Vennezey

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Modèle:Infobox Commune de France

Vennezey (prononcé Modèle:MSAPI) est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle en région Grand Est et dans la région historique de Lorraine. D'une superficie de Modèle:Nombre, la commune fait partie de la CC3M dans le canton de Lunéville-2. En Modèle:Dernière population commune de France, elle comptait Modèle:Unité. C'est une des plus petites communes du département et c'est la dix-septième moins peuplée<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Le maire de ce village est Nicolas Balland, élu en mai 2022 à la suite du décès brutal de la maire Dominique Wederhake en février de la même année

Géographie

Localisation

Vennezey est situé à Modèle:Unité de Nancy, Modèle:Unité de Lunéville et Modèle:Unité de GerbévillerModèle:Note.

Communes limitrophes de Vennezey

Hydrographie

Vennezey se situe dans la région hydrographique rhénane, le secteur hydrographique de la Moselle et le sous-secteur de l'Euron<ref>http://id.eaufrance.fr/ZoneHydro/A500</ref>. À l'est puis au nord, le territoire est délimité par le ruisseau du Palebœuf<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Ce ruisseau draine l'ensemble du territoire communal en recevant plusieurs petits cours d'eau. Il se jette dans l'Euron sur le territoire proche de Rozelieures. Il peut être traversé par un pont à l'entrée Nord du village.

Fichier:Pont à l'entrée de Vennezey.png
Pont enjambant le ruisseau de Palebœuf à l'entrée de la commune.

Géologie et relief

Modèle:Article détaillé

Vennezey a une altitude moyenne de Modèle:Unité avec une altitude maximale de Modèle:Unité et une altitude minimale de Modèle:Unité. La mairie est à Modèle:Unité d'altitude<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

La commune est située sur un terrain argileux<ref name=":0">Modèle:Lien web.</ref> et sur une couche sédimentaire datant de l'Oligocène<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Une curiosité géologique peut être observée depuis le village et les environs. Il s'agit d'un ancien volcan, situé sur le territoire de la commune d'Essey-la-Côte, culminant à Modèle:Unité (Modèle:Unité de dénivelé par rapport au village d'Essey-la-Côte). Du sommet de celui-ci, on peut apercevoir par temps clair trente-cinq villagesModèle:Référence nécessaire. Il s'est formé il y a quelque Modèle:Nombre d'années environ (Oligocène supérieur), lors de l'activité tertiaire du fossé rhénan<ref name="académie-Nancy-Metz">Modèle:Lien web.</ref>.

Dans les champs, on peut trouver des pierres noires, du basalte, qui ont jailli du volcan. Cette roche a été étudiée en 1976 et datée pour servir de standard géochimique (dit « basalte BR », classé parmi les Néphélinites à mélilite) au Centre de recherches pétrographiques et géochimiques (CRPG) de Nancy<ref>Modèle:Article.</ref>. Ce standard est un étalon utilisé lors du contrôle et du calcul des analyses chimiques.

La composition de la roche magmatique la rapproche de roches de celles trouvées sur les pentes du Nyiragongo en République démocratique du Congo, sur la presqu'île du Cap-Vert à Dakar au Sénégal ou encore dans certaines zones de l'archipel d'Hawaï<ref name="académie-Nancy-Metz"/>.

Voies de communication et transports

Vennezey compte trois rues dont la plus grande est la rue des Deux Fontaines. Elle comporte la majeure partie des logements du village. La rue de la Prairie est la deuxième plus longue. Enfin la rue de l'Église, qui comporte la mairie et l'église, fait la jonction entre les deux<ref name="a1">Modèle:Lien web.</ref>.

On peut aussi noter la présence d'un chemin communal autrefois appelé Chemin de Derrière-la-Ville<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la carte des Naudin, le chemin venant d'Essey-la-Côte passe effectivement derrière le village, en parallèle de l'actuelle rue des 3-Fontaines qui est représentée comme une bifurcation de ce chemin.

Le territoire est traversé par deux routes départementales, la D 22 d'est en ouest et la D 144. Elle est reliée à la commune voisine de Saint-Boingt par une route communale. La gare la plus proche est celle de Bayon<ref name="a1" />.

Urbanisme

Typologie

Vennezey est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (99,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (46,3 %), terres arables (42,6 %), zones agricoles hétérogènes (11,1 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

Selon Ernest Nègre dans sa toponymie générale de France, Le nom de la commune se serait formé sur la combinaison d'un nom de personne de l'ancien gaulois et du suffixe latin acum<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>, devenu -ey, qui désigne une propriété rurale<ref>Société archéologique et historique de l'Orléanais, Bulletin de la Société archéologique et historique de l'Orléanais, nouvelle série, Modèle:N°, 1978 (lire en ligne)</ref>. Ce nom évolue au cours des siècles. Dans un même cartulaire de 1302 écrit en latin, on lit «Vernezeyo» dans le titre puis «Vernazies» et «Vernezei» dans le texte<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Dans d'autres documents, on retrouve Venerzey en 1291 ; Venexeyum et Veneχeyo (on remarque la lettre [chi]) en 1394<ref>Modèle:Ouvrage.</ref> ; Venaseyum en 1402 ; Wenezey en 1533 ; Wennezy et Wennezelle en 1538 ; Ventzey en 1550 et Venazy au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Venazay, Venezelle, Vintzey, vestigneyum<ref>Henri Lepage, Dictionnaire topographique du département de la Meurthe, Paris, Imprimerie impériale, 1862</ref>. Dans la monographie de la commune de 1889, il est aussi fait état d'orthographes plus anciennes de ce nom telles que Venezey et Ve'nezey<ref name=":0" /> et sur la carte des Naudin, on lit Veneze.

Dans la seconde moitié du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, on entendait parfois prononcer Vane'zé.

Il a existé à la veille de la Révolution un patronyme De Vennezey que l'on rencontrait à Paris<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Rien ne prouve cependant qu'il y ait un lien avec la commune éponyme.

Histoire

Période pré romaine

Dans la revue l'annuaire général des Vosges parue en 1898, un article mentionne une voie antique partant de Vennezey, passant entre Magnières et Saint-Pierremont, traversant Domptail et aboutissant à Deneuvre<ref>Modèle:Article.</ref>. Dans un numéro de la revue Gallia paru en 1986 et à propos de fouilles archéologiques réalisées à Seranville, on mentionne une voie antique allant de Clayeures à Baccarat<ref>Modèle:Article.</ref>. Il semble qu'il s'agisse de la même route.

Moyen Âge

Le 5 août 1291, l'abbaye de Moyenmoutier acquiert contre Modèle:Nombre du toulois des biens situés à Essey-la-Côte, à Rozelieures et à Vennezey<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Ancien régime

Fichier:Calvaire vennezey.jpg
Croix de chemin datant du début XVIIe siècle située à l'entrée Sud-Est du village.

Dans un « recueil des bénéfices du Duché de Lorraine » rédigé à la fin du {{#ifeq:s | s | Modèle:Siècle | XVIe{{#if:s| s }} }} siècle, il est mentionné une commanderie à Vennezey, mais celle-ci n'est citée dans aucun titre plus ancien. Dans ce recueil, il est question d'une maison seigneuriale et d'une chapelle Sainte-Catherine située près du village et dépendant de la commanderie de Saint-Jean du Vieil-Aîstre.

La chapelle fut brûlée « par les gens de guerre » en 1635<ref>https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k33683g/f383.image.r=vennezey.langFR Mémoire de la société d'archéologie de Lorraine</ref>. Il n'existe pas de document connu qui permet de situer cette chapelle, hormis le plan du premier cadastre qui contient un lieu-dit Corvée de la Chapelle, à la sortie gauche du village en direction de Saint-Boingt<ref name=":0" />.

Selon Charles Pfister, Le commandeur du Vieil-Aîstre est le seul seigneur foncier, moyen et bas justicier. Il nomme le maire, les officiers de justice et le curé<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

En 1581 Denis Guerard de Vennezey est brûlé pour sorcellerie<ref name=":1">Modèle:Ouvrage.</ref>.

En 1600 un chapitre est créé avec le but de former des prêtres. Cette institution serait à l'origine de l'imposante bâtisse du milieu du village, près de l'église<ref name=":0" />. Henri Lepage cite le chapitre de Sainte-Catherine à Vennezey<ref>Modèle:Ouvrage.</ref> mais sans plus de précisions.

Le Modèle:Date-, le duc Henri II et le comte de Tornielle seigneur de Gerbéviller, concluent un échange par lequel le duc cède la haute justice de Vennezey, finage et dépendances ainsi que le droit de créer un maire. À partir de cette date, Vennezey passe dans la seigneurie de Gerbéviller, élevée en marquisat en 1621. Le commandeur du vieil Aîstre qui revendique aussi le droit de créer des officiers de justice intente un procès dont l’issue lui est défavorable en 1621.

Le 22 avril 1615, une transaction a lieu entre l'abbé de Chaumouzey d'une part, et les curés d'Essey-la-Côte, Saint-Boingt et Vennezey d'autre part au nom de l'abbaye de Belchamp. C'est à propos de la dîme sur une contrée sise à Essey-la-Côte<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Dans une déclaration d'Modèle:Date- portant règlement pour les cinq haut-conduits de Lorraine et du Barrois, Vennezey est mentionné comme faisant partie de la prévôté de Charmes et du haut-conduit de Salins-l'Étape<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. concernant cette prévôté, plusieurs historiens la mentionnent comme une erreur. Cela semble confirmé par le point suivant.

En 1710, Vennezey dépend de la prévôté de Rosières et du bailliage de Nancy.

En 1751, le village est rattaché au bailliage de Lunéville. Il s'y applique le droit coutumier de Lorraine<ref name=":1" />.

La même année 1751, le sieur Galland est nommé vicaire de la paroisse de Clayeures. L'acte paroissial de nomination est signé H. Gouhier, curé de Vennezey<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

En 1738 Vennezey possède Modèle:Nombre (~Modèle:Nombre) de bois sur le ban d'Essey-la-Côte, indivis avec la Seigneurie de la rue Saint-Léopold de cette dernière commune<ref name=":1" />.

Entre 1767 et 1778, les impôts de Vennezey dus au marquisat de Gerbéviller étaient affermés pour Modèle:Nombre, sans compter les fermages agricoles<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Révolution française et Premier Empire

Quatre curés ayant des attaches à Vennezey et deux personnes laïques sont portés sur la liste des émigrés du district de Lunéville pour l'année 1792<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

En 1791 Humbert-François Navier est nommé curé constitutionnel de la paroisse. Il abdique de ses fonctions en l'an II (1793)<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Le Modèle:Date-, Nicolas Gouyer Modèle:Nombre, ancien curé de la paroisse natif de Franconville dit « le fin prêtre », décède aux carmélites où il était incarcéré pour avoir refusé de prêter serment à la constitution<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Jusqu'à la Révolution, la paroisse de Vennezey a Essey-la-Côte pour annexe.

En 1802, Essey devient le siège de la paroisse et Vennezey son annexe.

Époque contemporaine

En 1822, la forêt située sur le territoire d'Essey-la-Côte, jusque là bien commun des deux villages, est séparée en deux. Vennezey se voit attribués environ Modèle:Unité dans l’extrémité Ouest de ce massif.

Le Bulletin des lois de la République de 1876 mentionne un décret du Modèle:Date- autorisant l'exercice du culte dans l'église de Vennezey qui prendra la désignation de chapelle de secours<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

En 1879 et 1880, éclate un conflit entre le conseil municipal de Vennezey et la préfecture de Meurthe-et-Moselle. Tous s'entendent pour dire que des travaux sont nécessaires à l'école pour un montant d'environ Modèle:Unité mais les édiles exigent une plus grande participation de l'État et surtout, refusent d'augmenter les impôts locaux, même temporairement envers les contribuables les plus favorisés. Confrontée à ce qu'elle juge être de la «mauvaise foi», l'autorité préfectorale décrète l'application de l'article 14 de la loi du Modèle:1er juin 1878 qui rend cette dépense obligatoire pour la commune<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

En 1888 le territoire compte Modèle:Unité 19 de vignes produisant en moyenne annuelle Modèle:Unité, ce qui correspond à environ la moitié de la consommation du village. Ce vin est à l'époque jugé de bonne qualité et agréable au goût<ref name=":0" />.

L'almanach-annuaire du Lunévillois pour l'année 1890 relève la présence d'un boulanger à Vennezey<ref>Modèle:Lien web.</ref>. L'annuaire général de l'épicerie de 1896 note un épicier à Vennezey<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

En 1922, il y a Modèle:Nombre dans Modèle:Nombre. On note que la secrétaire de mairie est institutrice et que le village compte 2 courtiers en bestiaux ainsi qu'un aubergiste et un garde-champêtre<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Le Journal officiel du Modèle:Date- publie une liste de noms de personnes nommées officiers de l'instruction publique dans laquelle figure Nicolas-Elie Jacquot, alors maire de Vennezey. Il est récompensé pour « services rendus à l'enseignement »<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Première Guerre mondiale

Le site mémoire des hommes recense 97 fiches de soldats français tués sur le territoire de la commune pendant la bataille de Rozelieures, en 1914.

En août 1916 sont publiés de nouveaux devis pour la reconstruction. Les travaux prévus à Vennezey sont estimés à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Édité en 1919, La « liste des personnes désignées par les puissances alliées» cite les noms de plusieurs officiers supérieurs allemands « impliqués dans les crimes de Vennezey, Reménoville, Seranville, Giriviller, Vallois, Flin et Fraimbois commis les 24 et Modèle:Date-». Selon ce document officiel, les personnes incriminées « ont toléré et même ordonné les pillages systématiques des villages ainsi que des atrocités et des forfaits ».

Seconde Guerre mondiale

Le 20 juin 1940 lors de l'invasion de la région par les troupes allemandes, il y eut un accrochage dans le village entre un motocycliste de l'armée française et les envahisseurs. Le soldat français fut tué<ref>Modèle:Lien web</ref>.

École communale

L'école élémentaire communale a fonctionné jusqu'en 1959. À l'automne 1959, l'école a été regroupée avec celle de Giriviller.

Politique et administration

Fichier:Vennezey, Mairie.jpg
La mairie.

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées

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Population et société

Démographie

Modèle:Population de France/section

Enseignement

La commune dépend des établissements de Magnières et de Remenoville pour l'école primaire, du collège de Gerbéviller et des lycées lunévillois pour le secondaire.

Santé

Le centre hospitalier le plus proche se situe à Modèle:Unité à Lunéville<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Un chapitre, a été construit en l'an 1600 pour former les prêtres des environs. Ce bâtiment constitue la base d'une grosse maison du village à côté de l'église<ref name=":0" />.

L'église date de la même époque mais a été reconstruite à neuf vers 1855. Elle a été bâtie dans un style simpliste, entièrement en pierre avec une couverture en tuiles mécaniques, et dans des dimensions modestes (Modèle:Unité de long pour Modèle:Unité de large). Elle possède 6 fenêtres de forme ovale et une porte en chêne à double battant, le deuxième battant n'étant ouvert que pour les cérémonies funèbres.

Durant la seconde moitié du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, ses cloches étaient réputées pour avoir le meilleur son des environs<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

le lavoir
Le lavoir, joliment restauré.

Personnalités liées à la commune

Nicolas Gouyer né à Franconville, ordonné prêtre en 1752, D'abord vicaire-desservant à Franconville, puis vicaire-commensal chez son oncle à Vennezey puis vicaire-commensal à Fraimbois et nommé curé de Vennezey en Modèle:Date-. L'abbé Gouyer dit « le fin prêtre » refusa le serment à la constitution. Il fut incarcéré aux Tiercelins puis aux Carmélites où il mourut le 19 thermidor an II (Modèle:Date-)<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Héraldique

Modèle:Blason commune

Voir aussi

Bibliographie

Modèle:…

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Autres projets

Notes et références

Notes

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Cartes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références

Modèle:Portail