Viviers (Ardèche)

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Modèle:Voir homonymes

Modèle:Infobox Commune de France

Viviers ou Viviers-sur-Rhône (Vivièrs en occitan) est une commune française, située dans le département de l'Ardèche en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Viviers est l'ancienne capitale de la province du Vivarais, Modèle:Latin à qui elle a donné son nom et qui a appartenu à la province royale du Languedoc jusqu'en 1789.

La cité est encore le siège de son propre évêché, également dénommé diocèse du Vivarais, constitué de vingt-quatre paroisses depuis le Modèle:Date-. Historiquement, les évêques furent les seigneurs temporels les plus puissants de la région durant une grande partie de l'époque médiévale avant de faire allégeance au roi de France en 1307<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>,<ref>Site de la mairie de Viviers</ref>.

Siège de son propre canton jusqu'en 2015, année où la ville a été rattachée au canton de Bourg-Saint-Andéol, Viviers est également une des neuf communes adhérentes de la communauté de communes du Rhône aux Gorges de l'Ardèche depuis 2013 et ses habitants sont les Vivarois<ref>Site habitants.fr, page sur Viviers, consulté le 19 mai 2021.</ref>.

Géographie

Localisation

Fichier:Map commune FR insee code 07346.png
Plan de la commune et des communes limitrophes

Le territoire communal se positionne dans la partie centrale du département de l'Ardèche dans l'arrondissement de Privas, au bord du Rhône, non loin de l'agglomération de Montélimar, située à quelques kilomètres en direction du nord-est.

Le centre du village est situé à Modèle:Unité de Lyon, préfecture de la région Auvergne-Rhône-Alpes, à Modèle:Unité de Grenoble, siège de l'académie et Modèle:Unité de Paris.

Communes limitrophes

Géologie et relief

Fichier:Le Rhône au défilé de Donzère.JPG
Le Rhône entre Viviers et Donzère (défilé de Donzère)

Le territoire de Viviers se situe en amont d'un rétrécissement du Rhône dénommé « défilé de Donzère ». Ce rétrécissement est facilement observable au niveau du pont du Robinet qui sépare les communes de Viviers et de Donzère, cette dernière étant située dans la Drôme.

Hydrographie

Viviers est située sur la rive droite du Rhône, en amont de sa séparation avec le canal de Donzère-Mondragon.

Le territoire communal est traversé par l'Escoutay, un affluent du Rhône<ref>Modèle:Sandre</ref>, lequel prend sa source au pied du plateau du Coiron. La commune compte de nombreux ruisseaux dont notamment le ruisseau du Mas<ref>Modèle:Sandre</ref>, le ruisseau de Valpeyrouse et le ruisseau de Bayne.

Climat

Modèle:Article connexe Située dans la vallée du Rhône, la commune est sous l'influence du climat méditerranéen avec un ensoleillement annuel dépassant les Modèle:Unité<ref name="Meteo-France">Modèle:Lien web.</ref>, comparable à celui de Perpignan ou Gap.

Les hivers sont généralement froids et secs, le mistral contribuant à le rendre glacial lorsqu'il souffle. Le printemps et l'automne connaissent des épisodes orageux pouvant être violents appelés orages cévenols ou épisode méditerranéen. L'été est le plus souvent synonyme de périodes de chaleur importante et de sécheresse accentuée par le mistral.

Modèle:Climat

Modèle:Météo France

Voies de communication et transports

Axes ferroviaires

La ligne ferroviaire Givors-Grezan, dite de la rive droite du Rhône, traverse la ville et sa gare mais cette dernière n'assure plus le trafic de voyageurs, seuls les convois de marchandises circulent sur cette rive<ref>Modèle:Lien web</ref>. Le trafic ferroviaire des voyageurs se reporte donc de l'autre côté du fleuve, à la gare de Montélimar mais il est parfois dévié sur la rive droite, avec un arrêt en gare du Teil, située à une dizaine de kilomètres au nord de Viviers.

Axes routiers

La commune est traversée dans l'axe nord-sud par la route départementale 86 (RD86), anciennement route nationale 86, qui permet de relier Lyon à Nîmes par Beaucaire, en longeant la rive droite du Rhône.

À la sortie nord de la commune, la route départementale 107 (RD107) permet de rejoindre la route nationale 102 en direction d'Aubenas.

Depuis Viviers, l'avenue Pierre-Mendès-France (RD86i) permet de traverser le Rhône pour rejoindre le département voisin de la Drôme (RD73), en direction de Châteauneuf-du-Rhône avant de rejoindre Montélimar par jonction avec la route nationale 7 (RN7).

Transports publics

La ligne de bus N°19 (Kéolis Drôme-Ardèche) permet de relier le centre-ville de Viviers à la commune du Teil et la gare de Montélimar. Des correspondances vers d'autres ligne de bus, notamment vers Aubenas et Privas sont possibles<ref>Site keolis-drome-ardeche.fr, fiche sur la ligne 19, consulté le 19 mai 2021.</ref>.

Urbanisme

Typologie

Viviers est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Viviers, une unité urbaine monocommunale<ref>Modèle:Lien web.</ref> de Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, constituant une ville isolée<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montélimar, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (50,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (51,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (50 %), zones agricoles hétérogènes (32,7 %), zones urbanisées (6,1 %), eaux continentales<ref group="Note">Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.</ref> (4,4 %), cultures permanentes (2,7 %), mines, décharges et chantiers (1,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,9 %), prairies (0,8 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,8 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>.

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits, hameaux et écarts

Voici, ci-dessous, la liste la plus complète possible des divers hameaux, quartiers et lieux-dits résidentiels urbains comme ruraux, ainsi que les écarts qui composent le territoire de la commune de Viviers, présentés selon les références toponymiques fournies par le site géoportail de l'Institut géographique national<ref>Site géoportail, page des cartes IGN.</ref>.

Modèle:Colonnes

La Cité du barrage, située à l'extrême sud du territoire de Viviers, créée par la compagnie nationale du Rhône (CNR) a été construite en partie sur la commune de Viviers et sur la commune voisine de Saint-Montan. Bâtie de façon à ne rester que provisoire, elle devaient être rasés à l’issue des travaux de construction du barrage de Donzère-Mondragon, mais elles ont cependant accueilli une compagnie de CRS vers 1955, puis, vers 1969, la CNR céda l’ensemble des lots à des propriétaires privés<ref>Site saint-montan.fr, page sur l'historique de la Cité du Barrage, consulté le 18 mai 2021.</ref>.

Risques naturels

Risques sismiques

Modèle:Article connexe L'ensemble du territoire de la commune de Viviers est situé en zone de sismicité Modèle:N° (sur une échelle de 1 à 5), comme la plupart des communes situées à proximité de la vallée du Rhône, mais en limite orientale de la zone Modèle:N° qui correspond au plateau ardéchois<ref>Préfecture du Rhône, page sur les risques sismiques</ref>.

Terminologie des zones sismiques<ref name="Légifrance_2010">Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance</ref>
Type de zone Niveau Définitions (bâtiment à risque normal)
Zone 3 Sismicité modérée accélération = Modèle:Unité

Autres risques

Modèle:...

Toponymie

Attestée sous la forme gynaecei Vivarensis en 400, un gynécée est, à l’époque, un atelier où travaillent des femmes.

Du latin Modèle:Latin (« vivier, garenne, parc où l’on nourrit les animaux »). Il s’agissait là de pièces d’eau aménagées sur la rive droite du Rhône où l’on nourrissait et conservait le poisson et dont il reste quelques vestiges.

Histoire

Modèle:Article connexe

Préhistoire et Antiquité

Les fouilles faites par Yves Esquieu ont permis de découvrir les restes d'une place et de base de colonne d'une villa romaine<ref>Modèle:Lien web Centre International Construction et Patrimoine : Historique de la ville de Viviers</ref>. Les Romains avaient établi à Viviers le centre d'approvisionnement (« vivarium ») de la cité d'Alba accessible par le pont romain de Viviers sur la voie d'Antonin.

