Jumencourt

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Modèle:Infobox Commune de France

Jumencourt est une commune française située dans le département de l'Aisne, en région Hauts-de-France.

Modèle:Sommaire

Géographie

Bâtie sur la rive droite de l'Ailette<ref>Modèle:Lien web</ref>, la commune de Jumencourt est située à l'ouest de Laon (Modèle:Unité), au nord de Soissons (Modèle:Unité) et au sud de Chauny-Tergnier (Modèle:Unité).

Elle est composée du hameau de Trébécourt, en direction de Coucy-le-Château-Auffrique<ref>Modèle:Lien web</ref> sur la Modèle:Nobr. Le village est traversé d'est en ouest par la RD 532. L'Oussant<ref>Modèle:Ouvrage</ref> est un petit ruisseau, affluent de l'Aillette qui traverse le territoire communal sur une distance de Modèle:Unité.

Sur le territoire de Jumencourt, existe deux ZNIEFF, zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique ; la CORNICHE DE JUMENCOURT À QUINCY BASSE et le BOIS DU MONTHIZEL ET MARAIS DE NOGENT. Il existe également une ZICO, zone d'importance pour la conservation des oiseaux ou zones d’intérêt communautaire pour les oiseaux, située au nord de la commune sur les lieux-dits la Haute Borne et les Remises, nom : le massif de Saint-Gobain, référence : PE05, carte. Description du massif en 1956<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

Balade sur l'ancienne voie ferrée Anizy-Coucy, lieu-dit : la Prairie de Jumencourt ; les pâturages aux alentours de Jumencourt sont en bon état de conservation. Près de l’ancienne gare, se trouve une prairie privée en friche. La végétation y est haute et dense, composée de fromental élevé, pâturin commun, du lotier corniculé, d’origan commun, d’achillée millefeuille, de picride fausse-épervière, de séneçon jacobée et de tanaisie commune. À noter, la présence de laîche étoilée et de Gesse des bois. En lisière, on trouve de la fougère aigle.

Les fourrés sont composés de prunellier, de rosier des chiens, de sureau noir, de cornouiller sanguin, de chêne pédonculé. La hauteur moyenne de ces arbustes est de trois à cinq mètres. On trouve également du lierre grimpant et le gaillet gratteron. Les fourrés humides, qui se trouvent dans une mosaïque roselière, sont composés de saules blanc et cendrés, de frênes communs, de peuplier du Canada. On trouve également la laîche des forêts, l’épilobe, la berce commune.

Les milieux fermés sont composés de plantations de peupliers avec le développement d’épilobe hérissé, de reine des prés et de laîche pendante.

Les milieux humides sont composés de fossés, dans lesquels on peut trouver de la petite berle, de l’iris jaune, des cirses des maraîchers et des remarquables lychnis fleurs de coucou. Les roselières sont largement dominées par le roseau commun, l’eupatoire chanvrine, le houblon, le laiteron des marais.

Le lézard des souches et la grenouille rousse sont observables en lisière de boisement. Le grillon champêtre est observable dans les pelouses artificielles.

Les papillons observables sont l’écaille chinée, le petit sylvain dont la présence est liée au chèvrefeuille, le petit mars dont la présence est lié aux saules et peupliers.

Dans les fossés, sont observables le criquet verte-échine et le Cordulégastre annelé. On trouve également des mollusques, tel que le Maillot des mousses, Caragouille élargie ou la limnée commune.

À l’est de Jumencourt, est observable le Criquet des clairières. Au sud de Trébécourt, la prairie humide est favorable au criquet ensanglanté.

Localisation

Fichier:Jumencourt (Aisne) city limit sign.JPG
Entrée de Jumencourt.

Urbanisme

Typologie

Jumencourt est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en décembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Soissons, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (74,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (54,4 %), forêts (21,4 %), zones agricoles hétérogènes (15,6 %), zones urbanisées (4,5 %), prairies (4,1 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>.

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Histoire

Des fossiles de reptiles et de mammifères ont été découverts datant du Lutétien<ref>Modèle:Ouvrage</ref>,<ref>Modèle:Ouvrage</ref>,<ref>Modèle:Ouvrage</ref>,<ref>Modèle:Ouvrage</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Ouvrage</ref>,<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

En 1132, Jumencourt était appelé " Injamarcourt"<ref>Modèle:Ouvrage</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>. Nom dont l'origine date de l’époque « barbare »<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Jumencourt dépendait du grenier à sel de la châtellenie de Coucy. Il a été aboli le 12 décembre 1415 et rétabli en 1442<ref name=":0">Modèle:Ouvrage</ref>.

1556, la coutume du Vermandois<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

1630, la coutume de Coucy<ref name=":6">Modèle:Ouvrage</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

En 1668, la peste de Reims<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

Avant le Révolution, Jumencourt dépendait de Landricourt, registre des actes antérieurs à 1790<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

En 1790 a été créée la commune de "Jumencourt, Trébécourt et Grand Champ", appartenant au canton de Coucy-le-Château<ref name=":0" />. Avant cette date le village était considéré comme un hameau détaché de la paroisse de Landricourt. La seigneurie de Jumencourt relevait de celle de Coucy, elle passa à la famille d'Orléans en même temps que celle de Coucy. "Au hameau de Jumencourt existait un fief<ref>Modèle:Ouvrage</ref> qui comprenait une maison seigneuriale avec chapelle…" des vignes, des terres, des bois, deux maisons soit un domaine de 620 hectares.

Il y avait deux autres fiefs démembrés, en 1792<ref>Modèle:Lien web</ref>, de la seigneurie de Montheaumery (Moyembrie) dont le fief Treslecat, et un autre à Trébécourt<ref name=":1">Groupe de Recherches et d’Études des Collections (GREC) de l'AMVCC :Association de Mise en Valeur du Château de Coucy</ref>.

Seigneurs de Jumencourt<ref name=":2">Modèle:Ouvrage</ref>

1185. Gautier, châtelain de Péronne, seigneur de Bray-sur-Somme, Jumencourt, Fresne, Barizis, etc. ; enfants : Jean, châtelain de Péronne ; Lupart<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

1378. Gautier de Gomiecourt, seigneur de Gonnelieu et de Jumencourt, qui épousa Alix de Croisilles, avec laquelle il fonda, à Arras, la Chapelle des 11000 Vierges<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

1525. Jean de Gonnelieu<ref>Modèle:Ouvrage</ref>,<ref name="ga">Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

1591. Antoine de Gonnelieu<ref name=":4">Modèle:Ouvrage</ref>,<ref>Modèle:Ouvrage</ref>, premier écuyer de la grande écurie du Roi, marié à Charlotte de Bossebec<ref>Modèle:Lien web</ref>, assassine Pierre Duprat<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Ouvrage</ref>,<ref>Modèle:Ouvrage</ref>, puis fut assassiné par Guillaume Duprat, frère.

1611. René de Gonnelieu<ref name=":4" />,<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

1614. Léonor de Gonnelieu<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

Seigneur du Hamel et autres

1270. Jean du Hamel, seigneur de Fresnes, Jumencourt et Barisis ; enfants : Colard, Jean.

1406. Jean Tavernier, seigneur de Jumencourt.

1465. Gilles du Hamel, sieur de Bellenglise, Fresnes, Jumencourt, Baisery (Barisis), Lignières, Elincourt épousa Marie de Caix<ref>Modèle:Ouvrage</ref>,<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

1527. Jacques de Pas ou de Paroque, seigneur de Feuquières et Jumencourt. Le 17 janvier 1533, vente de Jumencourt<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

1556. Nicolas de Gouvelieu<ref name=":3">Modèle:Ouvrage</ref>,<ref name=":7">Modèle:Ouvrage</ref>,<ref name=":8">Modèle:Ouvrage</ref>.

