Ranville
Modèle:Confusion Modèle:Infobox Commune de France
Ranville est une commune française, située dans le département du Calvados en région Normandie, peuplée de Modèle:Unité<ref group="Note">Population municipale Modèle:Population de France/dernière année.</ref>.
Géographie
Ranville se situe à Modèle:Unité au nord-est de Caen à Modèle:Coord.
Bien que la commune fasse partie de l'aire urbaine de Caen et qu'elle soit limitrophe de la communauté urbaine de Caen la Mer, elle ne fait pas partie de cette dernière. En 1997, elle est intégrée à la communauté de communes Campagne et Baie de l'Orne qui fusionne avec deux autres communauté de communes en 2017 pour former la communauté de communes Normandie-Cabourg-Pays d'Auge.
Le Modèle:Date-, la commune passe alors de l'arrondissement de Caen à celui de Lisieux<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Modèle:Communes limitrophes
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article.</ref>. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Modèle:Centrer
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web.</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sallenelles », sur la commune de Sallenelles, mise en service en 2004<ref>Modèle:Lien web.</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche<ref group=Note>Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).</ref>, « Caen-Carpiquet », sur la commune de Carpiquet, mise en service en 1945 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web.</ref> à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Urbanisme
Typologie
Ranville est une commune urbaine<ref group=Note>Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Ranville, une agglomération intra-départementale regroupant trois communes<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est ville-centre<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Caen, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Nobr, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
La commune, bordée par la baie de Seine, est également une commune littorale au sens de la loi du Modèle:Date-, dite loi littoral<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des Modèle:Nobr, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (61,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (69,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (47,3 %), zones urbanisées (16 %), mines, décharges et chantiers (11,2 %), prairies (8,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,5 %), zones agricoles hétérogènes (5,9 %), eaux continentales<ref group="Note">Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.</ref> (2,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,7 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web.</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Toponymie
Le nom de la localité est cité sous les formes Ranvilla en 1066<ref>Ernest Nègre, Toponymie générale de la France Modèle:Lire en ligne.</ref>, Ranvilla au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle (Recueil des actes de Henri II roi d'Angleterre et duc de Normandie), Ranville au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle (carte de Cassini).
Il s'agit d'une formation médiévale en -ville au sens ancien de « domaine rural ». Le premier élément Ran- représente sans doute un anthroponyme selon le cas le plus fréquent.
Pour expliquer cet élément, Albert Dauzat propose le nom de personne germanique Rado sans citer de formes anciennes, explication abandonnée aujourd'hui, alors qu'Ernest Nègre et René Lepelley préfèrent Rando<ref>René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de commune de la Normandie, éditions Charles Corlet, Presses Universitaires de Caen, Caen, 1996.</ref>.
Curieusement, le même Ernest Nègre qui mentionne, à propos de Ransart (Pas-de-Calais, Ransart 1169), le nom de personne Hramnus cité par Marie-Thérèse Morlet<ref>Marie-Thérèse Morlet, NPAG I, p. 135a.</ref>,<ref>Ernest Nègre, Toponymie générale de la France (lire en ligne).</ref>, n'y songe pas en ce qui concerne Ranville, alors que cet anthroponyme conviendrait tout autant, puisqu'on a pas trace d'un [d].
Remarque : Ces auteurs ne tiennent pas compte du fait que Ranville se situe dans l'aire de diffusion de la toponymie anglo-scandinave, qu'il est propre, du moins par ses formes anciennes, à la Normandie, et surtout, est appuyé par des microtoponymes régionaux tels que Rantot (Manche, Digulleville, Derantot 1825 - 1866, c'est-à-dire « la ferme de Rantot »<ref>Dominique Fournier, « Élément -tot », Wikimanche (lire en ligne).</ref>) et Randal (Manche, le Vrétot, Bois de Randal 1456<ref>Jean Renaud, Vikings et noms de lieux de Normandie. Dictionnaire des toponymes d'origine scandinave en Normandie, éditions OREP, 2009 Modèle:ISBN, Modèle:P..</ref>, sans doute apparenté au Randal norvégien, Sogn og Fjordane) qui contiennent également un élément Ran-, mais il est associé à des appellatifs toponymiques d'origine norroise. Il s'agit de -tot issu du vieux norrois topt, toft « propriété, ferme » et -dal de dalr « vallée ». L'association de Ran- avec un élément scandinave suggère une explication par le nom de personne norrois Randr (ou vieux danois Rand)<ref>Site de Nordic Names : nom de personne Randr (lire en anglais) [1].</ref> ou par le nom de personne féminin vieux norrois Rán<ref>Site de Nordic Names : nom de personne Rán (lire en anglais) [2].</ref>, ce qui est plus simple. En Normandie, les noms en -tot ont souvent leur équivalent en -ville (cf. Cidetot / Cideville ; Chiffretot / Chiffreville ; Épretot / Épreville, etc.), voire en un autre élément d'origine scandinave. Si l'assimilation probable de [d] de Rand avec le [t] de -tot et le [d] de -dal va de soi, en revanche il faut supposer que [d] ait pu s'amuïr aussi tôt dans Ranville sans laisser de trace. Cela se vérifie pour Branville (Eure) attesté sous la forme Branville dès le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et Branmesnil (Seine-Maritime, hameau disparu autour de La Poterie-Cap-d'Antifer, Branmaisnil vers 1040 chez Jean Adigard des Gautries, 1956 Modèle:P.) qui présentent un contexte phonétique analogue /ran/ et qu'on compare avec Branville (Seine-Maritime, Saint-Aubin-Épinay) désigné Brant villa en 1025. Bran- s'explique en effet par le nom de personne scandinave Brandr<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
La ressemblance avec Ranville (Charente, Aranvilla 1254) et avec Rainville (Vosges, Rainovilla Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle) est fortuite<ref>Ernest Nègre, op. cit.</ref>.
