Chantonnay
Modèle:Infobox Commune de France Chantonnay est une commune française située dans le département de la Vendée, en région Pays de la Loire.
Ses habitants sont les Chantonnaisiens et les Chantonnaisiennes.
Géographie
Situé au sud du bocage vendéen, le territoire municipal de Chantonnay s'étend sur Modèle:Unité. L'altitude moyenne de la commune est de Modèle:Unité, avec des niveaux fluctuant entre 18 et Modèle:Unité<ref>« Commune 17813 », Géofla, version 2.2, base de données de l'Institut national de l'information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la France métropolitaine, 2016 Modèle:Lire en ligne.</ref>,<ref>« Chantonnay », Répertoire géographique des communes, fichier de l'Institut national de l'information géographique et forestière (IGN) sur les communes de la Métropole, 2015.</ref>.
Elle est baignée par le Grand Lay, qui s'écoule du lac de Rochereau, sur la commune voisine de Sigournais, avant de traverser le sud-est de la commune. Le Grand Lay est alimenté sur sa rive droite par la rivière l'Arguignon qui baigne Puybelliard et Saint-Mars-des-Prés, et la Mozée, qui traverse le bourg de Chantonnay. Il laisse sur sa rive gauche Saint-Philbert-du-Pont-Charrault et alimente le lac de Touchegray Moulin-Neuf qui s’étire tout au long de la rivière par une succession de vallons et aboutit à la retenue du barrage de l’Angle Guignard. Le Petit Lay délimite la limite ouest de la commune et rejoint au sud le Grand Lay à l'Assemblée des deux Lay, le point le plus bas de son territoire.
La commune est située dans une cuvette géologique recelant un sous-sol riche et varié qui permit notamment l'exploitation du charbon issu du bassin houiller de Vendée<ref name="HE-JCL">Modèle:Ouvrage.</ref>.
Chantonnay se trouve au croisement de la route départementale RD 137 (ancienne RN137), qui relie Nantes à Bordeaux, et de la RD 949B entre Bournezeau et La Châtaigneraie. La commune est desservie par la ligne ferroviaire historique dite de Paris aux Sables-d'Olonne, aujourd'hui ligne des Sables-d'Olonne à Tours dédiée aux TER.
Chantonnay a fusionné (fusion simple) en 1964 avec les anciennes communes limitrophes de Puybelliard et Saint-Mars-des-Prés, et s'est associé (fusion-association) en 1972 à la commune de Saint-Philbert-du-Pont-Charrault.
Chantonnay est siège de la communauté de communes du Pays-de-Chantonnay. C'est aussi le bureau centralisateur du canton de Chantonnay, lequel est issu du démantèlement en 2015 des anciens cantons des Essarts, de Pouzauges et de La Roche-sur-Yon-Sud.
Urbanisme
Typologie
Chantonnay est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Chantonnay, une unité urbaine monocommunale<ref>Modèle:Lien web.</ref> de Modèle:Unité en 2017, constituant une ville isolée<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chantonnay, dont elle est la commune-centre<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricole (80,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (83 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (41,5 %), zone agricole hétérogène (30,7 %), forêt (10,1 %), prairie (8,3 %), zone urbaine (6,2 %), parc industriel ou parc d'activité commerciale et réseaux de télécommunication (1,8 %), mine, décharge et chantier (0,5 %), espace vert artificialisé, non agricole (0,5 %), eau continentale<ref group="Note">Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.</ref> (0,4 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Environnement
En 2009, Chantonnay possède trois fleurs au Concours des villes et villages fleuris<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Toponymie
En poitevin, Chantonnay se prononce Chantounàes<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
Histoire
Pendant la Préhistoire, des hommes ont laissé leur trace, comme l'atteste la découverte à la Treille-de-La-Charlière de deux ensembles lithiques, l'un composé de 3 pièces datées du Paléolithique moyen, l'autre de 11 pièces néolithiques<ref>Modèle:Article.</ref>.
