5e régiment du génie
Modèle:Titre mis en forme Modèle:Infobox Unité militaire Modèle:Coord
Créé par la loi du Modèle:Date-, le Modèle:5e du génie (Modèle:5e RG), régiment de l'armée de terre spécialisé dans les travaux de voies ferrées, était basé au camp des Matelots à Versailles, raccordé au réseau ferré en gare de Versailles-Matelots. Il appartenait, en dernier lieu, à la brigade du génie spécialisée dans les travaux lourds.
Le Modèle:5e RG était une composante à part entière de l'utilisation des chemins de fer militaires en France. Le Modèle:5e RG a été dissous le Modèle:Date-.
Création et dénominations successives
- le Modèle:Date- création du Modèle:5e du Génie, dit régiment de sapeurs de chemins de fer ;
- le Modèle:Date- dépôt de guerre du Génie no 5, dissous après l'armistice signé le Modèle:Date- ;
- le Modèle:Date- dissolution des unités de sapeurs de chemins de fer, remplacées par 9 compagnies de sapeurs de chemin de fer, placées sous les ordres du colonel commandant le centre d'organisation du Génie n° 36 (COG 36) qui devient successivement le centre d'organisation du Génie n° 5 (COG5) puis le centre d'organisation du Génie n°522 (COG522) et le Modèle:5e du Génie ;
- le Modèle:Date- le Modèle:5e du Génie redevient le Modèle:5e du Génie (Modèle:5e RG) ;
- le Modèle:Date- dissolution du Modèle:5e RG dont le 19e régiment du génie (Modèle:19e RG) reprend les missions en conservant une partie du patrimoine et des traditions.
Colonels/chefs de corps
Liste complète<ref>Fabrice Hamelin, Le Modèle:5e Régiment du Génie, d'hier et d'aujourd'hui, Lavauzelle, Panazol, 1997</ref> Modèle:Colonnes
Historique des garnisons, combats et batailles du Modèle:5e RG
De 1871 à 1914
Après la guerre de 1870-1871, les unités de sapeurs de chemins de fer ne sont pas reconstituées. En 1876, réapparaissent les unités spécialisées, compagnies d'ouvriers de chemin de fer, qui seront regroupées à Satory en 1876 sous les ordres d'un chef de bataillon mais sans constituer une unité distincte<ref>Décret du 3 janvier 1876</ref>. En 1876, les compagnies de chemin de fer rejoignent Versailles et forment deux bataillons spéciaux. Le Modèle:20e du Modèle:1er est en garnison à Toul à la caserne Perrin-Brichambault. Le Modèle:Date-, le Modèle:20e, spécialisé chemin de fer et les deux bataillons spéciaux passent au Modèle:5e du génie.
Le Modèle:Date-, le régiment de sapeurs de chemin de fer prend le no 5 ; il comprend trois bataillons à quatre compagnies.
Après sa création en 1889, le Modèle:5e du génie hérite de l’exploitation de la ligne Chartres - Orléans. La Compagnie du Chemin de fer de Paris à Orléans conserve la gestion des gares de Chartres, Orléans et Voves. Seules la gare de Patay et cinq autres stations sont mises à la disposition des militaires qui doivent permettre aux cadres subalternes de pratiquer un service complet<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Tout y était militaire, du guichetier au chef de gare, du chauffeur de locomotive aux agents d'exploitation. Deux raisons conduisaient à cela : la nécessité pour les personnels du Modèle:5e du génie de pouvoir rouler en métropole et l'intérêt des sociétés privées chargées de la mise en œuvre d'un réseau ferré de pouvoir disposer de personnel qualifié pouvant aller dans les colonies françaises participer à l'exploitation des lignes qui ont fait l'objet de concession. Deux postes de bifurcation offrent la possibilité de former des aiguilleurs. Un trafic de dix trains permet la formation d’un nombre suffisant d’agents : les militaires prennent en charge le mouvement des trains, le service marchandises à grande vitesse et éventuellement la conduite sous réserve d’avoir suivi un stage au dépôt de Chartres.
Les employés des compagnies de chemin de fer étaient affectés aux Modèle:21e, Modèle:22e et Modèle:23e du Modèle:5e, pendant leur service militaire et comme réserviste. Les sapeurs de chemins de fer pouvaient être détachés dans les réseaux<ref>règlement du 28/11/1891</ref>.
En 1901, création du Modèle:24e du Modèle:5e qui réunit les personnels colombophiles et télégraphistes militaires et prend garnison au Mont-Valérien, puis passe au [[8e régiment de transmissions|Modèle:8e de génie]] en 1912.