Histoire
Une voie antique reliant Pont-Audemer et Bayeux passait sur le territoire de la commune ; les voyageurs devaient emprunter un bac à Ranville afin de traverser l'Orne jusqu'au port de Bénouville et poursuivre leur route. L'Orne ne suivait toutefois pas son cours actuel. Jusqu'à l'époque moderne, le cours de l'Orne effectuait de nombreux méandres. En 1679, l'Orne fut redressée entre les carrières de Ranville et Clopée à Mondeville<ref name=bourgeois>Journal d'un bourgeois de Caen 1652-1733 Modèle:Lire en ligne.</ref>. Lors de la construction du canal de Caen à la mer, ouvert à la navigation en 1857, l'Orne fut redressée entre Ranville et le corps de garde de Sallenelles ; l'ancien lit du fleuve fut en partie repris par le canal (entre Pegasus Bridge et le déversoir du Maresquier)<ref name=btv1b531452258>{{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b531452258%7C{{ #if: btv1b531452258 |{{ #if: Plan général de la rivière de l'Orne et du Canal entre Caen et la mer | Plan général de la rivière de l'Orne et du Canal entre Caen et la mer | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref group="Note">L'ancien cours du fleuve se retrouve dans les limites administratives entre les communes de Ranville, Bénouville et Ouistreham.</ref>. De ce fait, l'ancien bac se trouvait à proximité de l'actuel pont de Bénouville, connu également sous le nom de Pegasus Bridge<ref>Modèle:Géoportail</ref>.
Un domaine agricole (« ville » cf. Modèle:Page h') s'est sans doute développé avant l'existence de la commune. Au cours des siècles, l'économie de la commune repose sur trois activités principales :
- l'extraction de la pierre de Caen qui était ensuite acheminée, vers l'Angleterre notamment, par l'Orne (la rue des Carrières à Longueval rappelle ce passé),
- l'exploitation des ressources fluviales à Longueval (pratiquée par les sablonniers et les pêcheurs) et qui périclita avec l'ouverture du canal de Caen à la mer,
- l'agriculture, notamment sur les marais asséchés aux {{#switch: XX
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Comme souvent dans la plaine de Caen, l'habitat ne s'organisait pas autour de l'église paroissiale (église Notre-Dame-des-Prés de Mondeville, église Saint-Hilaire de Cairon par exemple). La commune était éclatée entre plusieurs hameaux plus ou moins regroupés<ref>Cadastre de la commune de Ranville, 1826 – Tableau d'assemblage, Archives du Calvados, cote 3P/1978 Modèle:Lire en ligne.</ref> :
- l'église,
- le Bas de Ranville,
- le Hom,
- le Mariquet,
- Longueville,
- la Basse-Écarde,
- Longueval.
En 1860, les Ranvillais décidèrent de démolir leur église, jugée vétuste et trop exiguë. Ils conservèrent seulement le clocher des {{#switch: XII
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}} qui subsiste encore aujourd'hui à côté de la nouvelle église.
Après le percement du canal et le redressement de l'Orne, un bac fut établi sur le nouveau cours du fleuve<ref name=btv1b531452258/>. En 1869-1870, il fut remplacé par un pont-tournant<ref name=cfc>H. Magron, Guide illustré du tramway de Caen à la mer. Caen, Ouistreham, Hermanville, Lion-sur-Mer, Luc-sur-Mer, Ranville, Sallenelles, Le Home-Varaville, Cabourg, Dives., Caen, impr. Ch. Valin, 1899, Modèle:Pp. Modèle:Lire en ligne.</ref>. En 1892, le pont fut renforcé lors de la construction de la ligne des chemins de fer du Calvados entre Bénouville et la gare de Dives - Cabourg. Celle ligne disposait de plusieurs arrêts sur la commune : pont de Ranville, Ranville et ferme de l'Écarde<ref name=cfc/>. Le service est interrompu le Modèle:Date-.