Moyen Âge

Fichier:Siège de l'évêque.jpg
Cathèdre de l'évêque.

Entre le {{#switch: et le

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   Modèle:S mini-{{#ifeq: V|-| – | V }}Modèle:S mini- siècle
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   Modèle:S mini-{{#ifeq: et le |-| – | et le  }}Modèle:S mini- siècle

}} les évêques quittent Alba et s'installent à Viviers, qui devient la nouvelle capitale de l'Helvie puis du Vivarais, pour se protéger des agressions des envahisseurs barbares.

Plusieurs cathédrales sont successivement construites sur le même site. La première est édifiée sur le rocher de Châteauvieux<ref>Site books.openedition.org Livre Viviers, cité épiscopale, chapitre III "Évolution d’un quartier cathédral au Moyen Âge et dans les temps modernes" d'Yves Esquieu, éditions Alpara 1988.</ref>.

Résidence des évêques depuis le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, le bourg, fortifié, devint alors une puissante cité épiscopale aux privilèges confirmés par Lothaire et Charles le Chauve au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Partie intégrante au royaume d'Arles (933-1032), la ville fait partie du Saint-Empire romain germanique de 1032 jusqu'en 1307. Le passage du Saint Empire au royaume de France de Viviers et du Vivarais fut dans l'ensemble progressif (1305-1308). En 1305 est conclu un premier accord finalement rendu caduc par la clause prévoyant l'approbation du pape au rattachement. Ce qui suscita des réserves et la suspension de l'accord. En 1308 l'accord est l'objet de dernières adjonctions contractuelles. Mais l'on retient généralement l'année 1307 qui correspond à l'accord de 1305 revu et approuvé par les deux parties qui entérine l'essentiel des liens vassaliques. Le sud du pays, avec Viviers, reconnut alors la suzeraineté du roi de France et les évêques prirent, au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, le titre de comtes de Viviers, princes de Donzère et de Châteauneuf-du-Rhône.

Viviers connaît alors une expansion considérable lui permettant de consolider ses fortifications et se protéger des attaques de la guerre de Cent Ans.

Renaissance et Temps modernes

Investi évêque dès l'année 1516, Claude de Tournon, aumônier de la reine Anne de Bretagne permet à la ville de connaitre une nouvelle prospérité. Rénovée, embellie et décorée, la ville reçoit la visite de [[François Ier (roi de France)|François {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }}]] en avril 1533. C'est également cet évêque qui prend la décision d'achever les fortifications de Donzère, située de l'autre côté du Rhône<ref>Site memoire-ardeche.com, résumé des articles sur Viviers, consulté le 19 mai 2021.</ref>.

C'est à la même époque que Noël Albert, un riche marchand de Viviers enrichi par le commerce du sel et le détournement des impôts, fait orner sa maison d'une magnifique façade « à l'antique » qui en fera la « Maison des Chevaliers ». Ce même Noël Albert, converti au protestantisme pour échapper à la justice royale, devient, lors des guerres de religion, chef militaire du camp huguenot, s'empare une première fois de sa ville natale de Viviers, pillant et détruisant une partie du riche quartier de la cathédrale délaissé par l'évêque et les ecclésiastiques, pour des résidences plus confortables comme à Donzère et au palais de Bourg-Saint-Andéol puis une seconde fois, en 1567, en saccageant la cathédrale elle-même.

Les évêques ne reviendront à Viviers qu'au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle pour s'installer dans le palais épiscopal construit par l'architecte Jean-Baptiste Franque. D'autres hôtels particuliers sont alors construits ou embellis comme l'hôtel de Roqueplane, l'hôtel de Tourville, l'hôtel de Beaulieu mais aussi l'église Notre-Dame-du-Rhône, le séminaire et les faubourgs.

Époque contemporaine

Lors de la Révolution Française, Viviers ne fut pas pillée et détruite par les troupes révolutionnaires, son évêque Charles de La Font de Savine, ayant juré fidélité à la Révolution.

