Saint-Sauveur (Haute-Garonne)

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France Saint-Sauveur est une commune française située dans le nord du département de la Haute-Garonne en région Occitanie.

Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Frontonnais, un pays entre Garonne et Tarn constitué d'une succession de terrasses caillouteuses qui ont donné naissance à de riches terroirs, réputés pour leus vins et leurs fruits. Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Girou, l'Hers-Mort et par divers autres petits cours d'eau.

Saint-Sauveur est une commune urbaine qui compte Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est dans l'agglomération toulousaine et fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Saint-Salvadoriens ou Saint-Salvadoriennes.

Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : l'église Saint-Sauveur de Saint-Sauveur, classée en 1992.

Modèle:Sommaire

Géographie

Localisation

Modèle:Cartes interactive et OpenStreetMap/Haute-Garonne

La commune de Saint-Sauveur se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie<ref group=I name=meta>Modèle:Lien web.</ref>.

Elle se situe à Modèle:Unité à vol d'oiseau de Toulouse<ref>Modèle:Lien web.</ref>, préfecture du département, et à Modèle:Unité de Villemur-sur-Tarn<ref> Modèle:Lien web.</ref>, bureau centralisateur du canton de Villemur-sur-Tarn dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales<ref name=meta group=I/>. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Toulouse<ref name=meta group=I/>.

Les communes les plus proches<ref group=Note>Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.</ref> sont<ref>Modèle:Lien web.</ref> : Cépet (Modèle:Unité), Saint-Jory (Modèle:Unité), Bruguières (Modèle:Unité), Villeneuve-lès-Bouloc (Modèle:Unité), Bouloc (Modèle:Unité), Gratentour (Modèle:Unité), Lespinasse (Modèle:Unité), Castelnau-d'Estrétefonds (Modèle:Unité).

Sur le plan historique et culturel, Saint-Sauveur fait partie du Frontonnais, un pays entre Garonne et Tarn constitué d'une succession de terrasses caillouteuses qui ont donné naissance à de riches terroirs, réputés pour leurs vins et leurs fruits<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Saint-Sauveur est limitrophe de cinq autres communes. Modèle:Carte communes limitrophes

Modèle:Communes limitrophes

Géologie et relief

La superficie de la commune est de Modèle:Unité ; son altitude varie de Modèle:Unité/2<ref>Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, Modèle:Lire en ligne.</ref>.

Hydrographie

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Saint-Sauveur.

La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est drainée par le Girou, l'Hers-Mort, le ruisseau de Nalbèze et par deux petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail</ref>.

Le Girou, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Puylaurens (81) et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Hers-Mort à Saint-Jory, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre</ref>.

L'Hers-Mort, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Laurac (11) et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Grenade, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre</ref>.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000<ref name=Joly/>

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 1,7 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 9,6 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitation : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,2 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,7 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Villematier », sur la commune de Villematier, mise en service en 1994<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Toulouse-Blagnac », sur la commune de Blagnac, mise en service en 1947 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Milieux naturels et biodiversité

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Urbanisme

Typologie

Saint-Sauveur est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Toulouse, une agglomération inter-départementale regroupant Modèle:Unité<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Toulouse est la cinquième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence et Lille (partie française)<ref group=I name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en Modèle:Date- celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de Modèle:Unité ou plus (hors Paris)<ref group=I name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (89,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (56,6 %), zones urbanisées (21,8 %), zones agricoles hétérogènes (11,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (7,2 %), forêts (3 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports

Voies de communication

Accès par l'autoroute française A62 sortie Modèle:Sortie (Eurocentre) par l'ancienne route nationale 20.

Transports

La ligne 329 du réseau Arc-en-Ciel relie la commune à la station Borderouge du métro de Toulouse depuis Villeneuve-lès-Bouloc et la ligne 351 relie la commune à la gare routière de Toulouse depuis Villemur-sur-Tarn.

Risques majeurs

Le territoire de la commune de Saint-Sauveur est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Risques naturels

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Girou. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2009<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>.

Fichier:31516-Saint-Sauveur-argile.jpg
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Sauveur.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.</ref>. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (88,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 647 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 98 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune<ref name="ECS">Modèle:Lien web</ref>.

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1993, 2003, 2006, 2011, 2012, 2015, 2016, 2017 et 2020 et par des mouvements de terrain en 1999<ref name=Géorisques/>.

Risques technologiques

La commune est en outre située en aval du barrage de l'Estrade sur la Ganguise (département de l'Aude). À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque rupture de barrage.</ref>.

Histoire

Fichier:Météorite de Saint Sauveur MHNT1.jpg
Chondrite EH5 dit de Saint-Sauveur – Muséum de Toulouse

C’est en pleine période des guerres civiles que les seigneuries de Villaudric et de Saint-Sauveur s’allièrent entre elles, par le mariage de Gui de Babut de « San-Salbadou » avec demoiselle de Séguier de Villaudric, en 1605.

Soixante ans après, Guillaume Lacger de Babut. et ses trois fils Jacques, Pierre et François furent maintenus dans leur noblesse en vertu du capitoulat de leurs ancêtres, le Modèle:Date-, par M. de Bezons, intendant de Languedoc. Les Babut, seigneurs de La Pointe, furent également maintenus dans leur noblesse par M. le Pelletier, intendant de Montauban, le Modèle:Date- et, plus tard, par l’intendant Langeois, le Modèle:Date-.

Par la suite, Jean de Babut, ancien capitaine au régiment de l’Angoumois, dénombra ses fiefs le Modèle:Date-, et Joseph de Babut, seigneur de Roqueserrière, en fit autant pour les siens devant les capitouls de Toulouse, le Modèle:Date-.

