Union démocratique du centre

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L'Union démocratique du centre (Modèle:En lang, SVP<ref group="Note" name="tradlitt"/>, Modèle:En lang, UDC et Modèle:En lang, PPS<ref name="tradlitt" group="Note" />) est un parti politique suisse conservateur, nationaliste et populiste, classé de la droite<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref> à l'extrême droite<ref name="Deleplace p321">Modèle:Ouvrage.</ref>,<ref name="Prévost p11">Modèle:Ouvrage.</ref>,<ref name="Blaise Moreau 2004">Pierre Blaise et Patrick Moreau (dir.), « Suisse » et « UDC » Extrême droite et national-populisme en Europe de l'Ouest: analyse par pays et approches transversales, CRISP, Belgique, 2004</ref>,<ref name="Burger et al 2006">Modèle:Article.</ref>.

Il se positionne comme le plus à droite de tous les partis représentés au gouvernement. Il est le parti le plus représenté au Conseil national, avec plus du quart des sièges, et dispose également de six conseillers aux États sur quarante-six. Il possède un conseiller fédéral de 1971 à 2003 puis deux élus jusqu'en 2008, lorsque Eveline Widmer-Schlumpf<ref name="Wid" group="Note">Le Modèle:Date-, la section grisonne de l'UDC, dont Eveline Widmer-Schlumpf est membre, est exclue de l'UDC suisse. Le Modèle:Date-, les délégués de la section décident de changer de nom pour prendre celui de Bürgerliche Partei Schweiz, formant ainsi la première section de ce qui devrait devenir le Bürgerlich-Demokratische Partei Schweiz.
Modèle:Lien web </ref> et Samuel Schmid<ref name="Sam" group="Note">Le Modèle:Date-, 225 délégués de la section bernoise de l'UDC, dont Samuel Schmid est membre, décident de faire scission pour former le Bürgerlich-Demokratische Partei, formant ainsi la seconde section après celle des Grisons de ce qui devrait devenir le Bürgerlich-Demokratische Partei Schweiz. Samuel Schmid confirme dans une déclaration vouloir adhérer au nouveau parti. Modèle:Lien brisé consulté le 29 juin 2008.</ref> est exclue pour la première et fait sécession pour le second. Le Modèle:Date-, Ueli Maurer est élu pour remplacer Samuel Schmid, donnant ainsi à l'UDC à nouveau un siège au Conseil fédéral. Le Modèle:Date-, le Vaudois Guy Parmelin est élu à la place de la PBD Eveline Widmer-Schlumpf et entre en fonction le Modèle:Date-. L'UDC occupe dès lors deux sièges au Gouvernement.

Courant 2008, l'aile modérée de plusieurs sections cantonales de l'UDC lance un processus de scission vis-à-vis du parti suisse, les sections grisonne et bernoise ayant franchi le pas en vue de fonder le Parti bourgeois-démocratique (PBD).

Le parti est présidé par Marco Chiesa, qui succède à Albert Rösti en 2020.

Histoire

Fusion de 1971

L'Union démocratique du centre naît le Modèle:Date- de la fusion de trois partis : le Parti des paysans, artisans et indépendants (PAB), fondé à Zurich en 1917 sous le nom de Parti des paysans (il obtient un conseiller fédéral en 1929 et est renommé PAB en 1937 lors de la constitution d'un parti suisse à partir des sections de Zurich et de Berne ; en Suisse romande, le parti s'appelle alors Parti des paysans, artisans et indépendants/PAI) et les deux Parti démocratique de Glaris et des Grisons<ref name=":0">Modèle:Article</ref>. Du fait de cette filiation, l'UDC est souvent surnommée dans la presse Modèle:Citation.

Phénomène Blocher

Alors que la plupart des sections, notamment la section bernoise, de loin la plus forte en termes d'électeurs, se confortent sur une ligne centriste et très consensuelle, la section zurichoise va peu à peu prendre de l'importance en affirmant une ligne nettement plus à droite. Celle-ci adopte une ligne autonome face au parti national après l'élection de Christoph Blocher à sa présidence en 1977. Elle récupère, après le retrait de James Schwarzenbach de la présidence du Mouvement républicain en 1978, les restes de cette formation. Dans ses campagnes, l'UDC zurichoise va se concentrer sur les thèmes de l'asile, de la drogue et de la sécurité dans un style politique basé sur l'affrontement. Elle s'efforce aussi d'améliorer l'organisation du parti : cours pour les cadres, recrutement actif des jeunes, travail dans la presse, amplification de sa visibilité sur la scène politique. Elle joue ainsi un rôle déterminant dans le développement du parti national au cours des années 1990<ref name=":0" />.

1992 : l'ascension

À partir de 1992, sous la direction de la section cantonale zurichoise et de son président Blocher, l'UDC connaît une nouvelle mutation fondamentale<ref name=":0" />.

En 1992, l'UDC est quasiment l'unique parti politique à se battre contre l'adhésion de la Suisse à l'Espace économique européen (EEE), un projet du Conseil fédéral qui visait à faire entrer à terme la Suisse dans l'Union européenne. Elle remporte le référendum qu'elle a lancé contre l'EEE. Cette victoire des urnes permet à l'UDC de se revendiquer comme la gardienne de l'indépendance suisse et de la neutralité suisse<ref name=":0" />.

En même temps, elle reprend le thème de la défense d'une politique d'immigration restrictive : la même année, elle lance pour la première fois de son histoire une initiative populaire « Contre l'immigration clandestine », qui sera rejetée en 1996<ref name=":0" />.

Douze nouvelles sections cantonales sont créées entre 1991 et 2001. L'organisation nationale est consolidée, un agenda politique commun est déterminé, les campagnes électorales et de votations sont unifiées<ref name=":0" />.

Après avoir stagné pendant plus de cinquante ans, l'UDC passe de 11,9 % aux élections au Conseil national en 1991 à 28,9 % en 2007; une évolution unique depuis l'introduction de la proportionnelle en 1919<ref name=":0" />.

Le parti devient le premier du pays en nombre d'électeurs et son groupe parlementaire le plus important de l'Assemblée fédérale ; l'UDC est ainsi à l'origine d'un changement fondamental du système suisse des partis. Dans les parlements cantonaux, elle passe de Modèle:Nombre en 1991 à 563 en 2011<ref name=":0" />.

Le parti a moins de succès aux élections du Conseil des États. La progression au Conseil national se fait en partie en absorbant l'électorat de deux petits partis de droite : les Démocrates suisses (précédemment Action nationale) et le Parti de la liberté. L'UDC se développe depuis au détriment des partis de droite comme le Parti radical-démocratique (PRD), la plus ancienne formation politique de la Suisse moderne, et du Parti démocrate-chrétien (PDC)<ref>Modèle:Lien brisé, premiers résultats de l'étude Selects des Universités de Berne, Genève et Zurich, Modèle:Date-.</ref>. Le parti a obtenu 11,1 % des voix en 1991, 15 % en 1995 et 22,5 % en 1999. Jusqu'au début des années 2000, l'UDC s'est développée presque uniquement dans les cantons alémaniques alors que l'aile paysanne existante dans les cantons romands restait stable. Mais il a fortement progressé en Suisse romande lors des élections fédérales de 2003. À la suite de celles-ci, le Modèle:Date-, son chef Christoph Blocher est élu au Conseil fédéral au détriment de Ruth Metzler-Arnold du PDC, un parti de centre droit. En imposant Blocher contre la candidate officielle du PDC, l'UDC bouleverse la Modèle:Citation de mise depuis 1959, c'est-à-dire la règle mathématique régissant la composition du Conseil fédéral avec une logique proportionnelle. Toutefois, cette règle aurait pu être appliqué dès les élections législatives de 1999, année où l'UDC est devenue la première force politique suisse tout en ne disposant au Conseil fédéral que d'un seul siège, alors que le PDC, relégué à la quatrième place, y détenait deux sièges. Blocher prend la tête du Département fédéral de Justice et Police jusqu'au Modèle:Date- jusqu'à la fin de son mandat. Durant cette période, l'UDC dispose de deux conseillers fédéraux avec Blocher et Samuel Schmid élu en 2000. En 2003, l'UDC obtient avec l'élection de Christoph Blocher un deuxième siège au Conseil fédéral au détriment du PDC.

Premier parti du parlement suisse

Après les élections de 1999 et de 2003, l'UDC est devenue en Modèle:Date- pour la troisième fois le premier parti suisse par le nombre de ses électeurs et a constitué une fois de plus le principal groupe parlementaire fédéral. Obtenant près de 29 % des suffrages, l'UDC a réalisé un résultat record qu'aucun autre parti n'a obtenu avant elle depuis l'introduction du système proportionnel<ref name=":0" />.

À partir de 2003, l'UDC était représentée avec deux conseillers fédéraux au gouvernement du pays. Mais cette double représentation n'était que de courte durée : le Modèle:Date-, le PS, les Verts, le PDC et quelques représentants du PRD forment une alliance pour éjecter Christoph Blocher du Conseil fédéral. Ils mettent ainsi fin au système de la concordance<ref name=":0" />. Les élections fédérales d'octobre 2007 voient le parti faire le choix d'une personnalisation de la campagne autour de son conseiller fédéral controversé. Le parti gagne sept sièges au Conseil national (où il détient alors Modèle:Nombre sur 200), avec 29 % des voix, un résultat jamais atteint par un parti depuis celui des radicaux des années 1920. Il en perd cependant un au Conseil des États. À l'issue de ces élections, Ueli Maurer, alors président du parti et l'un des représentants de la tendance zurichoise (lui-même étant Zurichois), manque son entrée au Conseil des États ; il conservera toutefois facilement son siège au Conseil national<ref>Il s'incline face à la verte libérale Verena Diener.</ref>.

Scission du PBD (2008)

Lors de l'élection du Conseil fédéral, survenue le Modèle:Date-, l'UDC grisonne Eveline Widmer-Schlumpf, qui n'était pas officiellement candidate pour ce poste, est élue en lieu et place de Christoph Blocher grâce à une alliance entre le Parti socialiste, des Verts et du PDC<ref>« La gifle pour Christoph Blocher », 24 heures</ref>. Le lendemain, Widmer-Schlumpf confirme qu'elle accepte d'intégrer le Conseil fédéral<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le parti annonce le jour même qu'il entre alors dans une stratégie d'opposition au niveau fédéral<ref>Modèle:Lien web.</ref> même si celle-ci ne fait pas l'unanimité dans ses rangs<ref>Modèle:Lien web.</ref>. C'est pourquoi le groupe parlementaire UDC décide d'exclure la section grisonne après que celle-ci a confirmé son soutien à son ancienne conseillère d'État ; Modèle:Référence nécessaire.

Par la suite, deux partis sont créés aux Grisons : le Bürgerliche Partei Schweiz, formé le Modèle:Date- en tant que première section de ce qui devrait devenir le Parti bourgeois-démocratique (Bürgerlich-Demokratische Partei Schweiz) et auquel Widmer-Schlumpf se rallie<ref>Modèle:Lien web.</ref>, et la nouvelle section de l'UDC grisonne soutenant la ligne du parti national. Le Modèle:Date-, un autre parti dissident de l'UDC est créé dans le canton de Berne : le Bürgerlich-Demokratische Partei Bern auquel Samuel Schmid annonce se rallier<ref>Modèle:Lien web.</ref>. L'UDC se retrouve ainsi privé de facto de ses deux sièges au Conseil fédéral jusqu'à l'élection, le Modèle:Date-, d'Ueli Maurer en remplacement de Samuel Schmid.

En élisant le Modèle:Date- Ueli Maurer au Conseil fédéral, le Parlement fait un premier pas vers le rétablissement de la concordance. Compte tenu de sa part aux suffrages, le parti reste cependant largement sous-représenté au Conseil fédéral. Avec l'élection de Guy Parmelin en Modèle:Date-, l'équilibre est à peu près rétabli<ref name=":0" />.

Positionnement

Fichier:Logo SVP UDC.svg
Ancien logo de l'Union démocratique du centre.
Fichier:Swiss party politics 2007 fr.png
Positionnement politique de l'UDC en 2007.

L'UDC possède une aile conservatrice, dont les conseillers fédéraux Samuel Schmid et Eveline Widmer-Schlumpf faisaient partie jusqu'à leur départ<ref>Modèle:Lien web.</ref>, et une aile souverainiste. L'aile conservatrice, aussi appelée « aile paysanne », est notamment représentée par la puissante section cantonale de Berne ainsi que par celles des Grisons, de Thurgovie et par certaines sections romandes. L'aile souverainiste, aussi appelée « aile zurichoise » — son leader Christoph Blocher et Ueli Maurer de Zurich en font partie — occupe une grande partie du débat politique et tend à supplanter l'aile modérée. L'UDC est fréquemment qualifiée de xénophobe<ref name="xéno">The Independent, cité par L'Hebdo du Modèle:Date-, Modèle:P..</ref>,<ref>Le Temps ([1])</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="MD2003" /> de « droite dure (...) isolationniste et xénophobe »<ref name="MD2003">Modèle:Lien web.</ref>, de populiste<ref>Modèle:Lien web.</ref> ou d'extrême droite<ref name="Deleplace p321" />,<ref name="Prévost p11" />,<ref name="Blaise Moreau 2004" />,<ref name="Burger et al 2006" />,<ref>Modèle:Article.</ref>.

Parmi les thèmes souvent mis en avant par l'UDC, on trouve l'anti-écologisme, l'immigration, l'indépendance nationale, la neutralité suisse et la réduction du poids de l'État.

Dans le domaine de l'immigration, la stratégie de l'UDC passe par le lancement ou le soutien régulier à des objets référendaires ayant pour thèmes l'immigration<ref>Initiative Modèle:N° « Contre l'immigration clandestine » (1996)</ref>,<ref>Initiative populaire fédérale Modèle:N° « pour une réglementation de l'immigration » (2000)</ref>, les naturalisations<ref>Initiative Modèle:N° « Pour des naturalisations démocratiques » (2008)</ref>, le droit d'asile<ref>Initiative populaire Modèle:N° « contre les abus dans le droit d'asile » (2002)</ref>,<ref>« Pour le renvoi des étrangers criminels (initiative sur le renvoi) » (2008, déposée mais non votée)</ref>, la limitation des aides socialesModèle:, etc. Ses positions et parfois ses méthodes de campagne lui valent de fréquentes accusations de xénophobie<ref name="xéno" />,<ref name="MD2003" />. Ainsi, le ministère public du canton du Valais a demandé le Modèle:Date- au juge d'instruction cantonal d'ouvrir une enquête pour incitation à la haine raciale contre l'UDC valaisanne qui a publié une affiche affublée du slogan : « Utilisez vos têtes ! » sur fond de musulmans prosternés devant le Palais fédéral<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Toutefois, l'affiche a été considérée comme non discriminatoire par la plus haute juridiction suisse, le Tribunal fédéral<ref>Modèle:Lien web</ref>. De manière générale, alors que les cercles libéraux étaient d'emblée opposés à la norme anti-raciste<ref>Modèle:Lien web.</ref>, l'UDC comme son leader Christoph Blocher (convaincu en son temps par Modèle:Lien, président de la communauté israélite de Zurich<ref>Modèle:Lien web.</ref>) se sont d'abord prononcé en faveur de la norme anti-raciste, l'article 261 bis du Code pénal suisse, qui punit la discrimination raciale comme la négation du crime de génocide. Puis à la lumière de son application, le parti a demandé son abrogation ou sa révision au nom de la liberté d'expression<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Afin de préserver ce qu'il considère l'indépendance nationale, l'UDC lutte contre les rapprochements avec des organisations internationales, notamment l'Union européenne<ref>Modèle:Lien brisé.</ref>. Elle lutte également pour promouvoir sa vision de la neutralité suisse, refusant notamment l'envoi de soldats suisses à l'étranger. L'UDC a lutté avec succès contre l'adhésion de la Suisse à l'Espace économique européen, refusée par référendum le Modèle:Date-. Depuis, la mise en place de multiples accords bilatéraux ont su largement contourner cet isolationnisme : le parti s'est d'abord opposé à cette voie avant de se raviser en abandonnant le lancement d'un référendum contre l'extension de ces accords en 2008. Malgré tout, la victoire électorale de 1992 a donné au parti une place importante dans le débat politique national. En 2002, sa lutte contre l'adhésion de la Suisse à l'Organisation des Nations unies a également échoué. Cette position isolationniste est appelée Modèle:Lien, soit la « voie solitaire ».