Lors de l'Antiquité, le territoire de la commune se situait au croisement de voies romaines, de Fontenay-le-Comte au port de la Chaume d’est en ouest, et de Nantes à Saintes du nord au sud. Chantonnay tirerait son nom d’un camp romain appelé le camp d’Antoine « campus antonini ». Des fouilles archéologiques ont révélé des vestiges de villas gallo-romaines, en particulier à la Treille-de-La-Charlière une cave qui appartient à une villa dont les bâtiments couvrent près d’un hectare.
Pendant le Moyen Âge, des moines bénédictins, remontant le cours du Grand Lay, se seraient installés dès 602 à Saint-Mars-des-Prés. Une charte conservée à l'Abbaye Saint-Cyprien de Poitiers indique que Chantonnay (Chantaonneis) existait déjà en l’an 975<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Au milieu du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, Chantonnay appartenait au vicomte de Thouars.
Dès le Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, Puybelliard, était un centre commercial et manufacturier majeur du bas-Poitou regroupant droguiers, drapiers, sergetiers et tisserands qui s'y réunissaient à l’occasion de foires. Des marchands de Fuenterrabia (Pays basque) venaient à Puybelliard pour acquérir des pièces de toiles en échange de mules<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, les idées de la Réforme se sont propagées jusque sur le territoire de la commune. Lors des guerres de Religion, à la suite de l’assassinat du duc de Guise, un synode réunit en 1563 à Puybelliard des pasteurs protestants de toute la province.
Révolution et guerre de Vendée
Pendant la Révolution, Saint-Mars-des-Prés fut rebaptisée « La Prairiale<ref name=CassiniSMP/> » et Saint-Philbert-du-Pont-Charrault « La Résolue<ref name=CassiniSPPC/> ».
En 1793, une bande de paysans descendant le cours royal Nantes-Bordeaux, axe stratégique traversant la Vendée du nord au sud, avec à sa tête Charles Sapinaud de La Verrie et Charles de Royrand, prit Chantonnay le 17 mars (voir article Bataille de Chantonnay (17 mars 1793)) du Le général républicain Louis Henri François de Marcé reprit la ville le 17 mars et fit battre en retraite les insurgés vers le nord<ref>Alain Gérard, La Vendée: 1789-1793, 1993, Modèle:P..</ref> pendant la première Bataille de Chantonnay. Il la perdit le 19 mars, lorsque, lancée à la poursuite des paysans vendéens, son armée fut vaincue par ces derniers à la bataille de Gravereau, entre Saint-Vincent-Sterlanges et L'Oie, bataille qui détermina pendant plusieurs mois la suprématie des forces insurgées dans le bocage vendéen<ref>Jean-Clément Martin, « La Révolution a coupé la France en deux », dans L'Histoire, no 311.</ref>. Le Pont-Charron, où la route Nantes Bordeaux franchit le Grand-Lay, devint l'un des verrous sud de la Vendée militaire, aux mains de l'Armée du centre.
Le chevalier Adams est une personnalité locale dont l'histoire illustre la division existant alors dans le pays. Marie-Antoinette-Pétronille Adams, fille de la servante du château du Pally à Chantonnay, chez les De Lespinay, fut mariée au sieur Lainé, un marchand de Puybelliard. Après la bataille de Gravereau du 19 mars 1793, lui, étant républicain, abandonna son magasin et sa femme et se réfugia à La Rochelle. Habillée en homme et munie d’armes, elle rejoignit à cheval les insurgés aux Quatre-Chemins-de-l’Oie.
Ce fut lors d'une attaque des forces républicaines que fut abattu le général vendéen Charles Sapinaud de La Verrie près du Pont-Charrault le 25 juillet 1793<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Le Pont-Charrault, qui compte 5 arches basses, est situé sur la route reliant Chantonnay à Saint-Philbert-du-Pont-Charrault. Il est parfois confondu avec le Pont-Charron, constitué d'une seule arche élevée, situé aussi sur le Grand Lay, mais en aval, à l'ouest du Pont-Charrault, sur l'ancien cours royal Nantes-Bordeaux, plus tard RN 137. Tous les deux ont été construits au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle.
