Rémuzat

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Modèle:Infobox Commune de France

Rémuzat est une commune française située dans le département de la Drôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie

Localisation

Rémuzat est situé en Drôme provençale à Modèle:Unité à l'est de Nyons et à Modèle:Unité au sud de La Motte-Chalancon.

Relief et géologie

Relief préalpin<ref name=":0">Modèle:Ouvrage.</ref>.

Sites particuliers<ref name=":2">https://www.geoportail.gouv.fr/</ref> : Modèle:Colonnes

Géologie

Modèle:...

Hydrographie

La commune est arrosée par les cours d'eau suivants<ref name=":2" /> : Modèle:Colonnes

Climat

Modèle:Article général Climat méditerranéen<ref name=":0" />.

Voies de communication et transports

Modèle:...

Urbanisme

Typologie

Rémuzat est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

La commune est en outre hors attraction des villes<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (68,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (69,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (43,5 %), zones agricoles hétérogènes (28,9 %), forêts (23,9 %), terres arables (2,1 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,5 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine

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Quartiers, hameaux et lieux-dits

Site Géoportail (carte IGN)<ref name=":2" /> : Modèle:Colonnes

Logement

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Projets d'aménagement

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Risques naturels et technologiques

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Toponymie

Attestations anciennes

Dictionnaire topographique du département de la Drôme<ref name=":1">Modèle:Ouvrage.</ref> :

  • 1251 : Remusa, Remusatum et castrum de Remusaco (cartulaire de l'Île-Barbe) ;
  • 1262 : castrum Remusati (cartulaire de l'Île-Barbe) ;
  • 1259 : Ramusatum (inventaire des dauphins, 269) ;
  • 1269 : castrum Ramusati (inventaire des dauphins, 218) ;
  • 1334 : Remusacum (inventaire des dauphins, 219) ;
  • Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle : mention de la paroisse : capella de Remisaco (pouillé de Die) ;
  • 1449 : mention de la paroisse : cura de Remusaco (pouillé gén.) ;
  • 1519 : mention du prieuré : prioratus de Remusaco (rôle de décimes) ;
  • 1576 : Remusac (rôle de décimes) ;
  • 1891 : Remuzat, chef-lieu de canton de l'arrondissement de Nyons.

(non daté)Modèle:Référence souhaitée : Rémuzat.

Étymologie

Peut-être l'anthroponyme gallo-romain *Remutius<ref name="Dauzat">Modèle:Ouvrage</ref> (non attesté), formé à partir du nom de personne gaulois Remos, suivi du suffixe -acum<ref name="Dauzat"/>, devenu généralement la terminaison -ac dans la région (voir Cornillac).

Histoire

Modèle:Article général

Préhistoire

Âge du bronze : sépultures et de pointes de lance<ref name=":0" />.

Protohistoire

Modèle:...

Antiquité : les Gallo-romains

La table d'autel de la chapelle chrétienne est taillée dans un bloc d'architrave gallo-romain présentant une frise de rinceaux corinthiens<ref>Marie-Pierre Estienne, Les Baronnies au moyen âge, Les Alpes de Lumière, Mane, 1997, p.117.</ref>.

Dans le quartier Saint-Auban, à deux kilomètres au nord de l'ancien village sur la même rive, ont été trouvés des monnaies impériales, une ampoule de verre irisée, à col allongé, appartenant à un type courant aux Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, une plaque de porphyre vert antique et de nombreuses tegulae<ref>Cahiers de l'Oule, no 3, 1er trimestre 1967,, p. 3-5.</ref>.

En 1935, un habitant du pays a trouvé, sur le même site, un petit ustensile en or se composant d'un couteau long de 11 cm et d'une petite spatule de 8 cm, suspendus par un œillet à un anneau. Acheté par l'abbé Van Damme, il a été identifié par H. Desaye, conservateur du musée de Die où il est aujourd'hui conservé, comme un instrument de toilette de l'époque romaine provenant vraisemblablement d'une sépulture<ref>H.Desaye, Trouvaille archéologique à Rémuzat, 1975.</ref>.

