Modèle:Encadré texte
La commune de Bressuire est située au cœur du Bocage bressuirais, à la lisière du pays vendéen, au nord-ouest du département des Deux-Sèvres, à environ 30 kilomètres de Parthenay (au sud-est), environ 25 kilomètres de Thouars (au nord-est) et à 40 kilomètres de Cholet (au nord-ouest).
Bressuire est également desservie par les lignes du réseau urbain et interurbain Tréma (lignes 1 à 8 et 105, 106, 107, 108, 109, 110 et 113), et par les lignes 11, 13, 14 et 19 du réseau régional.
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000<ref name=Joly/>
Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 2 j
Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 3,8 j
Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
Bressuire est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Elle appartient à l'unité urbaine de Bressuire, une unité urbaine monocommunale<ref>Modèle:Lien web.</ref> de Modèle:Unité en 2017, constituant une ville isolée<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (94,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
zones agricoles hétérogènes (33 %), prairies (32,3 %), terres arables (26,3 %), zones urbanisées (5,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,7 %), forêts (0,7 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,3 %), cultures permanentes (0,2 %), eaux continentales<ref group="Note">Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.</ref> (0,2 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Joyette, l'Argenton, le Dolo et la Madoire. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1991, 1995, 1997, 1999, 2010, 2018 et 2021<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels<ref>Modèle:Lien web, chapitre Mouvements de terrain.</ref>. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie<ref>Modèle:Lien web</ref>. 32,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (54,9 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>. Depuis le Modèle:Date-, en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort<ref group=Note>Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1996, 1997, 2003, 2006, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999<ref name=Géorisques/>.
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Bressuire est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Toponymie
Le nom de la ville est attesté, sous les formes Segora au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref>sur la Table de Peutinger</ref>, sous les formes latinisées Berzoriacum vers 1030 et Berzorium entre 1073 et 1100, Brochorium en 1150, puis Bressuyre en 1376.
La première forme latinisée est fantaisiste<ref>Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Librairie Guénégaud 1979. Modèle:P..</ref> (confusion avec les noms en -acum). La seconde explique l'évolution en « Bressuire ».
On y voit un composé gaulois de briva (« pont ») et Segora, qui est probablement l'ancien nom du Dolo, rivière qui traverse Bressuire. La voie romaine Poitiers - Nantes traversait cette rivière à cet endroit ; d'où « pont sur la Segora ».
On peut y reconnaître le gaulois durone, porte > marché enclos, place, forum > ville close, bourg, qui donne différentes finales dans la toponymie française<ref>Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise, éditions errance 2003. Modèle:P. - 157.</ref>. Le premier élément est obscur. Albert Dauzat et Charles Rostaing<ref>Op. cité.</ref> y voient le nom de personne gaulois Brictius (Brice), cependant il s'agit plutôt du théonyme dont est tiré l'anthroponyme Brictae, Brixtae attesté à Luxeuil, issu du gaulois brixta, brixtom, magie.
En poitevin, Bressuire a pour nom Brsuire, prononcé Bersuire ou Beursuire<ref>Modèle:Article</ref>. Si l’appellation Brsuire parait la plus répandue, l'on peut semble-t-il retrouver également la dénomination "Berseure", à en croire le paysan nueillaubrais Eugène Bernier qui l'utilise en tout cas dans l'un de ses poèmes<ref>Modèle:Ouvrage</ref>. La forme poitevine "Brseùire" permet dès lors d'englober également cette dernière variante de prononciation.
Histoire
Modèle:Section à sourcer
Bressuire existait peut-être dès l'époque celtique et aux temps gallo-romains mais le site actuel de la ville ne renferme aucun reste archéologique de cette époque découvert à ce jour. Les premiers témoignages sur l'existence de la ville ne remontent qu'au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle avec la mention de l'église Saint-Cyprien à proximité du castrum berzoriacum..
La cité médiévale (« Castrum Berzoriacum ») dépendait de la vicomté de Thouars et comportait, au Moyen Âge au moins, trois paroisses : Notre-Dame, Saint-Jean et Saint-Nicolas. Cette dernière, située dans l'enceinte du château et aujourd'hui disparue (les fondations de la crypte seraient encore enfouies sous terre), dépendait de l'abbaye de Saint-Jouin-de-Marne.
