Ploubezre

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Modèle:Infobox Commune de France

Ploubezre (Modèle:MSAPI<ref group="Note">Prononciation en français de France retranscrite selon la norme API.</ref><templatestyles src="Prononciation/styles.css" />{{#invoke:Prononciation|prononciation}}) est une commune située dans le département des Côtes-d'Armor, en Bretagne.

Ses habitants sont les Ploubezriens ({{#ifeq:1|0|[plubeʁjεn]|[[Alphabet phonétique international|Modèle:Nobr]]}}).

Géographie

Situation

Modèle:… La commune, relativement étendue, possédait une gare au lieu-dit Kerauzern, fermée en 1993. Modèle:Article détaillé Modèle:Section communes limitrophes d'article de commune de France

Cadre géologique

Fichier:Batholite mancellien.svg
Carte géologique du Massif armoricain, avec au nord-est le batholite mancellien et ses nombreux plutons de granite cadomien (Trégor, Lanhélin, Louvigné, Vire, Avranches…). Ce batholite dessine une ellipse de Modèle:Unité (d'Alençon à la Rance) sur Modèle:Unité (de Vitré à Vire)<ref>Carte géologique de la France au 1/50000 Fougères 13-17, éditions du BRGM, 1981, p. 5</ref>.

Ploubezre est localisée à l'extrémité occidentale du domaine nord armoricain, dans le Massif armoricain qui est le résultat de trois chaînes de montagne successives. Le site géologique de Ploubezre se situe plus précisément au sud d'un bassin sédimentaire essentiellement Briovérien et d'un important massif granitique cadomien, le batholite nord-trégorrois. Ce pluton fait partie d'un ensemble plus vaste, le batholite mancellien<ref>De Modèle:Langue, nom latin de la région du Maine, domaine structural de la partie nord-est du Massif armoricain dénommé en 1949 par le géologue Pierre Pruvost. Il est caractérisé par un Précambrien récent au sein duquel se sont mis en place des granitoïdes intrusifs antérieurement au dépôt des terrains paléozoïques ; ce domaine surélevé a été épargné par les transgressions marines du Cambrien.</ref>,<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

L'histoire géologique de la région est marquée par la chaîne cadomienne. À la fin du Précambrien supérieur, les sédiments briovériens environnants sont fortement déformés, plissés et métamorphisés par le cycle cadomien, formant essentiellement des schistes<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Cette chaîne montagneuse, qui devait culminer à environ Modèle:Unité, donne naissance à des massifs granitiques (dont le batholite côtier nord-trégorrois associé à un volcanisme d'arc insulaire et daté à 615 Ma)<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>,<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
Dans le domaine continental, l'épaississement consécutif à l'orogenèse cadomienne, provoque la fusion crustale à l'origine de la mise en place des dômes anatectiques (migmatites de Guingamp et Saint-Malo à l'est de Plouaret) qui est datée entre 560 et 540 Ma<ref>Modèle:Pdf J. Chantraine (coordinateur) et al., Carte géologique France (1/50 000), feuille Lannion (203), éditions du BRGM, 1999, p. 89</ref>.

L'orogenèse hercynienne s'accompagne d'un métamorphisme et d'un magmatisme qui se manifeste par un important plutonisme : le chapelet nord de granites rouges tardifs (ceinture batholitique de granites individualisée pour la première fois par le géologue Charles Barrois en 1909<ref>C. Barrois, Carte géologique à 1/80000, feuille Lannion (Modèle:1re), 1909.</ref>, formant de Flamanville à Ouessant un alignement de direction cadomienne, contrôlé par les grands accidents directionnels WSW-ENE, datés de 300 Ma, correspond à un magmatisme permien<ref>Modèle:Article.</ref>. Ploubezre est située bordure septentrionale du massif granitique de Plouaret qui est lié au fonctionnement du cisaillement nord-armoricain, fait partie de ce chapelet<ref>CHAURIS L., GARREAU J. (1983a) - Un pluton polyphasé dans la ceinture batholitique hercynienne médio-armoricaine : le massif de Plouaret (Côtes-du-Nord, France). C.R. Acad. Sci. Paris, 296, p. 1591-1594</ref>.

