Saint-Nom-la-Bretèche
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France
Saint-Nom-la-Bretèche est une commune française située dans le département des Yvelines en région Île-de-France.
Ses habitants sont appelés les Nonnais-Bretechois.
Géographie
Situation
La commune de Saint-Nom-la-Bretèche se trouve dans le grand Ouest parisien, dans le nord-est des Yvelines. Elle se situe à huit kilomètres environ au sud-ouest de Saint-Germain-en-Laye, chef-lieu d'arrondissement et à treize kilomètres environ au nord-ouest de Versailles, préfecture du département.
Hameaux et écarts
Le hameau de la Tuilerie-Bignon est partagé entre Saint-Nom-la-Bretèche, avec son golf, sa petite place Daniel-Dreyfus (ancien maire de la commune) et Noisy-le-Roi avec les numéros impairs de la rue du Maréchal-Ferrant<ref>Modèle:Article.</ref>.
Communes limitrophes
Sept communes sont limitrophes de Saint-Nom-la-Bretèche. Ce sont : Chambourcy au nord, Saint-Germain-en-Laye et L'Étang-la-Ville au nord-est, Noisy-le-Roi au sud-est, Villepreux au sud, Chavenay au sud-est et Feucherolles au nord-ouest.
Hydrographie
La commune de Saint-Nom-la-Bretèche appartient au bassin versant de la Seine. Il n'existe aucun cours d'eau permanent dans le territoire communal. Les eaux de ruissellement sont drainées vers le ru de Gally, ruisseau affluent de la Mauldre qui coule dans la commune voisine de Chavenay, à moins d'un kilomètre de la limite sud de la commune. La limite nord de la commune se trouve sensiblement sur la ligne de partage des eaux entre le ru de Gally au sud et le ru de Buzot, affluent de la Seine, au nord.
Relief et géologie
Saint-Nom-la-Bretèche est un village situé dans la plaine de Versailles, au nord du ru de Gally. Il est implanté dans un territoire assez vallonné, un tiers de sa superficie étant occupé, au nord et à l'est, par la forêt de Marly.
La forêt occupe le sommet d'une butte-témoin allongée, orientée selon la direction sud-est - nord-ouest, qui se prolonge vers l'ouest et vers l'est et culmine à Modèle:Unité d'altitude. Cette butte est constituée de sable et grès de Fontainebleau du Stampien (Oligocène), partiellement recouvert de meulière de Montmorency et par endroits de limon des plateaux, dépôt éolien de lœss du Quaternaire.
Entouré de terres agricoles, le village comprend des zones de bâti ancien auxquelles s'est ajouté un habitat récent à partir des années 1960.
Climat
Le climat de Saint-Nom la Bretèche est, comme celui des Yvelines, de type tempéré et soumis aux influences océaniques vers l'ouest. Les températures relevées sont généralement inférieures de deux degrés à celle de Paris. Modèle:Article détaillé
Transports en commun
La commune est desservie par les lignes 17, 17S, 41, 170, 171, 172, 511 et 512 de l'établissement Transdev d'Ecquevilly, par les lignes 23 et 27 de la société de transport CSO et par la ligne 45 du réseau de bus de Saint-Quentin-en-Yvelines.
Depuis le Modèle:Date-, un service de transport à la demande dénommé Flexigo est en place pour ses habitants, permettant la réservation de bus en direction des gares de l’intercommunalité. Celui-ci remplace les lignes régulières 42, 43 et 44 qui desservaient la gare de Saint-Nom-la-BretècheModèle:Référence nécessaire.
Urbanisme
Typologie
Saint-Nom-la-Bretèche est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Noisy-le-Roi, une agglomération intra-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, dont elle est ville-centre<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire regroupe Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).