Chantonnay ne fut reprise par les forces républicaines qu'après la défaite des armées vendéennes à Luçon le 14 août 1793. Mais ces dernières purent momentanément reconquérir Chantonnay le 5 septembre 1793 (voir article Bataille de Chantonnay 5 septembre 1793 ).
Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle
L’Empereur Napoléon, accompagné de Joséphine, passa à Chantonnay en 1808, venant de Bayonne, et en route vers la Roche-sur-Yon. Arrivé le dimanche 7 août, il partit le lendemain, non sans qu'on lui ait montré à la Tabarière le champ de bataille de Pont-Charron en lui disant « Sire, ce pont est aussi célèbre en Vendée que celui d’Arcole ».
La mine de charbon de la Tabarière est exploitée entre 1840 et 1869 puis celle de la Marzelle entre 1878 et 1884 mais la mauvaise qualité du gisement provoque l'abandon de la concession<ref name="HE-JCL"/>,<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
Le train arriva à Chantonnay en 1871 avec l'ouverture de la ligne la Roche-sur-Yon - Bressuire et de la gare de Chantonnay. Cette ligne fut complétée par une liaison Chantonnay - Cezais de 1900 à 1939 et Cholet - Chantonnay de 1914 à 1939. La ville sera aussi desservie par une ligne (voie métrique) Montaigu - L'Aiguillon-sur-Mer de 1908 à 1935<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
La gare de Chantonnay et ouverte le 20 mai 1869.
Un tramway passait a Chantonnay avec le réseaux de chemin de fer secondaire, des Tramways de la Vendée. qui fermera ces porte en 1949Modèle:Refnec.
Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle
Pendant la Deuxième Guerre mondiale, en 1943, quatre résistants furent déportés vers les camps de concentration en Allemagne. Une plaque commémorative se trouve dans le hall d'entrée de la mairie<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
En novembre 1957, un autorail et un train de marchandises se percutèrent de plein fouet à Chantonnay causant la mort de 29 personnes<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Pdf Modèle:Lien web.</ref>.
En 1964, la commune de Chantonnay absorba celles voisines de Puybelliard et de Saint-Mars-des-Prés, respectivement peuplées, au recensement de 1962, de Modèle:Unité<ref name=CassiniSPPC>Modèle:Cassini-Ehess</ref> et de Modèle:Unité<ref name=CassiniSMP>Modèle:Cassini-Ehess</ref>.
En 1972, la commune absorba celle voisine de Saint-Philbert-du-Pont-Charrault<ref name=Cassini/>, peuplée, au recensement de 1968, de Modèle:Unité<ref name=CassiniSPPC/>.
Héraldique
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Modèle:Article connexe Modèle:…
Liste des maires
Modèle:Article connexe Modèle:ÉluDébut |- |colspan="5" align="center" bgcolor="#f3fff3"| Modèle:Boîte déroulante/début Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin Source : Modèle:Boîte déroulante/fin Modèle:Élu
Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Population et société
Démographie
Évolution démographique
Modèle:Population de France/section
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 32,7 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (31,6 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 29,5 % la même année, alors qu'il est de 31,0 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait Modèle:Unité pour Modèle:Unité, soit un taux de 51,09 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,16 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Modèle:Pyramide des âges communes de France
Enseignement
Il existe deux collèges et deux lycées à Chantonnay<ref>Modèle:Lien web.</ref> :
- le collège René-Couzinet ;
- le collège Saint-Joseph ;
- le lycée Georges-Clemenceau ;
- le lycée Sainte-Marie.
Économie
La ville est industrielle avec des entreprises importantes comme Fleury Michon, Doux, Pubert et Gautier. Ces entreprises sont réparties en trois grandes zones d'activités : Pierre Brune, Les Trois Pigeons et Polaris I/II/III<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Lieux et monuments
- Église Saint-Pierre de Chantonnay
- Chapelle du prieuré Notre-Dame de l'Angle aux Chanoines à Chantonnay
- Manoir de Ponsay à Chantonnay
- Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Puybelliard
- Église Saint-Médard de Saint-Mars-des-Prés
- Lavoirs de la Marzelle et de Saint-Mars-des-Prés
- Vallée du Lay
- Fuie et porches de Ponsay
- Fuie de Dinchin
- Château de L'Auneau
- carrefour de l'Ormeau de la Billette : selon la tradition, lieu du sabbat pour les sorciers de la région<ref>Modèle:Ouvrage (Modèle:Coord)</ref>
-
Chapelle du prieuré Notre-Dame de l'Angle aux Chanoines à Chantonnay.
