Aubevoye

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}

Modèle:Infobox Ancienne commune de France

Aubevoye est une ancienne commune française, située dans le département de l'Eure en région Normandie, devenue le Modèle:Date- une commune déléguée au sein de la commune nouvelle du Val-d'Hazey<ref name='creation'>Modèle:Lien web</ref>. Les Albaviens y résident.

Par arrêt du 27 juin 2019, la cour administrative d'appel de Douai a annulé l’arrêté préfectoral portant création de la commune du Val d'Hazey avec effet au Modèle:Date-<ref name = cour_appel_2019>Paris Normandie, La création de la commune nouvelle du Val-d'Hazey, dans l'Eure, annulée par la justice, 5 juillet 2019.</ref>.

Géographie

Aubevoye est située dans la vallée de la Seine, qu'elle borde, et s'étend jusqu'aux coteaux boisés qui la surplombent.

Aubevoye se situe au nord de Gaillon et d'Évreux (respectivement à Modèle:Unité et Modèle:Unité), à Modèle:Unité au sud des Andelys, au sud-est de Louviers et Rouen (respectivement à Modèle:Unité et Modèle:Unité) et à Modèle:Unité au nord-ouest de Vernon.

Communes limitrophes

Modèle:Communes limitrophes

Une partie du lieu-dit « Le Roule » est rattachée à la commune. Tosny et Villers-sur-le-Roule se partagent les autres démembrements.
Avec Aubevoye, l'île du Roule<ref name="a">Modèle:ZNIEFF</ref> est partagée entre Courcelles-sur-Seine et Villers-sur-le-Roule.

Hydrographie

La commune est traversée par le « ru du Canal » <ref name=sandre>Modèle:Lien web</ref> ou « ravine du Hazey », affluent de la Seine, dont la commune est riveraine.

En outre, on relève de nombreuses sources dont le captage permet l'entretien de bassins de rétention pour divers usages : en dernier lieu, celui de Tournebut est employé à l'arrosage des plantes de la commune.

Climat

À titre d'illustration, on a jugé utile d'exposer ci-dessous les normales climatiques du chef-lieu de département<ref>Modèle:Lien web</ref>:Modèle:Climat

Quartiers

On cite les quartiers anciens, d'une part, dans l'ordre des travaux de Charpillon<ref name = dictionnaire>Modèle:Ouvrage.</ref>, et, d'autre part, les quartiers contemporains.

Quartiers anciens

Bethléem, Charlemagne, Chartreuse de Gaillon, Courtillier<ref name="cadastre">Écrit tel que sur le cadastre de 1829.</ref>, La Créquinière<ref name="cadastre"/>, Maison-Rouge, Les Moulins, Le Moutier, La Roque, Le Roule, Saint-Fiacre, Les Vallets, Gros-Mesnil, Tournebu<ref name="cadastre"/>.

Quartiers contemporains

Le parti a été pris de dénommer les quartiers contemporains « résidences ». Parmi elles :

Le clos normand, le clos d'Orléans, Albert-Forcinal, Edmond-Bliard, Charles-Trénet, le clos des vignes, le Hazey, la ferme, la voie blanche, le clos de l'argilière, la Galiotte, Albert-Posier, Charles-Perrault, le chemin vert.

Voies de communication et transports

Voies routières

Aubevoye est desservie par la Modèle:Route départementale sur l'axe Évreux - Les Andelys et traversée par la Modèle:Route départementale sur l'axe Herqueville - Croisy-sur-Eure. Un embranchement emprunte l'artère principale qu'est la rue Saint-Fiacre/rue du général-De-Gaulle/rue de Sarstedt jusqu'à l'entrée de ville de Gaillon.

Un pont routier reconstruit après la Seconde Guerre mondiale traverse la Seine entre la rive gauche albavienne et la rive droite de Courcelles-sur-Seine. Deux ponts existent entre Vernon et Les Andelys.

Pont sur la Seine entre Aubevoye et Courcelles
Pont sur la Seine entre Aubevoye et Courcelles - Modèle:Route départementale.

Transport ferroviaire

La commune est traversée par la ligne ferroviaire de Paris à Rouen.

Le bâtiment voyageurs de la gare de Gaillon - Aubevoye est implanté sur son territoire.

Le tunnel du Roule est l'un des grands ouvrages d'art qu'il a fallu percer sous la commune de Villers-sur-le-Roule dans les années 1840 pour la création de la ligne.