L'existence d'une villa romaine et même d'un petit sanctuaire païen à cet endroit, près d'une source abondante, d'où proviendrait le bloc d'architrave gallo-romain dans lequel la table d'autel de la chapelle chrétienne a été taillée, semble probable à l'abbé Van Damme<ref>Idem, note introductive p.2.</ref>.

Du Moyen Âge à la Révolution

Au haut Moyen Âge, Rémuzat est dans la dépendance de l’abbaye de Bodon, fondée au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle par Jean, évêque de Sisteron et dont saint Marius<ref>Ne pas confondre avec Marius d'Avenches.</ref>, compagnon de Donat du Val fut le premier abbé<ref name="ref_auto_1">Marie-Pierre Estienne, Les Baronnies au moyen âge, Les Alpes de Lumière, Mane, 1997, p.122.</ref>.

Détruite au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, l'abbaye de Bodon passe sous l'autorité de la puissante abbaye lyonnaise de l’Île Barbe qui est à la tête d’un très important domaine à la fois religieux et temporel (de nombreux seigneurs rendent hommage à l’abbé de Île Barbe pour des domaines parfois importants)<ref>Marie-Pierre Estienne, p.105 et 122.</ref>.

Selon l’abbé Van Damme, c’est à l’influence de l’abbaye que l’on doit le nombre important de petites chapelles aujourd’hui disparues que comptait alors la commune : Saint-Auban, Saint-Quenin, Saint-Pierre de Soubeyran et Langoustier à la Combe de Rémuzat<ref>Abbé Van Damme, Trente curés de Rémuzat, 1971, p.1. et Rémuzat aux confins de trois diocèses, 1961, p.3.</ref>.

Aux {{#switch: XIII

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}}, le Val d’Oule (Vallis Olle), dont fait partie Rémuzat et qui comprend Cornillon, Cornillac, St-May, Lemps, Pommerol et La Charce, appartient à la puissante Famille de Mévouillon<ref>Marie-Pierre Estienne, p.20.</ref>. Les Mévouillon inféodent en 1261 leur part aux Rosans et aux Cornilhan, puis en 1304 aux Artaud d'Aix, remplacés en 1380 par les Grolée-Mévouillon<ref name=":1" />.

Les barons de Mévouillon, devenus seigneurs du Val d’Oule sont vassaux de l’abbé de l'Île Barbe, représenté par le prieur de Saint-May. Raymond de Mévouillon lui rend hommage en 1251 pour le château de Remusa, hommage renouvelé en 1293 et 1305<ref>André Lacroix, L’arrondissement de Nyons : histoire, topographie, statistique, Hachette, 1888, p.270.</ref>.

Une date importante pour Rémuzat est le 5 novembre 1305, quand le baron de Mévouillon endetté vend au comte de Provence, roi de Naples et de Sicile, Charles II d'Anjou, les fiefs et châteaux du Val d’Oule<ref>André Lacroix, p.272.</ref>.

Le Val d’Oule devient une châtellenie dont le chef-lieu est Cornillon et va constituer une enclave provençale en Dauphiné lorsque les baronnies de Mévouillon et de Montauban sont acquises en 1314 et 1317 par le dauphin Humbert Ier de Viennois<ref>Marie-Pierre Estienne, p.55.</ref>.

De 1305 jusqu’en 1790, Rémuzat dépend donc de la Provence et de ses institutions administratives : chambre des comptes puis parlement d’Aix, intendance de Provence et viguerie de Sisteron.

Le comte de Provence, d’après un état des biens de la claverie du Val <ref>André Lacroix, p.274.</ref>, détient à Rémuzat, de 1329 à 1345, la haute seigneurie, la moitié du fournage et des revenus du moulin, la moitié du péage du col de Soubeiran, la moitié des amendes, ainsi que 15 maisons en toute propriété et 28 en communauté avec le prieur de Saint-May. Le Val d'Oule est inféodé à différents seigneurs : les d’Agoult, puis les Grolée-Mévouillon, enfin en 1615 les La Tour-Gouvernet (René de La Tour du Pin Gouvernet), le prieur de Saint-May conservant ses droits seigneuriaux.

