:Colonnes

Essais

  • 1986 :
    • Le Plus Haut Miroir, éditions Fata Morgana, 56 p.
    • Le Sentiment de la langue I, Champ Vallon, 124 p.
  • 1987 : Beyrouth<ref>Repris dans Un Balcon à Beyrouth (2005).</ref>, Champ Vallon, 101 p.
  • 1990 : Le Sentiment de la langue II, Champ Vallon, 140 p.
  • 1991 :
  • 1996 : L’Amour mendiant : notes sur le désir, POL puis Modèle:Coll (2007), 157 p.
  • 1998 : Cité perdue : Istanbul, 1967-1995, éditions Fata Morgana, 59 p. =
  • 2004 :
    • Fenêtre au crépuscule. Conversation avec Chantal Lapeyre-Desmaison, La Table Ronde, 187 p.
    • Musique secrète, Gallimard, 227 p.
    • Pour la musique contemporaine : chroniques discographiques, Fayard, 317 p.
  • 2005 :
    • Le Dernier Écrivain, éditions Fata Morgana, 36 p.
    • Harcèlement littéraire. Entretiens avec Delphine Descaves et Thierry Cecille, Gallimard, 199 p.
    • Un Balcon à Beyrouth<ref>Reprise de Beyrouth (1987).</ref>, suivi de Beyrouth ou la séparation, La Table Ronde, 232 p.
  • 2007 :
    • Place des Pensées. Sur Maurice Blanchot, Gallimard, 88 p.
    • L'Orient désert, Mercure de France, 240 p.
    • Désenchantement de la littérature, Gallimard, 66 p.
  • 2008 : L’Opprobre : essai de démonologie, Gallimard, 175 p.
  • 2010 :
    • L’Enfer du roman : réflexions sur la postlittérature, Gallimard, 275 p.
    • Cinq chambres d'été au Liban, éditions Fata Morgana, 43 p.
  • 2011 :
  • 2012 :
    • Lettre aux Libanais sur la question des langues, L'Orient des livres, 53 p.
    • De l’antiracisme comme terreur littéraire, Pierre-Guillaume de Roux, 92 p.
    • Langue fantôme, suivi de Éloge littéraire d’Anders Breivik, Pierre-Guillaume de Roux, 119 p.
    • Printemps syrien, Ducasse & Destouches, 8 p.
    • Esthétique de l’aridité, éditions Fata Morgana, 44 p.
  • 2013 : L’Être-bœuf, Pierre-Guillaume de Roux, 93 p.
  • 2014 :
    • Charlotte Salomon précédé d'une lettre à Luc Bondy, Pierre-Guillaume de Roux, 123 p.
    • Lettre aux Norvégiens sur la littérature et les victimes, Pierre-Guillaume de Roux, 94 p.
    • Le Corps politique de Gérard Depardieu, Pierre-Guillaume de Roux, 122 p.
    • Sibelius : les Cygnes et le Silence, Gallimard, 136 p. — Prix de littérature André-Gide 2015
    • Chrétiens jusqu'à la mort, L’Orient des livres, 53 p.
  • 2015 :
    • Solitude du témoin, Léo Scheer, 175 p.
    • Un sermon sur la mort, éditions Fata Morgana, 66 p.
    • Israël depuis Beaufort, Les Provinciales, 120 p.
  • 2016 : Le Sommeil des objets : notes sur le rebut, Pierre-Guillaume de Roux, 176 p.
  • 2017 : Pour Bernard Menez, Léo Scheer, 96 p.
  • 2018 :
    • Déchristianisation de la littérature, Léo Scheer, Modèle:", 228 p.
    • Journal : Tome 1, 1971-1994, Léo Scheer, 387 p.
    • Cahiers de Damas : Novembre 2015 / Novembre 2017, Léo Scheer, 158 p.
  • 2019 :
    • Journal : Tome 2, 1995-1999, Léo Scheer, 275 p.
    • Broch, ou le silence de la peinture, Ventadour, ? p.
    • Huppert et moi, Pierre-Guillaume de Roux, 82 p.
    • Ma sœur vierge Emily Brontë, La guêpine éditions, 56 p.
  • 2020 :
    • Journal : Tome 3, 2000-2003, Pierre-Guillaume de Roux, 320 p.
    • Français langue morte suivi de « L'Anti-Millet », Les Provinciales, 170 p.
  • 2021 : Paris bas-ventre. Le RER comme principe évacuateur du peuple français, suivi de Éloge du coronavirus, La Nouvelle Librairie, Modèle:Coll, 109 p.
  • 2022 :
    • Chronique de la guerre civile en France, 2011-2022, La Nouvelle Librairie éditions, Modèle:Coll, 614 p.
    • La Forteresse : autobiographie 1953-1973, Les Provinciales, 304 p.
  • 2023 :
    • Journal 2003-2011, Les Provinciales, 600 p.