Pont-route RD316 à hauteur de la gare d'Aubevoye (Eure)
Pont-route RD 316 à hauteur de la gare d'Aubevoye (Eure).

Un pont routier, dans le prolongement de celui de la Seine, enjambe les voies.

Transport urbain et interurbain

La commune a aménagé des quais conformes aux normes de transport sur un trajet type.

Une navette emmène les habitants au marché de Gaillon.

En outre, la gare ferroviaire est le point de connexion du réseau interurbain de l'Eure : la ligne 290 y prend ou dépose les voyageurs à destination des Andelys, tandis que la ligne 200 est accessible, sorti de l'emprise de la gare, au niveau de chacun des arrêts de bus aménagés en amont du rond-point de l'avenue de l'Europe, dans le sens Gaillon-Courcelles, soit dans la direction de Gaillon, soit dans la direction opposée des Andelys.

Transport fluvial

Aubevoye est bordé par la Seine. Quelques infrastructures sont disponibles pour l'accostage de péniches sur l'axe Rouen - Paris.

Économie

Revenus de la population

En 2013, 56,50 % des foyers fiscaux sont imposables contre 65,90 % en moyenne nationale. Entre 2006 et 2013, ce sont 220 foyers fiscaux imposables qui ont enrichi la commune. Le revenu fiscal de référence par ménage est de Modèle:Euro, soit inférieur à la moyenne nationale, Modèle:Euro. En revanche, la moyenne de l'impôt sur le revenu net par foyer, Modèle:Euro, s'élève au-dessus du chiffre national, Modèle:Euro<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Concernant les impôts locaux (taux communaux 2014), la comparaison avec deux grandes communes voisines établit les données suivantes :

taux d'imposition Aubevoye Gaillon Courcelles-s-Seine
taxe d'habitation 11,10 12,01 9,15
taxe foncière bâti 22,50 24,01 14,92
taxe foncière non bâti 52,92 72,11 64,97

Secteurs d'activités

Station d'épuration du Hazey - Aubevoye - CCEMS
Station d'épuration du Hazey

Aubevoye dispose de zones d'activités (A, B, C...) spécialisées en artisanats ou industries. Pour ne citer que les sociétés anonymes :

Une extension de la station d'épuration située au bord du Hazey a été réalisée en 2014-2015.

Emploi en 2012

Actifs en emploi et chômeurs à Aubevoye<ref>Modèle:Lien web</ref>

Aubevoye % de la population

active de 15-64 ans

Moyenne

des villes

Actifs en emploi 2 029 85,8 % 90,0 %
Chômeurs 336 14,2 % 10,0 %
Inactifs 852 26,5 % 25,7 %

Activité et emploi selon le sexe à Aubevoye<ref>Modèle:Lien web</ref>

Hommes Hommes :

moyenne des villes

Femmes Femmes :

moyenne des villes

Part des actifs 51,3 % 53,4 % 48,7 % 46,6 %
Taux d'activité 77,7 % 77,6 % 69,6 % 71,0 %
Taux d'emploi 86,5 % 91,0 % 85,0 % 88,8 %
Taux de chômage 13,5 % 9,0 % 15,0 % 11,2 %

Urbanisme

Cadre de vie

La qualité de vie figure au cœur de la politique urbaine, comme en témoignent par exemple l'aménagement de la place devant la mairie ou celui du CRAPA, le réseau de pistes cyclables... La commune est dotée de sentes historiques en nombre encore assez élevé malgré la tendance à la densification des parcelles, qui font le bonheur des marcheurs.

En outre, Aubevoye a été récompensée d'une première fleur au concours des villes et villages fleuris en 2006<ref>Palmarès du Modèle:47e des villes et villages fleuris, 2006. Consulté le 3 janvier 2016.</ref>, avant d'en obtenir une deuxième en 2007.

Un site de déchetterie pour l'ensemble de la communauté de communes est installé dans la zone industrielle<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous la forme latinisée Alba via en 1051<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Ouvrage</ref> et en 1082 (charte de la reine Mathilde), Aubeveia en 1188 (charte d’Amaury III, comte d’Évreux), Aubevia en 1223<ref name="de Blosseville">Modèle:Ouvrage.</ref>, Albevia en 1227 (charte citée dans les Comptes de Gaillon), Aubevoie en 1419 (Lettres patentes d'Henri V), Aubevoye en 1793 et 1801<ref name="Cassini"/> .