En 1729, par exemple<ref>André Lacroix, p.277.</ref>, le prieur de Saint-May possède la moitié de Rémuzat en pariage avec un La Tour Gouvernet, marquis de La Charce, et « a comme lui ses juge, chatelain, greffier et procureur d’office, exerçant à tour de rôle leurs fonctions chacun pendant une année. »

Avant 1790, Rémuzat était une communauté du ressort du parlement et de l'intendance d'Aix, viguerie et recette de Sisteron.
Elle formait une paroisse du diocèse de Die dont l'église, dédiée à saint Michel, était celle d'un prieuré de bénédictins (de la filiation de l'Île-Barbe) qui fut uni au prieuré de Saint-May vers la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Le titulaire de ce prieuré a été, de ce chef, collateur et décimateur dans la paroisse de Rémuzat jusqu'à la Révolution<ref name=":1" />.

De la Révolution à nos jours

L'Assemblée Nationale décrète en juillet 1790 le rattachement de Rémuzat au nouveau département de la Drôme créé le 5 mars 1790, d'abord comme chef-lieu d'un canton du district de Buis-les-Baronnies, avec les municipalités de la Charce, Cornillac, Cornillon, la Fare-et-Lemps, Montferrand, Pommerol, Rémuzat et Verclause, puis, après la réorganisation de l'an VIII (1799-1800), attaché à l'arrondissement de Nyons avec les communes de Chauvac, Laux-Montaux, Montréal, Pelonne, le Poët-Sigillat, Roussieux, Sahune et Saint-May<ref>Dictionnaire topographique de la Drôme (consultable en ligne à l'article Rémuzat, p.299)</ref>.

Politique et administration

Tendance politique et résultats

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Administration municipale

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Liste des maires

Modèle:Section à sourcer Modèle:Article connexe Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Rattachements administratifs et électoraux

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Politique environnementale

La commune ne fait pas partie du Parc naturel régional des Baronnies provençales créé en 2014, bien que située dans son périmètreModèle:Référence souhaitée.

Finances locales

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Jumelages

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Population et société

Démographie

Modèle:Population de France/section

Services et équipements

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Enseignement

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Santé

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Manifestations culturelles et festivités

Loisirs

  • Randonnées : GR de Pays Tour des Baronnies Provençales<ref name=":2" />.

Sports

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Médias

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Cultes

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Économie

Agriculture

En 1992 : pruniers, truffes, ovins, caprins (Agneaux des Préalpes)<ref name=":0" />.

  • Foire mensuelle (sauf en janvier, mai, juillet et septembre)<ref name=":0" />.

Tourisme

  • Syndicat d'initiative (en 1992)<ref name=":0" />.

