Saint-Sauveur-sur-École
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France
Saint-Sauveur-sur-École est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France.
En Modèle:Population de France/dernière année, elle compte Modèle:Unité. Modèle:Sommaire
Géographie
Localisation
La commune de Saint-Sauveur-sur-École est située au sud-ouest du département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France<ref name="meta"/>, et au nord-est de la région naturelle le Gâtinais.
Elle se situe à Modèle:Unité par la route<ref group=Note>Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.</ref> de Melun<ref> Modèle:Lien web.</ref>, préfecture du département et à Modèle:Unité de Fontainebleau<ref> Modèle:Lien web.</ref>, sous-préfecture. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Paris<ref name="meta">Modèle:Lien web.</ref>.
Communes limitrophes
Les communes les plus proches<ref group=Note>Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.</ref> sont<ref>Modèle:Lien web.</ref> : Perthes (Modèle:Unité), Pringy (Modèle:Unité), Saint-Germain-sur-École (Modèle:Unité), Boissise-le-Roi (Modèle:Unité), Villiers-en-Bière (Modèle:Unité), Saint-Fargeau-Ponthierry (Modèle:Unité), Nainville-les-Roches (Modèle:Unité), Cély (Modèle:Unité).
Modèle:Section communes limitrophes d'article de commune de France
Géologie et relief
Le territoire de la commune se situe au nord de la plaine de la Bière qui constitue la partie nord-est de la région naturelle du Gâtinais et qui est délimitée au nord et à l'ouest par la rivière École ; à l'est, par la Seine et au sud par la forêt de Fontainebleau.
Géologiquement intégré au bassin parisien, qui est une région géologique sédimentaire, l'ensemble des terrains affleurants de la commune sont issus de l'ère géologique Cénozoïque (des périodes géologiques s'étageant du Paléogène au Quaternaire)<ref name="BRGM-carte"> Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="BRGM-notice"> Modèle:Lien web.</ref>.
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Carte du relief de Saint-Sauveur-sur-École. -
Carte géologique vectorisée et harmonisée de Saint-Sauveur-sur-École.
Ères | Périodes géologiques | Époques géologiques | Nature des sols | ||||||||||||||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Cénozoïque | Quaternaire | Holocène |
| ||||||||||||||||||
Pléistocène | |||||||||||||||||||||
Néogène | Pliocène | non présent. | |||||||||||||||||||
Miocène | non présent. | ||||||||||||||||||||
Paléogène | Oligocène |
| |||||||||||||||||||
Éocène |
| ||||||||||||||||||||
Paléocène | non présent. |
Hydrographie
Réseau hydrographique
Le réseau hydrographique de la commune se compose de trois cours d'eau référencés :
- la rivière l'Ècole, longue de Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre.</ref>, affluent de la Seine ;
- le cours d'eau 01 des Riberdouilles, Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre.</ref>, qui conflue avec l’École ;
- le fossé 01 des Petits Rousseaux, Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre.</ref>.
La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de Modèle:Unité<ref name="siges">Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 2 janvier 2019</ref>.
Gestion des cours d'eau
Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du Modèle:Date-, plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie<ref name="GestRiv">Modèle:Lien web.</ref>.
