Fontenay-le-Comte est limitrophe avec huit communes<ref name="geoportl">Modèle:Géoportail Couches « Cartes IGN classiques », « Limites administratives » et « Hydrographie » activées. Reculer le zoom (en haut à gauche) pour mieux voir les communes limitrophes.</ref> :
Le coteau sur lequel s'est établie la ville, dernier contrefort du bocage, représente par sa situation dominante une position forte contre un agresseur éventuel. Au pied, la rivièreVendée disperse ses eaux en plusieurs bras enserrant des îlots alluvionnaires inondés à la saison des fortes crues. De part et d'autre, la plaine se déploie vers Luçon et Niort, le marais est là tout proche avec ses îles et ses terres non fixées.
Fontenay-le-Comte est aujourd'hui la petite ville qui centralise l'ensemble du Sud-Vendée. Mais elle fut tout d'abord la capitale du Bas-Poitou puis la préfecture de département de la Vendée tout juste né avant de céder ce titre à La Roche-sur-Yon.
Depuis quelques années, la commune semble se tourner vers les villes moyennes voisines que sont Niort et La Rochelle pour former un pôle métropolitain de taille à peser entre les deux grandes métropoles que sont Bordeaux et Nantes.
Géologie et relief
Au sud de la Vendée, Fontenay-le-Comte se situe au carrefour de trois types de paysages bien différents : aux portes du Marais poitevin, du Bocage vendéen, et du Niortais. Au fil des millénaires, la rivière de la Vendée a sculpté le relief local.
Malgré sa faible altitude (entre 5 et Modèle:Unité), le relief de Fontenay-le-Comte est relativement montueux, sauf le quartier des Loges situé sur une zone alluvionnaire très plate.
Hydrographie
La Vendée, affluent de la Sèvre Niortaise, arrose la ville et traverse la commune du nord-est au sud-ouest. Son affluent de rive droite, la Longèves, sert de limite de communes au sud avec Longèves puis Auzay<ref name="geoportl"/>.
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (69,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
terres arables (52,4 %), zones urbanisées (21,7 %), zones agricoles hétérogènes (9,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (9,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (3,7 %), prairies (3 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Autoroute A83, avec l’échangeur Modèle:N° « Fontenay-le-Comte-Centre » en limite sud de la commune (partagé avec Fontaines ; l'échangeur Modèle:N° « Fontenay-le-Comte-Ouest » est sur la commune d'Auzay à l'ouest de Fontenay-le-Comte)<ref name="googlemaps"/>,<ref name="geoportl"/>
La gare ferroviaire de la ville a fermé en 1969. Désormais, la desserte en transport collectif interurbain s'effectue principalement au départ de la gare routière, dénommée localement pôle d'échange multi-usages (PEMU), située face à la plaine des sports sur l'avenue Charles de Gaulle.
Cette gare routière est desservie par les lignes routières régulières 15, 16, 17 et 520 du réseau de transport régional Aléop<ref>Modèle:Lien web</ref>, ainsi que par plusieurs lignes scolaires. Les lignes régulières permettent notamment la liaison avec les villes de Niort, La Rochelle, Luçon et La Roche-sur-Yon.
La gare dispose de 30 quais pour les cars et d'un quai pour le réseau urbain Fontélys. Elle disposa d'un guichet ouvert du lundi au vendredi jusqu'en janvier 2022<ref>Modèle:Lien web</ref>.
La ville a plusieurs rues réservées aux piétons, comme la rue des Loges, rue historique et riche en patrimoine ; ou bien encore la Transfontenaisienne qui emprunte le tracé de l'ancienne voie ferrée..
La ville s'articule autour d'une rue principale, la rue de la République (et ses prolongements comme la rue Clemenceau, la rue Rabelais et le boulevard Hoche). C'est dans cette rue que se situent la mairie, l'église Notre-Dame, le musée, différents commerces, l'ECC, les accès au centre-ville historique. Dans la rue Rabelais, se regroupent différents établissements scolaires (lycées Rabelais et Notre-Dame, Collège Saint-Joseph, écoles primaires Sainte-Trinité et Florence Arthaud...).