Type d’occupation | Pourcentage | Superficie (en hectares) |
---|---|---|
Tissu urbain discontinu | 25,4 % | 300 |
Équipements sportifs et de loisirs | 9,0 % | 106 |
Terres arables hors périmètres d'irrigation | 26,5 % | 314 |
Forêts de feuillus | 39,1 % | 463 |
Source : Corine Land Cover<ref>Modèle:Lien web.</ref> |
Morphologie urbaine
Type d'occupation | Pourcentage | Superficie (en hectares) |
---|---|---|
Espace urbain construit | 19,2 % | 226,93 |
Espace urbain non construit | 15,3 % | 181,13 |
Espace rural | 65,5 % | 776,42 |
Source : Iaurif-MOS 2008 |
Le territoire communal est majoritairement rural, à 65,5 %, l'espace urbain construit occupant Modèle:Unité, soit 19,2 % du territoire total<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
L'espace rural se partage principalement entre bois et forêts sur Modèle:Unité (plus du tiers du territoire communal) et l'agriculture sur Modèle:Unité, soit 27,2 % du territoire dont la grande majorité (Modèle:Unité) en grandes cultures, céréales, colza, le reste comprenant des vergers et des cultures maraîchères. La partie boisée, qui se trouve dans le nord et l'est de la commune, appartient à la forêt de Marly, forêt domaniale qui couvre au total environ Modèle:Unité.
L'espace urbain ouvert, consacré aux parcs et jardins et terrains de sports, est relativement important avec Modèle:Unité, soit 15,3 % du territoire. Il consiste essentiellement en un terrain de golf, le golf de Saint-Nom-la-Bretèche, situé dans la pointe sud-est de la commune et empiétant marginalement sur la commune voisine de Villepreux.
La surface consacrée à l'habitat couvre Modèle:Unité (16,6 % de la superficie totale) et comprend essentiellement des habitations individuelles (Modèle:Unité), réparties dans des lotissements pavillonnaires. L'habitat collectif couvre environ six hectares, notamment dans le centre ancien.
Les activités économiques et commerciales occupent Modèle:Unité (soit 0,4 % du territoire total). Ces implantations sont consacrées pour un tiers à des bureaux.
Habitat
Le village est à dominante résidentielle. De nombreux promoteurs y ont construit des lotissements, principalement dans les parties est et sud-est de la commune.
Des maisons d'architectes plus imposantes se trouvent à l'ouest, au nord-ouest ainsi qu'autour du golf ; de nombreuses célébrités y ont élu domicile.
Logements<ref>Tableaux LOG T2 et LOG T7, Recensement général de la population 2015, document mentionné en liens externes.</ref> | Nombre en 2015 | % en 2015 | nombre en 2010 | % en 2010 |
---|---|---|---|---|
Total | 2.038 | 100 % | 1.999 | 100 % |
Résidences principales | 1.827 | 89,8 % | 1.821 | 91,1 % |
→ Dont HLM | 2 | 0,1 % | 1 | 0,1 % |
Résidences secondaires et logements occasionnels |
75 | 3,7 % | 69 | 3,5 % |
Logements vacants<ref group="Note">Les logements vacants comprennent notamment les logements neufs qui ne sont pas encore habités, ceux que leurs propriétaires laissent libres ou dans lesquels ils font réaliser des travaux, ou ceux qui sont libres entre deux ventes ou deux locations</ref> | 133 | 6,5 % | 109 | 5,5 % |
Dont : | ||||
→ maisons | 1.745 | 85,6 % | 1.719 | 86,0* % |
→ appartements | 269 | 13,2 % | 267 | 13,4 % |
Quinze logements sociaux sont livrés en juin 2017 par le bailleur SOGEMAC Habitat dans un programme de 67 logements comprenant des habitations individuelles et des habitations semi-collectives<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Infrastructures
La commune est traversée par deux routes importantes au niveau départemental :
- la route départementale 307, axée est-ouest, qui supporte un trafic journalier compris entre Modèle:Unité et Modèle:Unité<ref name="LP18042018"/>, mène vers l'est à Noisy-le-Roi puis Rocquencourt où se trouvent les accès aux autoroutes A13 et A12 et vers l'ouest à Crespières et la vallée de la Mauldre. La déviation qui évite le centre du bourg a été mise en service en Modèle:Date- et comprend des aménagements pour circulations douces<ref name="LP18042018">Modèle:Article.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
- la route départementale 98, axée nord-sud, qui mène vers le nord à Saint-Germain-en-Laye et vers le sud à l'agglomération des Clayes-sous-Bois-Plaisir. Cette dernière a été déviée par l'est pour éviter le centre de l'agglomération.