La commune fait partie du SAGE « Nappe de Beauce et milieux aquatiques associés », approuvé le Modèle:Date-. Le territoire de ce SAGE couvre deux régions, six départements et compte Modèle:Unité, pour une superficie de Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le Syndicat mixte du pays Beauce Gâtinais en Pithiverais, qualifié de « structure porteuse »<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Climat
Modèle:Encadré La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne<ref name=Joly>Modèle:Article.</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre<ref name=Joly/>. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>, où la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Unité pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref> à Modèle:Unité pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée<ref name="EspProtégés">Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Dans ce cadre, la commune fait partie d'un espace protégé, le Parc naturel régional du Gâtinais français, créé en 1999 et d'une superficie de Modèle:Unité. D’une grande richesse en termes d’habitats naturels, de flore et de faune, il est un maillon essentiel de l’Arc sud-francilien des continuités écologiques (notamment pour les espaces naturels ouverts et la circulation de la grande faune)<ref name="Parc-Gatinais">Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Deux autres espaces protégés sont présents dans la commune :
- la zone centrale de la réserve de biosphère « Fontainebleau et Gâtinais », créée en 1998 et d'une superficie totale de Modèle:Unité (Modèle:Unité pour la zone centrale). Cette réserve de biosphère, d'une grande biodiversité, comprend trois grands ensembles : une grande moitié ouest à dominante agricole, l’emblématique forêt de Fontainebleau au centre, et le Val de Seine à l’est. La structure de coordination est l'Association de la Réserve de biosphère de Fontainebleau et du Gâtinais, qui comprend un conseil scientifique et un Conseil Éducation, unique parmi les Réserves de biosphère françaises<ref name="MAB-Font">Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
- la zone de transition de la réserve de biosphère « Fontainebleau et Gâtinais », créée en 1998 et d'une superficie totale de Modèle:Unité (Modèle:Unité pour la zone de transition). Cette réserve de biosphère, d'une grande biodiversité, comprend trois grands ensembles : une grande moitié ouest à dominante agricole, l’emblématique forêt de Fontainebleau au centre, et le Val de Seine à l’est. La structure de coordination est l'Association de la Réserve de biosphère de Fontainebleau et du Gâtinais, qui comprend un conseil scientifique et un Conseil Éducation, unique parmi les Réserves de biosphère françaises<ref name="MAB-Font" />,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Urbanisme
Typologie
Saint-Sauveur-sur-École est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire regroupe Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62,82 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (57,67 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (57,15 %), forêts (25,04 %), zones urbanisées (12,15 %), zones agricoles hétérogènes (5,65 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web.</ref>.
Type d’occupation | 1990 | 2018 | Bilan | ||
---|---|---|---|---|---|
Territoires artificialisés (zones urbanisées, zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication, mines, décharges et chantiers, espaces verts artificialisés ou non agricoles) |
Modèle:Unité | 17,29 % | Modèle:Unité | 12,15 % | Modèle:Unité Modèle:Diminution |
Territoires agricoles (terres arables, cultures permanentes, prairies, zones agricoles hétérogènes) |
Modèle:Unité | 57,67 % | Modèle:Unité | 62,82 % | Modèle:Unité Modèle:Augmentation |
Forêts et milieux semi-naturels (forêts, milieux à végétation arbustive et/ou herbacée, espaces ouverts sans ou avec peu de végétation) |
Modèle:Unité | 25,04 % | Modèle:Unité | 25,04 % | Modèle:Unité Modèle:Stagnation |
Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
-
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune. -
Carte orhophotogrammétrique de la commune.
Planification
La loi SRU du Modèle:Date- a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de Modèle:Unité et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Fontainebleau et sa région, approuvé le Modèle:Date- et porté par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) de Fontainebleau et sa région<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web.</ref>.
La commune, en 2019, avait engagé l'élaboration d'un plan local d'urbanisme. Un plan local d'urbanisme intercommunal couvrant le territoire de la communauté de communes de la Bassée - Montois était en élaboration<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Lieux-dits et écarts
La commune compte Modèle:Nobr lieux-dits administratifs<ref group="Note">Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...</ref> répertoriés consultables ici<ref>Modèle:Lien web.</ref> dont Brinville, Étrelles.
Logement
En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de Modèle:Nombre dont 97,7 % de maisons et 1,7 % d’appartements.
Parmi ces logements, 90,1 % étaient des résidences principales, 5,1 % des résidences secondaires et 4,9 % des logements vacants.
La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 93,5 % contre 5,6 % de locataires<ref name="insee">Statistiques officielles de l'Insee.</ref> -<ref group="Note">En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.</ref>, et 0,9 % logés gratuitement.
Voies de communication et transports
Voies de communication
L'extrémité sud-ouest du territoire de la commune est traversé par l'autoroute A6. Celle-ci est accessible par l'échangeur entre la Modèle:Nobr et la route nationale 37, et par le diffuseur Modèle:N°13 (Cély), ces deux accès étant situés à environ Modèle:Unité au sud-ouest de Saint-Sauveur-sur-École.
