Rochefort-en-Terre

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}

Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France Rochefort-en-Terre {{#ifeq:1|0|[ʁɔʃfɔʁ ɑ̃ tɛʁ]|[[Alphabet phonétique international|Modèle:Nobr]]}} est une commune française, située dans le département du Morbihan en région Bretagne. En 2016, Rochefort-en-Terre a été élu « Village préféré des Français »<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Géographie

Situation

Modèle:Images

Modèle:Communes limitrophes

La commune de Rochefort-en-Terre, de petite superficie, est bâtie sur le flanc sud d'une crête rocheuse bordée au nord par les Landes de Lanvaux. Elle est entourée par les communes de Pluherlin et de Malansac. Le ruisseau de Saint-Gentien (ou Gueuzon), modeste affluent de rive droite de l'Arz, forme un méandre qui entoure et sert de limite à la commune au sud, à l'est et au nord-est, un de ses affluents lui servant de limite au nord-ouest du finage communal, lequel a un relief assez accidenté : si les cours d'eau précités coulent entre 40 mètres côté amont pour le ruisseau de Saint-Gentien à son entrée sur le territoire communal (au niveau de l'étang du Moulin neuf) et 23 mètres d'altitude (à la sortie du territoire communal), le château se trouve à l'emplacement du point le plus élevé, à 63 mètres d'altitude. Modèle:Article détaillé La partie rurale est très peu étendue et se trouve essentiellement à l'ouest et au sud-ouest de la ville ancienne (quartiers de la Mare, la Vacherie et la Croix aux Moines) où se développe la périurbanisation, la ville ancienne ne pouvant s'étendre en raison de son emplacement exigu et des mesures de protection du site.

La ville est traversée par la D 777 (ancienne Route nationale 777) qui se dirige vers l'ouest vers Questembert et vers l'est vers La Gacilly, une déviation, la D 777a permettant de contourner la ville par le nord. Au sud-est, La D 21 relie Rochefort-en-Terre à Malansac. Questembert et Malansac disposent de gares sur la Ligne ferroviaire de Rennes à Quimper via Redon.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000<ref name=Joly/>

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 1,9 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 2,6 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitationModèle:Note : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,9 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,3 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pleucadeuc », sur la commune de Pleucadeuc, mise en service en 1990<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Vannes-Séné », sur la commune de Séné, mise en service en 1998 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref> à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Urbanisme

Typologie

Rochefort-en-Terre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (36,5 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (33,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (36,5 %), forêts (30,8 %), prairies (15,5 %), zones agricoles hétérogènes (15,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,9 %), eaux continentales<ref group="Note">Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.</ref> (0,1 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

Attesté sous la forme latine Rupes Fortis en l'an 1260<ref>Dans les archives du Prieuré de Madeleine de Malestroit</ref>.

Roc'h-an-Argoed en bretonModèle:Référence nécessaire.

Si le toponyme français est une traduction littérale du toponyme latin, la traduction du toponyme breton serait "Rocher de l'Argoat", « Rocher du pays des terres ».

Histoire

Moyen-Âge

Le prieuré Saint-Michel de la Grêle fut fondé dès le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle par l'un des premiers seigneurs de Rochefort à l'emplacement de la chapelle Saint-Michel<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

La cité est dotée au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle d'un château construit sur l'éperon rocheux par les seigneurs de Rochefort. Il a été construit selon un plan pentagonal<ref name="mérimée">Modèle:Base Mérimée.</ref> et prend la place d'anciennes fortifications gallo-romaines. Le bourg se développe à partir du château et son nom apparaît en 1260 sous la forme de Rupes castris<ref>Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Volume 1, 1990, n 1598</ref>. Il comporte de nombreux services administratifs et est le siège d'une seigneurie puissante : dès le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, la châtellenie de Rochefort figure parmi les principales seigneuries du pays vannetais<ref>A. Chédeville, N-Y Tonnerre, La Bretagne féodale {{#switch: -

 | e | er | = 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: XIII|-| – | XIII }}Modèle:S mini- siècle
 | 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: -|-| – | - }}Modèle:S mini- siècle

}}, Rennes, 1987, Modèle:P..</ref>. Le domaine seigneurial s'étendait sur plus de Modèle:Unité<ref>J-P Leguay, Hervé Martin, Fastes et malheurs de la Bretagne ducale 1213-1532, Rennes, 1982, Modèle:P..</ref>.

