Pringy (Seine-et-Marne)

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}

Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France Pringy est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France. En Modèle:Population de France/dernière année, elle compte Modèle:Unité. Modèle:Sommaire

Géographie

Localisation

Fichier:77378-Pringy - Localisation.png
Localisation de Pringy dans le département de Seine-et-Marne.

La commune de Pringy est située au sud-ouest du département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France<ref name="meta"/>, et au nord-est de la région naturelle le Gâtinais.

Elle se situe à Modèle:Unité par la route<ref group=Note>La distance est mesurée entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluée à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.</ref> de Melun<ref> Modèle:Lien web.</ref>, préfecture du département. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Paris<ref name="meta">Modèle:Lien web.</ref>.

Communes limitrophes

Fichier:Map commune FR insee code 77378.png
Carte des communes limitrophes de Pringy.

Les communes les plus proches<ref group=Note>Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.</ref> sont<ref>Modèle:Lien web.</ref> : Boissise-le-Roi (Modèle:Unité), Saint-Fargeau-Ponthierry (Modèle:Unité), Boissise-la-Bertrand (Modèle:Unité), Saint-Sauveur-sur-École (Modèle:Unité), Boissettes (Modèle:Unité), Seine-Port (Modèle:Unité), Villiers-en-Bière (Modèle:Unité), Auvernaux (Modèle:Unité).

Modèle:Section communes limitrophes d'article de commune de France

Géologie et relief

Le territoire de la commune se situe dans la partie nord de la plaine de la Bière qui constitue la partie nord-est de la région naturelle du Gâtinais et qui est délimitée au nord et à l'ouest par la rivière École ; à l'est, par la Seine et au sud par la forêt de Fontainebleau.

Géologiquement intégré au bassin parisien, qui est une région géologique sédimentaire, l'ensemble des terrains affleurants de la commune sont issus de l'ère géologique Cénozoïque (des périodes géologiques s'étageant du Paléogène au Quaternaire)<ref name="BRGM-carte"> Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="BRGM-notice"> Modèle:Lien web.</ref>.

Géologie de la commune de Villiers-en-Bière selon l'échelle des temps géologiques<ref name="BRGM-carte" />,<ref name="BRGM-notice" />.
Ères Périodes géologiques Époques géologiques Nature des sols
Cénozoïque Quaternaire Holocène
Modèle:Carré couleur OE L : Limon lœssique.
Modèle:Carré couleur LP : Limon des plateaux de composition argilo-marneuse.
Modèle:Carré couleur Fz : Alluvions récentes : limons, argiles, sables, tourbes localement.
Modèle:Carré couleur Fx : Alluvions anciennes (moyenne terrasse de 10–20 m) : sables et graviers .
Pléistocène
Néogène Pliocène non présent.
Miocène non présent.
Paléogène Oligocène
Modèle:Carré couleur g1AR : Argile verte, Glaises à Cyrènes et/ou Marnes vertes et blanches (Argile verte de Romainville) .
Modèle:Carré couleur g1CB : Calcaire de Brie stampien et meulières plio-quaternaire indifférenciées.
Éocène
Modèle:Carré couleur e7C : Calcaire de Champigny, Calcaire de Château-Landon, Marnes de Nemours.
Modèle:Carré couleur e7MS : Marnes supragypseuses : Marnes blanches de Pantin Marnes bleues d'Argenteuil
Paléocène non présent.

Hydrographie

Réseau hydrographique

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Carte des réseaux hydrographique et routier de Pringy.

Le réseau hydrographique de la commune se compose d'un seul cours d'eau référencé : la rivière l’École<ref>Modèle:Sandre.</ref>, longue de Modèle:Unité, affluent de la Seine.

Sa longueur totale sur la commune est de Modèle:Unité<ref name="siges">Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 10 avril 2019</ref>.

Gestion des cours d'eau

Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du Modèle:Date-, plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie<ref name="GestRiv">Modèle:Lien web.</ref>.