Deux routes départementales relient la commune à ses voisines :
- la Modèle:Nobr, à Boissise-le-Roi, à l'est ; et à Perthes, au sud ;
- la Modèle:Nobr, à Pringy, au nord ; et à Perthes, au sud.
Transports
La commune est desservie par trois lignes du réseau de bus Fontainebleau - Moret (23, 112, 113) et la ligne V du réseau de bus Grand Melun.
Toponymie
Le nom de la localité est mentionné sous les formes Sanctus Salvator super Scolam en 1285<ref>Histor France, XXII, 655.</ref> ; Ecclesia parrochialis Sancti Salvatoris super Scolam en 1364<ref>Archives nationales, S 2110.</ref> ; Le moulin Saint Sauveur au-dessous du Pont aux moulins de Melun en 1605<ref>Archives de la Seine-et-Marne, E 1279.</ref> ; Le moulin de Saint Sauveur, rue de la rivière de Seine en 1646<ref>Archives de la Seine-et-Marne, E 237.</ref> ; Sainct Sauveur sur Escolles en 1669<ref>Archives nationales, Q1 1402.</ref>.
L'hagiotoponyme Saint-Sauveur est un nom de lieu qui tire son origine de l'attribut de sauveur du monde attaché à Jésus-Christ par les églises chrétiennes.
L'École est une rivière de la région et un affluent de la Seine.
Histoire
Politique et administration
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Politique environnementale
Équipements et services
Eau et assainissement
L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au Modèle:Date-, mais la loi Ferrand-Fesneau du Modèle:Date- a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au Modèle:Date-<ref name="EauAss">Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Assainissement des eaux usées
En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Saint-Sauveur-sur-École est assurée par la communauté d'agglomération du Pays de Fontainebleau (CAPF) pour la collecte, le transport et la dépollution<ref name=EaufranceCom>Modèle:Lien web.</ref>,<ref name=EaufranceCol>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel<ref name="ANC-Info">Modèle:Lien web.</ref>. Le Parc naturel régional du Gâtinais français assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations<ref name=EaufranceCom/>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Eau potable
En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la communauté d'agglomération du Pays de Fontainebleau (CAPF) qui en a délégué la gestion à une entreprise privée, dont le contrat expire le Modèle:Date-<ref name=EaufranceCom/>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Les nappes de Beauce et du Champigny sont classées en zone de répartition des eaux (ZRE), signifiant un déséquilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Le changement climatique est susceptible d’aggraver ce déséquilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie d’une distribution d’une eau de qualité en permanence sur le territoire du département, le troisième Plan départemental de l’eau signé, le Modèle:Date-, contient un plan d’actions afin d’assurer avec priorisation la sécurisation de l’alimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. À cette fin a été préparé et publié en décembre 2020 un schéma départemental d’alimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont définis. La commune fait partie du secteur Bière<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Population et société
Démographie
Modèle:Population de France/section
Manifestations culturelles et festivités
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2018, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de Modèle:Nombre, représentant Modèle:Nombre et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 31 980 euros<ref>Statistiques officielles de l'Insee, section «Revenus et pauvreté des ménages en 2018», consultée le 12 mai 2021.</ref>.
Emploi
En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de Modèle:Nombre, occupant Modèle:Nombre résidants. Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 69,8 % contre un taux de chômage de 4,8 %. Les 25,4 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 8,6 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 10,5 % de retraités ou préretraités et 6,3 % pour les autres inactifs<ref>Statistiques officielles de l'Insee, section «Population active, emploi et chômage au sens du recensement en 2017», consultée le 12 mai 2021.</ref>.
Secteurs d'activité
Entreprises et commerces
En 2019, le nombre d’unités légales et d’établissements (activités marchandes hors agriculture. ) par secteur d'activité était de Modèle:Nobr dont Modèle:Nobr dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, Modèle:Nobr dans la construction, Modèle:Nobr dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, Modèle:Nobr dans l’Information et communication, Modèle:Nobr dans les activités financières et d'assurance, Modèle:Nobr dans les activités immobilières, Modèle:Nobr dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, Modèle:Nobr dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et Modèle:Nobr étaient relatifs aux autres activités de services<ref>Statistiques officielles de l'Insee, section «Démographie des entreprises en 2019», consultée le 13 mai 2021.</ref>.