Le plus ancien seigneur de Rochefort connu est Thibaud, qui vivait en 1280. Cette seigneurie fut érigée en châtellenie en 1304 en faveur de Thébaud par le duc Jean Ier de Bretagne ; Guillaume IV de Rochefort fut évêque de Léon entre 1346 et 1349 ; en 1374, la seigneurie passa aux mains de la maison de Rieux par le mariage le Modèle:Date de Jean III de Rieux (1377-1431), avec Jeanne de Rochefort. En 1440 Jean de Rieux fonda le monastère des Cordeliers de Saint-François de Bodelio<ref>Modèle:Lien web.</ref>, situé à Malansac. Le Modèle:Date, Jean IV de Rieux, sire de Rieux et de Rochefort, ordonne que pendant toute sa vie, en l'église de La Tronchaye, soient dits tous les jours « matines, prime, tierce, sexte, none, vêpres et complies, avec une messe votive, à diacre et sous-diacre, comme dans les églises cathédrales ou collégiales ». En conséquence il créa six chapelains et un doyen, et assigna aux premiers trente livres monnaie de rente, et aux seconds quarante livres, et quinze livres qu'il promit pour l'entretien du luminaire. Son fils Claude de Rieux (1497-1532), rendit cette fondation perpétuelle par ses lettres du Modèle:Date<ref name=ogee>Modèle:Ouvrage.</ref>.

La châtellenie s'étendait sur une dizaine de paroisses ; au sud, celles de Limerzel, Questembert, Péaule, Caden fournissaient les ressources issues de la culture et de l'élevage ; au nord, celles de Pluherlin et Malansac le bois des Landes de Lanvaux ; au centre se situait le bourg aux fonctions artisanales et commerçantes<ref>A. Chédeville...op. cit. , Modèle:P..</ref>. Modèle:Article détaillé

Époque moderne

Fichier:Rochefort-en-Terre 002 Le lavoir du XVIème siècle.jpg
Rochefort-en-terre : lavoir (rénové) datant du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.

La chapelle Saint-Roch, dédiée à saint Roch, fut construite en 1527 après l'éradication d'une épidémie de peste.

Pendant les Guerres de la Ligue, en Modèle:Date-, le prince de Conti et le maréchal d'Aumont assiégèrent la ville et le château de Rochefort, qui résistèrent à ces attaques « et à plus de Modèle:Nobr coups de canons qui ne purent faire une brèche pour l'assaut ». Le Modèle:Date, le duc de Mercœur fit lever le siège. En 1594, Nicolas de Talhouët prit le château et le fit raser. Il a été depuis reconstruit et appartint au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle à la maison de Nétumière<ref name=ogee/>.

Jean-Baptiste de Larlan Kercadio<ref>Jean-Baptiste de Larlan Kercadio, né le Modèle:Date à Rennes, décédé en 1717.</ref> et son fils François Julien de Larlan Kercadio<ref>François Julien de Larlan Kercadio, né le Modèle:Date à Rennes, décédé le Modèle:Date au château de Rochefort.</ref>, tous deux comtes de Rochefort, furent aussi tous les deux présidents à mortier au Parlement de Bretagne. En 1737, leur petit-fils et fils « haut et puissant seigneur Messire Jean Anne Vincent Larlan de Kercadio<ref>Jean Anne Vincent Larlan de Kercadio, né le Modèle:Date, décédé en 1771.</ref>, chevalier (...) », mousquetaire, est comte de Rochefort, marquis de la Dobrays, seigneur de QuestembertModèle:Etc. et des châtellenies de Malestroit et autres lieux<ref>"Bulletin de la Société polymathique du Morbihan", 1938, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k65611422/f70.image.r=Rochefort-en-Terre?rk=665239;2</ref>.

Jean-Baptiste Ogée décrit ainsi Rochefort en 1778 : Modèle:Citation bloc

Révolution française

Fichier:DéfenseRochefort-en-terre.jpg
Alexandre Bloch : Défense de Rochefort-en-Terre, 29 avril 1793 (tableau de 1885, Conseil général du Morbihan).