Ponts <ref name=":0" />
La ville comporte plusieurs ponts traversant la Vendée :
Le Pont neuf datant de 1775 (sur des plans de l'ingénieur Parent de Curzon). Ce nouveau pont a permis le franchissement de la route royale, de Nantes à Limoges. Il fut diversement appelé "Pont Royal" en 1780 et "Pont de la Fraternité" en 1793<ref name=":1" />. Le pont sera élargi en 1950 par Émile Boutin.
Passerelle piétonne sur le quai Poey d'Avant (1925, Abel Filuzeau)
Le nouveau pont des Sardines, construit en 1910, il remplace l'ancien pont des Sardines de 1666.
Viaduc anciennement emprunté par la ligne Fontenay-Bressuire-Thouars.
L'origine de Fontenay-le-Comte est inconnue. La découverte de nombreux silex taillés ou polis montre que le lieu était habité de très longue date.
Les premiers peuplements du site de Fontenay-le-Comte datent de la Préhistoire et s'expliquent sans doute par la présence d'un gué permettant la traversée de la Vendée.
Antiquité
Une voie allant du midi vers le nord-ouest traverse à l'endroit où les eaux sont les moins profondes. Ce gué, surmonté d'une chaussée et facilitant le passage obligé pour la circulation des marchandises et des gens, a imposé l'édification de moyens de protection. Des maisons, qui n'étaient peut-être que des huttes, sont venues jouxter ces constructions, se plaçant ainsi sous leur protection en cette période troublée. La sûreté du lieu étant établie, ce point de rencontre servait de halte et de relais et se prêtait aux échanges. La mise au jour au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle de nombreux débris et de monnaies à Fontenay et dans les environs atteste la présence humaine.
Un lot de céramiques trouvé au site des Genats<ref name="geoportl_genats">Modèle:Géoportail Couches « Cartes IGN classiques », « Limites administratives » et « Hydrographie » activées.</ref> (lieu-dit près du péage Modèle:N° de l'autoroute, partagé entre Fontenay-le-Comte et Fontaines au sud) est largement dominé par la sigillée de Montans (Tarn)<ref>L. Simon, « Le mobilier céramique d'un habitat rural en Sud-Vendée : les contextes de la première moitié du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle de n.è. du site des Genâts (Fontaines et Fontenoy-le-Vicomte) », SFECAG, 1997, Modèle:P.. Cité dans Modèle:Article.</ref>.
Une fontaine, vitale pour la cité, lui donne son nom.
La ville devient alors la propriété d'Alphonse de Poitiers, frère du roi. C'est depuis cette époque qu'elle se voit attribuer le surnom de le-Comte. Au décès de ce prince le Modèle:Date, la ville retourne à la Couronne, Philippe le Hardi en prenant la possession et s'y rendant la même année.
Fontenay-le-Comte devient alors la capitale du Bas-Poitou.
Elle connaît un développement économique important dès le Moyen Âge grâce à l'industrie du drap et du cuir. Éprouvée par les Anglais en 1361, puis reconquise 11 ans plus tard par les Français dirigés par Bertrand du Guesclin, la ville est fortement ébranlée pendant la guerre de Cent Ans. Après cela, elle conserve bien la protection royale.
En mars 1471, Louis XI érige la cité en commune. La charte accordée donne pour raison cette libéralité : « que la ville est assise en grands trépas et assez près de la mer, environnée de bon pays fertil, qu'elle est ancienne et grandement renommée au pays de Poitou, qu'elle a un chastel ancien, grandement fortifié le temps passé, au moyen duquel et de la scituation de la dite ville, y a très grands fréquentations du faict de marchandises et mesmement de draperie qui s'y fait et œuvre chaque jour, ce qui fait que plusieurs étrangers et autres de la dite ville y font leur refuge et leur demeurance et mesmement un temps d'hostillité de guerre, tant en la dite ville, qui est fortifiée et grandement emparée de murailles de fossez, qu'aussi ses bourgs et faubourgs qui sont fortifiés de fossez. »<ref>Modèle:Ouvrage.
</ref>. À la Renaissance, sa renommée est confortée par le rassemblement dans ses murs d'une élite intellectuelle dont la renommée s'étend hors des limites du royaume, une dimension telle que Modèle:Souverain2 donne à la cité sa devise de « Fontaine et source jaillissante des beaux esprits ».
La Renaissance est pour Fontenay-le-Comte une époque de splendeur avec la construction des plus beaux édifices de la ville : le château de Terre-Neuve, les hôtels particuliers et l'emblème de la ville : la fontaine des Quatre-Tias. Ses foires d'antan étaient également réputées. Le commerce y était important et particulièrement celui des chevaux et des mulets, très prisés des Espagnols. De ces foires, celles du Modèle:Date- et de la Saint-Venant ont disparu. Seule celle de la Saint-Jean a trouvé son prolongement dans l'actuelle "Foire Exposition".
L'année 1560 marque le début de la propagation du protestantisme dans la contrée et la ville est le théâtre de luttes très dures entre catholiques et huguenots. En l'espace de 25 ans, Fontenay-le-Comte fut prise et reprise huit fois, causant de nombreux dommages à la cité. L’un de ces sièges aboutit à la prise de la ville par le duc de Montpensier en 1575<ref>Modèle:Guerres de Religion-MiquelModèle:P..</ref>.
Henri III de Navarre, futur Henri IV, est à la tête du parti huguenot. Au début de l'année 1587, il séjourne à Marans, localité proche de vingt kilomètres. En février, Catherine de Médicis, désirant le rencontrer, car à la recherche d'un apaisement à ces querelles politiques et religieuses qui ruinent le pays, est à Fontenay. Mais la méfiance règne dans les deux camps et l'entrevue ne peut avoir lieu, aucun se résigne à se rendre à l'invitation de l'autre.
Henri vient mettre le siège devant Fontenay en mai 1587 et s'empare de la ville, Sully l'accompagne.
Le Modèle:Date, Richelieu y est de passage, se rendant à Luçon pour y prendre possession de son évêché. Louis XIII y fait un court séjour en 1621, année où le château-fort est démantelé.
La révocation de l'Édit de Nantes en 1685 porte un coup fatal à la cité. La fuite de nombreux huguenots lui fait perdre une grande partie de son commerce et particulièrement celui des draperies. Cette période est l'une des plus sombres de son histoire et marque son déclin.
Au cours du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, la vieille ville se transforme, notamment avec la création de la rue rue de la République. Un premier projet fut élaboré dès 1732, repris en 1751, et transitoirement mis à exécution à partir de 1762 par Turgot et Paul Esprit Marie de La Bourdonnaye, comte de Blossac. Cette nouvelle artère analogue à la rue des Loges fut achevée en 1782<ref name=":1" />. D'autres travaux d'urbanisme eurent lieu, de créations de larges artères, mais aussi la canalisation de la Vendée…
La Révolution française marque un tournant pour la ville. Le Modèle:Date, l'Assemblée nationale décide que Fontenay-le-Comte sera le chef-lieu du Département Occidental du Poitou, qu'on appellera Vendée. 1793 n'épargne pas la cité, placée à la limite de la Vendée militaire. Elle subit toutes sortes d'exactions consécutives aux troubles révolutionnaires. Les « Blancs » s'en emparent le Modèle:Date- ; ils l'évacuent trois jours plus tard après avoir libéré de nombreux prisonniers. Il y eut environ 230 exécutions auxquelles il faut ajouter un grand nombre de prisonniers qui moururent faute de soins. C'est alors que, pour peu de temps, le Modèle:Date-, la ville s'appellera Fontenay-le-Peuple, la Convention souhaitant faire disparaître toute trace de l'Ancien Régime. La ville reste républicaine et constitue un point d'appui des républicains dans la guerre de Vendée. Environ 230 personnes furent guillotinées sur la place Viète durant cette période<ref name=":0">Modèle:Ouvrage</ref>.
En 1804, [[Napoléon Ier|Napoléon {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }}]], jugeant Fontenay trop excentrée et souhaitant pacifier la Vendée, transfère la préfecture de Fontenay dans la ville nouvelle de Napoléon (La Roche-sur-Yon). Fontenay-le-Peuple redevient Fontenay-le-Comte. En 1812, la commune devient sous-préfecture de la Vendée à la place de Montaigu. Le Modèle:Date<ref>Modèle:Lien web.</ref>, l'Empereur et son épouse Joséphine de Beauharnais arrivent à Fontenay, venant d'Espagne pour en partir le lendemain. Un fontenaisien et général de l'Empire, Augustin-Daniel Belliard, se distingua notamment dans les différentes guerres napoléoniennes. Il fut pair de France et ambassadeur à Bruxelles sous la Restauration où il prit une part importante aux accords qui scellèrent l'indépendance de la Belgique.
Époque comtemporaine
La duchesse de Berry viendra dans la cité le Modèle:Date, puis en 1832, pour tenter un soulèvement contre le gouvernement de [[Louis-Philippe Ier|Louis-Philippe {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }}]].
Fontenay connaît en 1936 de nombreuses manifestations ouvrières en faveur du Front populaire<ref name=":0" />.
Lors de la Seconde Guerre mondiale, Fontenay le Comte est dans la zone occupée. La ville est libérée dans la nuit du 1 au 2 septembre 1944 par les FFI<ref name=":0" />.
Dès 1969, les lignes ferroviaires non rentables sont fermées et le service des voyageurs est reporté sur la route. L'ancien bâtiment voyageurs et la plateforme de la gare sont intégrés dans le nouvel espace culturel de la ville, dénommé « René Cassin-La-Gare » et inauguré le Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Fontenay-le-Comte absorbe en 1967 Charzais et Saint-Médard-des-Prés en 1972.
On retrouve dans la ville des espaces verts tels que le parc Baron, qui comprend les vestiges de l'ancien château-fort ainsi que le Parcabout, mais encore des voies cyclables telles la Transfontenaysienne.
Enseignement
Enseignement supérieur
La ville de Fontenay-le-Comte comporte trois lycées qui proposent une formation supérieure<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Lycée Bel-Air (public) :
BTSA DATR : développement et animation des territoires ruraux ;
BTSA ANABIOTEC : analyses biologiques et biotechnologiques.
Ouvert dans les années 70, il remplace l'ancienne école primaire supérieure de jeunes filles de 1885, aménagée dans un bâtiment construit en 1852<ref>Modèle:Lien web</ref>, dans locaux actuels de la Mission Locale. Il a subi de grands travaux de rénovation entre 2018 et 2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Le collège communal est ouvert en 1888, dans les locaux de l'actuelle EIMD. Nommé en 1930 collège Viète, en hommage au mathématicien François Viète, il déménage en 1981 dans un nouveau bâtiment<ref name=":0" />.
Ouvert en 1878, à la suite de la disposition d'Alexis Mignon et de Blanche Vinet de leur hôtel particulier à Monseigneur Catteau, évêque de Luçon, dans le but de créer un établissement d'instruction secondaire<ref name=":1" />.
La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 26,8 %, soit au-dessous de la moyenne départementale (31,6 %) et le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 38,5 %, alors qu'il est de 31,0 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait Modèle:Unité pour Modèle:Unité, soit un taux de 52,39 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,16 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit :
Jours du marché : mercredi (aux Halles couvertes) - samedi (uniquement le matin pour le marché couvert et l'alimentaire)
Des visites guidées toute au long de l'année (des guides conférenciers présentent le patrimoine de la ville : arcades de la place Belliard, maisons à pan de bois, Hôtel de la Sénéchaussée, Fontaine des Quatre Tias, quartier des Loges ou vestiges du château du parc Baron…)
Le Festival du film de Fontenay-le-Comte : à l’initiative de l’Association Kinozoom, de la Société Cinéode et du Cinéma Le Renaissance, le Festival du Film de Fontenay-le-Comte naît en 2012. (mars-avril)
Biennale : se déroule depuis plus d'un siècle les années paires (week-end de la Pentecôte).
Festival des Nuits Courtes : le festival de musiques actuelles lancé en 2017 regroupe différents artistes de la scène hexagonale et internationale (octobre).