En 2020, Modèle:Nobr ont été créées sur le territoire de la commune, dont Modèle:Nobr individuelles.
Au Modèle:Date-, la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping<ref>Statistiques officielles de l'Insee, section «Tourisme en 2021», consultée le 13 mai 2021.</ref>.
Agriculture
Saint-Sauveur-sur-École est dans la petite région agricole dénommée le « Pays de Bière et Forêt de Fontainebleau », couvrant le Pays de Bière et la forêt de Fontainebleau<ref group=Carte>Modèle:PdfModèle:Lien web.</ref>. En 2010, l'orientation technico-économiqueModèle:Note de l'agriculture sur la commune est la polyculture et le polyélevage<ref name="AgriGéné">Modèle:Lien web.</ref>.
Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de Modèle:Unité par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Cette tendance n'est pas confirmée au niveau de la commune qui voit le nombre d'exploitations augmenter et passer de 7 en 1988 à 8 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de Modèle:Unité en 1988 à Modèle:Unité en 2010<ref name="AgriGéné"/>. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Saint-Sauveur-sur-École, observées sur une période de Modèle:Unité :
1988 | 2000 | 2010 | |
---|---|---|---|
Dimension économique<ref name="AgriGéné"/>,<ref group=Note>L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.</ref> | |||
Nombre d’exploitations (u) | 7 | 7 | 8 |
Travail (UTA) | 13 | 11 | 18 |
Surface agricole utilisée (ha) | 348 | 312 | 516 |
Cultures<ref name="Expl">Modèle:Lien web.</ref> | |||
Terres labourables (ha) | 333 | 306 | 496 |
Céréales (ha) | 225 | 207 | 308 |
dont blé tendre (ha) | 146 | 122 | 209 |
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) | 41 | s | s |
Tournesol (ha) | 42 | ||
Colza et navette (ha) | 36 | s | 85 |
Élevage<ref name="AgriGéné"/> | |||
Cheptel (UGBTA<ref group=Note>L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).</ref>) | 47 | 26 | 4 |
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Saint-Eutrope de Saint-Sauveur<ref group="Note">»La Base Palissy fait état de « église Saint-Germain-d'Auxerre » .</ref>, {{#switch: XVII
| e | er | = {{#switch: XVII
| e | er | = Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles
| Modèle:S mini-{{#ifeq: XVII|-| – | XVII }}Modèle:S mini- siècle{{{3}}}
}}
| {{#switch: et
| e | er | = Modèle:S mini-{{#ifeq: XVII|-| – | XVII }}Modèle:S mini- siècle
| Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles
}}
}}, auquel il convient d’ajouter le patrimoine mobilier classé suivant :
- Retable du maître-autel et trois tableaux : Ascension, Saint Vincent et Saint Eutrope (Chœur)<ref>Modèle:Base Palissy.</ref> ;
- Fragment de statue de la Trinité ou saint Pierre <ref>Modèle:Base Palissy.</ref> ;
- Reliquaire (Autel latéral sud de la nef)<ref>Modèle:Base Palissy.</ref> ;
- Crédence, console à quatre pieds, ornée de volutes et coquilles, dans le style rocaille propre au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle (Chœur)<ref>Modèle:Base Palissy.</ref> ;
- Tabernacle de l'autel latéral nord<ref>Modèle:Base Palissy.</ref> ;
- Tabernacle du maître-autel<ref>Modèle:Base Palissy.</ref> ;
- L'ancien moulin à eau de la Fosse, racheté par la commune en 2007, a été revendu en 2018.
La commune ne compte pas de monument répertorié à l'inventaire des monuments historiques (Base Mérimée).
Personnalités liées à la commune
- Marcel Arland écrivain, académicien, résidait à Brinville et y est mort en 1986.
Héraldique
Voir aussi
Bibliographie
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes