Sainte-Cécile-d'Andorge
Modèle:À sourcer Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France
Sainte-Cécile-d'Andorge est une commune française située dans le nord du département du Gard en région Occitanie.
Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Gardon d'Alès et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans les Cévennes, la commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Sainte-Cécile-d'Andorge est une commune rurale qui compte Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, après avoir connu un pic de population de Modèle:Unité en 1866. Elle est dans l'unité urbaine de La Grand-Combe et fait partie de l'aire d'attraction d'Alès. Ses habitants sont appelés les Sainte-Céciliens ou Sainte-Céciliennes.
Géographie
Localisation
Sainte-Cécile-d'Andorge est une commune située dans le nord-ouest du Gard, et elle est limitrophe de la Lozère.
Elle est située au nord de l'ancienne ville minière de La Grand-Combe dans la Vallée Longue.
Communes limitrophes
Sainte-Cécile-d'Andorge est limitrophe des communes suivantes :
Hydrographie
L'Andorge arrose l'ouest de la commune et fait la limite départementale.
Le Gardon d'Alès, dont les sources sont en Lozère et qui s'achève dans la plaine d'Alès, arrose la commune et coule dans la Vallée longue.
Deux barrages y ont été construits : le barrage de Sainte Cécile en 1967 pour lutter contre les crues naturelles jugées dévastatrices, en amont du barrage des Camboux construit lui en 1957 afin d'alimenter en eau la centrale thermique du Fesc, qui alimentait elle-même en énergie les puits des mines de La Grand-Combe.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant<ref name=Joly/>.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Génolhac », sur la commune de Génolhac, mise en service en 1974<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Lanas Syn », sur la commune de Lanas, dans le département de l'Ardèche, mise en service en 1990 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>. Dans ce cadre, la commune fait partie de l'aire d'adhésion du Parc national des Cévennes<ref group=Note>La réglementation dans la zone périphérique du parc, dite zone d'adhésion, est plus souple, afin bénéficier d'investissements d'ordres économique, social et culturel afin de freiner l'exode rural et de développer l'équipement touristique de la région.</ref>. Ce parc national, créé en 1967, est un territoire de moyenne montagne formé de cinq entités géographiques : le massif de l'Aigoual, le causse Méjean avec les gorges du Tarn et de la Jonte, le mont Lozère, les vallées cévenoles ainsi que le piémont cévenol<ref>Modèle:Lien web</ref>.
La commune fait partie de la zone de transition des Cévennes, un territoire d'une superficie de Modèle:Unité reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en 1985 pour la mosaïque de milieux naturels qui la composent et qui abritent une biodiversité exceptionnelle, avec Modèle:Unité animales, Modèle:Unité de plantes à fleurs et de fougères, auxquelles s’ajoutent d’innombrables mousses, lichens, champignons<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.</ref> est recensée sur la commune<ref name=INPN1>Modèle:Lien web.</ref> : le « Gardon d'Alès à la Grand-Combe » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité dont 7 dans le Gard et 1 dans la Lozère<ref>Modèle:Lien web.</ref> et une ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.</ref>,<ref name=INPN1/> : les « Hautes vallées des Gardons » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité dont 27 dans le Gard et 21 dans la Lozère<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
- Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Sainte-Cécile-d'Andorge.
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Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
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Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Sainte-Cécile-d'Andorge est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I >Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de La Grand-Combe, une agglomération intra-départementale regroupant Modèle:Unité<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est une commune de la banlieue<ref group=I name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Alès, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en Modèle:Date- celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de Modèle:Unité<ref group=I name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (95,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (97,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (93,6 %), zones urbanisées (1,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,9 %), zones agricoles hétérogènes (1,5 %), eaux continentales<ref group="Note">Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.</ref> (0,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,2 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Sainte-Cécile-d'Andorge est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Risques naturels
La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) d'Alès, regroupant Modèle:Nobr autour d'Alès, un des Modèle:Nobr qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Rhône-Méditerranée<ref>Modèle:Lien web</ref>, retenu au regard des risques de débordements de la Cèze et des Gardons. Parmi les dernières crues significatives qui ont touché le territoire figurent celles de 1958 et de septembre 2002. Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de Modèle:Nobr à Modèle:Nobr), moyen (temps de retour de Modèle:Nobr à Modèle:Nobr) et extrême (temps de retour de l'ordre de Modèle:Unité, qui met en défaut tout système de protection)<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1992, 1995, 2008, 2011 et 2015<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>.
La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.</ref>. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 8,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 45 sont en aléa moyen ou fort, soit 15 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune<ref name="ECS">Modèle:Lien web</ref>.
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1983<ref name=Géorisques/>.
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à Modèle:Unité, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque transport de matières dangereuses.</ref>.
La commune est en outre située en aval du barrage de Sainte-Cécile-d'Andorge, un ouvrage de classe AModèle:Note doté d'un PPI. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque rupture de barrage.</ref>.
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Sainte-Cécile-d'Andorge est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Toponymie
Histoire
La commune compte quelques vestiges préhistoriques sous forme de tumuli et de gravures préhistoriques notamment au hameau des Ponchets.
La commune avec son habitat dispersé datant du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle et ses mas en schiste est encore préservée de l'urbanisation. Le clocher à tour de son église date du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle Modèle:Référence souhaitée.
Cette commune située en pays protestant est restée fidèle au catholicisme durant la guerre des Camisards (1702 - 1705), ce qui lui a valu un épisode tragique. Le Modèle:Date- le village de Sainte-Cécile-d’Andorge et celui de Saint-Julien-des-Points sont incendiés par Rolland et Jouanny : 800 à 900 camisards se vengent contre le village papiste de Sainte-Cécile-d’Andorge épargné par la dévastation des Hautes Cévennes le mois précédent. Les habitants se réfugient dans leur église transformée en forteresse. Neuf habitants qui n’ont pu atteindre à temps l’église sont tués, les autres seront sauvés. Quelques jours plus tard, l'abbé Vidal, curé de Sainte-Cécile mènera une expédition punitive et meurtrière contre la paroisse voisine de Blannaves entièrement réformée. L'historien Robert Sauzet relate ces évènements dans un ouvrage qui fait place à la minorité religieuse des catholiques intitulée LES CÉVENNES CATHOLIQUES. Histoire d'une fidélité. XVIe-XXe siècle''
Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement le nom de Andorge-le-Gardon<ref name=Cassini/>.
Durant la révolution industrielle, la commune profite du voisinage de deux compagnies houillères importantes, la Compagnie de Portes et Sénéchas, et celle de la Grand-Combe<ref>ARCHIVES NATIONALES – Paris F/12/6728 à 6832, F/12/13136 et 13137et F/14/8229 à 8234 : Compagnie des mines de la Grande-Combe (1854-1859). Soc. an. de l’éclairage au gaz, des hauts fourneaux de Marseille et des mines de Portes et Sénéchas (1855-1860)</ref>. Plusieurs chemins de fer vont la traverser (et la désenclaver) dont celui de Paulin Talabot : le PLM, future ligne des Cévennes, passe en effet dès 1867 dans la commune dont la gare accueille durant leurs excursions cévenoles deux amoureux célèbres, Simone de Beauvoir et Jean-Paul Sartre comme le raconte la première dans les mémoires d'une jeune fille rangée.
Aujourd'hui la commune qui compte près de 560 habitants contre 470 il y a vingt ans, s'est tournée résolument vers le tourisme. Elle participe à la restauration partielle d'un autre chemin de fer, l'ancien CFD qui reliait Sainte-Cécile-d'Andorge à Florac (1909-1968) au sein d'une association intercommunale "le TAC" (train de l'Andorge en Cévennes) et de la future voie verte appelée dans un premier temps "Transcévenole" puis maintenant "Ligne verte".
Un chemin de fer atypique traverse aussi le territoire de la commune. Les plans inclinés de Portes et Sénéchas qui reliaient les mines de La Vernarède à la gare terminus de la Levade, à La Grand-Combe, furent construits en 1859 par le financier Jules Mirès (1809-1871) alors propriétaire de la Compagnie de Portes. Ce roulage minier qui fonctionna de 1859 à 1867 utilisait la gravité. Dans le système "bis automoteur" conçu et développé par l'ingénieur Paul-Adrien Bourdaloue dans la région de La Grand-Combe, les wagons pleins qui descendent font remonter les wagons vides grâce à un système de câbles. Ainsi étaient en partie solutionnées les difficultés de transport liées au relief cévenol<ref>Les plans inclinés des Pinèdes par Laurent Aiglon, éditions Cévennes magazine, numéros 1065-1036, 2000</ref>.
La municipalité a fait restaurer en 2003-2004 les ouvrages d'art qui composaient ce système original et en a fait des sentiers de randonnée (la tour des Pinèdes et la tour du Simonet). La tour du Simonet accueille des expositions temporaires sous le nom d'écogalerie d'art du Simonet.
Les habitants de Sainte-Cécile-d'Andorge portent le sobriquet collectif de "cambaluts", en occitan "ceux qui ont de longues jambes". Ces derniers auraient en effet développé une agilité particulière en raison du relief accidenté et des nombreux cours d'eau qu'ils devaient souvent franchir à gué<ref>André Bernardy, éditions ateliers Henri Peladan, Uzès,1962</ref>.
Héraldique
Politique et administration
Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Démographie
Modèle:Population de France/section
Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en Modèle:Date-), la commune compte Modèle:Unité fiscaux<ref group=Note>Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.</ref>, regroupant Modèle:Nombre. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de Modèle:Unité<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> (Modèle:Unité dans le département<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>).
Emploi
Modèle:Tableau En 2018, la population âgée de Modèle:Unité s'élève à Modèle:Nombre, parmi lesquelles on compte 69,7 % d'actifs (57,4 % ayant un emploi et 12,3 % de chômeurs) et 30,3 % d'inactifs<ref group=Note>Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.</ref>,<ref name=EmpT1C group=I />. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des Modèle:Nobr est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Alès, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Elle compte Modèle:Unité en 2018, contre 58 en 2013 et 51 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 211, soit un indicateur de concentration d'emploi de 27,5 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 51,5 %<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Sur ces 211 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 48 travaillent dans la commune, soit 23 % des habitants<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Pour se rendre au travail, 90,8 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2 % les transports en commun, 3,3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Activités hors agriculture
29 établissements<ref group=Note>L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.</ref> sont implantés à Sainte-Cécile-d'Andorge au Modèle:Date-. Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département<ref group=Note>Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 37,9 % du nombre total d'établissements de la commune (11 sur les 29 entreprises implantées à Sainte-Cécile-d'Andorge), contre 30 % au niveau départemental<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Agriculture
Modèle:Tableau La commune est dans les Cévennes, une petite région agricole occupant l'ouest du département du Gard<ref>Modèle:Lien web.</ref>. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture<ref group=Note>L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.</ref> sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>. Trois exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020Modèle:Note (22 en 1988). La superficie agricole utilisée est de Modèle:Unité<ref name=Agreste>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
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Gardon d'Alès près de Sainte-Cécile-d'Andorge
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Viaduc sur l'Andorge
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Le lac de Sainte-Cécile-d'Andorge
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Église Sainte-Cécile de Sainte-Cécile-d'Andorge
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La statue de Notre-Dame de Lourdes
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Sainte-Cécile-d'Andorge sur le Geoportail de l'Institut géographique national
- Sainte-Cécile-d'Andorge sur le site de l'Insee
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes