Saint-Benoît (Alpes-de-Haute-Provence)

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}

Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France Saint-Benoît (Sant Beneset en occitan provençal) est une commune française située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Le nom de ses habitants est Saint-Benoîtiens<ref name="tresor"/>.

Modèle:Sommaire

Géographie

Localisation

Carte élémentaire montrant les limites de la commune, les communes voisines, les zones de végétation et les routes
Saint-Benoît et les communes voisines (Cliquez sur la carte pour accéder à une grande carte avec la légende).

Les communes limitrophes de Saint-Benoît sont Castellet-lès-Sausses, Entrevaux, Ubraye, Annot et Braux.

Hameaux

Jaussiers et Ourgès.

Géologie et relief

Le village est construit sur une colline, à 720 m d’altitude<ref name="La Torre"/>. Modèle:…

Hydrographie et les eaux souterraines

Cours d'eau sur la commune ou à son aval<ref>L'eau dans la commune</ref> :

  • Le Var (fleuve),
  • ravins du Riou, de Mallunes, du Gros vallon, de Saint-jean, de la Lare, du Fontanil, du Courtévéras,
  • torrent le Coulomp.

Climat

Modèle:… Modèle:Article détaillé

Environnement

La commune compte Modèle:Unité de bois et forêts, soit plus de la moitié de sa superficie<ref name="tresor"/>.

Voies de communications et transports

Voies routières

Deux petites routes relient le village à la route nationale 202.

Transports en commun

Le chemin de fer est inauguré en 1908 : alors qu’il arrivait à pont de Gueydan depuis l’année précédente, le train relie alors Saint-Benoît à Annot dans un sens, et à Nice dans l’autre<ref>Mathieu Golinelli, Les Chemins de Fer Secondaires de France, 06 : Département des Alpes-Maritime et Monaco, Fédération des amis des chemins de fer secondaires, 1997-2008, consulté le 23 juin 2012</ref>. La ligne de Nice à Digne est achevée un peu plus tard, et inaugurée du 5 au 7 août 1911 en présence de Victor Augagneur, ministre des Travaux Publics<ref name="pref-train"/>.

La commune dispose également d’un arrêt facultatif sur la ligne du train des Pignes<ref name="train"/>.

Risques naturels et technologiques

La commune de Saint-Benoît est exposée à trois risques naturels<ref name="prim"/> :

  • feu de forêt,
  • inondation (dans la vallée de la Vaïre),
  • mouvement de terrain : plusieurs versants de la commune sont concernés par un aléa moyen à fort<ref name="ddrm37"/>.

La commune de Saint-Benoît est de plus exposée à un risque d’origine technologique, celui de transport de matières dangereuses par route<ref name="ppr"/>. La départementale Modèle:Nobr (ancienne route nationale 100) peut être empruntée par les transports routiers de marchandises dangereuses<ref name="ddrm80"/>.

Aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune<ref name="ppr"/> et le Dicrim n’existe pas<ref name="dicrim"/>.

Sismicité

Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton d'Annot auquel appartient Saint-Benoît est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques<ref name="ddrm39"/>, et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011<ref name="prim"/>.

Urbanisme

Typologie

Saint-Benoît est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (88,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (87,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (53,2 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (19 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (16,3 %), zones agricoles hétérogènes (11,5 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>.

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Planification de l'aménagement

La communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière, créée le Modèle:Date- avec effet le Modèle:Date-, regroupe Modèle:Unité. Cet établissement public de coopération intercommunale (EPCI) s'est engagé dans une démarche d’élaboration d’un plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi)<ref>Communauté de Communes Alpes Provence Verdon « Sources de Lumière » : Lancement du PLUi du Moyen Verdon</ref>.

Histoire

Le territoire de la commune est fréquenté à l’époque néolithique et à l’âge du bronze (découvertes archéologiques dans les grottes de Saint-Benoît<ref>Grotte de Saint-Benoît</ref>, au-dessus du Coulomp<ref>Géraldine Bérard, Carte archéologique des Alpes-de-Haute-Provence, Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, Paris, 1997, p 400</ref>).