Il s'agit d'un toponyme médiéval composé de deux éléments : l'ancien français aube « blanc », dont l'emploi est aujourd'hui limité au sens métaphorique (terme issu du latin vulgaire alba « blanc ») et voye, forme ancienne de « voie » (issu du latin via), d'où le sens global de « voie blanche » en raison de son revêtement. Cependant, on n'a repéré aucun tracé d'ancien itinéraire à ce niveau. L'origine reste donc obscure.

Il existe également aux abords de la forêt de Bord-Louviers, sur la commune de Val-de-Reuil, un lieu-dit La Voie blanche. Or, à cet endroit, un chemin encavé dans le calcaire monte dans la forêt et tranche par sa blancheur avec les couleurs du paysage.

Histoire

Antiquité

Un site tout proche de l'actuelle commune laisse à penser que, dès le Néolithique ancien, de premiers agriculteurs se sont installés dans la vallée de la Seine. Une campagne de fouille menée en 2003-2005 par l'Institut national de recherches archéologiques préventives a conduit à la découverte d'un objet insolite selon les chercheurs : un vase zoomorphe, remontant à Modèle:Unité avant notre ère<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Un autre site de fouille a mis en évidence la présence avant l'an 300 d'une villa dite du « chemin vert » (restitutions techniques)<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Moyen Âge

Propos liminaires : les détails historiques se rapportant à la commune trouvent leur source dans un document écrit qui fait référence, le Dictionnaire historique de toutes les communes du département de l'Eure<ref name = dictionnaire />.

Faisant partie du domaine de Gaillon, Aubevoye fut annexé au comté d'Évreux en 990 au profit de Robert, fils de Richard (duc de Normandie).

En 1082, on trouve cité Aubevoye dans une charte de la Reine Mathilde.

Gilbert d'Auteuil est châtelain à Aubevoye. Il possède notamment le moulin dit d'Auteuil. En 1204, lors de la conquête de la Normandie par Philippe Auguste, il conserve en partie son fief. Mais il doit céder une partie de ses biens à Lambert Cadoc mercenaire au service du roi de France<ref>Louis-Étienne Charpillon et l'abbé Caresme, Modèle:Op. cit., Modèle:P..</ref>.

Premier château de Tournebut (qu'on écrit aussi « Tournebu »), avec chapelle intégrée au corps de bâtiment.

Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

1563 : Le cardinal Charles de Bourbon<ref>The Cardinals of the Holy Roman Church. Biographical Dictionary. Pope Paul III (1534-1549). Consistory of January 9, 1548 (XI). </ref>, archevêque de Rouen, fonde, dans la plaine alluviale de la Seine, la chartreuse Notre-Dame de Bonne-Espérance, considérée à l'époque comme « la plus belle de France ».

1575 : la chapelle Saint-Fiacre<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref> est unie à la chartreuse.

1582 : la copie de la chapelle de Bethléem est achevée.

1590 : Lorsque le cardinal, captif, meurt cette année, son corps est ramené de Fontenay-le-Comte à l'église de la chartreuse et inhumé avec celui des autres princes de la famille Bourbon-Soissons dans leur tombeau.

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Eustache Le Sueur, Albavien pendant trois ans...
Eustache Le Sueur, Albavien pendant trois ans...

1645 - 1648 : Eustache Le Sueur peint en la Chartreuse une série de tableaux en majorité consacrés à saint Bruno. Ils sont visibles au musée du Louvre.

S'illustrera dans le domaine littéraire en fréquentant Hippolyte Charruau, coadjuteur de la chartreuse.

1652 : le Modèle:1er septembre, l'église de la Chartreuse est consacrée par l'évêque d'Évreux Boutault.

1687 : Louis Licherie a achevé une toile représentant la chartreuse<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

Chartreuse de Bourbon-lèz-Gaillon vers 1780
Chartreuse Notre-Dame-de-Bonne-Espérance vers 1780.
Portrait de Dom Baudouin Du Basset
Portrait de Dom Baudouin Du Basset.

1716 : Le peintre Jean II Restout trace le Portrait de Dom Louis Baudouin du Basset, chartreux

1718 : Le peintre Nicolas Bertin visite la chartreuse et note le déplacement du tombeau des princes de Bourbon.

1764 : Incendie de la chartreuse où vivent 24 religieux et 10 frères en 1770 (selon les données de l'abbé Expilly).