Le relief de la commune est ainsi caractérisé par des plateaux accidentés de cuvettes humides qui dérivent de la surface d'érosion éocène qui se retrouve sur ce massif granitique et tout le long de la côte bretonne<ref>Chantraine, Modèle:Opcit, p. 91</ref>. De ces plateaux se détachent une série de crêtes et de buttes alignées sur 9 km d'Ouest en Est, entre Plouaret et Caouënnec-Lanvézéac. Il s'agit de bancs de quartzite paléozoïques très résistants. La majorité de ces crêtes culminant entre 100 et 110 m, sont des butte-témoins de la surface éocène sont des témoins de la surface éocène<ref>Chantraine, Modèle:Opcit, p. 93</ref>.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000<ref name=Joly/>

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 0,6 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 0,2 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitationModèle:Note : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 15 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,7 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lannion_aero », sur la commune de Lannion, mise en service en 1993<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche<ref group=Note>Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).</ref>, « Saint-Brieuc », sur la commune de Trémuson, mise en service en 1985 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref> à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Urbanisme

Typologie

Ploubezre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Lannion, une agglomération intra-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lannion, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en Modèle:Date- celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (81 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (55,3 %), terres arables (22,5 %), forêts (14,6 %), zones urbanisées (5,2 %), prairies (2,4 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

L'office de la langue bretonne a relevé les formes écrites à plusieurs époques<ref>Entrée dans la base de données du service Patrimoine linguistique de l'Office public</ref>. Dans les textes en latin, les formes Plebis Petri et Plebe Petri sont attestées au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, puis Ploeebre en 1404, Ploeberre en 1426, Plobezre en 1516, Plou Berre en 1630 et Plou-Pezr en 1636.

Il s'agit d'un composé de Plou (paroisse) et de Pêr (Pierre en français), soit la « paroisse de Pierre », ce qui est également le sens des traductions latines. Le prénom breton Per était écrit Pezr en moyen-breton, avant que le /z/ ne cesse d'être prononcé puis d'être écrit dans l'évolution finale du moyen-breton. La mutation P/B était parfois écrite, parfois non, d'où les formes en B- et en P-. C'est pourquoi l'église est dédiée à Saint-Pierre.

Histoire

Préhistoire et Antiquité

La présence humaine sur le territoire de la commune est attestée depuis le Néolithique comme en témoignent quelques outils lithiques retrouvés (haches en pierre polie) et le menhir du Rhun, parfois mentionné sous le nom d' « Ar Min Sul ».

Au Run se trouvent des vestiges d'un tumulus, un cimetière datant de la même époque est également présent à Keryanouen, les différentes fouilles effectuées ont permis de constater qu'il fut utilisé à l'époque romaine.

Des haches en bronze ont été découvertes sur la commune. Une stèle signale également la période gauloise. Les différentes fouilles effectuées à Runfao ont permis de découvrir, dans la basse-cour du château, des tuiles, des briques et des restes de construction, ce qui atteste la présence d'une occupation romaine.

Moyen-Âge

En 1330, apparaît la première mention de Ploubezre, des traces de cet écrit figurent dans le procès de canonisation de saint Yves, Ploubezre a alors pour nom de Plebis Petri (pour paroisse de Pierre).

Au Moyen Âge, s'élèvent à Ploubezre des mottes féodales, Kerhervé, des châteaux, notamment ceux de Coatfrec et Runfao. Ces deux châteaux sont les plus puissants de la paroisse.

Le Modèle:Date, le seigneur de Coëtfrec, Guillaume de Penhoët, reçoit le titre de banneret du duc de Bretagne, ce qui valut à la terre de ce nom le titre de baronnie.

Plusieurs manoirs viennent couvrir le sol de la commune, ils affichent la richesse des seigneurs locaux durant le Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle.

Époque moderne

Le Modèle:Date commence l'édification du clocher-mur de l'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul (inscription sur le porche).

« Le troisième et septième jours de Modèle:Date- fut brûlée et ravagée la paroisse de Plestin par ceux du parti du roi. Et en réciproque le 21 du même mois de Modèle:Date- fut pareillement brûlée et ravagée la paroisse de Plouaret, Ploubezre et la ville de Lannion par ceux qui tenaient le parti du duc de Mercœur » a écrit le curé de Lanvellec<ref>Jean Rohou, "Catholiques et Bretons toujours ? (essai sur l'histoire du christianisme en Bretagne)", éditions Dialogues, Brest, 2012, Modèle:ISBN.</ref>. En 1592, le chef de guerre de la Fontenelle, tristement célèbre pour ses méfaits, occupe le château de Coatfrec (Coëtfrec) en 1592 au nom du duc de Mercœur suivant mandement donné à Nantes le Modèle:Date-. Il s'y fortifie et dirige des incursions sur les environs. Il en est chassé par Sourdéac, gouverneur de Brest, au printemps 1593. Vers 1600, le château de Coëtfrec, qui avait servi de repaire aux Ligueurs pendant la guerre précédente, est démantelé sur ordre de Henri IV.

À partir du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, la noblesse préfère résider à Lannion, et de ce fait Ploubezre vit dans l'orbite de Lannion qui se développe de plus en plus.

Le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

En 1817, le clocher de l'église est frappé par la foudre ; le Modèle:Date, le clocher est foudroyé une seconde fois.

Le Modèle:Date, Ploubezre cède le hameau de Keranstivel et le moulin de Rosalic au profit de Lannion.

Le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

La 1ère Guerre mondiale

Le Monument aux Morts fait état de 136 soldats morts pour la France. Parmi eux, 3 ont péri en mer<ref name=genweb>Modèle:Lien web.</ref>.

La 2ème Guerre mondiale

Entre 1939 et 1945, 25 soldats sont morts pour la France, dont 2 qui ont péri en mer<ref name=genweb/>.

Le Modèle:Date-, une patrouille allemande ayant été attaquée par des résistants entre le bourg de Ploubezre et la gare de Kerauzern, de nombreuses arrestations eurent lieu dans le bourg de Ploubezre et les soldats allemands firent sauter à la dynamite une usine de teillage de lin, une ferme et trois maisons<ref>Éric Rondel, "Crimes nazis en Bretagne (septembre 1941-août 1944)", éditions Astoure, 2012, Modèle:ISBN.</ref>.

Le Modèle:Date-, des maquisards font sauter un pont de chemin de fer sur la commune.

La guerre d'Indochine

Deux soldats sont morts pour la France<ref name=genweb/>.

L'après 2ème Guerre mondiale

Vers 1950, la chapelle Saint-Guirec, qui datait de 1698, est démolie.

Le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

Le legs d'un habitant de la commune

Un habitant de Ploubezre, Daniel Olivier<ref group=Note>Daniel Olivier, né le Modèle:Date- à Plouaret, professeur. </ref>, a légué en 2023, date de son décès, 800 000 euros à la commune<ref>Modèle:Article.</ref>.

Démographie

Modèle:Population de France/section

Politique et administration

Tendances politiques et résultats

Modèle:Article connexe Modèle:…

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut |- |colspan="5" align="center" bgcolor="#f3fff3" | Modèle:Boîte déroulante/début Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluFinModèle:Boîte déroulante/fin Modèle:Élu

Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel

Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin

Fichier:FR-22211 cinqcroix01.jpg
Les cinq croix (Ar Pemp Kroaz).
Fichier:Ploubezre - Chapelle de Kerfons-en-Kerfaouës - Martin-Sabon 09.jpg
La chapelle de Kerfons-en-Kerfaouës, photographiée par Félix Martin-Sabon avant 1986.
Fichier:Château de Coatilliau.jpg
Château de Coatilliau.

Résultats des élections

Élections présidentielles, résultats des deuxièmes tours :

Langue bretonne

  • En breton, la commune se nomme Ploubêr.
  • Le maire, Jean-Yves Menou, a signé la charte « Ya d'ar brezhoneg », visant à promouvoir le breton au sein de la commune, le Modèle:Date.
  • La filière bilingue breton-français a fonctionné à Ploubezre jusqu'à la fermeture en 2011 de l'école privée Saint-Louis qui dispensait cet enseignement. En septembre 2020, une filière bilingue breton-français a été mise en place, à l’école maternelle publique de Ploubezre<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Sites et monuments

Manoirs et châteaux

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Édifices religieux

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L'église Saint-Pierre.

Autres

Jumelage

La commune est jumelée avec :

Personnalités liées à la commune

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Cartes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références nombreuses

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Article connexe

Liens externes

Modèle:Liens

Modèle:Palette Modèle:Portail