Rivières (Charente)
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France
Rivières (Rivieras en limousin, dialecte occitan) est une commune du Sud-Ouest de la France située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).
Ses habitants sont les Riviérois et les Riviéroises<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Géographie
Localisation et accès
Rivières est une commune située à Modèle:Unité au nord-ouest de La Rochefoucauld et à Modèle:Unité au nord-est d'Angoulême<ref>Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper</ref>.
La commune arrive presque jusqu'au château de La Rochefoucauld. Elle est située dans la vallée de la Tardoire, et englobe aussi une petite partie de la forêt de la Braconne à l'ouest.
Elle est traversée par les routes départementales 88 (dite route de la Duchesse), qui va de La Rochefoucauld à Jauldes et passe à côté du bourg, et la D 6, route de Montbron à Mansle (passant par La Rochefoucauld et le Pont-d'Agris) qui passe sur la rive droite.
La route nationale 141 d'Angoulême à Limoges, maillon occidental de la route Centre-Europe Atlantique, contourne La Rochefoucauld depuis 2011 et passe sur son territoire.
Elle est aussi traversée par le GR 36, sentier de grande randonnée qui relie la Manche aux Pyrénées orientales, et qui longe la rive droite de la Tardoire entre La Rochefoucauld et Agris<ref name="ign">Carte IGN sous Géoportail</ref>.
La gare la plus proche est celle de La Rochefoucauld, desservie par des TER à destination d'Angoulême et de Limoges.
Hameaux et lieux-dits
La commune de Rivières est assez étendue et peuplée, et se compose de nombreux gros hameaux : les Houillères, Lavaud, Monthézard, la Villandière sur la rive droite de la Tardoire, la Croix de l'Orme (faubourg de La Rochefoucauld), Chez la Serre, Chez Salot, Chez Pichou etc. sur la rive gauche<ref name="ign"/>.
Communes limitrophes
Géologie et relief
Le terrain est calcaire et date du Jurassique (Bathonien à Kimméridgien d'est en ouest). La commune est sur le karst de La Rochefoucauld. Le plateau à l'est de la vallée de la Tardoire est recouverte d'altérite et d'argile à silex provenant du Massif central tout proche (Modèle:Unité à l'est) et déposé pendant l'ère tertiaire. La vallée est occupée par des alluvions et terrasses de sable et graviers (rive droite) datant du quaternaire<ref>Visualisateur Infoterre, site du BRGM</ref>,<ref>Carte du BRGM sous Géoportail</ref>,<ref>Modèle:Pdf Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Pdf Modèle:Lien web</ref>.
La cavité de Camelot, en partie sous la commune de Saint-Projet-Saint-Constant, est à ce jour la plus vaste grotte karstique connue du département. Elle possède 15 kilomètes de galeries reliant un réseau de cavités souterraines<ref>Modèle:Article</ref>. Modèle:Article connexe
La commune inclut le point culminant de la forêt de la Braconne, Modèle:Unité, le Gros Fayant, occupé autrefois par un observatoire (tour métallique). La maison forestière est aussi sur la commune.
Le point le plus bas, Modèle:Unité, se trouve au nord de la commune, dans le lit de la Tardoire.
Hydrographie
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est drainée par la Tardoire, le Bandiat, la Bellonne et, qui constituent un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail</ref>.
De nombreux gouffres jalonnent la forêt de la Braconne, mais aussi le lit des rivières Bandiat et Tardoire. Le Bandiat disparaît dans ces pertes avant son confluent avec la Tardoire, et la Tardoire est à sec en été.
Sur la commune, on peut noter :
- les Fosses de Ribérolles (entre le Bandiat et Chez Pichou)
- sur le Bandiat :
- le gouffre de Gauffry
- les gouffres du Gros Roc
- le gouffre de la Cuve
- le gouffre des Pinonnes (en aval des Vieilles Vaures et en limite d'Agris)
- sur la Tardoire :
- le gouffre de Chez Lascoux (le plus important)
- les gouffres de Chez Lambert, en particulier le Gourdonnais
- les gouffres du Mônac
-
Gouffre de Chez Touchet (Bandiat), dans la forêt de la Braconne, en juin.
-
Les Pinonnes, gouffre final du Bandiat, en juin.
Gestion des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de Modèle:Unité, a été approuvé le Modèle:Date-. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente<ref>Modèle:Lien web</ref>. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Climat
Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain. Modèle:Article connexe
Urbanisme
Typologie
Rivières est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angoulême, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (67,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (38,9 %), terres arables (24,8 %), forêts (23,7 %), zones urbanisées (6,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,8 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Rivières est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible)<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par ruissellement et coulée de boue, notamment la Tardoire, le Bandiat et la Bellonne. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1993, 1999, 2006, 2009 et 2010<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>.
Rivières est exposée au risque de feu de forêt du fait de la présence sur son territoire des forêts domaniales de Bois Blanc et de la Braconne. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été élaboré pour la période 2017-2026, faisant suite à un plan 2007-2016<ref name=Feux>Modèle:Lien web</ref>. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par divers arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de Modèle:Unité de celles-ci. L’arrêté du Modèle:Date- règlemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du Modèle:Date- rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit<ref group=Note>Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de Modèle:Unité (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de Modèle:Unité minimum de part et d’autre des voies privées y donnant accès.</ref>,<ref name=Feux/>,<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web, chapitre Feux de forêts.</ref>.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines)<ref>Modèle:Lien web, chapitre Mouvements de terrain.</ref>. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune<ref name="ECS">Modèle:Lien web</ref>.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 88,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 820 sont en aléa moyen ou fort, soit 97 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune<ref name="ECS"/>.
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999<ref name=Géorisques/>.
Toponymie
Les formes anciennes sont Ripperiis en 1293<ref>Modèle:Ref-Ang-Livre des fiefs</ref>, Riperiis vers 1100<ref>Modèle:Ref-Ang-Cartulaire</ref>.
L'origine du nom de Rivières remonte au latin riparia qui signifie le bord ou le paysage d'une rivière<ref>Modèle:Dic-Dauzat-1989</ref>.
Créée Rivières en 1793, la commune s'est appelée Rivière en 1801<ref name=Cassini/>. La carte de Cassini, du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, l'orthographie Riviere<ref>Carte de Cassini sous Géoportail</ref>.
Dialecte
La commune est dans la partie occitane de la Charente qui en occupe le tiers oriental, et le dialecte est limousin. La forêt de la Braconne à l'ouest fait la limite avec le saintongeais, langue d'oil<ref>Modèle:Ref-Charente-Michon</ref>. Rivières se nomme Rivieras en occitan<ref name=oc>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Lien web</ref>. Modèle:Article connexe
Histoire
L'archéologie aérienne accompagnée de fouilles ont mis en évidence, à Ribérolles, la présence d'une nécropole-sanctuaire de l'âge du fer, dont l'occupation a été prolongée à l'époque gallo-romaine sous la présence d'un fanum (petit temple)<ref>Fouilles CNRS José Gomez de Soto 1995-2000 in Modèle:Ouvrage</ref>.
On a retrouvé une inscription latine au lieu-dit la Garenne datant de l'époque romaine (Haut-Empire), sur une dalle calcaire de Modèle:Unité x Modèle:Unité : Modèle:Citation. Damona est une déesse celtique<ref>Modèle:Ref-Charente-Bordessoules, Inscriptions latines des Trois Gaules, 155</ref>.
En 1247, un certain Aimeri de Rivières reprend en fief l'ensemble de ses biens des mains du comte d'Angoulême Hugues de Lusignan<ref>Modèle:Ref-Charente-Debord</ref>.
Élie, seigneur de Rivières, aurait édifié la coupole byzantine d'une chapelle de l'église à son retour de croisade.
Au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, ce fief appartenait à la maison de Crozant, aujourd'hui disparue, puis cédé à la famille de Guitard. Il ne reste aucun vestige du château.
Les traces du fief de Ribérolles remontent à une charte de Hugues le Brun, comte d'Angoulême, octroyant aux seigneurs de Ribérolles (Ruperiolis) le droit de glandée dans la forêt de la Braconne. Ce fief relevait en partie des comtes d'Angoulême et en partie des seigneurs de La Rochefoucauld.
Vers le milieu du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Ribérolles était la propriété d'une famille Vigier, qui disparut au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et fut remplacée par les de Raymond, seigneurs de Ribérolles et de Mazotte. Cette famille conserva Ribérolles jusqu'en 1641, où le fief passa par mariage à François de Guitard, écuyer, seigneur de la Borie et de Villejoubert<ref>Modèle:Lien web</ref>, dont la famille avait déjà acquis la seigneurie de Rivières. Cette famille posséda le château jusqu'au début du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, représentée alors par la baronne de Ribérolles. L'ancien château a été détruit en 1786, et remplacé par le logis actuel, qui ne put être achevé tel qu'il avait été conçu primitivement.
