Xénophon

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Précision date Modèle:Infobox Écrivain

Xénophon (en grec ancien Modèle:Grec ancien / Modèle:Lang) est un historien, philosophe et chef militaire de la Grèce antique né à Athènes vers 430<ref name="Lucien p115" />,<ref name="Date de naissance" group="N">La date de -445, basée sur la participation supposée de Xénophon à la bataille de Délion et défendue entre autres par Jean-Antoine Letronne, Modèle:Google Livres, ne semble plus couramment proposée depuis le début du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. Diogène Laërce dit qu'il était Modèle:Cita en -400 (Modèle:DioVie, art. « Socrate » (1), ce qui peut être compris comme 40 ans.</ref> av. J.-C. et mort vers 355 av. J.-C. Outre l’Anabase et la Cyropédie, il a écrit une suite à l’Histoire de la guerre du Péloponnèse de Thucydide intitulée les Helléniques.

Bien que citoyen d'Athènes, Xénophon est néanmoins l'ami de Sparte. Aristocrate, partisan de l'oligarchie, et proche du roi Agésilas II, il combat notamment en Perse au service de Sparte<ref>Paul Cloché, Les « Helléniques » de Xénophon (livres III-VII) et Lacédémone. In: Revue des Études Anciennes. Tome 46, 1944, n°1-2. p. 12-46. [1]</ref>.

Xénophon, sans le savoir, ouvre la voie aux futures conquêtes d’Alexandre le Grand : dans l’Anabase, outre une description détaillée de son trajet en Asie, il montre qu'un corps expéditionnaire de soldats grecs peut traverser l’Empire perse invaincu. La campagne d'Agésilas en Asie Mineure confirme d'ailleurs la fragilité de l'Empire perse.

Biographie

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Xénophon à l'âge de 20 ans et Socrate, 60 ans, par Raphaël.

430/401 : Athènes

Originaire du dème d’Erchia en Attique<ref>près de l'actuel aéroport d'Athènes</ref>, Xénophon est le fils de Gryllos<ref name="Lucien p115" />.

Sa date de naissance est discutée : comme il était jeune homme au début de l’Anabase, la date approximative de 430 est avancée ; certains auteurs osent des dates plus précises. E. Delebecque propose ainsi la date de 426, correspondant à l'âge minimal pour participer à l'expédition athénienne à Lesbos en 406<ref>Essai sur la vie de Xénophon, p.24</ref> ; ou 428/427 selon l’historienne Claude Mossé<ref>Modèle:Harvsp.</ref>.

Né dans une riche famille aristocratique, il fréquente les sophistes, dont Prodicos à Thèbes. Disciple de Socrate<ref name="Lucien p115" />, il dresse de son maître le portrait d’un homme plus attiré par la morale et la logique que par la métaphysique, comme ceci apparaît dans l’Apologie de Socrate, les Mémorables et le Banquet<ref>Modèle:DioVie, Socrate (8)</ref>.

404/401 : Rencontre avec Socrate

Il devient l’élève de Socrate<ref name="Lucien p115" />. Pénétré d'idées oligarchiques, il est hostile à la restauration de la démocratie après la tyrannie des Trente ; au sein des Socratiques, il ne s'entend ni avec Aristippe ni avec Platon, à qui il reproche de déformer les idées de Socrate par la superposition de leurs propres idées<ref>D’après Philostrate d'Athènes, Vie d’Apollonios de Tyane, Ch. XXXV</ref>. D’après Photios, Xénophon est aussi l'élève d’Isocrate<ref name="photios">Photios, la Bibliothèque : notice 260</ref>.

Selon Strabon, puis Diogène Laërce, Xénophon aurait combattu à la bataille de Délion, où Socrate lui aurait sauvé la vie alors qu'il était tombé de son cheval, chose impossible vu la date de naissance de Xénophon (430 ou 426) et celle de la bataille de Délion (424). L'épisode apocryphe n'est qu'une variation du sauvetage d'Alcibiade par Socrate à la bataille de Potidée.

Auditeur de Socrate, il prend son enseignement en notes. Si, selon les écrits de Diogène Laërce, les premières traces de la sténographie remonteraient à 430, les historiens considèrent Xénophon comme l’un des contributeurs précoces à cette invention : au Modèle:Lien siècle av JCModèle:Vérification siècle, il consigne ses pensées sur Socrate en utilisant un système d’écriture rapide en grec.