En 1901, la Compagnie 23/3, commandée par le Capitaine Guyot a ouvert les remparts de Pékin et construit la partie intramuros de la gare Zhengyangmen. Cette opération a été rendue possible après la réalisation d'une carte de la ville établie d'après les photographies aériennes réalisées par la section d'aérostiers du [[1er régiment du génie|Modèle:1er du génie]]<ref>Précis des unités du Génie de 1793 à 1993 (ND) par le Cne(er) Giudicelli et le Maj(er) Dupire</ref>.
Première Guerre mondiale
À la mobilisation, le Modèle:5e du Génie était composé de Modèle:Unité : 16 d'active (numérotées de 1 à 16), 16 de réserve (17 à 32) et Modèle:Nombre (1T à 4T). Les bataillons sont numérotés de 1 à … dans la spécialité.
Dès Modèle:Date-, le Modèle:5e du Génie verse à l'artillerie ses spécialistes en [[Voie étroite|voie de Modèle:Unité]]. Si le Modèle:5e du Génie construit et exploite les [[voie normale|voies normales (Modèle:Unité)]], il exploite sans les construire les autres types de voies, les règles d'exploitation étant identiques. Pendant la Première Guerre mondiale, le régiment est à la disposition du Président du Conseil (le chef du gouvernement sous la Troisième République). Le Modèle:5e est exclusivement orienté vers la voie normale. Ses missions sont doubles : mise en valeur des territoires et colonies françaises d'une part et transport logistique sur les arrières, actions de freinage en Modèle:1er et maintien d'itinéraire en Modèle:2e d'autre part. Cette spécificité explique entre autres l'appartenance du Modèle:5e RG à la réserve ministérielle aux premiers jours de la Première Guerre mondiale.
Par la suite, le tonnage de la logistique a totalement saturé les capacités du commandement de la logistique et il ne rentrait pas dans les missions du Modèle:5e RG d'exploiter le fret. La Modèle:3e Direction a donc pris en charge sa propre logistique. La Modèle:4e Direction, elle, a continué de se focaliser sur sa mission première : l'ouverture, le rétablissement et le maintien d'itinéraire logistique. Au Modèle:5e RG, l'infrastructure jusqu'à la rupture de charge, structures incluses, aux régiments d'artillerie, le reste.
Le régiment instruit et forme tous les cheminots responsables de l'établissement des voies normales ainsi que des voies de Modèle:Unité.
Le Modèle:5e du Génie vit pendant la guerre 1914-1918, ses effectifs s'élever peu à peu à Modèle:Unité, groupant Modèle:Unité et Modèle:Nombre. Un total de près de Modèle:Nombre au Modèle:5e RG, dont les coolies chinois, les travailleurs indochinois et malgaches, fut atteint en 1917.
En 1918, ils avaient reconstruit Modèle:Unité de voies ferrées, Modèle:Unité de pont et Modèle:Unité d'estacade. Le Modèle:5e RG a réalisé la majeure partie des Modèle:Unité de voie ferrée construits pendant le conflit.
Entre-deux-guerres
À partir de 1920, les compagnies du Modèle:5e RG, venues d'Afrique du Nord, rejoignent leur affectation d'origine. Les autres sont réparties en bataillons dont : un bataillon au Maroc (Modèle:51e) en 1925, un au Levant (Modèle:53e), un à l'Armée du Rhin (Modèle:52e), trois compagnies voie ferrée au Maroc, quatre compagnies voie ferrée en Allemagne, deux compagnies voie ferrée à Constantinople, les autres restant en portion centrale.
Les effectifs resteront conséquents jusqu'en 1925 pour la reconstruction des infrastructures ferroviaires des treize départements dévastés par la guerre.
Le Modèle:52e RG est stationné à Trèves<ref>Manuel du Gradé du Génie de 1927</ref> Quartier de la Malmaison, du Modèle:Date- au Modèle:Date-. Après la dissolution de l'Armée du Rhin, son bataillon voie ferrée rejoint le [[15e régiment du génie|Modèle:15e du génie]]<ref>Historique du Modèle:15e du Génie de l'Air, 1982/1983, Service historique des Armées, Vincennes}</ref>.
Seconde Guerre mondiale
En 1939, le Modèle:5e RG installe les camps d'Argelès et du Barcarès (Pyrénées-Orientales) puis effectue des travaux sur le port de Lorient. Début Modèle:Date-, le Modèle:5e RG est envoyé le long de la frontière belge afin de faire sauter voies ferrées, aiguillages, etc.. De nombreux soldats sont mitraillés par les Allemands.
Deux Modèle:Unité connues passent en Suisse le Modèle:Date-. Le lieutenant Chemel commandait la Modèle:542e, il restera avec la section d'arrière garde chargée de faire sauter les voies derrière eux. Cette section passera ensuite sous le commandement du Lieutenant Baron le Modèle:Date- au passage en Suisse, on pense que le lieutenant Chemel a rejoint Londres. Les deux Modèle:Unité, ou ce qu'il en reste, seront internées en Suisse du Modèle:Date- à Modèle:Date-. Après la guerre, ces deux Modèle:Unité ne seront reconnues ni combattantes, ni prisonnières<ref>Notes personnelles d'un ancien de la Modèle:542e Cie</ref>.
Après l'armistice de 1940, 3000 sapeurs du régiment sont prisonniers en Allemagne. Un certain nombre rejoignent les mouvements de résistance<ref name="patrimoine5r_histo">Historique du 5e Génie</ref>,<ref name="chanteraines96">La « voie» des Chanteraines, n°96</ref>.
À partir de septembre 1944, durant les campagnes de France et d'Allemagne, les unités du Modèle:5e apportent leur aide dans la reconstruction des ouvrages d'art. Elles participent à la bataille d'Alsace et au franchissement du Rhin au sein de la Première Armée<ref name="patrimoine5r_histo"/>. Notamment, entre le 23 avril et le 30 juin 1945, les Modèle:Unité 5/1 et 5/5 SCF réalisent la construction du pont-rail de Kehl<ref name="video_15mn">Vidéo de 15 min réalisée par la ville de Versailles, l'ECPA-D et le 5e RG et retraçant 120 ans d'histoire du régiment</ref>,<ref name="video_dohm">Fiche documentaire Image'Est : vidéo familiale de Madame Dohm en 1947 - pont de Kehl et plaque commémorative sur laquelle on peut lire « 1ère Armée Rhin et Danube. Pont de Kehl sur le Rhin. Construit entre le 23 avril et le 30 juin 1945 par le groupe des Compagnies 5/1 et 5/5 SCF du Génie Français avec le concours du 1051e Engineers U.S. Army »</ref> avec le concours du Modèle:1051e Engineers U.S. Army. Ce pont assurera seul l'ensemble du trafic ferroviaire entre la France et l'Allemagne passant par Strasbourg de 1946 à 1956.
De 1945 à la dissolution
Les missions du régiment sont redéfinies à la Libération. Sa devise devient « Partout, Toujours, Réaliser » en 1946.
Dans les années 1957/1960, le Modèle:5e Génie est présent en Algérie où il est représenté par Modèle:Unité de travaux lourds (TL) ; la compagnie 5/1 dont une section assure le renouvellement de la voie ferrée (voie unique) entre Aïn Sefra et Colomb-Béchar est cantonnée à Aïn Sefra puis Colomb-Béchar ; la compagnie 5/4 est cantonnée à proximité d'Alger et ses différentes sections assurent la remise en état des ouvrages d'art endommagés par les attentats dans l'Algérois et le Constantinois. Il est également représenté au Modèle:3e de l'état-major de la Modèle:10erégion militaire par le capitaine Grillot
De Modèle:Date- à Modèle:Date-, le Modèle:5e RG comprenait Modèle:Unité d'instruction A et B, la Modèle:21e de commandement, le bataillon de travaux lourds (Capitaine Courtois) avec la compagnie C dont certains sapeurs construisaient des voies ferrées vers Pontault-Combault. Les sapeurs du Modèle:5e du génie faisaient une partie de leur stage traction au dépôt de locomotives de Trappes.
En 1977, le Modèle:5e RG devient le Modèle:5e du génie de division blindée (RGDB). Il conserve une composante voies ferrées. En 1984, il change de structure et abandonne le format Modèle:Abréviation discrète. Ses Modèle:6e et Modèle:7e rejoignent le [[34e régiment du génie|Modèle:34e du génie]] à Épernay. D'autres sont dirigées vers Mourmelon pour renforcer le [[72e régiment du génie|Modèle:72e du génie]] nouvellement créé.
En 1994, le régiment accueille le Modèle:21e du génie de réserve.
En 1998, le Modèle:5e RG devient le régiment de travaux lourds de l'armée de terre.
Il possède divers éléments militaires et ferroviaires<ref>Modèle:Lien archive</ref>. Le parc ferroviaire comporte ainsi plusieurs locotracteurs type Y 7400, des voitures et des wagons parfois anciens, certains en livrée camouflage OTAN ainsi qu'une grue ferroviaire pour la pose d'éléments de ponts Diplodocus, appelé aussi engin poseur de travures de voies ferrées (EPTVF) (sections de voies « pré-montées »), pesant Modèle:Unité et classé au titre objet des monuments historiques en 2005<ref>Modèle:Base Palissy, base Palissy</ref>.
Le Modèle:5e RG organisait tous les ans des journées portes ouvertes autour du double thème du train et du génie militaire.