La commune fait partie du SAGE « Nappe de Beauce et milieux aquatiques associés », approuvé le Modèle:Date-. Le territoire de ce SAGE couvre deux régions, six départements et compte Modèle:Unité, pour une superficie de Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le Syndicat mixte du pays Beauce Gâtinais en Pithiverais, qualifié de « structure porteuse »<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Climat

Modèle:Encadré La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne<ref name=Joly>Modèle:Article.</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre<ref name=Joly/>. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>, où la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Unité pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref> à Modèle:Unité pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Milieux naturels et biodiversité

Espaces protégés

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée<ref name="EspProtégés">Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Dans ce cadre, la commune fait partie d'un espace protégé, le Parc naturel régional du Gâtinais français, créé en 1999 et d'une superficie de Modèle:Unité. D’une grande richesse en termes d’habitats naturels, de flore et de faune, il est un maillon essentiel de l’Arc sud-francilien des continuités écologiques (notamment pour les espaces naturels ouverts et la circulation de la grande faune)<ref name="Parc-Gatinais">Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Un autre espace protégé est présent sur la commune :

  • la zone de transition de la réserve de biosphère « Fontainebleau et Gâtinais », créée en 1998 et d'une superficie totale de Modèle:Unité (Modèle:Unité pour la zone de transition). Cette réserve de biosphère, d'une grande biodiversité, comprend trois grands ensembles : une grande moitié ouest à dominante agricole, l’emblématique forêt de Fontainebleau au centre, et le Val de Seine à l’est. La structure de coordination est l'Association de la Réserve de biosphère de Fontainebleau et du Gâtinais, qui comprend un conseil scientifique et un Conseil Éducation, unique parmi les Réserves de biosphère françaises<ref name="MAB-Font">Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Urbanisme

Typologie

Pringy est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en Modèle:Date-, celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire regroupe Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (46,23 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (41,22 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (38,61 %), forêts (23,72 %), terres arables (17,99 %), prairies (12,06 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (7,6 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols en 1990 et 2018<ref name="CLC" />.
Type d’occupation 1990 2018 Bilan
Territoires artificialisés
(zones urbanisées, zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication, mines, décharges et chantiers, espaces verts artificialisés ou non agricoles)
Modèle:Unité 41,22 % Modèle:Unité 46,23 % Modèle:Unité Modèle:Augmentation
Territoires agricoles
(terres arables, cultures permanentes, prairies, zones agricoles hétérogènes)
Modèle:Unité 33,89 % Modèle:Unité 30,05 % Modèle:Unité Modèle:Diminution
Forêts et milieux semi-naturels
(forêts, milieux à végétation arbustive et/ou herbacée, espaces ouverts sans ou avec peu de végétation)
Modèle:Unité 24,88 % Modèle:Unité 23,72 % Modèle:Unité Modèle:Diminution

Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Planification

La loi SRU du Modèle:Date- a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de Modèle:Unité et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Région melunaise, dont l'élaboration a été engagée de 2013 à 2015, puis poursuivie à partir de 2017 sur un périmètre différent et porté par la communauté d'agglomération Melun Val de Seine<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme approuvé<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme<ref group= Carte name="Géoport">Modèle:Lien web.</ref>.

Lieux-dits et écarts

Fichier:77378-Pringy-Cadastre.png
Carte du cadastre de la commune de Pringy.

La commune compte Modèle:Nobr lieux-dits administratifs<ref group="Note">Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...</ref> répertoriés consultables ici<ref>Modèle:Lien web</ref> (source : le fichier Fantoir).

Logement

En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de Modèle:Nombre dont 66,2 % de maisons et 33,5 % d’appartements.

Parmi ces logements, 90,9 % étaient des résidences principales, 1,7 % des résidences secondaires et 7,4 % des logements vacants.

La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 72,3 % contre 26,4 % de locataires<ref name="insee">Statistiques officielles de l'Insee.</ref>, dont 8,4 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)<ref group="Note">Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).</ref> et 1,3 % logés gratuitement.

Voies de communication et transports

Voies de communication

Plusieurs routes départementales relient Pringy aux communes voisines :

  • la Modèle:Nobr (ancienne route nationale 7), à Saint-Fargeau-Ponthierry, au nord-ouest ; et à Boissises-le-Roi, au sud-est ;
  • la Modèle:Nobr, à Boissises-le-Roi, au sud-est ;
  • la Modèle:Nobr, à Saint-Fargeau-Ponthierry, au nord ; et à Saint-Sauveur-sur-École, au sud.

Transports

Fichier:Gare Ponthierry-Pringy IMG 1417.JPG
La gare de Ponthierry - Pringy.

Aucune gare ferroviaire n'est présente sur le territoire de la commune. Cependant, la gare de Ponthierry - Pringy, située à proximité (à Modèle:Unité au nord-est de Pringy) sur le territoire de Saint-Fargeau-Ponthierry, porte le nom de la commune en complément du nom du bourg de Ponthierry. La gare est desservie par les trains de la ligne D du RER qui assurent des liaisons cadencées entre les gares de Corbeil-Essonnes et de Melun.