En 1858 Joseph Hippolyte Guibert fait l'acquisition de trois tapisseries des Gobelins et obtient de Napoléon III le don de trois autres. Le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle correspond à une période d'innovation industrielle, avec notamment la création de l'usine de chaux et de ciments (Ets Lafarge)<ref>Site mairie-viviers.fr, page Histoire et patrimoine, consulté le 19 mai 2021.</ref>.

Politique et administration

Tendances politiques et résultats

Modèle:Article connexe Modèle:…

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Population et société

Démographie

Modèle:Population de France/section

Enseignement

La commune est rattachée à l'académie de Grenoble et compte plusieurs établissements scolires, dont :

  • l'école maternelle publique Lamarque
  • l'école primaire publique de La Roubine
  • les écoles maternelle et primaire privées mixtes Saint Régis et Notre Dame du Rhône

Santé

Modèle:…

Manifestations culturelles et festivités

Modèle:…

Sports

Viviers est une ville sportive avec plusieurs équipements de loisirs : piscine municipale, un gymnase comportant des panneaux photovoltaïque, un port de plaisance, abritant des clubs d'aviron et de voile et des circuits de randonnées.

Médias

Historiquement, le quotidien à grand tirage Le Dauphiné libéré consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition Drôme-Ardèche-Nord, un ou plusieurs articles à l'actualité de la commune et de la communauté de communes, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local<ref>Site ledauphine.com, page "Info Viviers, météo, faits divers, culture et sport", consulté le 16 mai 2021.</ref>.

La commune est située dans la zone de distribution de L'Hebdo de l'Ardèche. Il s'agit d'un journal hebdomadaire français basé à Valence et couvrant l'actualité de tout le département de l'Ardèche.

Cultes

La cathédrale Saint-Vincent de Viviers est le siège du diocèse épiscopal de l'Église catholique en France correspondant au territoire du département de l'Ardèche. La communauté catholique dépend de la paroisse Charles-de-Foucauld - Viviers / Le Teil dont le siège est également situé à Viviers<ref>Site ardeche.catholique.fr, page sur la paroisse Charles de Foucauld – Viviers / Le Teil, consulté le 16 mai 2021.</ref>.

Économie

Revenus de la population et fiscalité

Modèle:…

Emploi

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Entreprises de l'agglomération

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Agriculture

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Artisanat et industrie

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Activités de service

Modèle:…

Culture locale et patrimoine

Édifices civils

Pont romain

Fichier:Pont romain a Viviers.JPG
Le pont romain

Modèle:Article détaillé Viviers à l'époque romaine : pont romain de 11 arches sur l'Escoutay <ref>Modèle:Base Mérimée : Pont romain</ref> du Modèle:S mini- ou Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.

Monuments médiévaux

Viviers au Moyen Âge :

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   Modèle:S mini-{{#ifeq: XIII|-| – | XIII }}Modèle:S mini- siècle
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   Modèle:S mini-{{#ifeq: -|-| – | - }}Modèle:S mini- siècle

}}s), dans la ville basse, fortement remaniée aux {{#switch: XVIII

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   Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles

}}

}}. Elle a été la mairie de Viviers de 1767 à 1947.