Revenus de la population et fiscalité

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Emploi

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Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Fichier:REMUZAT - village.jpg
Le village de Rémuzat au pied du rocher du Caire. Sous le rocher, l'ancienne église Saint-Michel.
  • Vestiges de l'ancien village<ref name=":0" />.
L'ancien village : progressivement abandonné au cours de la première moitié du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, il n'en reste que la chapelle Saint-Michel et des pans de l'enceinte du bas Moyen Âge (qui valait à Rémuzat le titre de Castrum dans le cartulaire de l'Île-Barbe en 1251).
La chapelle possède une table d'autel taillée dans un bloc d'architrave gallo-romain présentant une frise de rinceaux corinthiens provenant sans doute du site plus ancien de Saint-Auban, deux kilomètres au nord sur la même rive de l'Oule<ref>Marie-Pierre Estienne, Les Baronnies au moyen âge, Les Alpes de Lumière, Mane, 1997, Modèle:P.117.</ref>. Ses ornements, cloches et fonts baptismaux sont transférés en 1644 dans la nouvelle église Saint-Sébastien construite dans le village moderne. Des réparations ont lieu en 1754 : le mur du chœur du côté de la rivière est abattu (mais la voûte est épargnée, formant abri) et un nouveau mur est construit entre la nef et l'ancien chœur, avec la porte de taille qui se trouvait auparavant au nord de l'édifice<ref>Abbé Van Damme, Trente curés de Rémuzat, 1991, Modèle:P.15 et 25.</ref>.
  • Chapelle des templiers<ref name=":0" />.
  • Grotte de Saint-Eutrope : son nom vient d'Eutrope d'Orange, évêque d'Orange au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Simple anfractuosité au pied du rocher du Caire, elle pourrait avoir été, dès la préhistoire, un lieu de culte solaire : à l'aube du 24 juin, le soleil se lève très exactement à la cime de la montagne Saint-Roman où se trouve la grotte de la Baume Ecrite<ref>Patrick Ollivier, Les Baronnies, Aubanel, 1986, Modèle:P.339.</ref>. La grotte de Saint-Eutrope fut un lieu de pèlerinage des habitants de Rémuzat, à la suite de la guérison miraculeuse, inscrite dans le registre paroissial de 1745, d'un petit infirme, Pierre Plumel, âgé de Modèle:Nobr, monté à bras par ses parents jusqu'à la grotte <ref>Abbé Van Damme, La grotte de St-Eutrope, 1967, Modèle:P.2.</ref>.
  • L'église Saint-Sébastien, devenue trop étroite pour une population accrue, est rasée vers 1850 et remplacée à quelque distance par la vaste église actuelle dédiée à Saint-Michel. Sa décoration intérieure est un bon exemple du style sulpicien de l'époque de sa construction.
Église du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref name=":0" />.

Patrimoine culturel

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Patrimoine naturel

  • Grottes<ref name=":0" /> : Grotte Saint-Eutrope<ref name=":2" />.
  • Géodes cristallines<ref name=":0" />.
  • Rocher du Caire (de Kʰar, racine qui signifie « pierre ») : muraille rocheuse verticale face au village de Rémuzat, haute de 125 mètres, longue de un kilomètre, qui supporte le plateau de l'ancienne abbaye de Bodon<ref name="ref_auto_1" />.

En 1995, une colonie de neuf vautours fauves a été réimplantée, suivie en 1998 de vautours moines qui avaient pratiquement disparu de France. Depuis, le vautour percnoptère, beaucoup plus rare, y est réapparu de façon spontanée, en 2000. Il y a aujourd'hui plus de Modèle:Nobr qui s'alimentent sur une superficie de plus de Modèle:Unité. Une promenade sur la crête du rocher permet d'observer ces oiseaux impressionnants et peu farouches. Leur envol pour la journée se fait entre Modèle:Heure et midi, quand l'air est suffisamment chaud pour leur permettre de prendre assez d'altitude et de partir à la recherche de carcasses, souvent à des distances importantesModèle:Refnec.

Personnalités liées à la commune

Un de ses livres traduits en français, Un inconnu (Le Temps qu'il fait, 2007) , est consacré à son voisin et ami, cultivateur de lavande de Rémuzat, figure d'un monde paysan du siècle dernier.

Héraldique, logotype et devise

Fichier:Blason ville fr Rémuzat.svg

Rémuzat porte pour armes : d'azur à une croix haussée et perronnée de trois marches d'or<ref>André Lacroix, Arrondissement de Nyons, Archéologie, Histoire et Statistique, Jules Céas, Valence, 1901, Modèle:T.II, Modèle:P.268.</ref>.

Annexes

Modèle:Autres projets

Bibliographie

  • Lucien Van Damme, curé de Rémuzat de 1933 à 1987, il écrivit sur son village et sa région de nombreux articles dans la Revue Drômoise, Peuple Libre, Cahiers d'histoire des Baronnies (Rémuzat aux confins de trois diocèses, La grotte Saint Eutrope, Trouvaille archéologique à Rémuzat, etc.) et plusieurs publications :
    • Le château de Cornillon, 1968.
    • Trente curés de Rémuzat racontés par le Modèle:31e, 1971.
    • Curés de Cornillac et de Cornillon au fil des siècles, 1975.
    • Servantes de curés aux confins Diois-Baronnies, 1977.
    • Curés d'autrefois et leurs ouailles à Sahune, 1984.

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Liens

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes

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  • Cartes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références

Modèle:Portail