1679. Alexandre de Créqui, chevalier, comte de Bernioule, seigneur dudit. En 1887, la cloche de l'église de Bassoles-Aulers, datant de 1613, ayant pour inscription "Haute et puissante dame de Créquy, veuve de feu messire Josias de Bouchavanne, chevalier seigneur dudict lieu, Quincy, Courson, Le Faulx, baron de Ressons-sur-le-Matz et dame de Jumencourt et autres lieux"<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Vers 1700. François des Essarts de Lignières ; abbé de Vermand. Il vendit Jumencourt à

1717. Guillaume Pinet, sieur des Fourneaux, qui le revendit à

1735. Pierre Alexis DUBOIS<ref>Modèle:Lien web</ref> ou Du Bois<ref>Modèle:Lien web</ref> (1690-1764)<ref>Modèle:Ouvrage</ref>, chevalier, vicomte d’Anizy et de Courval, seigneur de Pinon, de la Cour d’Allemant, de Moyembrie, Landricourt, Jumencourt, Houssent, Craone, deTrosly en partie et du Plessier<ref name=":1" />. En 1751, Jean Tribalet procureur du roi en la police de Coucy<ref>Modèle:Lien web</ref>. Le 15 octobre 1795, naissance de son fils aîné<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Seigneurs connus du fief Treslecat<ref name=":2" />

1556. Loys Trelescat, seigneur dudit<ref name=":3" />,<ref name=":7" />,<ref name=":8" />.

1660. Jean Trescat, seigneur dudit.

1670. Louis Trescat, seigneur dudit.

Vers 1695. Pierre Floureau.

1701. Charles Carlier, avocat au parlement de Paris.

1705. Jacques Treslecat, marchand à Coucy.

1711. Jacques Treslecat, son fils.

1828, 250 habitants à Jumencourt<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

Le 3 novembre 1834, le gendarme Dupire de Coucy-le-Château arrête le nommé Picard<ref>Modèle:Lien web</ref>.

1838, vente des archives de M. le Baron de Joursanvault, un liasse de titres datant de 1499<ref>Modèle:Ouvrage</ref>, vente d'une pièce de terre datant de 1489<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

Le 24 février 1840, vente de documents concernant la seigneurie de Jumencourt<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

Le 6 mai 1854, décret déclarant d'utilité publique le dessèchement des marais de la Basse-Ailette, formant la troisième section des marais méridionaux de Laonnois.

Septembre 1857, secours aux communes pour maisons d'écoles, 1500 fr. pour Jumencourt<ref>Modèle:Lien web</ref>

En 1865, "Village de l'ancien Lannois, bâti sur la rive droite de l'Ailette<ref>Modèle:Ouvrage</ref>, à 30 km à l'ouest de Laon, autrefois bailliage de Coucy, élection du diocèse de Soissons<ref name=":0" />, aujourd'hui du canton de Coucy<ref>Modèle:Ouvrage</ref>, arrondissement de Laon, même diocèse. - Population : 1760, 51 feux ; 1800, 273 h<ref>Modèle:Ouvrage</ref>. 1836, 325 h. ; 1856, 296 h. ; 1861, 370 h. - Dépendances : Trébécourt<ref>Modèle:Ouvrage</ref>, le fond de la Carrière<ref>Modèle:Ouvrage</ref> (hameau), Grandchamp<ref>Modèle:Ouvrage</ref>, l'Argentelle<ref>Modèle:Ouvrage</ref> (fermes), le clos Saint-Martin<ref>Modèle:Ouvrage</ref>, le Voyeu<ref>Modèle:Ouvrage</ref> (maisons isolées)"<ref name=":2" />.

1866, session du conseil général du département de l'Aisne, chemins de fer d’intérêt local sur le chemin de Chauny à Anizy-le-Château, observations particulières<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

1867, session du conseil général du département de l'Aisne, direction plus économique, proposé par le service vicinal, de la ligne de Chauny à Anizy-le-Château, étudiée en 1863 par le service des ponts-et-chaussées. Cette étude, destinée à desservir l’importante verrerie de Folembray et les fabriques de sucre des Michettes, de la Feuillée et de Quincy<ref>Modèle:Lien web</ref>...

1869, session du conseil général du département de l'Aisne, exonération de toute participation aux dépenses du chemin Modèle:N° à Jumencourt, chemin de grande communication<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Janvier, rapport de M. Carrette sur le chemin de fer d’intérêt commun<ref>Modèle:Lien web</ref>.

1871, session du conseil général du département de l'Aisne, rapport de l'ingénieur en chef sur le chemin de fer<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Août 1873, session du conseil général du département de l'Aisne, répartition de la subvention aux bureaux de bienfaisance, 55 fr. pour Jumencourt<ref>Modèle:Lien web</ref>.

1874, Jumencourt compte 238 habitants<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

Le 26 octobre 1874, session du conseil général du département de l'Aisne, demande de bourse pour l'enseignement spécial, au collège de Laon au jeune Prinet, Gustave-Sosthène-Émile<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Le 24 décembre, la commission départementale attribue une bourse au jeune Prinet, dont le père est instituteur à Jumencourt<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Le 25 août 1876, séance du conseil général du département de l'Aisne, bourse départementale de M. Prinet, instituteur à Jumencourt<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Le 30 août, séance du conseil général du département de l'Aisne, pour l'emplacement de la station de Landricourt<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Le 24 décembre 1877, session du conseil général du département de l'Aisne, demande de bourse du jeune Prinet<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Avril 1879, rapport de M. le préfet et délibération du conseil général, école de Jumencourt<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Avril 1880, déplacement de la gare de Landricourt<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Juillet, M. Frémeaux, instituteur à Jumencourt<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Décembre, M. Frémeaux, instituteur à Jumencourt<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Janvier 1883, école mixte<ref>Modèle:Lien web</ref> de Jumencourt — directeur : M. Frémeaux<ref>Modèle:Lien web</ref>. Mention honorable<ref>Modèle:Lien web</ref>.

le 29 août, arrêt de la Cour de cassation : les avances, faites à la société de dessèchement de la Basse-Ailette par les propriétaires n'ont pas le caractère d'emprunts sociaux passibles de la taxe sur le revenu<ref>Modèle:Lien web</ref>.

En 1887, on chantait jadis sur le ton de l'hymne de Saint-Jean : Landricourt, Jumencourt, Quincy et Nogent Aubers, Bassolles, Leuilly Pont-Saint-Mard et Guny...

Janvier, M. Frémeaux, instituteur à Jumencourt<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Le 29 mai, la commune de Jumencourt verse 15 francs pour la fondation d'un établissement pour le traitement de la rage<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Le 29 décembre 1892, table alphabétique des noms de villes contenues dans les itinéraires, publiée par Véloce-sport<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Le 23 novembre 1894, recours du sieur Couverchel contre un arrêté du cons. de préf. de l'Aisne, dégradations extraordinaires des chemins vicinaux par le transport de farine<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Le 16 septembre 1895, de Paris à Laon 157 km<ref>Modèle:Lien web</ref>.

1888, recensement en 1886 : 194 h., recensement en 1881 : 258 h<ref>Modèle:Lien web</ref>.

1899, pour éviter la grande côte de Coucy, passer par Quincy-Basse, Landricourt et Jumencourt<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

1900, Guide national et catholique du voyageur en France<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

Le 12 janvier, vente aux enchères de la belle ferme de la Feuillée le samedi 27 janvier 1900<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Le 6 août 1903, cyclisme, Paris - Laon du 9 août<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Le 12 août, M. Alfred Lamy, contremaître à la société sucrière d'Anizy à Jumencourt a reçu la médaille d'honneur des ouvriers et des employés<ref>Modèle:Lien web</ref>.

1905, Dairain, Charles François, né le 9 mars 1885 à Jumencourt (Aisne), classe 1905, matricule Modèle:N°, Bureau de recrutement d'Abbeville<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Jumencourt ne dispose pas de ministre du culte<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Le 7 juillet, décès d'Eugène Blanchart<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Le 21 janvier 1907, dépouillement des manuscrits de la collection Michel sur la Picardie<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Le 12 août 1910, la commune de Jumencourt est sinistrée par les inondations de 1910<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Le 17 février 1911, M. d'Herbe promu officier du Mérite agricole<ref name="lm">Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Le 3 août, le surplus des biens ayant appartenu à la fabrique de l'église de Landricourt et actuellement sous séquestre est attribué à raison de 29 % à Jumencourt<ref>Modèle:Lien web</ref>.