Le registre de la confrérie de Saint-Guillaume fournit quelques détails sur cette famille seigneuriale. En 1616, Jacquette et Marguerite de Babut sont enrôlées dans la « confrérie de Saint-Guillaume ». En 1669, Modèle:Mlle de Paucy, femme de Bahut, seigneur de Saint-Sauveur, fait partie de la confrérie et est alliée avec les seigneurs de Paucy de Villaudric.

En Modèle:Date-, chute de la météorite de Saint-Sauveur, dans le champ de M. Esculié qui en fit don au Muséum de Toulouse<ref>R. Mathieu & G. Fleury Bull. Soc. Nat. Toulouse, 174, 2011, 77-85</ref>.

Héraldique

Modèle:Blason-ville-fr

Politique et administration

Administration municipale

Le nombre d'habitants au recensement de 2017 étant compris entre Modèle:Unité et Modèle:Unité, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2020 est de dix-neuf<ref>Modèle:Légifrance.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Rattachements administratifs et électoraux

Commune faisant partie de la cinquième circonscription de la Haute-Garonne de la communauté de communes du Frontonnais et du canton de Villemur-sur-Tarn (avant le redécoupage départemental de 2014, Saint-Sauveur faisait partie de l'ex-canton de Fronton).

Tendances politiques et résultats

Modèle:Article détaillé

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel |- |colspan="5" align="center" bgcolor="#f3fff3" | Modèle:Boîte déroulante/début Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluFinModèle:Boîte déroulante/fin Modèle:ÉluFin

Population et société

Démographie

Modèle:Population de France/section

Enseignement

Saint-Sauveur fait partie de l'académie de Toulouse.

Santé

Culture et festivité

Sports

Écologie et recyclage

La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté de communes du Frontonnais<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Économie

Revenus

En 2018 (données Insee publiées en Modèle:Date-), la commune compte Modèle:Unité fiscaux<ref group=Note>Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.</ref>, regroupant Modèle:Nombre. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de Modèle:Unité<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> (Modèle:Unité dans le département<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>).

Emploi

Modèle:Tableau En 2018, la population âgée de Modèle:Unité s'élève à Modèle:Nombre, parmi lesquelles on compte 79,1 % d'actifs (70,8 % ayant un emploi et 8,4 % de chômeurs) et 20,9 % d'inactifs<ref group=Note>Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.</ref>,<ref name=EmpT1C group=I />. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des Modèle:Nobr est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Elle compte Modèle:Unité en 2018, contre 930 en 2013 et 887 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 781, soit un indicateur de concentration d'emploi de 129,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 61,5 %<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Sur ces 781 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 121 travaillent dans la commune, soit 16 % des habitants<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Pour se rendre au travail, 92,6 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,8 % les transports en commun, 1,9 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,7 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Activités hors agriculture

Secteurs d'activités

199 établissements<ref group=Note>L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.</ref> sont implantés à Saint-Sauveur au Modèle:Date-. Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département<ref group=Note>Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 199 100 % (100 %)
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
9 4,5 % (5,7 %)
Construction 52 26,1 % (12 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
58 29,1 % (25,9 %)
Information et communication 6 3 % (4,1 %)
Activités financières et d'assurance 5 2,5 % (3,8 %)
Activités immobilières 3 1,5 % (4,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
33 16,6 % (19,8 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
22 11,1 % (16,6 %)
Autres activités de services 11 5,5 % (7,9 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 29,1 % du nombre total d'établissements de la commune (58 sur les 199 entreprises implantées à Saint-Sauveur), contre 25,9 % au niveau départemental<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Entreprises et commerces

Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont<ref>Modèle:Lien web.</ref> :

  • Syngenta France SAS, recherche-développement en biotechnologie (Modèle:Unité)
  • Transports Locations Courcelle, transports routiers de fret de proximité (Modèle:Unité)
  • SDTL, transports routiers de fret interurbains (Modèle:Unité)
  • Cassin TP Voirie Bâtiment Terrassement, travaux de terrassement courants et travaux préparatoires (Modèle:Unité)
  • Guima Sud Ouest, fabrication de carrosseries et remorques (Modèle:Unité)

Avec deux petites zones industrielles, la commune de Saint Sauveur est le troisième pilier économique de la communauté de communes du Frontonnais. En 2014 la commune comptait plus de 200 établissements actif pour, environ, 900 emplois.

Agriculture

Modèle:Tableau La commune est dans le Lauragais, une petite région agricole occupant le nord-est du département de la Haute-Garonne, dont les coteaux portent des grandes cultures en sec avec une dominante blé dur et tournesol<ref>Modèle:Lien web.</ref>. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture<ref group=Note>L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.</ref> sur la commune est la culture de céréales et/ou d'oléoprotéagineuses<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. Quatre exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020Modèle:Note (18 en 1988). La superficie agricole utilisée est de Modèle:Unité<ref name=Agreste>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

L'édifice date de 1127. Le comte de Toulouse l'a donné à l'abbaye de Saint-Sernin, qui la comprenait encore dans sa juridiction à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. C'est un édifice à nef unique, chevet semi-circulaire, et deux chapelles latérales. Clocher à arcades sur la façade ouest (cinq arcades sur trois niveaux). Les décors intérieurs datent Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Elle est inscrite à l'inventaire des monuments historiques depuis 1979<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Personnalités liées à la commune

Charles Mouly y a résidé une dizaine d'années. L'école publique du village a été baptisée à son nom.

Pour approfondir

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Autres projets

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes

Modèle:Références

  • Cartes

Modèle:Références

Références

Site de l'Insee

Modèle:Références

Autres sources

Modèle:Références

Modèle:Palette Modèle:Portail