En Modèle:Date-, le château fut assigné et pris par les chouans. Trois administrateurs du district (Lucas Boucherel, Duquerno et Denoual), qui faisaient partie de la vingtaine de républicains qui s' y étaient réfugiés, qui s'étaient rendus pour éviter la mise-à-sac de la ville et obtenir la vie sauvé, furent massacrés sauvagement et leurs restes promenés à travers les rues de la ville. La commune a pris les noms de Rochefort-des-Trois et de Roche-des-Trois pendant quelques années<ref name=Cass>Modèle:Cassini-Ehess</ref>.
Elle fut chef-lieu de district de 1790 à 1795. Modèle:Article détaillé

Le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

En 1800, Rochefort est chef-lieu de canton. Une activité industrielle s'y développe autour des ardoisières, des clouteries et tanneries.

A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Rochefort en 1843 : Modèle:Citation bloc L'abbé Pierre Marot, précédemment recteur de Sérent, fut curé de Rochefort-en-Terre pendant 21 ans à partir de 1844<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Il fit des recherches archéologiques, découvrant des objets de l'âge de pierre et de l'âge du bronze<ref>Émile Cartailhac, "Dictionnaire archéologique de la Gaule : époque celtique", tome II, H-Z, 1875-1923, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9763804h/f519.image.r=Rochefort-en-Terre?rk=472105;2</ref>.

Un texte publié en 1887 présente les ardoisières exploitées depuis longtemps à Rochefort-en-Terre : « La société actuelle date de 1860 (...) : elle exploite (...) quatre carrières à ciel ouvert ou en galerie. Elle occupe Modèle:Unité et produit Modèle:Unité d'ardoises [par an] (...), expédie ses ardoises dans toute la France. (...). Il convient, au sujet de l'ardoise de Rochefort, d'insister sur sa dureté, son élasticité et sa résistance à la flexion, qualités premières de tout schiste ardoisier »<ref>"L'Écho des mines et de la métallurgie", n° du 12 juin 1887, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k57401961/f5.image.r=Rochefort-en-Terre?rk=278971;2</ref>.

En 1892, la commune prend le nom de Rochefort-en-Terre.

Vers la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Naïa, une sorcière connue, hantait à Rochefort-en-terre le vieux château ruiné des Rieux. « Instruite, intelligente, crainte et respectée, elle fait le bonheur des photographes. On la prétend capable de manipuler les braises, de lire entre les lignes de la main, de prédire l'amour, de parler au démon Gnâmi et, bien entendu, de jeter des sorts... »<ref>Erwan Chartrier-Le Floch, "Clichés armoricains" (1870-1930). Une Bretagne pittoresque et insolite", Coop Breizh, 2017, Modèle:ISBN.</ref>.

Modèle:Article détaillé

Le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

Fichier:Ex voto de la Fregeoliere.jpg
Ex-voto de Renaud de la Frégeolière, aviateur, « pour sa main conservée, avril 1918 », dans l'église Notre-Dame de la Tronchaye.

La Belle Époque

À partir de 1903, Alfred Klots, propriétaire du château, invite des peintres dans la cité et met en place les activités touristiques. Il eut l'idée en 1911 de lancer un concours à travers la ville : celui des « fenêtres fleuries », devenu au fil du temps celui des « villages fleuris »<ref>Stéphane Bern - Le village préféré des français, La France et ses villages, page 90, Modèle:ISBN.</ref>.

Des autodafés de manuels scolaires proscrits par l'église catholique furent organisés dans plusieurs communes du Morbihan comme Férel, Belz, Rochefort, Gestel et Saint-Thuriau en 1910<ref>Modèle:Article.</ref>.

La Première Guerre mondiale

Le monument aux morts de Rochefort-en-Terre porte les noms de 24 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale<ref name="mgn25973">Modèle:Lien web.</ref>. Parmi eux, Alphonse Maigné "tombé glorieusement sur le champ de bataille au Four de Paris<ref>Modèle:Lien web.</ref> (Argonne) le Modèle:Date âgé de 29 ans" selon une plaque commémorative située dans la chapelle du château de Rochefort-en-Terre<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

L'Entre-deux-guerres

La Seconde Guerre mondiale

Le monument aux morts de Rochefort-en-Terre porte les noms de 5 personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale<ref name="mgn25973"/>.

L'après Seconde Guerre mondiale

Deux soldats originaires de Rochefort-en-Terre (Raymond Denis et Arthur Le Borgne) sont morts pour la France pendant la Guerre d'Indochine, le premier en 1946 en Cochinchine, le second en 1949 au Tonkin<ref name="mgn25973"/>.

Le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

En 2009, la commune entre dans la communauté de communes de Questembert.