En 1912, Jumencourt fait partie du Laonnois<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Le 17 mars 1912, refus de toutes permissions pour se rendre à Jumencourt<ref>Modèle:Lien web</ref>, pour cause d'épidémies<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

Le 19 avril 1913, B.G. - L.L. ont payé leur abonnement au "Journal des finances"<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Le 15 juillet 1914, M. Octave Geoifroy de Jumencourt, 23927 lauréat du concours des sept merveilles du monde gagne un stylographe de la maison "Mabie Todd and C°"<ref>Modèle:Lien web</ref>.

La grande Guerre

À la fin de la Première Guerre mondiale, le village a été intégralement détruit. Il restait 113 habitants<ref name=":1" />

1914

Le premier septembre, l’odyssée d'un régiment d'infanterie, [[148e régiment d'infanterie|Modèle:148e RI]] et [[45e régiment d'infanterie|Modèle:45e RI]]<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Le 14 novembre, M. Guilin Marcel, prisonnier civil, interné en Allemagne<ref>Modèle:Lien web</ref>.

MITRAILLEUSE A.E., Saint Étienne Modèle 1907, PLATEAU A PROXIMITÉ DE COUCY-LE-CHATEAU. JUMENCOURT<ref>Modèle:Lien web</ref>.

1915

Le 18 juillet, La recherche des disparus, Blanchard, Jules Saint-Vital (Savoie)<ref>Modèle:Lien web</ref>.

1917

Le 12 février, annexe Modèle:N°, [[6e armée (France)|{{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | VIe{{#if:|  }} }} Armée]], la rivière constitue un sérieux obstacle naturel, 2 km de quai de gare construit à Jumencourt<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

En mars, le [[57e bataillon de chasseurs à pied|Modèle:57e bataillon de chasseurs à pieds]] occupe le secteur de Jumencourt<ref>Modèle:Ouvrage</ref>,

Le 21 mars, offensive allemande<ref>Modèle:Ouvrage</ref>,<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

Le 27 mars, un mouvement de repli se produit chez l'adversaire au nord de l'Ailette et permet à la gauche française d'occuper Jumencourt, Landricourt et Courson<ref>Modèle:Ouvrage</ref>; comptes rendus 630/3 du 28 mars et 646/3 du 29 mars du [[37e corps d'armée (France)|Modèle:37e corps d'armée]].

Le 9 avril, au sud de l'Oise : l'artillerie ennemie a plus tiré que les jours précédents notamment sur la région de l'orme de Barisis, Jumencourt et Béthancourt<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

Le 16 avril, Modèle:4e batterie du [[2e régiment d'artillerie coloniale|Modèle:2e régiment d'artillerie coloniale]] est présent dans le bois de Jumencourt, M. Thibaudeau<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Le 21 avril, au matin, les reconnaissances de position commencent immédiatement, le groupe est en batterie dans la région Jumencourt Trébécourt.

Le 4 mai, cette batterie, placée dans la carrière de Jumencourt, subit un tir violent de destruction par obus de 150<ref>Modèle:Ouvrage</ref>

Le 12 mai, le premier groupe du Modèle:270e régiment d'artillerie de campagne (commandant Barberon) passe sur l'autre rive de l'ailette, dans la région de Jumencourt<ref>Modèle:Ouvrage</ref> avec la Modèle:62e division, qui forme avec la Modèle:81e division le [[37e corps d'armée (France)|Modèle:37e corps d'armée]].

Le 4 juin, sur prescription du général Franchet d'Espèrey, rapprochement de la [[3e armée (France)|{{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | IIIe{{#if:|  }} }}]] et de la [[6e armée (France)|{{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | VIe{{#if:|  }} }} Armée]] au cimetière de Landricourt et vers la halte de Jumencourt<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

le 14 juin, dans la zone de la [[3e armée (France)|{{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | IIIe{{#if:|  }} }} armée]] Jumencourt, Coucy-le-Château, Folembray<ref>Modèle:Ouvrage</ref>...

Le 17 juin, M. Favelin André Robert<ref>Modèle:Lien web</ref>, morts pour la France à Jumencourt.

Le 22 août, les batteries du [[54e régiment d'artillerie|Modèle:54e RAC]] occupent leurs positions situées sur les pentes sud du plateau de Jumencourt<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

Le 28 septembre, annexe Modèle:N°, [[6e armée (France)|{{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | VIe{{#if:|  }} }} Armée]], plan d'action de l'artillerie lourde d'action, un canon de 155 G.P.F. et 8 pièces de 16<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

En octobre, bataille de la Malmaison, Modèle:9e batterie mobile de la [[6e armée (France)|Modèle:6e armée]] occupe des positions près de Jumencourt<ref>Modèle:Ouvrage</ref>,<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

Le 20 novembre, le [[32e régiment d'artillerie|Modèle:32e RAC]] prend position près de Jumencourt<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

1918

Le Modèle:1er avril, Les guetteurs remarquent des allées et venues inaccoutumés d'Allemands vers le saillant Fox, la ferme d'Argentel et Jumencourt<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

Le 8 avril, action d'artillerie au sud de Jumencourt<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

Le 30 mai, annexe Modèle:N°, {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | VIe{{#if:|  }} }} armée, Modèle:241e D. au sud de Jumencourt<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

Le 24 août, limite entre 7e et 30e C. A. —...pont sur l'Ailette de la grande route de Chauny, puis Jumencourt, Quincy-Basse (ces points au Modèle:30e C. A.)<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

Le 2 septembre, le Modèle:4e escadron du [[24e régiment de dragons|Modèle:24e régiment de dragon]] se trouve dans le secteur d'attaque de Jumencourt<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

Le 4 septembre, l'armée Mangin atteint les abords de Jumencourt<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>, les Français sont à Coucy<ref>Modèle:Lien web</ref>. M. Tarit René Eugène, M. Tessier Gabriel Lucien<ref>Modèle:Lien web</ref>, morts pour la France à Jumencourt. M. Loncan Gabriel Aristide René, grièvement blessé à Jumencourt<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Le 5 septembre, l'armée Mangin se place sur la ligne Chauny-Laon à Jumencourt<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Ouvrage</ref>. Présence du Modèle:56e RAC<ref>Modèle:Ouvrage</ref>. Présence du [[81e régiment d'infanterie|Modèle:81e RI]]<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

Le 6 septembre, progression à l'est vers le village de Jumencourt<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Le 7 septembre, M. Delville Alphonse Joseph Ernest, mort pour la France à Jumencourt<ref name=":5">Modèle:Lien web</ref>. Présence du Modèle:2e escadron du premier régiment de hussard<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

Le 14 septembre, M. Auzolle Jules Hippolyte Victor<ref>Modèle:Lien web</ref>, M.Langlet Joseph Edgard Jacques<ref name=":5" />, M. Bellanger Léon Auguste<ref>Modèle:Lien web</ref>, morts pour la France à Jumencourt.

Le 15 septembre, M. Lahitte Joseph<ref>Modèle:Lien web</ref>, morts pour la France à Jumencourt.

Le 16 septembre, M. Perrissin Rémy, mort au combat<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

Le 11 avril 1919, Jumencourt fait partie de la liste des communes où l'indemnité sera provisoirement attribuée au taux le plus faible<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Le 4 août, avis aux entrepreneurs pour soumissions de travaux, Modèle:5e marché consistant en l'érection de maison provisoires<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Le 13 avril 1920, application de la loi du 30 mars 1919, Modèle:2e échelon pour Jumencourt<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Le 27 juillet, application de la loi du 30 mars 1919, Modèle:2e échelon pour Jumencourt<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Le 20 octobre, Jumencourt citée à l'ordre de l'armée<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Le 10 mai 1921, accident mortel sur le passage à niveau<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref name="lm" />,<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Le 5 juin, création d'une section de l'UNC<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Le 30 juillet, application de la loi du 30 mars 1919, qui a ouvert aux différents départements ministériels des crédits en vue de l'attribution d'indemnités spéciales aux fonctionnaires des régions dévastées, et des décrets des 29 mars, 5 juin et 20 novembre 1920, qui fixent les taux et conditions d'attribution desdites indemnités : Jumencourt 20 %<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Le Modèle:1er septembre, description de l'itinéraire routier Paris-Laon, passant par Jumencourt<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

Septembre, demande de bourse Lucien Vaillant<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Le 12 juin 1922, Mme Maillard Angèle reçoit la médaille des victimes de l'invasion, contrainte au travail<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Le 5 août, BUREAU DE L’ÉTAT CIVIL MILITAIRE DE CHAUNY (AISNE) Jumencourt carrière du point du jour, Alliance gravée N. H. M. L. C. 6 mars 1913<ref>Modèle:Lien web</ref>

Le 19 juillet 1923, par arrêté en date du 12 juin, Jumencourt dépend de la Modèle:1re commission<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Le 22 juillet, application de la loi du 30 mars 1919 : Jumencourt 15%<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Le 2 février 1924, application de la loi du 30 mars 1919 : Jumencourt 15%<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Le 19 avril, avis de convocation au siège des commissions cantonales pour voir statuer sur leur demande d'indemnité de dommage de guerre, succession de Regard-Iliverlet<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Le 22 juillet 1925, application de la loi du 30 mars 1919 : Jumencourt 10 %<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Le 13 août, Mme Laborde Mathilde chute place d'Italie<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Le 13 juillet 1927, Mme Vigny Marcelle de Jumencourt, lauréate du concours des jeux de patience<ref>Modèle:Lien web</ref>.

1928, requête présentée par le sieur Ricci, pour réduction de la contribution foncière<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Le 22 janvier 1931, M. Carbonneaux Henri poignarde M. Lombard Étienne<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Le 19 avril, Circuit des cantons du Soissonnais, 160 km à vélo<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Le 24 décembre, déclaration de faillite : Vigny (veuve), boissons<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Mars-avril 1932, les lavabos-vestiaires de l'école de Jumencourt<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Le 9 juin 1934, caisse fraternelle de capitalisation, Mme Flavigny, titre de 5 000 fr<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Le 17 février 1935, vente aux enchères de parcelle de peupleraie le 13 mars<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Le 12 mai 1936, session du conseil général du département de l'Aisne, cheminement de l'autobus Chauny-Laon<ref>Modèle:Lien web</ref> et maintien des trains de voyageurs sur la voie ferrée Anizy-Chauny, par automotrice légère.

Le 26 mai, incendie d'une pépinière le long de la voie ferrée<ref>Modèle:Lien web</ref>.

1937, livret-guide officiel, Chemin de fer du Nord<ref>Modèle:Ouvrage</ref>

Le 26 octobre 1937, session du conseil général du département de l'Aisne, largeur et limites du chemin d’intérêt commun Modèle:N°<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Seconde Guerre mondiale

La drôle de guerre 1939-1940

Le 3 février 1939, Modèle:57e liste pour la grande souscription pour le développement du "Populaire"<ref>Modèle:Lien web</ref>.

1940-1945

Le 5 mai 1942, dissolution du conseil municipal<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Le 22 juin 1942, modification des délégations spéciales<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Politique et administration

Découpage territorial

La commune de Jumencourt est membre de la communauté de communes Picardie des Châteaux, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le Modèle:Date-, issue de la fusion de la communauté de communes des Vallons d'Anizy et de la communauté de communes du Val de l'Ailette. Son siège est à Pinon. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Laon, au département de l'Aisne et à la région Hauts-de-France<ref name="meta">Modèle:Lien web.</ref>. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Vic-sur-Aisne pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015<ref name="meta"/>, et de la quatrième circonscription de l'Aisne pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010<ref name="Rattachements-elect">Modèle:Lien web.</ref>.

Administration municipale

Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Démographie

Modèle:Population de France/section

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Jumencourt n'a pas d'église<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref> ; l'église de Landricourt est à 1 km.

  • Monument aux morts.
  • Croix de chemin.

Personnalités liées à la commune

Michel Arrighi, cascadeur. Incroyable mais vrai - Émission du 18 octobre 1981<ref>Modèle:Lien web</ref> à la Modèle:23e minute.

Héraldique

Modèle:Article connexe Modèle:Blason commune

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Liens externes

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Cartes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références

Modèle:Palette

Modèle:Portail