La commune est desservie par plusieurs lignes de bus du réseau d'autobus d'Île-de-France :

Toponymie

Modèle:... Le nom de la localité est mentionné sous les formes « In pago Senonensi ecclesia et atrium de Pringi » en 1119<ref>Depoin, Saint-Martin-des-Champs, I, Modèle:P..</ref> ; Pringi en 1193<ref>Archives nationales, LL 1450a, fol. 49.</ref> ; Prugeium au {{#ifeq:s | s | Modèle:Siècle | XIIe{{#if:s| s }} }} siècle<ref>Poupardin, Saint-Germain-des-Prés, I, Modèle:P..</ref> ; Pringis en 1782<ref>Archives nationales, Q1 1405.</ref>.

Pringy viendrait de Pringiacum ou Premiacum, le suffixe -acum désignant le lieu, domaine d'un homme latin nommé Pringius<ref>Modèle:Lien web.</ref>, Primius, le « premier<ref>Paul Bailly, 1989, Toponymie en Seine-et-Marne, Modèle:ISBN.</ref>,<ref>Ernest Nègre - 1990 - Toponymie générale de la France - Page 581.</ref>, (l'ancien) ».

Histoire

En 1791, la paroisse de Montgermont, peu peuplée, est rattachée à celle de Pringy. Jusqu'au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, la commune de Pringy est composée d'un village sur le versant Est de la rivière École et des hameaux Ponthierry, Bel Air, Lourdeau, Montgermont. Montlouis est en ruines et Maison-Rouge a totalement disparu.

Politique et administration

Rattachements administratifs et électoraux

Rattachements administratifs

La commune se trouve dans l'arrondissement de Melun du département de la Seine-et-Marne.

Elle faisait partie de 1801 à 1975 du canton de Melun-Sud, année o^elle intègre le canton de Perthes<ref name="Cassini"/>. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Saint-Fargeau-Ponthierry Modèle:Article détaillé Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de Seine-et-Marne. Modèle:Article détaillé

Intercommunalité

Pringy était membre de la communauté de communes de Seine-École, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2001 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales<ref>Modèle:Article Modèle:Citation.</ref>.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de Modèle:Unité, cette intercommunalité a fusionné le Modèle:Date- au sein de sa voisine, la communauté d'agglomération Melun Val de Seine dont est désormais membre la commune.

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu

Modèle:Élu

Modèle:Élu

Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Distinctions et labels

Les actions de fleurissement de la commune ont été reconnues en 2022 par l'attribution d'une Première fleur au concours des villes et villages fleuris<ref>Modèle:Article.</ref>

Jumelages

Équipements et services

Eau et assainissement

L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au Modèle:Date-, mais la loi Ferrand-Fesneau du Modèle:Date- a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au Modèle:Date-<ref name="EauAss">Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Assainissement des eaux usées

En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Pringy est assurée par la communauté d'agglomération Melun Val de Seine (CAMVS) pour la collecte et . Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le Modèle:Date-<ref name=EaufranceCom>Modèle:Lien web.</ref>,<ref name=EaufranceCol>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel<ref name="ANC-Info">Modèle:Lien web.</ref>. Le Parc naturel régional du Gâtinais français assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations<ref name=EaufranceCom/>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Eau potable

En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la commune qui gère le service en régie<ref name=EaufranceCom/>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Population et société

Démographie

Modèle:Article connexe

Modèle:Population de France/section

Éducation

Plusieurs établissements scolaires existent à Pringy<ref>http://www.mairie-pringy77.fr/fr/rubrique/6/jeunesse</ref> :

  • l'école maternelle Charles Perrault
  • l'école élémentaire Jean de La Fontaine

Manifestations culturelles et festivités

  • Brocante dans le parc de la mairie durant le mois de juin.
  • Fête patronale le deuxième week-end du mois de septembre :
Lors de ce week-end, une fête foraine est installée sur le parking du foyer rural, et un spectacle pyrotechnique, son et lumière gratuit est produit dans le parc de la mairie. Ce spectacle, faisant appel à environ deux-cents figurants, réunit quelque dix-mille spectateurs<ref>

Modèle:Lien web.</ref>.