En 2016, l'émission présentée par Stéphane Bern, Le Village préféré des Français, désigne Rochefort-en-Terre.

Politique et administration

Fichier:Mairie Rochefort-en-Terre.jpg
La mairie de Rochefort-en-Terre, en avril 2008.
Fichier:La mairie de rochefort-en-terre - panoramio.jpg
La mairie de Rochefort-en-Terre, en septembre 2013.

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin

Démographie

Modèle:Population de France/section

La croissance de la population de Rochefort-en-Terre entre 1990 et 2007 est due à son solde migratoire. Le solde naturel négatif (- 3,8 %) a été compensé par le solde migratoire positif (+ 4 %). Cette tendance a commencé entre 1975 et 1982 en s'accentuant de recensement en recensement : 75/82 - 1 % et + 1,3, 82/90 - 2 % et 2,7 %, 90/99 - 2,7 % et + 3,5 %. Ainsi la population se renouvelle par un apport de population. Au recensement de 2007, 57,2 % de la population habitait la commune depuis plus de Modèle:Nombre. Les nouveaux arrivants venant en majorité du département du Morbihan (30,3 %), 1,9 % de la Bretagne, 8,1 % d'une autre région de la France métropolitaine, 0,8 % d'un Département d'Outre Mer et 1,7 % d'un autre lieu.

La commune abrite, en 2007, 378 logements soit 68 de plus qu'en 1999 : 77,, 6 % de maisons et 21,8 % d'appartements. Ce sont principalement des résidences principales (73,1 %), avec une petite part de logements secondaire (20,1 % et quelques logements vacants (6,8 %). Le parc immobilier comprend une majorité de logements anciens (50,2 % achevé avant 1949). La cité s'est dotée régulièrement de nouveaux logements, principalement des maisons, : 11,2 % entre 1949 et 1975, 27,5 % entre 1975 et 1989 et 11,2 % entre 1990 et 2004. 45,6 % des logements principaux ont plus de cinq pièces.

Culture et patrimoine

Lieux et monuments

La cité comporte de nombreux monuments historiques :

Une chapelle est mentionnée au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle à Rochefort. Elle était de style roman comme le montre l'empreinte dans le mur Nord du transept et le clocher. L'église actuelle a été en grande partie construite au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle : église paroissiale, elle est érigée en collégiale par le maréchal Jean de Rieux en 1498. Elle se dote alors de stalles et s'orne d'un jubé qui a été déplacé à la tribune. Agrandie et restaurée en 1533 par le Seigneur de Rochefort, elle est dotée d'une façade gothique flamboyant.

Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, le chœur où officiaient les chanoines est fermé par un retable de pierre. La collégiale est agrandie d'une nouvelle nef au sud pour accueillir les paroissiens. La collégiale est restaurée et accueille deux retables venant de l'ancien couvent de Bodélio en Malansac. En 1802, Rochefort devient paroisse et doyenné.

En 1925, la collégiale est classée monument historique. De grands travaux ont été entrepris pour cela. Le chœur est réaménagé par l'enlèvement du retable de pierre qui est placé dans l'arrière chœur. deux vitraux sont composés : un au chevet et un au transept sud représentant la découverte de la statue de Notre-Dame-de-la-Tronchaye. La collégiale abrite, sans doute depuis le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, la statue de Notre Dame-de-la-Tronchaye trouvée dans un arbre par une bergère. Rochefort est devenue depuis ce temps là un lieu de pèlerinage. En 1925, le pape a autorisé de couronner la statue de la Vierge Marie. Modèle:Article détaillé

Modèle:Article détaillé

Modèle:Article détaillé

École

La commune compte une école primaire de 60 élèves : l'école Sylvain-Pradeau.

Distinctions touristiques

La commune a obtenu différents labels :

Par ailleurs, Rochefort-en-Terre est arrivé en première place du Modèle:Nobr de l'émission télévisée Le Village préféré des Français<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Le village est élu « merveilleux Village de Noël » le Modèle:Date<ref>Modèle:Lien web.</ref>, durant l'émission de TF1 qui l'a choisi en fonction des illuminations, des spécialités culinaires ou encore des traditions de Noël.

Tableaux représentant Rochefort-en-terre et ses environs

Héraldique

Modèle:Blason-ville-fr

Personnalités liées à la commune

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Cartes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références

Modèle:Palette Modèle:Portail