Au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, l'industrie dans la commune était représentée par la tuilerie de Péruzet (alimentée dans la seconde moitié du siècle en argile grâce à une voie ferrée étroite particulière depuis une carrière située au nord-est du bourg d'Yvrac, à Chante-Caille<ref>Carte Michelin 72, année 1960</ref>), et le moulin à blé de la Ramisse<ref>Modèle:Ref-Charente-MB</ref>.
L'entreprise Rondinaud, créatrice en 1907 de la pantoufle en feutre appelée Charentaise, est à l'origine une entreprise familiale née à La Rochefoucauld. Son usine principale était installée sur la commune depuis 1962<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Article</ref>. Devenue Manufacture charentaise, elle a fermé en 2019<ref>Modèle:Article</ref>.
Politique et administration
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin
Démographie
Évolution démographique
Modèle:Population de France/section
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 27,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 40,9 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait Modèle:Nobr pour Modèle:Unité, soit un taux de 52,55 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,59 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Modèle:Pyramide des âges communes de France
Économie
Agriculture
La commune est essentiellement rurale.
La viticulture occupe une petite partie de l'activité agricole. La commune est située dans les Bons Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Industrie
Chaudronnerie Soumagne
Jean Soumagne s’installe avec quelques compagnons comme charron à La Rochefoucauld.
En 1919, l’entreprise Soumagne évolue pour se reconvertir dans la carrosserie automobile.
Puis, à partir de 1949, à la demande de l’industrie textile, l’entreprise se tourne vers la chaudronnerie.
En 1971, l’entreprise Soumagne déménage pour s’implanter en périphérie de la ville.
C’est en 2003 que la 4e génération des Soumagne a fêté les 120 ans de l’entreprise<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Fromagerie le Manslois
Depuis 1991, le fromage « le Manslois », fromage blanc battu de vache frais célèbre dans le département, est fabriqué dans la commune. Comptant 3 employés, l'entreprise familiale tenue par Marie-Claude Paulet et Philippe Petit fabrique Modèle:Nombre par an, ainsi qu'une variante chèvre depuis 2005<ref>Article Modèle:Article</ref>.
Équipements, services et vie locale
Enseignement
Rivières possède une école primaire publique comprenant sept classes (deux maternelles et cinq élémentaires). Le secteur du collège est La Rochefoucauld<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Lieux et monuments
Patrimoine religieux
L'église paroissiale Saint-Cybard est romane et date des {{#switch: e
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| e | er | = Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles
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}}. L'église a d'abord été mentionnée en 1090 lorsque l'évêque d'Angoulême Adémar la remet au prieuré Saint-Florent de La Rochefoucauld, avant de passer en 1266 au chapitre de La Rochefoucauld. De cette église il ne reste rien et au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle on en construit une nouvelle. Il en reste actuellement le chœur et le transept situé au nord, avec une absidiole de grande qualité architecturale en hémicycle ouvrant sur le croisillon. L'église a été en grande partie reconstruite au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, en particulier la nef, le mur oriental avec contreforts fermant le chevet vu la déclivité du terrain, et la façade occidentale avec la porte de style gothique flamboyant. L'intérieur de l'édifice a été remanié au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>Panneau d'information à l'entrée</ref>.
Avec son cimetière attenant où l'on peut remarquer d'impressionnantes pierres tombales du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, elle est inscrite aux monuments historiques depuis 1948<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.
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L'église et le monument aux morts.
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Le mur du chevet et le cimetière.
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Les modillons de l'absidiole.
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La façade gothique.
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Le chœur et le transept.
Patrimoine civil
Le logis de Ribérolles, situé à Modèle:Unité au nord du bourg au bord de la Tardoire, est inscrit aux monuments historiques depuis le Modèle:Date-<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>.
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Logis de Ribérolles et son parc.
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Le monument aux morts.
Personnalités liées à la commune
- Nicole Bricq (1947-2017) est morte des suites d'une chute faite à Rivières.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes
Références
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Rivières sur le site de la Communauté de Communes Bandiat-Tardoire
- Modèle:Bases
- Modèle:Lien web
- Amigos del Románico, fiche descriptive de l'église romane Saint-Cybard