1776 : Le 18 septembre, les travaux de reconstruction sont achevés<ref>Modèle:Lien web</ref>.

1780 : On a une illustration de l'allure somptueuse que possède ce bâtiment. C'est à Nicolas Ransonnette (1745-1810) que l'on doit la gravure originale qui est visible à l'article 37 du tome IV° que lui consacre Millin en 1792, le dessin étant de Jean François Garneray.

Révolution

1789 - Représentant de l'ordre de la noblesse pour Aubevoye au titre de la généralité de Rouen et généralités secondaires de Pont-de-l'Arche et d'Andely, monsieur de Chalange, qui tient le fief de Grosmesnil depuis au moins 1666. Il a contribué à l'élection des quatre députés de cet ordre aux états généraux du 24 janvier 1789.

1792 : Rachat de la chartreuse par Victor Louis, dot de sa fille.

1794 : En l'église communale, temple de l'Être suprême l'espace de la journée du 10 août, les habitants viennent prêter serment.

1796 : Alexandre Lamaury, nommé garde champêtre

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1804 : Madame de Combray prend une part importante aux mouvements de la chouannerie normande<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

1829 : plan parcellaire terminé le Modèle:1er avril, en six planches<ref>Archives du département de l'Eure (FRAD027_6NUM_3PL692)</ref>

1832 : la statue de saint Bruno, attribuée à Étienne Gois père, est placée dans l'église Saint-Georges, à la faveur de l'initiative personnelle du père Aubourg, ancien chartreux (Dom Dorothée) et curé de la paroisse (1802-1827), qui l'avait épargnée en lieu sûr<ref>Modèle:Article</ref> après la dispersion des effets mobiliers de la Chartreuse.

1840 : 11 décembre - La Dorade passe à hauteur de la Maison Rouge ; ce bateau à vapeur translate les cendres de l'Empereur, ramenées de Sainte-Hélène par Le Havre jusqu'à Paris.

1857 : reconstruction d'un second château de Tournebut. La chapelle est rebâtie à l'écart, en usage jusqu'en 1914. Elle est pourvue d'un sous-sol faisant office de caveau funéraire.

1870 : le 14 octobre, les Prussiens sont bloqués quelque temps sur la rive droite de la Seine, le pont de Courcelles ayant été détruit par le Génie.

1888 : Les travaux vont bon train sur les terres de la ferme de la chartreuse<ref>Modèle:Lien web</ref>.

1891 : l'amidonnerie Remy s'implante dans le quartier de la gare. La marque est présente à l'exposition coloniale de Rouen de 1896<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

1895 : 24 novembre : de nombreuses personnalités assistent à la réouverture de la chapelle de Bethléem, et notamment l'abbé Léon Adolphe Amette.

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Un produit de la gamme des amidons Remy
Un produit de la gamme des amidons Remy

La famille Gabriel Perney crée en 1917 une unité de fabrication de matériel ferroviaire (Paris-Aubevoye)<ref>13 mai 1919 - Le Matin : derniers télégrammes de la nuit - On lit l'entrefilet suivant : 'ETABLISSEMENTS GABRIEL PERNEY Société anonyme au capital de Modèle:Unité. Un stand particulièrement remarquable à la Foire de Paris est celui des Établissements Gabriel Perney, en bordure de la rue Saint-Dominique et tout proche de la rue de Constantine. Ces établissements dont le siège social est 4, boulevard Malesherbes, ont fait un effort considérable pour nous présenter une série de remorques de types tous différents, s'adaptant aux diverses branches de l'industrie, du commerce et même du tourisme. Parmi ces véhicules, dont la construction a été effectuée dans leurs ateliers, 131, avenue Jean-Jaurès, et 11, rue de l'Ourcq, les types de poids lourds pouvant supporter une charge utile de Modèle:Unité ont le plus vivement attiré notre attention. Une remorque surbaissée pour le transport de longues charges et les bois en grumes est bien la plus pratique et dernière création du genre ainsi qu'une remorque légère destinée au tourisme. C'est la première fois qu'une usine de matériel de transports sur routes offre à tous les besoins commerciaux et industriels des véhicules aussi nettement caractérisés. En dehors de ce genre de matériel qui se développera journellement davantage, les établissements Gabriel Perney, dans leurs usines d'Aubevoye, près Gaillon (Eure), construisent le gros matériel de chemins de fer et seront à même de livrer sous peu des wagons, plateformes, tombereaux et couverts des différents types unifiés. (à suivre) [1]</ref>. Elle devient « Carel Fouché » en 1929 par absorption. En 1933, les Michelines, autorails à pneumatiques, précèdent la fabrication des automotrices en acier inoxydable : ainsi, les éléments des motrices des rames Z 6400 sont assemblés dans les années 1970. Le centre de construction de matériel ferroviaire ferme ses portes en 1989 (groupe Alstom).