Monuments de la Renaissance

Monuments du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

Modèle:Article détaillé

  • ancien "Grand-séminaire", devenu "Maison diocésaine Charles de Foucauld" <ref name="Maison diocésaine Charles de Foucauld">Modèle:Lien web</ref>. Riche bibliothèque <ref name="La bibliothèque historique du Grand Séminaire">Modèle:Lien web</ref>.
  • ancien Palais épiscopal : actuel hôtel de ville
  • Hôtel de Roqueplane <ref>Simone Hartmann-Nussbaum, L'hôtel de Roqueplane à Viviers, pp. 369-374, dans Congrès archéologique de France. Modèle:150e. Moyenne vallée du Rhône. 1992, Société française d'archéologie, Paris, 1995</ref> : actuel évêché du diocèse de Viviers
  • Hôtel de Tourville
  • Hôtel de Mercoyrol de Beaulieu<ref>Modèle:Base Mérimée : Hôtel de Fontanes puis de Beaulieu</ref>.Après avoir acheté plusieurs lots, Pierre de Roqueplane fait bâtir un hôtel à partir de 1734, correspondant à l’aile droite. Jean de Roqueplane et Pierre de Fontanes ayant hérité, chacun pour moitié de l'hôtel de Pierre de Roqueplane, Jean de Fontanes achète la part de Jean de Roqueplane. Pierre de Fontanes entreprend alors de faire continuer les travaux par l'entrepreneur François Lustrou dit Béziers, entre 1760 et 1765. Madame de Fontanes meurt en 1783 et ses filles héritent de l'hôtel. Ce partage de l'hôtel entre les deux familles, Drivet de la Dernade et Mercoyrol de Beaulieu, entraîne des travaux. À partir de 1860 l'hôtel appartient en totalité à la famille Mercoyrol de Beaulieu. La façade est percée de 24 fenêtres ornées d'écussons et de têtes sculptées comportant un élégant balconnet, ainsi qu'une porte cochère en noyer. On peut également admirer l'impressionnante escalier avec sa rampe en fer forgé.

Bâtiments industriels du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

Constructions du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

Fichier:Pont suspendu de Viviers -1.jpg
Pont suspendu de Viviers
  • Pont suspendu de Viviers sur le Rhône : le pont suspendu sur le Rhône relie Viviers avec Châteauneuf-du-Rhône, construit au début des années 1950 pour remplacer un ancien pont suspendu édifié en 1845, détruit à la fin de la Seconde Guerre mondiale<ref>Modèle:Base Mérimée</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>. L'ouvrage est construit par un groupement d'entreprises comprenant l'entreprise Boussiron, l'entreprise Truchetet-Tanzini, et la Compagnie Fives-Lille. Les travaux de démolition de l'ancien pont ont été entrepris en 1949. Les épreuves du pont ont été réalisées en 1954. Sa longueur totale est de 275 m avec une travée centrale de 165,10 m de portée<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Édifices religieux

Fichier:Cathédrale saint-Vincent de Viviers.jpg
Cathédrale Saint-Vincent de Viviers

Modèle:Article détaillé

De son passé d’évêché, Viviers a conservé un ensemble de remarquables hôtels particuliers et des bâtiments religieux très intéressants<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Patrimoine culturel

Fichier:Viviers - théatre municipal.jpg
Théâtre municipal de Viviers

Ville médiévale, capitale du Vivarais depuis le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, classée Modèle:3e de la région Auvergne-Rhône-Alpes, offre aux visiteurs un véritable musée d'architecture à ciel ouvert.

La commune dispose d'un théâtre en activité, ou sont organisées plusieurs manifestations<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Une statue de Johnny Hallyday a été érigée en 2018 sur la route départementale 86, à quelques kilomètres du centre-ville, la mère de l'artiste étant enterrée dans la commune. Elle constitue depuis un lieu de pèlerinage, notamment à la date anniversaire du chanteur (Modèle:Nobr), pour les fans frustrés que la sépulture de leur idole soit située hors de la métropole. Sculptée par Georges Daniel, la représentation s'élève à Modèle:Unité environ du sol dans le parc du restaurant « Le Tennessee » qui organise des concerts de rock où se produisent parfois des sosies du chanteur disparu<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Patrimoine naturel

Le territoire communal héberge en partie la « ZNIEFF du Vieux Rhône et Losne de Viviers à Pont-Saint-Esprit », classé de type 1<ref>Site inpn.mnhn.fr, fiche de la zone znieff n°820030254, consulté le 19 mai 2021.</ref>.

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Modèle:Blason commune

Modèle:Message galerie 2

Voir aussi

Bibliographie

Articles connexes

Modèle:Autres projets

Liens externes

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Cartes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références nombreuses

Modèle:Palette Modèle:Portail