-
Chevet est de la chapelle Notre-Dame de l'Angle aux Chanoines à Chantonnay.
-
Manoir de Dinchin à Chantonnay.
-
Manoir de Ponsay à Chantonnay.
-
Fours à chaux de Chantonnay.
Personnalités liées à la commune
- Alexis Louis Marie de Lespinay, chevalier du Pally et de l'Empire (Modèle:Date - Chantonnay ✝ Modèle:Date - Poitiers), homme politique français du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle.
- Louis-Armand, comte de Lespinay (Modèle:Date - Chantonnay ✝ Modèle:Date - Paris), fils cadet du précédent, militaire et homme politique vendéen du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle.
- Zénobe Alexis, marquis de Lespinay (Modèle:Date - Chantonnay ✝ Modèle:Date - [[7e arrondissement de Paris|Paris {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | VIIe{{#if:| }} }}]]), arrière-petit-fils du premier, homme politique français des {{#switch: XX
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}}.
- Marie-Élie Jarosseau (Modèle:Date - Chantonnay ✝ Modèle:Date - Toulouse), religieux catholique français, moine capucin, et évêque.
- Maurice Morand (Modèle:Date - Chantonnay ✝ Modèle:Date - Poitiers), homme politique français, sénateur de la Vendée de 1920 à 1933.
- Henri Rochereau (Modèle:Date - Chantonnay ✝ Modèle:Date - Chantonnay), homme politique français, député de la Vendée à la Modèle:1re Assemblée constituante en 1945-1946.
- Raymond Boisdé (Modèle:Date - Chantonnay ✝ Modèle:Date - Cannes), homme politique français des [[Quatrième République (France)|{{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | IVe{{#if:| }} }}]] et [[Cinquième République (France)|{{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ve{{#if:| }} }} République]]s.
- Henri Rochereau (Modèle:Date - Chantonnay ✝ Modèle:Date - Paris), homme politique français, sénateur de la Vendée (1946-1959) et ministre de l'Agriculture (1959-1961)
- Philippe Katerine (né en 1968 à Thouars) y a grandi.
Jumelages
- Modèle:Jumelage<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Événements
- En 1997, Chantonnay a accueilli le départ d'une étape du Tour de France cycliste.
- En 2005, Philippe Katerine tourne le clip de sa chanson "Louxor, j'adore" à Beaurepaire <ref>Bantegnie écrit à Katerine</ref> inclus dans l'album "Robots après tout".
- En 2006, ont eu lieu les championnats de France cyclistes.
- 2007 : L'histoire du film J'aimerais j'aimerais de Jann Halexander se déroule à Chantonnay.
- En 2010, la ville a une nouvelle fois accueilli les championnats de France de cyclisme.
- En 2011, le vignoble de Modèle:Unité présent sur Chantonnay et Saint-Philbert-du-Pont-Charrault devient le Modèle:5e Fiefs Vendéens, avec l'appellation d'origine contrôlée "fiefs vendéens chantonnay".
- En 2015, pour la troisième fois, la ville accueille les championnats de France de cyclisme.
- La randonnée « Quatre Jours en Chantonnay Vendée »<ref>Modèle:Lien web.</ref> est un évènement inscrit au calendrier de l'Modèle:Langue, qui a lieu chaque année le week-end de l'Ascension. Grâce à cet événement, la ville a reçu le titre de « capitale mondiale de la randonnée pédestre »Modèle:Référence souhaitée.
- Tous les ans, en novembre, se tient le festival « Éperluette »<ref>Modèle:Lien web.</ref> proposant des chants et contes à travers divers spectacles.