L'école de la gare est édifiée entre 1939 et 1942 par l'architecte Georges Thurin; elle est détruite par faits de guerre en 1944.

1940 - 10 juin : La Seine est franchie en plusieurs points malgré la destruction tactique du pont de Courcelles, à Saint-Pierre-du-Vauvray, aux Andelys et à Aubevoye. Par la suite, les occupants allemands établissent un poste de commandement au château de la Créquinière<ref>"La Belle Âme", de Christophe Vieu [2]("La Belle Âme", de Christophe Vieu).</ref>.

1944 - 31 mai -13 août : attaques aériennes contre le pont provisoire de Courcelles sur la Seine.

1950 : le pont de Courcelles est reconstruit.

1955 -2 juillet : Pierre Mendès-France inaugure la nouvelle école de la gare.

Avant son retour aux affaires en 1958, le général De Gaulle eut le projet de s'installer au château de Tournebut.

1966 -12 juin : inauguration de la stèle élevée - rive droite du pont de Courcelles - à la mémoire de l'épisode de la « drôle de guerre » des 9-10 juin 1940.

1970 : création de la zone industrielle intercommunale de Gaillon-Aubevoye-Saint-Pierre-la-Garenne.

1972 : la cheminée de l'amidonnerie Remy disparaît du paysage.

1982 : le parc du château de Gaillon est reconverti en centre d'essai pour automobiles.

1995 : inauguration le 4 novembre de l'espace culturel Marcel Pagnol en présence de Jacqueline Pagnol.

Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

2003 : la commune rejoint la communauté de communes Eure-Madrie-Seine le Modèle:Date-.

2008 : ouverture du nouvel espace de la bibliothèque : l'Espace Médias qui est renommé en 2015 médiathèque Jean-Luc Recher en hommage au maire<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Politique et administration

Tendances politiques et résultats

Modèle:Article connexe Modèle:Article connexe Détail de l'élection présidentielle de 2012 selon note de référence<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut |- | align=center| 1789 ||align=center|1790||align=center|David Gasse|| ||align=center| |- | align=center| 1790 ||align=center|1792||align=center|Michel Laisné|| ||align=center| |- | align=center| 1792 ||align=center|1796||align=center|Joseph Gasse|| ||align=center| |- | align=center| 1796 ||align=center|1800||align=center|François Bayon|| ||align=center|beau-frère de Victor Louis |- | align=center| 1800 ||align=center|1802||align=center|Guillaume Leriche|| ||align=center| |- | align=center| 1802 ||align=center|1804||align=center|Jacques Liénard|| ||align=center| |- | align=center| 1804 ||align=center|1806||align=center|Jacques Goubert|| ||align=center| |- | align=center| 1806 ||align=center|1829||align=center|Charles Éthis de Corny|| ||align=center|gendre de Victor Louis |- | align=center| 1829 ||align=center|1832||align=center|François Laisné|| ||align=center| |- | align=center| 1832 ||align=center|1839||align=center|Pierre Guillot|| ||align=center|père d'Émile Guillot, victime dans l'affaire de Jeufosse |- | align=center| 1839 ||align=center|1840||align=center|Aubin Delavigne|| ||align=center| |- | align=center| 1840 ||align=center|1870||align=center|Alexandre Thézard||||align=center|épicier |- | align=center| 1870 ||align=center|1871||align=center|Armand Laisné|| ||align=center| |- | align=center| 1871 ||align=center|1879||align=center|Alfred Boudehan|| ||align=center| |- | align=center| 1879 ||align=center|1881||align=center|Armand Laisné|| ||align=center| |- | align=center| 1881 ||align=center|1891||align=center|Guillaume Houdin|| ||align=center| |- | align=center| 1891 ||align=center|1892||align=center|Armand Luzurier|| ||align=center| |- | align=center|1893||align=center|1900||align=center|Arthur Mignot||||align=center|avoué honoraire
près le tribunal de Modèle:1re instance de la Seine |- | align=center|1901||align=center|1912||align=center|Édouard Mulot|| ||align=center| |- | align=center|1912||align=center|02-09-1939||align=center|Émile Laguette||||align=center|entre 1914 & 1918,
Victor Lapôtre adjoint fonction de maire |- | align=center|03-09-1939||align=center|03-06-1940 ||align=center|Lucien Boudehan||align=center|RG|| |- | align=center|04-06-1940 ||align=center|04-04-1941 ||align=center|Lucien Boudehan||align=center|RG||align=center|élu conseiller général |- | align=center|05-04-1941||align=center|14-11-1944||align=center|Almine Huard||||align=center|délégation spéciale pendant l'occupation |- | align=center|15-11-1944||align=center|29-04-1945||align=center|Marcel Gaudeau|| ||align=center| |- | align=center|05-1945||align=center|03-05-1953||align=center|Dominique Béchennec|| ||align=center| |- | align=center|03-05-1953||align=center|03-1983||align=center|Edmond Bliard|| ||align=center| |- | align=center|19-03-1983||align=center|07-05-1987||align=center|Bernard Chandelier||align=center|DVD||align=center|élection intermédiaire en 1987 |- | align=center|07-05-1987||align=center|11-06-1995||align=center|Albert Posier|| ||align=center|réélection en mars 1989 |- Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluFin

Démographie

Modèle:Section démographie d'article de commune de France

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Monuments historiques

Monuments recensés et autres édifices d'intérêt local

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}}, dont il ne reste que quelques bâtiments situés au sein du quartier Domaine de la Chartreuse, recensés à l'inventaire<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>, et dont le clos s'étendait jusqu'à la Seine.

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}}

}}, recensés à l'inventaire<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>. Le bâtiment, acquis en 2001 par la commune, abrite le conseil de la CCEMS depuis juillet 2010.

  • Château de la Créquinière (pour mémoire), dont le portail d'entrée et un bassin d'ornement sont encore visibles. Les propriétaires de cet immeuble furent François-Frédéric Alaboissette (1815-1883), historiographe de la Chartreuse, puis les époux Mignot (1892-1900), par ailleurs un temps propriétaires de la chapelle de Bethléem (11/11/1894). Dans ses dépendances fut construite en 1930 La Thébaïde.
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}}, recensés à l'inventaire.

Autres édifices publics

  • Mairie, place du Souvenir.
  • Monument aux morts, place du Souvenir<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Calvaire du cimetière nouveau
Calvaire du cimetière nouveau

Cimetières

  • Enclos de l'église Saint-Georges. Un petit banc en pierre fait l'objet d'une conjecture : il s'agirait d'un dolmen dont Charpillon écrit qu'il a probablement été déplacé de l'entrée du cimetière dont il gênait l'accès.
Fichier:Cimetière nouveau d'Aubevoye.jpg
Cimetière nouveau.
  • Carré militaire, dans l'enclos de l'église Saint-Georges.
  • Nouveau cimetière ouvert en 1954, rue de la Créquinière, dont le calvaire (hauteur : Modèle:Unité) ci-contre est fait en moellons locaux et pierre de Vernon (dont le motif de la mise au tombeau), la plaque de marbre blanc de l'autel étant issue de la chapelle Notre-Dame de Bon Secours<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>(du prieuré) des Quaizes (lieu-dit d'Ailly).

Espaces verts

  • Partie nord de l'ancien parc du château de Gaillon.
  • Parc de l'ancien château de la Créquinière, qui remonte jusqu'aux arrières du château de Gaillon, en longeant l'enceinte du centre d'essais Renault.
  • Circuit rustique d'activités physiques aménagé (CRAPA), où des chemins sont tracés pour la marche ou la course, de nombreux bancs et enfin des jeux mis à la disposition des enfants. Dans l'extension plus récente du côté de la Chartreuse sont disposés des équipements sportifs individuels.

Équipements culturels et de loisirs

  • Espace « Marcel-Pagnol », salle de spectacles polyvalente.
  • Salle polyvalente « Pierre-Mondy » (cuisine équipée), louée aux particuliers.

Patrimoine naturel

ZNIEFF

Site classé

Héraldique

Modèle:Blason-ville-fr

Personnalités liées à la commune

Jumelage

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Bibliographie

Liens externes

Notes et références

Notes

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