401/399 : Mercenaire et stratège

Appelé à la cour par son ami le stratège Proxène de Thèbes, il joint en observateur l’expédition de Cyrus le Jeune contre son frère Artaxerxès II (400). Il part un an avant la mort de Socrate<ref>Modèle:DioVie, art. Xénophon (7)</ref>. La bataille de Counaxa, en 401, est perdue du fait de la mort de Cyrus et bien que les Grecs eussent défait les Barbares et n’eussent perdu aucun homme.

La retraite des Dix Mille

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Buste d'un strategos coiffé d'un casque corinthien, vers 400.
Fichier:The Return of the Ten Thousand under Xenophon.jpg
Les Dix Mille dont l'arrière-garde était commandée par Xénophon aperçoivent la mer : Thalassa ! Thalassa !

Modèle:Article détaillé Cléarque dirige alors la retraite des Dix-Mille vers le nord. Des contacts sont noués avec le satrape Tissapherne, mais le spartiate Cléarque et la plupart des autres chefs tombent dans un guet-apens. Cléarque est décapité avec de nombreux officiers de son état-major, dont Proxène de Thèbes, ami de longue date de Xénophon. Ce dernier est élu stratège commandant de l’arrière-garde des mercenaires grecs, que dirige le général spartiate Chirisophos, successeur de Cléarque.

La retraite des mercenaires est restée dans l’histoire sous le titre de retraite des « Dix Mille » : les Grecs de la retraite sont Modèle:Nombre au départ et Modèle:Nombre à l'arrivée à Byzance. Xénophon décrit dans son ouvrage l’Anabase les multiples péripéties d'un trajet long et difficile, tant du fait de la géographie et du climat que de l'opposition des multiples peuples montagnards. Il se montre très soucieux du sort de ses soldats, dont les mésaventures continuent, une fois qu'ils sont descendus des montagnes : avec les cités grecques, avec la flotte spartiate et avec les diverses peuplades littorales. Il remet le commandement des restes de l'armée au spartiate Thimbron pour une campagne contre les satrapes perses en Asie Mineure.

399/394 : Athènes et Sparte

À son retour à Athènes, il est mal accueilli car il s'est mis au service de Sparte. Il part alors pour Sparte, où il est incorporé aux troupes du roi Agésilas II qui combattent en Perse. Il est dès lors banni d’Athènes et dépossédé de ses biens.

394/374 : Exil à Scillonte, dans le Péloponnèse

En 394, il se bat contre les Athéniens à Coronée ; Athènes le bannit pour cette trahison et ses idées politiques en faveur de Sparte<ref>Modèle:Harvsp</ref>. Il se marie avec Philésia, qui lui donne deux fils, Gryllos et Diodore, surnommés « les Dioscures ». À la demande du roi Agésilas II, il fait venir ses fils à Sparte pour y être élevés à la mode spartiate<ref>Modèle:Méta-modèle source{{#if: |Modèle:Espace« {{{référence}}} »|}} Agésilas (20)</ref>. Après avoir vécu à la cour du roi, il quitte Agésilas, et s’établit à Scillonte, en Élide, sur la côte ouest du Péloponnèse, territoire proche d'Olympie, site des Jeux Olympiques. D’après Démétrios de Magnésie, il est rejoint par sa femme et ses deux fils<ref>D’après Dinarque, De l’Apostasie, livre écrit contre Xénophon, cité par Diogène Laërce (Art. Xénophon, 4)</ref>. Il passe plus 20 ans à Scillonte. En 362, il autorise ses deux fils à combattre dans la cavalerie athénienne aux côtés des Spartiates : Gryllos meurt au combat lors de la bataille de Mantinée.

374/355 : Corinthe

Sur son domaine, il rédige ses ouvrages, notamment l’Anabase et s’adonne entre autres à la chasse. Il rentre à Athènes en 365<ref>Modèle:Harvsp</ref> lorsqu'une guerre entre Sparte et les Éléens l’oblige à quitter Scillonte ; il se réfugie à Élis, puis à Corinthe. Le grammairien Démétrios de Magnésie le dit mort à Corinthe ; Lucien de Samosate dans ses Exemples de longévité écrit qu'il a vécu 90 ans<ref name="Lucien p115" />. Athènes, alliée de Sparte, lève la sentence de bannissement en 367 ; Istros, historien grec du Modèle:Lien siècle av JCModèle:Vérification siècle<ref>Modèle:Harvsp.</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>, dit qu'il fut exilé par ordre d'Eubule et rappelé par son avis<ref>Modèle:DioVie, art. Xénophon</ref>,<ref>Felix Jacoby, F. Gr. Hist 334 F 32</ref>. Dion de Pruse, dans le {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | VIIIe{{#if:|  }} }} Discours, rapporte que Xénophon était déjà exilé pour sa participation à la campagne de Cyrus quand Diogène de Sinope arrive à Athènes<ref>Modèle:Harvsp</ref>. Or, c'est inexact. Il meurt en 355<ref name="Lucien p115">Modèle:Harvsp.</ref> ou peu après<ref>Modèle:Chapitre</ref>.

Pensée de Xénophon

On peut distinguer dans l’œuvre de Xénophon des thèmes récurrents, correspondant aux différents aspects de sa vie d'homme politique, de militaire, et de disciple de Socrate :

Philosophie socratique

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L'art du commandement

Xénophon aborde le thème de l'art du commandement — l'art de se faire obéir avec plaisir<ref>Voir par exemple, Économique, chap. XIII, 6 (Belles Lettres, coll. « Classiques en poche », 2019, p. 103 ss). On peut rapprocher cette « définition » de ce mot de Harry S. Truman : « I learned that a great leader is a man who has the ability to get other people to do what they don't want to do and like it. »Modèle:Lien web</ref> — dans au moins cinq de ses ouvrages :

La Cyropédie

Xénophon écrit, dans sa Cyropédie, une biographie romancée du Perse Cyrus II, une des toutes premières réflexions sur le leadership<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>,<ref>Modèle:Ouvrage</ref>. Il s'agit d'un « Émile » avant la lettre, une éducation idéale selon les préceptes de son maître Socrate. Selon Peter Drucker, on n'a rien écrit de mieux sur la question depuis<ref>Modèle:Ouvrage. Modèle:Commentaire biblio</ref>.

L’Anabase

Élu stratège, c'est lui qui assure le succès de la retraite des Dix mille. Ses nombreux discours aux troupes. Le soin qu'il prend de ses hommes. Ses négociations avec les adversaires.

L’Hipparque

Dans l’Hipparque, Xénophon donne des conseils à un commandant de cavalerie. Dont, dans le chapitre 6, les moyens de s'assurer le respect et l'obéissance des hommes.

Les Mémorables

Dialogue de Socrate avec Nicomachides.

L'économie

Xénophon nous offre dans ses Mémorables, son Économique et son Revenus, Modèle:Citation<ref>Modèle:Chapitre.</ref>.

L’Économique

Dans cet ouvrage est décrit la gestion d'un grand domaine financier notamment le rôle central des femmes dans la famille ainsi que la formation et le commandement des chefs de culture à travers le chapitre XI ou encore dans le chapitre XXI les chefs des rameurs.

Les chevaux

Xénophon a rédigé deux traités d'équitation qui sont les premiers à nous être parvenus dans leur intégralité :

  • De l'Équitation (Péri Hippikés)
  • L'Hipparque ou Le commandant de cavalerie.

Dans De l'Équitation (Péri Hippikés), ouvrage qui demeure surprenant par son sous-titre, Xénophon décrit la relation qui existe entre le cheval et son cavalier, pierre-de-touche des traités d'équitation qui suivirent. Son intérêt se porte principalement sur le cheval de guerre. Il y fait référence aux parades. Cinq chapitres concernent précisément l'équitation, les autres portent sur l'achat des chevaux, le dressage des poulains, thème qu'il aborde brièvement, suggérant d'en confier le soin à un professionnel, les soins et des instructions destinées aux palefreniers. Dans le dernier chapitre, il décrit l'armement du cavalier.

L'Hipparque ou Le commandant de cavalerie est consacré aux fonctions du commandant de cavalerie, et constitue plus un manuel de technique militaire et un guide pour ceux qui envisagent de poursuivre une carrière politique. À Athènes, le commandement de la cavalerie était attribué à deux généraux qui étaient élus tous les ans par l'Ecclésia, l'assemblée du peuple citoyen, pour occuper ce poste prestigieux, à la fois militaire et politique<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

Œuvres

Sources

Œuvres de Xénophon

Xénophon a écrit quatorze livres :

  • Quatre historiques
  • Quatre philosophiques ou moraux
  • Quatre didactiques
  • Deux politiques

Historiques

  • Helléniques, récit de l'histoire grecque entre 411 av. J.-C. et 362 av. J.-C.
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Philosophiques

  • Mémorables (Modèle:Grec ancien / Modèle:Lang) : récits sur la vie de Socrate où Xénophon se veut le porte-parole de son ancien maître<ref>Les Mémorables est le plus connu des ouvrages consacrés par Xénophon à la mort de son maître. Ce sont des dialogues socratiques, mélange entre le traité philosophique et un livre de souvenirs. Socrate considéré comme un des pères de la philosophie occidentale et l'un des inventeurs de la philosophie morale et de la logique, a exercé une grande influence sur l'esprit de Xénophon qui passa plusieurs années à le suivre et à l'écouter s'entretenir avec toutes sortes de personnes sur toutes sortes de sujets. Ce sont ces entretiens qu'il a recueillis dans les Mémorables. Xénophon aurait commencé à écrire cette œuvre vers la fin de sa vie, à partir de -370. Ces années furent marquées pour lui par des voyages et des guerres avec des péripéties de toutes sortes.</ref>
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  • Le Banquet, série de discours portant sur la nature et les qualités de l’amour.
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  • Hiéron. De la tyrannie. Hiéron, Tyran de Syracuse, fondateur d'Etna.
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Didactiques

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Représentation de cavalier à Pazyryk, env. 400. On distingue une muserolle sur le harnachement du cheval, comme le conseillait déjà Xénophon.
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  • L'Hipparque, court traité destiné à un jeune hipparque, officier commandant une hipparchie d'environ 500 cavaliers.
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Philosophie politique

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  • Des revenus, livre de réformes économiques préconisées pour la cité d'Athènes, fondées sur la bienveillance et la paix.
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Pseudo-Xénophon

Annexes

Modèle:Autres projets

Éditions (œuvres complètes)

  • Opera, édi. par E. C. Marchant, Harvard University Press, coll. « Loeb Classical Library », 7 vol., 1947-1968. Texte grec et traduction annotée
  • Xénophon. Œuvres complètes, trad. Pierre Chambry, Garnier-Flammarion, 3 vols., 1967 :
    • T. 1 : Cyropédie - Hipparque - Équitation - Hiéron - Agésilas - Revenus
    • T. 2 : Anabase - Banquet - Économique - De la chasse - La République des Lacédémoniens - La République des Athéniens
    • T. 3 : Les Helléniques - Apologie de Socrate - Les Mémorables

Bibliographie

Bibliographie sur Xénophon

Années 1850
  • Eugène Talbot, Introduction aux Œuvres complètes de Xénophon et leur traduction, p. i…cxvii , 1850.
  • Alfred Croiset, Xénophon, 1878.
Années 1950
  • Édouard Delebecque, Essai sur la vie de Xénophon, Belles Lettres, Paris, 1957.
  • J. Luccioni, Les idées politiques et sociales de Xénophon, Publications de la Sorbonne, Paris, 1957.
Années 1960
  • {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} H. R. Breitenbach, q.v., Realencyclopädie der classischen Altertumswissenschaft, 9A2, 1967, col. 1569-2052.
Années 1980
  • {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} John Adair, « Leadership Through Knowledge », dans : Great Leaders, The Talbot Adair Press, 1989, Modèle:Pp. 13-28.
Années 1990
  • Modèle:Ouvrage
  • Leo Strauss, Le discours socratique de Xénophon, Combas, L'Eclat, 1992.
  • Leo Strauss, De la Tyrannie. Gallimard, 1998. Cet ouvrage comporte une étude de Leo Strauss sur le Hiéron de Xénophon, en réponse à Tyrannie et sagesse d'Alexandre Kojève.
Années 2000
  • {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} J. K. Anderson, Xenophon, London Classical Press, Londres, 2001.
  • Vincent Azoulay, Xénophon et les grâces du pouvoir, De la charis au charisme, Publications de la Sorbonne, Paris, 2004.
  • Modèle:Ouvrage
  • Xénophon et Socrate — Actes du colloque d'Aix-en-Provence (6-9 novembre 2003), sous la direction de Michel Narcy et Alonso Tordesillas, suivis de Les écrits socratiques de Xénophon et du Supplément bibliographique (1984-2008), par Louis-André Dorion, Paris, Vrin, 2008. Modèle:ISBN.
  • Modèle:Article
  • « Xénophon », Cahiers des études anciennes, XLV, 2008 Modèle:Lire en ligne
  • Modèle:Article
  • Xénophon, Encyclopédie Larousse en ligne<ref>[2]</ref>
  • Marein, M.-F., L’agriculture dans la Grèce du IVe siècle : le témoignage de Xénophon, Paris, L'Harmattan, 2009
Années 2010
  • Modèle:Ouvrage.
  • {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} John Adair, « The Origins of Situational Approach. Xenophon on Leadership », dans : Lexicon on Leadership, Kogan, 2011, p. 180-184.
  • {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Joseph Epstein, « Xenophon. The Third Man », dans : Essays in Biography, Axios Press, 2012, p. 539-550.
  • {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} William Cohen, « Leadership Lessons from Xenophon », dans : Drucker On Leadership (2009), seconde édition, 2015, Page, Modèle:Pp 127-133.

Articles connexes

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Références

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Notes

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Liens externes

Bases de données et dictionnaires

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