Le nom du peuple installé dans la vallée à l’arrivée des Romains n’est pas certain, mais il peut s’agir des Nemeturii<ref name="AHP-c12">Raymond Boyer et Guy Barruol, carte 12 « Peuples et habitats de l’époque pré-romaine », in Baratier, Duby & Hildesheimer, Atlas historique de la Provence, et commentaire</ref>. Après la Conquête (achevée en 14 av. J.-C.), le territoire de l’actuelle commune de Saint-Benoît est rattaché à la civitas de Glanate (Glandèves). À la fin de l’Antiquité, le diocèse de Glandèves reprend les limites de cette civitas<ref name="beaujard-22"/>.

Moyen Âge et Ancien Régime

Le village est initialement installé sur la colline de Villevieille. La fondation au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle d'un prieuré bénédictin par l'abbaye Saint-Dalmas de Valdeblore<ref>Modèle:Base Mérimée</ref> entraîne le déplacement du village sur son site actuel<ref name="archeo-provence"/>,<ref name="AHP">Modèle:Atlas historique de la Provence, p. 194</ref>. Le prieuré passe ensuite à l'abbaye Saint-Dalmas de Pedona (aujourd'hui à Borgo San Dalmazzo)<ref>Jean-François Boué, « Implantation des ordres réguliers au Moyen Âge », CG 06.</ref>. Les Pontevès sont les seigneurs du lieu aux {{#switch: XV

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}}

}} ; les Lombard leur succèdent du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle à la Révolution française<ref name="AHP"/>.

Administrativement, la communauté de Saint-Benoît relevait de la baillie d’Outre-Siagne, circonscription administrative du comté de Provence jusqu’en 1245. Celle-ci est ensuite démembrée en plusieurs circonscriptions plus petites, et après une période de stabilisation, on sait qu’en 1264 Saint-Benoît faisait partie de la viguerie de Puget-Théniers<ref name="Jansen3"/>. Elle est ensuite rattachée à celle d’Annot à sa création au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle<ref name="archeo-provence"/>.

Après la guerre de Cent Ans et une fois la sécurité revenue, de 1442 à 1471, 40 familles quittent les deux villages de Braux et Saint-Benoît pour s'installer dans des régions plus faciles à cultiver, ou dans des fiefs où les paysans sont moins imposés<ref name="baratier-demo85">Édouard Baratier, La démographie provençale du {{#switch: au

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}}, avec chiffres de comparaison pour le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Paris : SEVPEN/EHESS, 1961. Collection « Démographie et société », 5. Modèle:P.85</ref>.

Révolution française

Durant la Révolution, la commune compte une société patriotique, créée après la fin de 1792<ref>Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, Modèle:1er 1989, Modèle:108e, p 296-298</ref>. Pour suivre le décret de la Convention du 25 vendémiaire an II invitant les communes ayant des noms pouvant rappeler les souvenirs de la royauté, de la féodalité ou des superstitions, à les remplacer par d'autres dénominations, la commune change de nom pour Collet<ref>Jean-Bernard Lacroix, « Naissance du département », in La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, Modèle:1er 1989, Modèle:108e, p 113</ref>.

Période contemporaine

La Révolution et l’Empire apportent nombre d’améliorations, dont une imposition foncière égale pour tous, et proportionnelle à la valeur des biens de chacun. Afin de la mettre en place sur des bases précises, la levée d’un cadastre est décidée. La loi de finances du 15 septembre 1807 précise ses modalités, mais sa réalisation est longue à mettre en œuvre, les fonctionnaires du cadastre traitant les communes par groupes géographiques successifs. Ce n’est qu’en 1830 que le cadastre dit napoléonien de Saint-Benoît est achevé<ref>Alexeï Laurent, « Paysages ruraux de la première moitié du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle dans le sud-est des Basses-Alpes », in Jean-Christophe Labadie (directeur éditorial), La matière et le bâti en Haute-Provence, {{#switch: -

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   Modèle:S mini-{{#ifeq: -|-| – | - }}Modèle:S mini- siècles

}}, actes de la première Journée d'études d'histoire de la Haute-Provence, Digne, 13 octobre 2012. Digne-les-Bains : Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013. Modèle:ISBN, Modèle:P.10.</ref>.