Sports et loisirs
Équipements sportifs
Piste Auto-moto "Circuits de Vendée" : essais et roulage d'automobiles, de motos et de 4x4<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
"City stade", un place de Verdun et l'autre aux Moulins-Liots<ref>Modèle:Lien web.</ref>
Stade Municipal
Stade Emmanuel-Murzeau : le stade comporte 3 tribunes d'une capacité totale de 500 places. Article détaillé : Vendée Fontenay Foot#Infrastructures
La Lyre fontenaisienne, créée en 1884 par un industriel local, Georges Gandriau<ref name=":0" />. Elle exerce toujours actuellement sous le nom d'Harmonie de Fontenay-le-Comte.
Pour le bassin d’emploi de Fontenay-le-Comte, qui s’étend sur 104 communes et près de 122 000 habitants, Pôle emploi totalise 9 315 demandeurs d’emploi, toutes catégories confondues, au Modèle:Date-, soit une baisse de 3,7 % par rapport à 2018. Côté recruteurs, on comptabilise 388 offres d’emploi, toujours en 2019, soit une hausse de 54 % par rapport à 2018. Les principales offres se situent dans le tertiaire pour 82 %<ref>Modèle:Lien web.</ref>.Ce secteur est en effet celui qui emploie le plus dans cette région, avec 77 % des emplois, suivi par les secteurs de l'industrie (17 %), de la construction (6 %) et de l'agriculture (1 %)<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Industrie
On peut signaler les entreprises et éléments suivants présents sur la commune :
En 2009, le groupe suédoisSKF annonce la fermeture de l'usine de roulements à billes (S.V.R. Société Vendéenne de Roulements) où travaillent 340 personnes<ref>Modèle:Article.</ref>.
Horo Quartz (l'usine Étoile dont les plans ont été conçus par le peintre Georges Mathieu) : Informatique, systèmes de gestion du temps en entreprises<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Samro : liquidé en 2012, l'entreprise de fabrication de remorques est reprise en 2013 par l'industriel Trouillet. Elle a toujours un site de fabrication à Fontenay<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Biscuits Cantreau : racheté en 2007 par le groupe Bouvard<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
La commune a reçu le prix national de l'art de vivre (1996), et elle a obtenu le prix Ville Lumière en 2002 récompensant son plan d'éclairage architectural du centre historique.
Église Notre-Dame de Charzais (À ne pas confondre avec l'église Notre-Dame, rue René-Moreau). Église de plan en croix latine à chevet plat. Elle comprend un seul vaisseau couvert de voûtes d'ogives.Le clocher en façade surplombe un portail à tympan, en arc d'ogive, portant l'inscription « Si quis sitit, veniat ad me » (« vous qui avez soif, venez à moi »). De plan carré, ce clocher est muni de baies géminées et d'une flèche de pierre cantonnée de clochetons.
[[Charles Ier de Bourbon (archevêque de Rouen)|Charles {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }} de Bourbon]], archevêque de Rouen, y est décédé ; ses entrailles sont déposées en l'église Notre-Dame. Le maréchal de FrancePierre de Rohan-Gié (1451-1513), cette fonction sous le règne du roi Louis XI.
Le juriste et humaniste poitevin André Tiraqueau (1488-1558), modèle du Grand juge de Myrelingues dans Pantagruel, auteur de De nobilitate et De poenis moderandis.
La devise de Fontenay-le-Comte est : Fons Fontanacum Felicium Ingeniorum Scaturigo. (Fontenay, fontaine et source de beaux esprits). Elle vient peut-être de François 1er<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Voir aussi
Bibliographie
Robert Aujard et François-Xavier Grelet, Fontenay-le-Comte : Ville renaissance<ref>Modèle:Lien web.</ref>
William Chevillon, Notre-Dame de Fontenay-le-Comte, un monument dans son territoire, Centre vendéen de recherches historiques, La Roche-sur-Yon, 2023, 72 p.
À la découverte de...Fontenay-le-Comte, William Chevillon, Les Indispensables, éditions du CVRH, 2020<ref>Modèle:Lien web.</ref>