Lors de l'opération Tonga, le Modèle:Date-, le nom de code de la capture du pont de Ranville, nommé Horsa bridge, était Euston 2 (Euston 1 était la prise du pont de Bénouville, ou Pegasus Bridge, sur le canal de l'Orne). Ranville a été le premier village de France libéré le Modèle:Date- par le Modèle:13e parachutiste britannique (Modèle:Nobr Battalion) commandé par le lieutenant-colonel Peter Luard. Le clocher médiéval de l'église a été le théâtre d'un fait tragique : un tireur allemand embusqué au sommet a abattu trois parachutistes britanniques, avant d'être lui-même tué. Il repose aujourd'hui auprès de ses victimes dans le cimetière paroissial à quelques mètres du clocher.
Le château du Heaume ou du Hom, un manoir à un étage, servit ensuite de quartier-général à la [[6e division aéroportée (Royaume-Uni)|Modèle:Nobr Division]].
Dans les années 1970, le pont-tournant a été détruit pour être remplacé par l'actuel ouvrage fixe.
Après la Seconde guerre mondiale, la commune, qui avait connu une population relativement stable au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle et au début du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, connait une forte croissance démographique (Modèle:Nobr en 1946 contre Modèle:Unité en 1999). L'habitat pavillonnaire se développe et les anciens hameaux se trouvent alors réunis dans un espace urbain peu dense. Seuls la ferme de la Basse-Écarde et le hameau de Longueval restent vraiment à l'écart de cet ensemble<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
-
Modèle:Nobr Division]] le Modèle:Date.
-
Ranville au Modèle:S mini sur la carte de Cassini.
Économie
La ville abrite une cimenterie de Ciments français, filiale du groupe italien Italcementi<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Italcimenti.</ref>.
Politique et administration
Modèle:ÉluDébut |- |colspan="5" align="center" bgcolor="#f3fff3"| Modèle:Boîte déroulante/début Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluFin Source : Mairie de RanvilleModèle:Boîte déroulante/fin Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Démographie
Modèle:Population de France/introduction
Modèle:Population de France/tableau
Modèle:Population de France/graphique
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Notre-Dame-de-l'Assomption (clocher du Modèle:S mini-Modèle:S mini protégé par l'Association Sauvegarde du Patrimoine de Ranville et rénové en 2007-2008).
- Le cimetière civil où reposent des militaires français et britanniques tombés pendant la bataille de Normandie.
- Le cimetière militaire du Commonwealth où reposent notamment les premiers parachutistes britanniques et canadiens décédés à partir du Modèle:Date-.
- Le château de Guernon-Ranville, dit aussi château de Ranville.
- Le château du Hom.
- Le château du Mariquet.
- Le manoir du Modèle:S mini, rue de la Grange-aux-Dimes.
- La grange aux dîmes qui dépendait de l'abbaye aux Dames.
- Le moulin à vent, témoignage de l'importance de l'activité céréalière de la région.
- Le lavoir sur l'Aiguillon.
- Le Mémorial Pegasus, entre l'Orne et le canal, dans le parc duquel a été installé le pont historique.
- Le monument aux morts, situé dans le cimetière, surmonté de la statue du Poilu au repos, réalisée par Étienne Camus.
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L'église, côté chevet.
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Le clocher de l'église. -
La nef de l'église. -
Le château de Guernon-Ranville.
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Le château de Mariquet.
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L'ancien moulin à vent.
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Le lavoir.
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Le cimetière militaire du Commonwealth.
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Le Mémorial Pegasus.
-
Le monument aux morts.
Personnalités liées à la commune
- Le comte de Guernon-Ranville (1787 - 1866 au château de Ranville), ministre de l'Instruction publique et des cultes sous Modèle:Nobr, dans le gouvernement Polignac.
- Général Richard Gale (1896-1982), commandant de la [[6e division aéroportée (Royaume-Uni)|Modèle:Nobr Division]].
- René de Naurois (1906-2006), aumônier des commandos Kieffer, Juste parmi les nations, enterré dans le cimetière de Ranville.
- Guy de Montlaur (1918-1977), peintre, enterré dans le cimetière de Ranville.
- Jean-Claude Diamant-Berger (1920-1944), poète, enterré dans le cimetière militaire britannique de Ranville.
Jumelages
Ranville est jumelée avec :
Héraldique
Notes et références
Notes
Cartes
Références
- Altitudes, coordonnées, superficie : IGN<ref>Modèle:Lien web (archive Wikiwix).</ref>.