Livres d'artiste, livres illustrés

  • 1996 : Le ciel de la langue, illustrations de Miguel Buceta, éditions Fata Morgana
  • 2000 : Autres jeunes filles, dessins d'Ernest Pignon-Ernest, éditions François Janaud
  • 2006 :
    • Sacrifice, sur des photographies de Silvia Seova, L'Archange Minotaure
    • Le Cri, avec des gravures de José San Martin, Azul éditions
  • 2008 :
    • La Muraille de houx, illustrations et mise en page de José San Martin, Azul éditions
    • Autres jeunes filles, illustrations de Sarah Kaliski<ref>Poète et illustratrice (Bruxelles, 1941 - Paris, juin 2010) ; voir notice d'autorité personne du catalogue général de la BNF.</ref>, éditions Fata Morgana
    • La Tête de biche, illustrations de Damien Daufresne, éditions Fata Morgana
  • 2009 : « Une Sulamite », dans Inconnues corréziennes : Résonance d'écrivains (collectif), éditions Libel
  • 2018 : Rouge-gorge, illustrations de Jean-Gilles Badaire, éditions Fata Morgana

Théâtre

  • 2007: Tombés avec la nuit, L'Archange Minotaure, Modèle:Coll (théâtre), 80 p.

Distinctions

Prix

Notes et références

Modèle:Références nombreuses

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Bibliographie

Études critiques

  • 2002 :
  • 2007 :
    • Jean-Yves Laurichesse, Richard Millet : L'invention du pays, Amsterdam - New York, Rodopi, 276 p.
    • Nayla Tamraz, « La géographie subjective dans quelques romans de Richard Millet » dans Travaux et jours, université Saint-Joseph, numéro 81, 2008-2009, Modèle:P.
  • 2008 :
    • Laurent Bourdelas, Du pays et de l'exil : Un abécédaire de la littérature du Limousin, Limoges, Les Ardents Éditeurs
    • Collectif, Richard Millet : La Langue du roman, sous la direction de Christian Morzewski, Centre de recherche Textes et Cultures, Artois presses université, 180 p.
  • 2009 :
  • 2011 :
  • 2012 :
    • Collectif, « Richard Millet : La Gloire des Pythre, Lauve le pur, Ma vie parmi les ombres », dans Christian Morzewski (dir.) Roman 20-50, Septentrion presses universitaires, 157 p.
    • Ján Drengubiak, Richard Millet : Du personnel vers l’universel, Prešov, Acta Facultatis Philosophicae Universitatis Prešoviensis, 2012, 189 p. (lire en ligne sur unipo.sk)
  • 2013 :
    • Muriel de Rengervé, L'Affaire Richard Millet, éditions Jacob-Duvernet
  • 2015 :
    • Ivan Jaffrin, « L’affaire Richard Millet ou la critique radicale de la société multiculturelle. Analyse et mise en perspective d’un scandale littéraire, 12 ans après l’affaire Renaud Camus », COnTEXTES, lire en ligne, Modèle:Date-
    • Collectif, Lire Richard Millet, sous la direction de Mathias Rambaud, Pierre-Guillaume de Roux, 2015, 313 p.
  • 2016 :
  • 2019 :
    • Vincent Berthelier, « Stylistique du passéisme », Cahiers ERTA, n°17, lire en ligne, 2019, p. 85-99
  • 2022 :
    • Vincent Berthelier, Le style réactionnaire. De Maurras à Houellebecq, Éditions Amsterdam, 2022 (ch. 11, Tradition et francité : fictions du style chez Richard Millet, pp. 323-346).

Revues

Liens externes

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