Saint-Georges-sur-l'Aa

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Modèle:Infobox Commune de France

Saint-Georges-sur-l'Aa est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France. Modèle:Sommaire

Géographie

Localisation

Saint-Georges-sur-l'Aa est un village du département du Nord, limitrophe de celui du Pas-de-Calais, située dans le « plat pays » de la Flandre maritime, exposée à la montée des océans.

Communes limitrophes

Modèle:Communes limitrophes

Hydrographie

Fichier:Canal de l'Aa - panoramio.jpg
Le canal de l'Aa.

Le fleuve côtier l'Aa, constitue la limite ouest du territoire communal.

L'Aa, autrefois abondamment remontée par les truites de mer, les saumons, les anguilles et d'une grande richesse faunistique est un des axes structurants de la trame bleue locale et régionale, et la commune bénéficie depuis 2014 d'un corridor biologique} dit Corridor écologique du barreau de Saint-Georges<ref>Opale News (2014) Découverte du Barreau de St-Georges, consulté le 4 juin 2014.</ref>

Le territoire communal, terre de polders, est drainé par de nombreux canaux de drainages ou watergang.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000<ref name=Joly/>

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 2,4 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 0,7 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitationModèle:Note : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,5 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,8 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Calais-Marck », sur la commune de Marck, mise en service en 1991<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche<ref group=Note>Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).</ref>, « Boulogne-sur-Mer », sur la commune de Boulogne-sur-Mer, dans le département du Pas-de-Calais, mise en service en 1947 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref> à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Urbanisme

Typologie

Saint-Georges-sur-l'Aa est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Dunkerque, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Nobr, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (85,8 %), mines, décharges et chantiers (7 %), eaux continentales<ref group="Note">Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.</ref> (3,6 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (3,5 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 134, alors qu'il était de 133 en 2013 et de 109 en 2008<ref name="LogT2" group="I"/>.

Parmi ces logements, 82 % étaient des résidences principales, 12,7 % des résidences secondaires et 5,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 80,4 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 18,9 % des appartements<ref name="LogT2" group="I">Modèle:Lienweb.</ref>.

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Saint-Georges-sur-l'Aa en 2018 en comparaison avec celle du Nord et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (12,7 %) supérieure à celle du département (1,6 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 53,8 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (53,2 % en 2013), contre 54,7 % pour le Nord et 57,5 % pour la France entière<ref name="LogT7" group="I">Modèle:Lienweb.</ref>.

Le logement à Saint-Georges-sur-l'Aa en 2018.
Typologie Saint-Georges-sur-l'Aa<ref name="LogT2" group="I"/> Nord<ref name="LogDep" group="I">Modèle:Lienweb.</ref> France entière<ref name="LogFr" group="I">Modèle:Lienweb.</ref>
Résidences principales (en %) 82 90,8 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 12,7 1,6 9,7
Logements vacants (en %) 5,2 7,7 8,2

Voies de communication et transports

Voies de communication

La commune est traversée par l'autoroute A16 (France) et est aisément accessible depuis l'ancienne route nationale 40 (confondue avec l'ancienne route nationale 1), l'actuelle RD 601.

La ligne de Coudekerque-Branche aux Fontinettes traverse égalementg la commune, mais la station de chemin de fer la plus proches est la gare de Gravelines, desservie par des trains Modèle:TER/correspondances qui effectuent des missions entre les gares de Dunkerque et de Calais-Ville.

Le sentier de grande randonnée GR 120 passe dans le village.

Transports en commun

La commune est desservie par la ligne 23 du réseau DK'BUS.

Risques naturels et technologiques

Du point de vue des risques industriels et de la pollution de l'air<ref>Opale-Flandre, S. C. (2009). Évaluation des risques sanitaires liés aux émissions atmosphériques provenant de la zone industrielle dunkerquoise (59) Mise à jour de l'étude réalisée en 2005.</ref>, et de santé environnementale<ref>Prouvost H & Declercq C (2003) Santé et environnement: Une exploration des enjeux sur le territoire de la Communauté Urbaine de Dunkerque. Lille: ORS Nord-Pas-de-Calais.</ref> les principaux aléas sont liés aux zones industrielles du port de Dunkerque et de son agglomération, ainsi qu'à la proximité de la centrale nucléaire de Gravelines.

Toponymie

Modèle:… Durant la Révolution française, la commune, alors nommée Saint-Georges, porte le nom de Georges-Libre<ref name=Cassini/>.