Économie

Agriculture

Pringy est dans la petite région agricole dénommée le « Pays de Bière et Forêt de Fontainebleau », couvrant le Pays de Bière et la forêt de Fontainebleau<ref group=Carte>Modèle:PdfModèle:Lien web.</ref>. En 2010, l'orientation technico-économiqueModèle:Note de l'agriculture sur la commune est diverses cultures (hors céréales et oléoprotéagineux, fleurs et fruits)<ref name="AgriGéné">Modèle:Lien web.</ref>.

Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de Modèle:Unité par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Cette tendance n'est pas confirmée au niveau de la commune qui voit le nombre d'exploitations augmenter et passer de 3 en 1988 à 4 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations diminue, passant de Modèle:Unité en 1988 à Modèle:Unité en 2010<ref name="AgriGéné"/>. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Pringy, observées sur une période de Modèle:Unité :

Évolution de l’agriculture à Pringy entre 1988 et 2010.
1988 2000 2010
Dimension économique<ref name="AgriGéné"/>,<ref group=Note>L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.</ref>
Nombre d’exploitations (u) 3 3 4
Travail (UTA) 8 10 12
Surface agricole utilisée (ha) 225 273 296
Cultures<ref name="Expl">Modèle:Lien web.</ref>
Terres labourables (ha) 225 240 251
Céréales (ha) 144 138 137
dont blé tendre (ha) 102 s s
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) s s s
Tournesol (ha) s
Colza et navette (ha) 45 s s
Élevage<ref name="AgriGéné"/>
Cheptel (UGBTA<ref group=Note>L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).</ref>) 34 97 102

Culture locale et patrimoine

L'église Notre-Dame.
L'église Notre-Dame.
Le château de Montgermont.
Le château de Montgermont.
Vestiges de l'église Notre-Dame de Corbeil.
Vestiges de l'église Notre-Dame de Corbeil.
Vestiges de l'église Notre-Dame de Corbeil : chapiteaux historiés.
Vestiges de l'église Notre-Dame de Corbeil : chapiteaux historiés.

Lieux et monuments

  • Le château de Montgermont, propriété d'une branche de la maison de Gontaut-Biron. Le château a été profondément remanié à la fin du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle et au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle pour les Gontaut-Biron afin de lui ôter son aspect féodal, puis à la fin du Modèle:S mini- pour la famille Poulain qui fait ajouter deux ailes en avancée et deux tours d'angle, l'une de forme ronde, l'autre de forme hexagonale. L'ensemble du bâtiment est exemplaire du style néo-Louis XIII, au même titre que le château de Courances. Le château est aujourd'hui divisé en plusieurs appartements(Modèle:Coord).
  • Le Temple d'Amour, construit en 1786 dans le parc du château de Montgermont par François Soufflot le Romain pour la marquise de Gontaut-Biron, alors retenue à Parme par une forte fièvre, à l'initiative de ses amis (Modèle:Coord).
  • Vestiges de l'église Notre-Dame de Corbeil Modèle:Classé MH, vendus en 1814 par la municipalité de Corbeil-Essonnes, rachetés en 1823 par Charles de Gontaut-Biron et installés dans le parc de Montgermont dans une mise en scène romantique. Ces vestiges comportent une travée de la nef, un encadrement sculpté de fenêtre et l'un des piédroits du portail comprenant une colonne torse et quatre chapiteaux historiés (Modèle:Coord).
  • Parc de la Mairie : La mairie est une maison bourgeoise dominant un parc de Modèle:Unité. La municipalité a la volonté de garder ce parc au milieu de la ville. Ce parc est composé d'une partie dégagée et en pente partant de la mairie vers la rivière École, aujourd'hui utilisée pour accueillir les spectateurs du spectacle pyrotechnique de la fête patronale, d'une clairière plate comprenant un kiosque accueillant aujourd'hui les figurants du spectacle et les stands de la brocante. Le reste du parc est composé de bois<ref>

Modèle:Lien web.</ref>.

On ne sait pas précisément quand elle a été construite, mais on sait qu'elle existait en 1096<ref name="Sauret" />.
Son clocher abrite la cloche baptisée en 1663 Françoise Denise. Une seconde cloche baptisée Marie Catherine en 1740 a été fondue pendant la Révolution. Son horloge date de 1862<ref name="Sauret">Alain Sauret, document mentionné en bibliographie.</ref>.
L'église fut restaurée en 1866 grâce à la générosité de Louis Martin Lebeuf<ref name="Sauret" />.

Héraldique

Modèle:Blason-ville-fr

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Liens

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes

Modèle:Références

  • Cartes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références nombreuses

Modèle:Palette Modèle:Portail