L'UDC considère que l'État-providence doit être limité. Elle s'oppose de manière générale aux hausses d'impôts et aux nouvelles taxes, milite pour la suppression des aides allouées à la culture, à la petite enfance et à la promotion de l'égalité entre hommes et femmes. Elle veut mettre fin à la « mentalité de tutelle » qui rendrait les citoyens « dépendants »<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Lignes politiques

Les lignes directrices de l'UDC sont les suivantes<ref>Modèle:Lien web.</ref>Modèle:Référence à confirmer :

  • anti-écologisme
    • à l'encontre de toutes les réglementations environnementales
    • contre toutes les obligations, notamment celles relatives à la production d'énergie
  • conservation de la neutralité
    • contre l'adhésion et la collaboration de la Suisse à l'OTAN
    • contre l'adhésion de la Suisse à l'Union européenne
    • contre la collaboration avec l'ONU (dont la Suisse est membre)
  • pour une politique d'asile restrictive
    • contre une naturalisation automatique des étrangers de la troisième génération
    • contre les abus en matière d'asile
  • pour la sauvegarde de la famille traditionnelle
  • conservation de l'armée suisse sous sa forme traditionnelle (armée de milice)
    • contre les missions à l'étranger (maintien de la paix, au Kosovo par exemple)
  • pour une sécurité intérieure accrue (police)
  • pour une baisse des impôts et des dépenses de l'État

Résultats électoraux

Élections au Conseil national

Année Députés Votes Rang
Voix %
1971 Modèle:Infobox Parti politique/Sièges 220 487 11,1 Modèle:4e
1975 Modèle:Infobox Parti politique/Sièges 192 053 9,9 Modèle:4e
1979 Modèle:Infobox Parti politique/Sièges 212 705 11,6 Modèle:4e
1983 Modèle:Infobox Parti politique/Sièges 217 166 11,1 Modèle:4e
1987 Modèle:Infobox Parti politique/Sièges 213 253 11,0 Modèle:4e
1991 Modèle:Infobox Parti politique/Sièges 243 268 11,9 Modèle:4e
1995 Modèle:Infobox Parti politique/Sièges 283 902 14,9 Modèle:4e
1999 Modèle:Infobox Parti politique/Sièges 440 159 22,6 Modèle:1er
2003 Modèle:Infobox Parti politique/Sièges 560 750 26,7 Modèle:1er
2007 Modèle:Infobox Parti politique/Sièges 672 562 28,9 Modèle:1er
2011 Modèle:Infobox Parti politique/Sièges 648 675 26,6 Modèle:1er
2015 Modèle:Infobox Parti politique/Sièges 740 954 29,4 Modèle:1er
2019 Modèle:Infobox Parti politique/Sièges 620 343 25,6 Modèle:1er
Fichier:Evolution des résultats électoraux de l'UDC au Conseil National, de 1971 à 2019..png
Évolution des résultats électoraux de l'UDC au Conseil National, de 1971 à 2019.

Élections au Conseil des États

Année Sièges Rang
1971 Modèle:Infobox Parti politique/Sièges Modèle:3e
1975 Modèle:Infobox Parti politique/Sièges Modèle:3e
1979 Modèle:Infobox Parti politique/Sièges Modèle:4e
1983 Modèle:Infobox Parti politique/Sièges Modèle:4e
1987 Modèle:Infobox Parti politique/Sièges Modèle:4e
1991 Modèle:Infobox Parti politique/Sièges Modèle:3e
1995 Modèle:Infobox Parti politique/Sièges Modèle:3e
1999 Modèle:Infobox Parti politique/Sièges Modèle:3e
2003 Modèle:Infobox Parti politique/Sièges Modèle:4e
2007 Modèle:Infobox Parti politique/Sièges Modèle:4e
2011 Modèle:Infobox Parti politique/Sièges Modèle:4e
2015 Modèle:Infobox Parti politique/Sièges Modèle:4e
2019 Modèle:Infobox Parti politique/Sièges Modèle:4e

Initiatives populaires lancées par l'UDC

Ayant fait l'objet d'une votation

Publications

Modèle:Infobox Presse L'UDC publie le mensuel Franc-parler (en français), ainsi que le pendant alémanique Klartext. Elle publie également le mensuel des Jeunes UDC L'Idée et son pendant alémanique Die Idee.

De nos jours, l'UDC est aussi présente sur les réseaux sociaux et publie régulièrement, sur ses comptes Instagram et Twitter, du contenu visant à toucher de nouveaux électeurs.

Président

Personnalités contemporaines

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Articles connexes

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Liens externes

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