L'autoroute de Normandie traverse la partie nord-est de la commune, dans la forêt de Marly, sans échangeur dans la commune.
Aucune voie ferrée ne traverse la commune. La gare de Saint-Nom-la-Bretèche, desservie par la ligne L du Transilien (gare de Paris-Saint-Lazare) et depuis 2022 par la ligne 13 Express du tramway d'Île-de-France, est malgré son nom située dans la commune voisine de L'Étang-la-Ville, en pleine forêt.
Le sentier de grande randonnée GR 1 (tour de l’Île-de-France) traverse la partie boisée de la commune à l'extrème nord-est, de L'Étang-la-Ville au sud à Fourqueux au nord.
Toponymie
Le hameau principal était à l'origine appelé Breteschia en 1228<ref>Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Tome 3, page 1460.</ref>, ecclesia Sancti-Nummi de Bretis sive de Berthecia au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Bretesca, Breteschia, Sanctus Nonnius, Sanctus Nunnius<ref>Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.</ref>, Saint-Nonne au Val de GalieModèle:Référence nécessaire, du nom de la paroisse, puis Saint-Nom près de la BretescheModèle:Référence nécessaire, la Bretesche Saint-Nom<ref>Revue de l'histoire de Versailles et de Seine-et-Oise, Société des sciences morales, des lettres et des arts de Seine-et-Oise, Académie de Versailles, des Yvelines et de l'Ile-de-France, L. Bernard (Versailles), H. Champion (Paris), 1899-1976.</ref> et enfin « Saint-Nom-la-Bretèche » depuis la Révolution française.
Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement les noms de Union-la-Montagne<ref name=Cassini/> et de Union-la-Bretesche<ref> Modèle:Ouvrage.</ref>.
L'hagiotoponyme Saint-Nom-la-Bretèche tire son nom de celui d'un chorévêque des diocèses de Paris et Chartres au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, saint Nonne, qui a ré-évangélisé le pays après les invasions normandes. « Bretèche » provient de l'allemand breit eiche qui signifie « grand chêne », latinisé dans un premier temps en bretachiae : il s'agissait d'une fortification en bois (voir bretèche) qui protégeait un hameau à la bordure de la forêt de Cruye, appelée aujourd'hui « forêt de Marly ».
Histoire
Saint-Nom-la-Bretèche s'est constituée à partir de quatre hameaux, Saint-Nom, la Bretèche, Valmartin et la Tuilerie-Bignon, près de la forêt de Marly.
En avril 1420, Lyonnel de Bournonville devient seigneur de La Bretèche, seigneurie qui lui est donnée par le frère de sa femme, le maréchal Jean de Villiers de L'Isle-Adam. En 1429, ce même Lyonnel de Bournonville meurt en tentant de récupérer La Bretèche, qui lui avait été enlevée<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.
Rebâti au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle par la famille Pomereu, seigneur de la terre depuis 1534, le château fut remis au goût du jour au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle lorsque Louis-Alexandre de Bourbon, comte de Toulouse, fils légitimé de Louis XIV et de Modèle:Mme de Montespan s'en porta acquéreur en Modèle:Date-. Acquis en 1736 par Jean-Pierre Richard, receveur général des finances de la généralité de Tours, père de l’abbé Jean-Claude Richard de Saint-Non, le château fut alors remanié par l'architecte Jacques Hardouin-Mansart de Sagonne qui devait bâtir plus tard la cathédrale Saint-Louis de Versailles (1742-1754). On lui doit ainsi la modification de la distribution intérieure, le bel escalier de style rocaille, ainsi que plusieurs décors de boiseries et dessus-de-portes inspirés de son séjour en Italie. Revendu en 1749 par les héritiers de Richard à Jacques Frescot de Lanty, conseiller du roi au grand-conseil, le château revint finalement, en Modèle:Date-, à Louis XV qui souhaitait augmenter ses domaines de Versailles et de Marly. Le château et le domaine firent alors l'objet de relevés minutieux par le premier architecte du roi Ange-Jacques Gabriel. Propriété privée, le château ne se visite pas.
Durant le siège de Paris en 1870 le quartier général de la Modèle:5e de cavalerie prussienne fut installé à Saint-Nom.
Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle se sont développés de nombreux lotissements dont le nouveau hameau du vallon de Chavenay.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Antérieurement à la loi du Modèle:Date-<ref>Loi Modèle:N°64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF Modèle:N°162 du 12 juillet 1964, Modèle:P.6204–6209, fac-similé sur Légifrance.</ref>, la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département des Yvelines et à son arrondissement de Saint-Germain-en-Laye après un transfert administratif effectif au Modèle:Date-.
Pour l'élection des députés, la ville fait partie depuis 1988 de la troisième circonscription des Yvelines.
Elle faisait partie de 1801 à 1967 du canton de Marly-le-Roi. Lors de la mise en place des Yvelines, la commune devient en 1967 le chef-lieu du canton de Saint-Nom-la-Bretèche<ref name="Cassini"/>. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, Saint-Nom est désormais rattachée au canton de Verneuil-sur-Seine.
Intercommunalité
Saint-Nom-la-Bretèche, jusqu'alors membre d'aucune intercommunalité à fiscalité propre, a été intégrée en application de la loi de réforme des collectivités territoriales le Modèle:Date- à la communauté de communes Gally-Mauldre.
Tendances politiques et résultats
Modèle:Article connexe Modèle:…
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu
Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Jumelages
Modèle:Jumelage (avec Chavenay, Crespières et Feucherolles).
Population et société
Démographie
Évolution démographique
Modèle:Population de France/section
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 32,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 29,6 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait Modèle:Unité pour Modèle:Unité, soit un taux de 50,93 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,32 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Modèle:Pyramide des âges communes de France
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2011, le revenu fiscal médian par ménage était de Modèle:Euro, ce qui plaçait Saint-Nom-la-Bretèche au premier rang parmi les Modèle:Nombre de plus de Modèle:Nombre en métropole<ref> Modèle:Lien web.</ref>.
En 2011, 16 % des foyers fiscaux n'étaient pas imposables<ref group="Insee">REV T1 - Impôts sur le revenu des foyers fiscaux.</ref>.
Emploi
En 2011, la population âgée de 15 à Modèle:Nombre s'élevait à Modèle:Nombre, parmi lesquelles on comptait 65,7 % d'actifs dont 60,8 % ayant un emploi et 4,9 % de chômeurs<ref group="Insee">EMP T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité.</ref>.
On comptait Modèle:Nombre dans la zone d'emploi, contre 1 085 en 2006. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone d'emploi étant de 1 945, l'indicateur de concentration d'emploi est de 58,5 %, ce qui signifie que la zone d'emploi offre un peu plus d'un emploi pour deux habitants actifs<ref group="Insee">EMP T5 - Emploi et activité.</ref>.
Entreprises et commerces
Au Modèle:Date-, Saint-Nom-la-Bretèche comptait 535 établissements : 16 dans l’agriculture-sylviculture-pêche, 16 dans l'industrie, 24 dans la construction, 411 dans le commerce-transports-services divers et 68 étaient relatifs au secteur administratif<ref group="Insee" name="CEN T1">CEN T1 - Établissements actifs par secteur d'activité au 31 décembre 2011.</ref>.
Le golf de Saint-Nom-la-Bretèche revêt une place de premier ordre dans l'économie du villageModèle:Référence nécessaire.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Saint-Nom, des {{#switch: XVII
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}}, était à l'origine une tour de guet datant du milieu du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Elle a été souvent remaniée au cours des siècles et sa dernière restauration date des années 1980. Elle fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le Modèle:Date<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
- L'autel, aujourd'hui visible, provient de l'ancienne chapelle du château. Il est aussi l’œuvre de Jacques Hardouin-Mansart de Sagonne qui avait procédé en 1746-1747, à la demande de Jean-Pierre Richard, seigneur du lieu, à l'extension du chœur avec ses deux chapelles latérales, à la construction d'une nouvelle sacristie et à la décoration intérieure (vestiges). Mansart procéda également à la restauration de la ferme de Val-Martin.
- Le château de la Bretèche (aujourd'hui propriété privée) fut la propriété de la famille Pomereu puis de Louis Alexandre de Bourbon, comte de Toulouse, fils légitimé de Louis XIV et de la Montespan.
- Ferme du Val-Martin, maison des {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XVIe{{#if:| }} }} ou Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècles, ancienne dépendance de l'abbaye royale des Dames de Poissy : porte médiévale.
- Ferme de Saint-Nom, ancienne dépendance des moines de l'abbaye des Vaux-de-Cernay, restaurée et transformée en résidence.
- Hôtel de ville.
- Vestiges de l'ancien château de Montjoie dégagé par la société des amis du vieux Saint-Germain.
- Ruines du château de Joyenval.
- Porte de la Tuilerie des {{#switch: e
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| Modèle:S mini-{{#ifeq: e|-| – | e }}Modèle:S mini- siècleXIX
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| Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles
}}
}}, dite « pavillon de l'Arène » (maison forestière).
La commune héberge un terrain de golf<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Ouvrage.</ref>. Le Trophée Lancôme s'y est tenu chaque année en septembre, jusqu'en 2003 et le Vivendi Trophy s'y déroule tous les deux ans depuis 2008.
-
L'église, façade nord.
-
La mare dans le village (oies, héron cendré).
-
Le practice du golf.
-
Le monument aux morts.
-
Gare.
Personnalités liées à la commune
- Lyonnel de Bournonville (vers 1390-1429) devient seigneur de La Bretèche en 1420 et y meurt en 1429.
- Charles Letrosne (1868-1939), architecte, officier de la Légion d'honneur, y meurt le Modèle:Date-.
- Pierre Richard-Willm (1895-1983), acteur, possédait une résidence, « la Datcha », actuelle résidence du Parc, à Saint-Nom-la-Bretèche.
- Pierre-Yves Trémois (1921-2020), artiste français, y meurt le 16 août 2020.
- Michel Dureuil (1929-2011) fait de fréquents séjours dans la ville où réside son galeriste et marchand de tableaux et dirigeant de la galerie Van Ryck. (Van Der Vinck) au 60 boulevard Malesherbes à Paris.
Héraldique
Voir aussi
Bibliographie
- Philippe Cachau : Jacques Hardouin-Mansart de Sagonne, dernier des Mansart (1711-1778), thèse d'histoire de l'art, université Paris-I, 2004, t. I, Modèle:P. (Jean-Pierre Richard) et t. II, Modèle:P. (château et église).
- Modèle:Ouvrage.
- Modèle:Ouvrage.
- Modèle:Ouvrage.
- Modèle:Ouvrage.
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie
- Modèle:Site de l'Insee
- Modèle:Lien web.
- Les Amis de Saint-Nom-la-Bretèche (association d'histoire locale)
Notes et références
Notes
Références
Insee
- Dossier relatif à la commune, Modèle:Lire en ligne