Au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, une paroisse est créée pour le hameau d’Ourges, qui dessert également le hameau de Jaussiers sur la commune voisine d’Ubraye<ref name="archeo-provence"/>. Une école est aussi située à Jaussiers, alors que le hameau d’Ourges en est dépourvu<ref name="labadie9"/>.

Comme de nombreuses communes du département, Saint-Benoit se dote d’écoles bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, elle compte déjà deux écoles dispensant une instruction primaire aux garçons, situées au village chef-lieu et au hameau des Clots<ref name="labadie9"/>. Aucune instruction n’est donnée aux filles : ni la loi Falloux (1851), qui impose l’ouverture d’une école de filles aux communes de plus de 800 habitants, ni la première loi Duruy (1867), qui abaisse ce seuil à 500 habitants, ne concernent Saint-Benoît<ref name="labadie16"/>,<ref name="labadie18"/>. La deuxième loi Duruy (1877) lui permet, grâce aux subventions de l’État, de rénover l’école du village<ref name="labadie11"/>. Ce n’est qu’avec les lois Ferry que les petites filles de la commune sont scolarisées.

Jusqu’au milieu du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, un vignoble existait à Saint-Benoît, dont la production était consommée sur place et s’exportait. Il n’en reste plus rien aujourd’hui<ref name="reparaz-medit109"/>.

Toponymie

Le nom du village apparaît pour la première fois vers 1200 (castrum sant Benedicti), sous sa forme occitane, qui a été francisée par la suite<ref>Modèle:TGF3, § 28315, p 1610</ref>.

Héraldique

Modèle:Article détaillé Modèle:Blason commune

Économie

Agriculture

Modèle:...

Industrie-Construction

Une carrière est exploitée par l'entreprise Cozzi, filiale de la SCREG (elle-même filiale via Colas du groupe Bouygues) dans le lit du Var à Pont de Gueydan<ref name="carrières"/>.

L’usine hydroélectrique du Pont de la Donne est située sur la commune de Saint-Benoît (parfois signalée à Annot). Elle utilise les eaux du torrent le Coulomp via une conduite forcée. La turbine ainsi mise en mouvement a une puissance de 3,4 mégawatts<ref name="hydro"/>.

Un inventaire des anciens sites industriels et activités de service a été réalisé<ref>Inventaire historique des anciens sites industriels et activités de service du Département des Alpes-de-Haute-Provence</ref>.

Activités de services

Politique et administration

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Budget et fiscalité 2016

En 2016, le budget de la commune était constitué ainsi<ref>Les comptes de la commune</ref> :

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 14,02 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 9,02 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 34,355 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 58,73 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 18,65 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2014 : médiane en 2014 du revenu disponible, par unité de consommation : Modèle:Unité<ref>Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet</ref>.

Intercommunalité

Saint-Benoît a fait partie, de 2004 à 2016, de la communauté de communes Terres de Lumière ; depuis le Modèle:Date-, elle est membre de la communauté de communes Alpes Provence Verdon.

Population et société

Démographie

Modèle:Article connexe

En Modèle:Population de France/dernière année, Saint-Benoit comptait Modèle:Population de France/dernière pop habitants. À partir du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, les recensements réels des communes de moins de Modèle:Unité ont lieu tous les cinq ans (2006, 2011, 2016, etc. pour Saint-Benoit). Depuis 2004, les autres chiffres sont des estimations.

Modèle:Population de France/tableau {{#invoke:Démographie|demographie}}

L’histoire démographique de Saint-Benoît, après la saignée des {{#switch: XV

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}}

}} et le long mouvement de croissance jusqu’au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, est marquée par une période d’« étale » où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période dure peu, de 1836 à 1846. L’exode rural provoque ensuite un mouvement de recul démographique rapide et de longue durée. En 1901, la commune a perdu plus de la moitié de sa population par rapport au maximum historique de 1841<ref name="vidal">Christiane Vidal, « Chronologie et rythmes du dépeuplement dans le département des Alpes de Haute- Provence depuis le début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle », Provence historique, tome 21, Modèle:N°85, 1971, Modèle:P.288.</ref>. Le mouvement de baisse ne s'interrompt définitivement que dans les années 1970. Depuis, la population a repris sa croissance, doublant en trente ans.

Modèle:Population de France/graphique

Enseignement

Modèle:…

Santé

Modèle:…

Cultes

Modèle:…

Lieux et monuments

Patrimoine civil

  • Pont dit de la reine Jeanne<ref>Pont de la Reine Jeanne, sur le site Structurae</ref> (faisant référence à la reine Jeanne de Provence) : long de 39 m, large de 2,7, en dos-d'âne. L'arche a un diamètre de 29 m et une hauteur sous voûte de 12,5 m. Un pont existait déjà en 1296, trente ans avant la naissance de la reine Jeanne. Le pont actuel, à la construction soignée, date en partie du dernier quart du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, en partie des années 1728-1735, date de sa dernière reconstruction après une crue. La chaussée, caladée, s’élargit aux extrémités (ailes). Les trous de boulins ayant servi à soutenir le cintre lors de la construction sont encore visibles<ref>Notice qui lui est consacrée par Guy Barruol in Guy Barruol, Philippe Autran et Jacqueline Ursch, D'une rive à l'autre : les ponts de Haute-Provence de l’Antiquité à nos jours, Les Alpes de Lumière no 153, Forcalquier 2006, p 110</ref>. L’architecte responsable de sa dernière reconstruction est Tallon<ref name="Montens">Serge Montens, Les plus beaux ponts de France, Paris, Bonneton, 2001, Modèle:ISBN, p. 41</ref>. Il est inscrit à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques<ref>Arrêté du 19 janvier 1928, notice de la Base Mérimée, consultée le 29 août 2008</ref>.
  • Pont de Gueydan, au débouché des gorges de Daluis, date du début des Temps modernes. Les parties conservées (tunnels d’accès et une partie des culées) sont classées monument historique<ref>Arrêté du 28 février 1944, notice de la Base Mérimée, consultée le 29 août 2008</ref>. Il a été doublé par un pont après 1843 : tous deux sont détruits à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Un nouveau pont est construit en 1979, avec une arche de 37 m de portée, le tablier étant porté, par l’intermédiaire de voûtes d'élégissement, par deux arcs parallèles et indépendants<ref>Notice qui lui est consacrée par Guy Barruol in Guy Barruol, Philippe Autran et Jacqueline Ursch, D'une rive à l'autre, Modèle:Opcit, Forcalquier 2006, p 111-112</ref>.
  • Viaduc de chemin de fer du Coulomp.

Patrimoine religieux

Dans son mobilier, un calice du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle est classé monument historique au titre objet<ref>Arrêté du 30 janvier 1995, notice de la Base Palissy, consultée le 29 août 2008</ref>.
La cloche est de 1765<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>
  • Au village se trouve également la chapelle de la Vierge<ref name="archeo-provence"/>.
  • L’église Notre-Dame de l’Assomption à Ourgès<ref name="AHP"/> a perdu son toit<ref name="archeo-provence"/>.
  • Monument aux morts<ref>Monument aux morts</ref>.

Sites naturels

Personnalités liées à la commune

Modèle:…

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Cartes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références nombreuses

Modèle:Palette Modèle:Portail