En 1933, la terminaison sur-l'Aa est ajouté au nom de Saint-Georges<ref name=Cassini/>.

En néerlandais, le nom de la commune est Sint-Joris (aan de Aa)<ref>Modèle:Lien brisé.</ref>.

Ses habitants sont appelés les Saint-Georgeois<ref>Nom des habitants de la commune sur habitants.fr.</ref>.

Histoire

Moyen Âge

Historiquement rattachée au diocèse de Saint-Omer, après la disparition du diocèse de Thérouanne, on trouve trace écrite de « Sanctus Georgius » en 1178.

Temps modernes

Jusqu'à la Révolution française, Saint-Georges-sur-l'Aa relevait de la châtellenie de Bourbourg. La commune était le siège d'une seigneurie-ammanie (l'amman représente le châtelain avec pouvoirs administratifs et de justice) recouvrant les paroisses de Saint-Georges, de Saint-Willebrord en partie (paroisse située à Bourbourg), et de Saint-Nicolas (actuel hameau de Bourbourg) en partie<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Pendant les travaux d'aménagement du Parc de l'Aa, des diagnostics archéologiques permettent de découvrir des monnaies d'or du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, frappés par la Couronne espagnole<ref>Ludovic Notte, Florence Demarly-Cresp, Monnaies d’or du {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XVIe{{#if:|  }} }} s. découvertes lors d’un diagnostic archéologique à Saint-Georges-sur-l’Aa (Nord) in Revue d'Histoire et d'Archéologie des Universités du Nord de la France, Tome 98, numéro 418, 2016, p. 205.</ref>

En 1657, le village est complètement ravagé par les Espagnols en fuite devant les Français (pendant toute la seconde moitié du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, la France, sous les rois Louis XIII et Louis XIV, et l'Espagne s'affrontent, les combats ont souvent lieu dans la région)<ref>Edmond de Coussemaker, «Document inédit pour servir à l'histoire des guerres de Flandre et à celle de la ville et châtellenie de Bourbourg », dans Mémoires de la Société dunkerquoise d'encouragement aux sciences, aux lettres et aux arts, Année 1856, pages 166 à 221, page 186, lire en ligne.</ref>.

Période révolutionnaire

Pendant la période de déchristianisation de la Révolution française, la commune fut appelée Georges-Libre pour effacer la mention religieuse présent dans le nom de Saint-Georges-sur-l'Aa<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Première guerre mondiale

Pendant la première guerre mondiale, Saint-Georges-sur-l'Aa est à l'arrière du front qui part de Nieuport, suit le cours de l'Yser vers les monts des Flandres. En 1916 et 1917, le village placé sous l'autorité du commandement d'étapes (service de l'armée de terre organisant le stationnement et le passage de troupes) de Gravelines, de même que Bourbourg-ville et Bourbourg-Campagne, Saint-Pierre-Brouck, Loon-Plage, Grande Synthe...est le lieu de passage et de cantonnement de troupes, à 143 selon les moements), de décision de fermetures temporaires d'établissements, notamment les cabarets ayant servi à boire aux soldats en dehors des heures règlementaires<ref>Modèle:Lien web.</ref>....

Période contemporaine

En 2007, la ville est touchée par la crise des migrants voulant rejoindre le Royaume-Uni. N’arrivant pas à embarquer au port de Dunkerque, plusieurs centaines de migrants se replient sur l’aire de Saint-Georges-sur-l'Aa de l’A16 pour tenter de grimper chaque nuit sur les poids-lourds à destination de l’Angleterre, et le jour se reposer dans le hangar de l’ancienne ferme Denecker<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Coord</ref>. Voué à la destruction pour la construction du « PAarc des Rives de l'Aa » la future base d’aviron, les gendarmes de Bourbourg y font des rondes régulièrement. Début 2008<ref>Modèle:Lien web.</ref>, pour assécher le flot des clandestins, l’État ferme l’aire de Saint-Georges-sur-l'Aa<ref>http://www.lejournaldesflandres.fr/actualite/Communaute_urbaine/Rives-de-l_Aa/2011/09/14/l-aire-de-st-georges-rouvrira-t-elle.shtml</ref>. L'expérience se révélant concluante, l’aire reste fermée. Lundi Modèle:Date-, un incendie détruit le hangar de la ferme Denecker<ref>Modèle:Lien web.</ref> qui est ensuite démolie.

Politique et administration

La ville est membre de la communauté urbaine de Dunkerque (Dunkerque grand littoral).

Rattachements administratifs et électoraux

Rattachements administratifs

La commune se trouve dans l'arrondissement de Dunkerque du département du Nord.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Gravelines<ref name="Cassini"/>. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Grande-Synthe Modèle:Article détaillé Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quatorzième circonscription du Nord. Modèle:Article détaillé

Intercommunalité

Saint-Georges-sur-l'Aa est membre depuis 1971 membre de la communauté urbaine de Dunkerque (anciennement Dunkerque Grand Littoral), un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1969 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires

Modèle:Article détaillé

Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu

Modèle:Élu

Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Équipements et services publics

En 2011, est inauguré le PAarc des Rives de l'Aa, une base de loisirs et de sports de plein air. Situé sur les communes de Gravelines et de Saint Georges sur l’Aa, il s'étend sur 175 hectares. Son stade nautique de dimension olympique (l2.Modèle:Dunité) permet d'accueillir des compétitions d'envergure régionale et nationale. .

Enseignement

En 2017, la commune dispose d'une école de deux classes scolarisant une quarantaine d'élèves<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Population et société

Démographie

Évolution démographique

Modèle:Population de France/section

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 40,1 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 15,4 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait Modèle:Nobr pour Modèle:Nobr, soit un taux de 50,82 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,23 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Modèle:Pyramide des âges communes de France

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Fichier:Saint-Georges-sur-l'Aa - Eglise.jpg
L'église

Modèle:…

  • Chapelle Sainte Philomène, édifiée en 1841 par la famille Louf. Son fronton est orné d’un panneau de dédicace à « Sainte Philomène spécialement honorée par les marins ». Elle est rénovée en 1995<ref>Modèle:Lien web.</ref>

Modèle:Article connexe

Personnalités liées à la commune

Modèle:…

Ammanie de Saint-Georges

Plusieurs seigneuries étaient situées totalement ou en partie sur Saint-Georges. Sont retranscrits ci-dessous les éléments relatifs à la principale d'entre elles<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

  • En 1458, Denys de Fiennes, écuyer, détient ce fief.
  • Lui succède Catherine de Fiennes, son héritière (probablement sa fille) épouse de Guy de Manchevillier, seigneur de Bavincourt.
  • Est ensuite retrouvée Jacqueline de Fiennes, femme (veuve) de Jean de Baincthun, seigneur de Henneval et Sainghen (Sanghen?), et épouse de Christophe d'Ailly, écuyer.
  • En 1559, la famille d'Ailly détient toujours cette seigneurie en la personne de Jean d'Ailly, écuyer, seigneur d'Oisy, époux d'Adriane.
  • Vient ensuite Louise d'Ailly ou sa sœur Antoinette d'Ailly, filles de Jean d'Ailly, épouse d'Henry de Fay, seigneur du Château Rouge.
  • À la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, nouvelle famille : le fief est possédé par Guilleyn de Brauwer, fils de Jean de Brauwer et de Marie de Wynckère.
  • À sa mort, son demi-frère, Guillaume Morael, détient l'ammanie. Guillaume est fils de Guillaume Morael et de Marie de Wynckère.
  • En 1634, Pierre Morael, seigneur de Backelroy, frère du précédent, devient amman de Saint-Georges.
  • En 1644, Jossyne Morael, fille de Pierre, épouse de Jacques de Barthem en hérite.
  • Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, nouvelle famille : en 1705, Guillaume Marcotte, négociant et échevin à Saint-Omer est le nouvel amman. Dans les années qui suivent par acquisition, il devient seigneur de Roquetoire, Serques, Ligne, Locre...Il a épousé Anne Isabelle Cochart.
  • Lui succède en 1732, sa veuve Anne Isabelle Cochart, puis leur fille Jeanne Françoise Valentine Marcotte d'Harlebeke (Harelbeke?).
  • En 1781, le fils et héritier de Jeanne, François Joseph Alexandre Bodhain, écuyer, seigneur d'Harlebeke, détient l'ammanie.

Héraldique

Modèle:Blason commune

Pour approfondir

Modèle:Autres projets

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Cartes

Modèle:Références

Références

Site de l'Insee

Modèle:Références

Autres sources

Modèle:Références

Modèle:Palette Modèle:Portail