L'église Saint-Jean s'élevait à l'est du château. Plusieurs prieurés étaient actifs dans les faubourgs : Saint-Cyprien et Saint-Jacques, ainsi que Sainte-Catherine relevaient soit de l'abbaye Sainte-Croix de Poitiers, soit de l’abbaye de La Réau (actuel département de la Vienne). Le prieuré de Saint-Jacques était un lieu de fête pour les pèlerins de passage.
Existait également l'église des Cordeliers qui jouxtait le monastère du même nom dans le centre de la ville, à l'emplacement de l'actuelle Hôtel de Ville.
Son château médiéval (aujourd'hui en ruines) est situé sur un éperon rocheux qui surplombe la paroisse Saint-Cyprien et son prieuré que le vicomte de Thouars abandonne vers 1030 aux moines de l'abbaye Saint-Cyprien de Poitiers. La double enceinte du château, ainsi que l'enceinte urbaine sont établies au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle avec de nombreuses tours et cinq portes, entourant les deux paroisses situées hors du château (Notre-Dame et Saint-Jean). La famille Beaumont-Bressuire, seigneur de Bressuire jusqu'au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, accorde des franchises au bourg en 1190 (abandon des droits de mutation, abandon des réquisitions en chevaux et armes, notamment)<ref>Robert Favreau, « Naissance des communes en Poitou, Aunis, Saintonge et Angoumois », in Robert Favreau, Régis Rech et Yves-Jean Riou (directeurs), Bonnes villes du Poitou et des pays charentais (Modèle:S mini--Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle) : Actes du colloque tenu à Saint-Jean-d’Angély les 24-25 septembre 1999, publiés par la Société des antiquaires de l'Ouest in Mémoires de la Société des antiquaires de l'Ouest et des Musées de Poitiers, Modèle:5e, tome VIII (2002), à Poitiers. Modèle:ISBN, Modèle:P..</ref>. Ils font également élever l'église Notre-Dame à la fin du XIe siècle; elle fut remaniée au début du Modèle:S mini- avec la construction du vaste chevet plat et du magnifique clocher haut de 56 mètres, véritable phare de la ville alors en développement.
La guerre de Cent Ans met à l'épreuve le château et la ville. À la fin de 1370, Du Guesclin investit la place alors aux mains des Anglais.
Du Moyen Âge au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Bressuire a développé une activité drapière. La spécialité de Bressuire en était la tiretaine, vendue dans tout l'Ouest, la Normandie et Paris. Des règlements précis sur le mode de tissage avaient été édictés par Colbert. Sur place, un marchand, Charles Durant, seigneur de La Pastellière (près Combrand), en avait assuré les applications permettant ainsi à cette industrie de devenir florissante. Ce personnage devint le premier maire de Bressuire, de 1704 à 1714. On lui doit la création de l'hôpital en 1693 (dénommé « Saint-Charles » en son hommage). Son fils Charles II Durant de La Pastellière fut le deuxième.
Durant la guerre de Vendée, la ville est républicaine au sein du bocage royaliste. Elle résiste aux premiers assauts paysans d'août 1792 et n’est prise qu'en 1793 par l'Armée Catholique et Royale. Au printemps 1794 le général républicain Grignon incendie la ville, ne laissant que peu de maisons intactes. La population n'a d'autre choix que de se réfugier dans les zones alentour. Ces réfugiés de la Vendée vont gagner dans un premier temps Airvault, à l'est, Saumur, au nord, Niort, au sud, avant d'être éloignés à plus de vingt lieues du théâtre de la guerre, comme le stipule l'arrêté des représentants du peuple (Hentz, Garrau et Francastel) du 2 ventôse an II (20 février 1794). Les Bressuirais iront jusqu'à Poitiers mais aussi, plus loin le long de la vallée de la Loire, Blois et même Orléans.
La période révolutionnaire laisse la ville exsangue. Il lui faudra beaucoup de temps pour se relever. En 1841, la ville ne comptera que Modèle:Nombre.
Dans la période 1900-1950, les deux conflits mondiaux se font cruellement sentir comme dans le reste du pays. Notons dans cette période la construction du nouvel abattoir moderne (1938-1939) relié au réseau ferré grâce auquel le marché parisien s’ouvre à la viande du bocage par l'intermédiaire des premiers wagons frigorifiques de l'entreprise Grimaud ; à noter aussi l'ouverture d'un jardin public et l'arrivée d'une usine agro-alimentaire (conserverie du Dolo).