À la suite de la réforme des armées lancée en 2008 après l'adoption du livre blanc sur la défense, le Modèle:Date-, François Fillon (Premier ministre) et Hervé Morin (ministre de la Défense) ont annoncé la dissolution du Modèle:5e RG<ref>Défense, la nouvelle carte militaire, Le Figaro</ref>. Le Modèle:Date-, le Modèle:5e RG n'est plus. Ses missions sont reprises par le [[19e régiment du génie|Modèle:19e du génie]].
Dernière composition
La dernière composition du régiment est la suivante :
- une compagnie de commandement et de logistique (Modèle:21e CCL) à Versailles ;
- une compagnie d'administration et de soutien (Modèle:12e CAS) à Versailles ;
- une compagnie de travaux de voies ferrées (Modèle:10e CTVF) à Versailles ;
- une compagnie de travaux (1 CT) à Mourmelon-le-grand;
- une compagnie de travaux (Modèle:2e CT) à Mailly-le-Camp ;
- une compagnie de travaux (Modèle:3e CT) à Canjuers ;
- une compagnie de réserve, travaux lourds et travaux de voies ferrées (Modèle:5e CT) à Versailles ;
- une compagnie de réserve, type Proterre (Modèle:6e UIR) à Versailles.
Inscriptions sur le drapeau
Il porte, cousues en lettres d'or dans ses plis, les inscriptions suivantes<ref>Décision Modèle:N°/SGA/DPMA/SHD/DAT du 14 septembre 2007 relative aux inscriptions de noms de batailles sur les drapeaux et étendards des corps de troupe de l'armée de terre, du service de santé des armées et du service des essences des armées, Bulletin officiel des armées, Modèle:N°, 9 novembre 2007</ref> :
Devise
Insigne
Description héraldique : écu français ancien écartelé au 1 et 4 de gueules, au 2 au 3 de sable. En pointe, écu aux armes de la ville de Versailles. En cœur, rondache d’argent à une locomotive franchissant un pont, le tout gravé dans le plan de l’écu. Brochant la rondache en chef, chiffre 5. Sur listel d’or, la devise Modèle:Citation. Fabrication Drago, homologué H. 212 le Modèle:Date-<ref>Major Jacques Dupiré. Les insignes du Génie tome 1. Service Historique de l'Armée de Terre (SHAT)</ref>
Personnalités ayant servi au Modèle:5e RG
- Albert Clément, pilote automobile ;
- Léonard Bordes (1898-1969), peintre ;
- Jean Desmaisons, compagnon de la Libération ;
- Joseph Joffre comme chef de bataillon ;
- André Renaudin, journaliste<ref>Modèle:Article.</ref> ;
- Modèle:Référence nécessaire ;
- Modèle:Référence nécessaire ;
- Pierre Garcia-Fons, peintre et sculpteur.
- Modèle:Référence nécessaire (1929-2019).
Systèmes militaires
Chemins de fer militaires préservés
- Le chemin de fer Péchot du Fort de Villey-le-Sec ;
- Chemin de fer Froissy-Dompierre.
- Voie Sacrée ferroviaire à Bar-le-duc
Régiments de chemins de fer militaire
- [[68e et 69e régiment d'artillerie à pied|Modèle:68e d'artillerie]] ;
- [[15e régiment du génie|Modèle:15e du génie]].
Sources et bibliographie
- Modèle:Ouvrage, {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6239072s%7C{{ #if: bpt6k6239072s |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}.
- Précis des unités du Génie de 1793 à 1993 (ND) par le Cne(er) Giudicelli et le Maj(er) Dupire.
- Manuel complet de fortification par H. Plessix et É. Legrand-Girarde. Modèle:3e 1909 la Modèle:4e, page 743 et suivantes, traite de l'organisation du Génie, des missions et travaux du Génie.
- Delpey, capitaine, Modèle:5e du Génie - Historique, dactylographié, 122 p. illustré, nlnd
- Fabrice Hamelin, Le Modèle:5e Régiment du Génie, d'hier et d'aujourd'hui, Lavauzelle, Panazol, 1997.
- Manuel du poseur, Génie militaire français.
- Pierre Vincent, Le colonel Richard de Regnauld de Lannoy de Bissy (1844-1906), ingénieur militaire et cartographe (Académie de Savoie, Modèle:Date-), 1989.`
Notes et références
Notes
Références
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- La réserve opérationnelle du Modèle:5e du génie
- Patrimoine du Modèle:5e du génie
- Présentation du Modèle:5e R.G. sur le site du ministère de la Défense
- Historique du Modèle:5e du génie (1914-1919) : campagne contre l'Allemagne. 1920.{{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/{{{n}}}%7C{{ #if: |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}
- La dissolution du Modèle:5e du génie