Robert Ier (roi de Naples)

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Robert {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }} de Naples, à l'origine Robert d'Anjou, né en 1277 à Santa Maria Capua Vetere (actuelle province de Caserte, en Campanie) et mort le Modèle:Date à Naples<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>, fils du roi Charles II de Naples, de la maison d'Anjou-Sicile, est roi de Naples et comte de Provence de 1309 à 1343.

Arrivé sur le trône par usurpation au détriment d'un neveu (futur roi de Hongrie), il a un règne considéré dans l'ensemble comme positif. Il ne réussit cependant pas à reprendre le contrôle du royaume de Sicile, que son grand-père [[Charles Ier d'Anjou|Charles {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }} d'Anjou]] détenait tout comme le royaume de Naples.

Biographie

Origines familiales

Son père, Charles II d'Anjou (1254-1309), est roi de Naples de 1285 à 1309, succédant à son père [[Charles Ier d'Anjou|Charles {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }}]] (frère de Louis IX), premier roi de Naples (et roi de Sicile) de la maison d'Anjou-Sicile. Charles II n'a pas hérité de la Sicile, échue au roi d'Aragon Pierre III (Pierre {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }} de Sicile).

Sa mère, Marie de Hongrie (1257-1323), est la fille du roi de Hongrie Étienne V (1237-1272).

Robert, titré duc de Calabre, a plusieurs frères, dont deux sont nés avant lui :

En 1297, il épouse Yolande d'Aragon, qui meurt en 1302, lui ayant donné deux fils<ref>Voir section Mariages et descendance pour les détails.</ref>.

Carrière initiale

Il est envoyé avec son frère en Sicile auprès de Jacques II, fils et successeur de Pierre III, afin de combattre contre Frédéric, autre fils de Pierre III, qui a usurpé le trône en 1295. Il remporte quelques succès, mais Philippe de Tarente ayant été battu, il renonce et négocie la paix (1302).

En 1304, il épouse Sancia de Majorque (1285-1345), fille du roi de Majorque Jacques II (1243-1311).

Il soutient ensuite les guelfes de Florence contre les gibelins en 1306.

Roi de Naples

Usurpation de 1309

À la mort de son père en 1309, il se fait couronner roi de Naples, au détriment de son neveu Charles Robert (par la suite roi de Hongrie). Devenu roi de Naples, il devient aussi comte de Provence, fief qui à l'époque relève du Saint-Empire.

Modèle:Pas clair.

Modèle:Pas clair<ref>En 1309, Louis d'Anjou est mort depuis 12 ans !</ref>

Un prince puissant en Italie

Robert est Modèle:Refnec et le pape le nomme vicaire pontifical.

En 1318, il libère Gênes assiégée par Modèle:Lien, seigneurs de Milan, et d'autres seigneurs gibelins.

En 1333, par l'intermédiaire du Franciscain Ruggero Garini, Robert et son épouse négocient avec le sultan d'Égypte l'achat du Cénacle de Jérusalem et du droit de Modèle:Pas clair au Saint-Sépulcre.

En 1338, il lance une nouvelle expédition pour reconquérir le royaume de Sicile, sans succès. C'est sa dernière tentative.

Un grand règne

Modèle:Refnec

Réputé pour son amour des lettres, il attire à la cour de Naples des poètes, des lettrés et des artistes, tels que Pétrarque, Giotto, Judah ben Moses Romano et Simone Martini.

Mort et funérailles

Il est inhumé dans un monument funéraire commandé par sa femme et sculpté par les frères Bertini dans la basilique Santa Chiara de Naples. Il s'agit d'un tombeau grandiose de style gothique .

Généalogie de la maison de Naples

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Mariages et descendance

Le Modèle:Date, il épouse à Rome Yolande d'Aragon (1273-1302), fille du roi d'Aragon Modèle:Noble et de Constance de Hohenstaufen (1248-1302), qui lui donne deux fils :

Le Modèle:Date, il épouse en secondes noces Sancia de Majorque (1285-1345), fille de Modèle:Noble, roi de Majorque et d'Esclarmonde de Foix. Ce mariage reste sans descendance.

Ascendance

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Notes et références

Modèle:Références

Voir aussi

Bibliographie

  • Guillaume Mollat, Les papes d’Avignon (1305 – 1378), Limoges. 1949.
  • Yves Renouard, La papauté à Avignon, Paris. 1954.
  • Emile-G. Léonard, Les Angevins de Naples, Presses universitaires de France, Paris, 1954.
  • Bernard Guillemain, La cour pontificale d’Avignon, (1309 – 1376). Étude d’une société, Paris. 1962.
  • Dominique Paladilhe, Les papes en Avignon, Paris. 1975.
  • Modèle:Ouvrage.
  • Bernard Guillemain, Les papes d’Avignon (1309 – 1376), Paris. 1998.
  • Tanja Michalsky: Memoria und Repräsentation. Die Grabmäler des Königshauses Anjou in Italien (= Veröffentlichungen des Max-Planck-Instituts für Geschichte. 157). Vandenhoeck und Ruprecht, Göttingen 2000.
  • Jean Favier, Les papes d’Avignon, Fayard, Paris. 2006.
  • Jean-Paul Boyer, Une oraison funèbre pour le roi Robert de Sicile, comte de Provence, Modèle:P., dans Provence historique, tome 49, fascicule 195-196, 1999 (lire en ligne).

Articles connexes

Liens externes

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