C'est à partir des années 1950 que Bressuire retrouve sa vitalité avec l'arrivée de nombreuses petites industries toujours actives (confection, bois, transformation des viandes, travail des métaux, mécanique soudure, métallurgie, etc.) ; elle compte alors Modèle:Nombre.
Dans les années 1970, Bressuire va se rapprocher de ses communes périphériques dans le cadre de la fusion association et devenir ce que l'on a coutume d'appeler aujourd'hui le Grand Bressuire.
Parallèlement, le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle marque le déclin de l'activité ferroviaire avec la fermeture de nombreuses lignes au trafic voyageurs d'abord, puis au fret passant par Bressuire entre 1960 et 1982. Aujourd'hui seule subsiste une ligne unique pour le trafic voyageurs et fret par le rail, qui fut d'ailleurs la première en service à Bressuire : La Roche-sur-Yon-Saumur qui fut l'ancienne ligne Paris-Austerlitz-Les Sables-d'Olonne, par laquelle transite du fret et des TER à destination de La Roche-sur-Yon ou Saumur et Tours, permettant de rallier Paris et retour 2 fois par jour. Les autres destinations se faisant maintenant par la route via le réseau TER BUS des régions Nouvelle-Aquitaine et Pays de la Loire, le réseau régional ou encore le réseau Tréma, inauguré le 1er septembre 2020.
Les activités tertiaires (scolaire, administrations, transports, santé…) font qu'aujourd'hui Bressuire, sous-préfecture prospère du département, est devenue un pôle d'attraction majeur du Nord des Deux-Sèvres avec un peu moins de Modèle:Nombre. Elle conjugue une activité dynamique et un réseau associatif dense.
La cité réalise de nouvelles zones d'activités au nord-ouest et à l'est de la ville : zone Alphaparc et zone de Bocapole équipées du très haut débit Internet et desservies par les échangeurs de la future RN 249, c'est d'ailleurs sur cette dernière que s'est implantée fin 2006 l'antenne Nord-Deux-Sèvres du conseil départemental et que la chaine de télévision publique France 3 Poitou-Charentes y a ouvert depuis fin 2008 un studio décentralisé pour le Nord Deux-Sèvres et l'Est Vendée.
En 1973, neuf communes s'associent avec Bressuire : Beaulieu-sous-Bressuire, Breuil-Chaussée, Chambroutet, Clazay, Noirlieu, Noirterre, Saint-Sauveur, Terves et Boismé. Cette dernière reprend son indépendance en 1983. En 2013, elles deviennent des communes déléguées, c'est-à-dire ne représentant plus qu'une seule section électorale.
La démographie de Boismé figure sur l'article correspondant. Celle des huit autres communes associées est indiquée ci-dessous.
Centres communal et inter-communal d'action sociale (CCAS- CIAS)
Bureau Information Jeunesse (BIJ)
Enseignement
La ville est le siège de quatre lycées d'enseignement général (dont le Lycée Saint-Joseph) ou technologiques et d'un lycée agricole ainsi que deux collèges, deux Maisons familiales rurales et une vingtaine d'écoles maternelles ou primaires. Ainsi plus de 6 500 scolaires fréquentent les établissements publics et privés de la ville avec également plusieurs formations supérieures (11 BTS) préparant à des métiers porteurs qui rassemblent près de 500 étudiants.
L'école de musique inter-communale à l'échelle de l'Agglo récemment promue en conservatoire permet à ses 600 élèves grâce à ses 35 enseignants de pouvoir étudier les instruments de leur choix.
Avec ses équipements, ses associations dynamiques et ses manifestations d'ampleur nationale ou régionale, Bressuire proclame qu'elle « a tout d'une grande ».
Bocapôle est un complexe destiné à l'événementiel totalisant Modèle:Unité couverts et intégrant à la fois une salle de spectacle et de congrès (de 1 500 à Modèle:Nombre), un auditorium (400 places) et une halle d'exposition de plus de Modèle:Unité carrés destinée aux salons professionnels et grand public. Cet équipement est la première salle de concerts des Deux-Sèvres et la deuxième de Poitou-Charentes après l'Espace CARAT à Angoulême.
Ce site situé aux portes de la ville et inauguré en mars 2006 accueille environ 35 artistes par saison. Il accueille également de nombreux congrès et séminaires ainsi que la Foire-Expo de la ville qui attire chaque année plus de 300 exposants sur 4 jours.
Activités de loisirs (Bressuire Accueil Bocage - CSC Centre socio-culturel de Bressuire)
Animation de la Commune/Bressuire & ses communes associées (BBA Bressuire Bocage Animations - Amicale Nerlutaise - Comité des Fêtes de Beaulieu-sous-Bressuire - Comité des Fêtes du quartier de Saint-Porchaire - Commune libre du quartier de Cornet - Comité des Fêtes de Breuil-Chaussée - Comité des Fêtes de Chambroutet - Comité des Fêtes de Clazay - Comité des Fêtes de Noirlieu - Comité des Fêtes de Noirterre - Animation Salvatoriennes (Saint-Sauveur) - Comité des Fêtes de Terves)
Bourse d'échange de chansons (Bourse aux chansons)
Clubs du Modèle:3e Âge (Club de l'Âge d'or - Club de l'Amitié - Amicale des Aînés de Breuil-Chaussée - Club du Modèle:3e Âge Joie de Vivre - Club du Modèle:3e Âge de Clazay - Club Le Bon Accueil de Noirlieu - Club l'Âge Bleu de Noirterre - Club du Modèle:3e Âge de Saint-Sauveur - Club Loisirs et Détente du Troisième Âge)
Concours d'orthographe (Filigrane Lire et écrire en Deux-Sèvres)
Conférences et sorties culturelles (UIA Université Inter-Âges du Bocage Bressuirais)
Création et diffusion de musique (Les Vendredis de l'Eté - Collines FM)
Danse (Danse Musette du Bocage Bressuirais - Les Sauteriaux - Wingy Boots - Plein Air)
Foyers de Jeunes (Les Jeunes de St Porch - Team Saint-Porch - Foyer des Jeunes de Chambroutet "Un monde à part" - Foyer des Jeunes de Clazay "Nirvana" - Foyer des Jeunes de Clazay Relax Place - Foyer des Jeunes de Saint-Sauveur)
Gestion d'un espace (Boc'Hall - Bocaplace)
Jardinage (Bressuire Bonsaï Club)
Loisirs Créatifs (Ruche aux Loisirs - Loisirs et Détente Clazéens - Printemps Automne)
Modélisme (Modèle Club Bressuirais)
Musée (Amis des Arts)
Musique (Union Musicale du Bressuirais - Tempo et Cadenza - Sillon du Bocage - Fuegoland - Bocanimation - Flying Prod - Assaut du Blues - Jazzybus - Zoulous Team - A l'Art et Secousses - Grande Bande de Violons - Zoulous Team)
Œnologie (COB Cercle des œnophiles de Bressuire)
Patrimoine (HPB Histoire et Patrimoine du Bressuirais)
Peinture (Le Grenier)
Philatélie (Amicale Philatélique Bressuiraise)
Photographie (Regard Club Photo La Concorde)
Poker (Club Poker de Bressuire)
Promotion et gestion d'une crèche (Crèche Animée de Bressuire)
Sculpture (Poterie de Saint-Porchaire - Verger des Sculpteurs)
Théâtre (Théâtre du Bocage - FAC Faculté des Amis de Claudette - Kikijous de Noirlieu)
Association Culturelle et Sportive des Mahorais de Bressuire (Modèle:4e Division)
Association Sportive de Clazay (Modèle:4e Division)
Golf (Golf Club du Bocage)
Gymnastique (Givre-en-Mai de Saint Sauveur - Avant-Garde de Terves - Sports Jeunesse de Breuil Chaussée)
Gymnastique Volontaire (GV de Bressuire - GV de Beaulieu-sous-Bressuire - GV de Saint Porchaire - GV de Chambroutet - GV de Clazay - GV de Terves - GV de Breuil-Chaussée - Les Gigolos - GV masculine de Bressuire - GV seniors les Pietonnics - GV seniors les Dynamics - GV Modèle:3e Âge du Bocage)
Handball (Handball Club Bressuirais)
Hippisme (Sulky Bressuirais)
Jeux d'Écosse (AJEF : Association des Jeux d'Écosse en France)
Natation (CNBB : Cercle des Nageurs du Bocage Bressuirais)
Palet (Palet Bressuirais - PPDA Petits Palets de l'Avenir - Amis du Palet)
Pêche (Alevin Bressuirais - Gaule Bellilocéenne - Carpe 79 Bressuire - Société de Pêche de Saint Porchaire - Pêche Compétition du Bocage - Gardou de Noirterre)
Le bassin d'emploi est le deuxième pôle industriel et artisanal du département des Deux-Sèvres. Bressuire est une ville dynamique ayant un faible taux de chômage.
Les nombreuses zones industrielles et d'activités situées en périphérie de la ville sont le siège de PME variées principalement dans les activités de l'équipement automobile, du mobilier de collectivité, de l'agro-alimentaire, de la métallurgie, de la mécano-soudure, et de la confection.
Bressuire abrite le siège social de 374 entreprises<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Revenus et fiscalité
Le niveau de vie médian annuel des Bressuirais s'élève à 18 094 €. Celui-ci est moins élevé que le revenu médian national.
46,3 % des foyers fiscaux de la commune sont non imposables.
Elle affiche également un taux de pauvreté de 11,6 %, soit 2,3 points de moins que le taux de pauvreté français (13,9 %).
La coulée verte, aménagement des berges de la rivière Dolo sur Modèle:Unité en sentiers pédestres et de balades à vélo.
Équipements culturels
Bressuire possède un cinéma (5 salles) : Le Fauteuil Rouge sur la zone d'activités de Bocapôle, cinq hôtels pour plus de 120 chambres, un bowling 12 pistes et une vingtaine de restaurants. À proximité de la ville se situe une discothèque.
Le Théâtre du Bocage, compagnie professionnelle, a son siège à la Maison des Arts. Il crée des spectacles et encadre des ateliers de pratique amateur.
Le Théâtre de Bressuire propose une programmation culturelle. Ouvert en 2011, le nouvel espace culturel lui permet d'accueillir spectateurs et artistes.
Une médiathèque est aménagée dans les locaux de l'ancienne sous-préfecture, l'hôtel Durant de La Pastellière.
Un musée d'art et d'histoire, installé dans les anciens greniers à blé de la ville, présente la longue tradition de fabrication de poteries de Saint-Porchaire et les œuvres du grand verrier et vitrailliste bressuirais Max Ingrand (1908-1969).
Le Bocage bressuirais offre aux promeneurs et visiteurs plusieurs parcours de randonnées ; une cinquantaine de circuits de randonnées sillonnent le territoire, où d’anciennes voies ferrées ont été aménagées en « voies vertes ».
La coulée verte, aménagée sur les berges de la rivière du Dolo en sentiers pédestres et chemins de promenades à vélo, permet de découvrir le château de Bressuire, les douves aménagées, la vallée du Dolo, des petits chemins et sentiers menant au Verger des Sculpteurs, aux ruines des moulins de Roux et Javart, jusqu’au lac de la Chaize, au camp romain et au lac de Bellefeuille.
Raoul Ardent (avant 1140 - 12 septembre 1199 ou 1200), théologien et prédicateur, né à Bressuire ;
Charles {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }} Durant de La Pastellière (1654-1736) : né à Bressuire, il fut le premier maire de Bressuire du 5 janvier 1703 à l'année 1715 ;
Le drapeau est identique aux armes : blanc à l'aigle bicéphale noir au centre<ref>image sur le site "Flags Of The World"</ref>.
Voir aussi
Bibliographie
Guy-Marie Lenne, Petite histoire de Bressuire, Geste éditions, 2007.
Pascal Paineau, Mémoire de Bressuire en images, Joué-les-Tours, Alan Sutton, 1998.
Maurice Poignat, Histoire des communes des Deux-Sèvres. Le pays du Bocage, Niort, Éd. du terroir, 1981 Modèle:ISBN erronéModèle:BNF.
Charles Merle, La Révolution française 1789-1799 à Bressuire, Poitiers, Projets éd., 1988 Modèle:ISBN.
Philippe Gaury, Les seigneurs et la ville à travers l'histoire, Cholet, Ed.du Choletais, 1985.
Philippe Gaury, Bressuire ville martyre de la Révolution, Cholet, Éd. du Choletais, 1988.
Regard sur Bressuire et son canton, Bressuire, musée de Bressuire. 1982.
Bélisaire Ledain, Histoire de la ville et baronnie de Bressuire, Bressuire, Baudry, 1866.
Bélisaire Ledain, « Bressuire », dans Paysages et monuments du Poitou, Imprimerie typographique de la Société des Librairies-Imprimeries réunies, Paris, 1894, tome VIII, Deux-Sèvres, Modèle:P.(lire en ligne)