Bonnières (Pas-de-Calais)

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France

Bonnières est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

Ses habitants sont appelés les Bonnièrois.

Les revenus des habitants sont essentiellement agricoles ou dépendent de l'agriculture, avec 25 exploitations sur la commune au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.

Le Modèle:Date-, la commune de Canteleux est intégrée à celle de Bonnières avec la création d'une commune nouvelle sans l'institution de communes déléguées. Modèle:Sommaire

Géographie

Localisation

La commune est située sur le plateau qui sépare les deux fleuves côtiers parallèles que sont la Canche de l'Authie.

Après l'intégration de Canteleux en 2019, sa surface est d'environ Modèle:Unité, ce qui en fait l'une des communes les plus vastes du Pas-de-Calais<ref name="F3HdF10012019"/>.

Modèle:Carte interactive

Les communes limitrophes de Bonnières avant la fusion de 2019, avec Canteleux, étaient : Modèle:Communes limitrophes

depuis la fusion de 2019 avec Canteleux, les communes limitrophes sont : Modèle:Communes limitrophes

Climat

Modèle:Article connexe Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique semi continental de type 2 »<ref group=Note>Le climat semi-continental de type 2 fait transition entre les climats de montagne et, au nord, le type 3, au sud-ouest, le type 4, au sud-est, le type 8. Il regroupe les périphéries montagnardes et s'étend sur de vastes secteurs en Bourgogne, Lorraine et Alsace où les températures sont moins froides qu'en montagne (elles sont cependant, à altitude égale, plus froides que partout ailleurs), les précipitations légèrement plus faibles et moins fréquentes, mais la variabilité climatique sur la normale 1971-2000 tout aussi élevée. Le faible rapport entre les précipitations d’automne et d’été est une autre caractéristique de ce type(Source : Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography).</ref> , selon la typologie des climats en France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>.

Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après<ref name=Joly/>.

Modèle:Centrer
  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 2,8 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 1,7 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitation : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,7 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,4 j

Paysages

Modèle:Article connexe La commune est située à la jonction de deux paysages tels qu'ils sont définis dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)<ref group=Note>La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent Modèle:Nobr.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref> :

  • les « paysages du val d’Authie, qui concerne Modèle:Nobr, se délimitent : au sud, dans le département de la Somme par le « paysage de l’Authie et du Ponthieu, dépendant de l’atlas des paysages de la Picardie et au nord et à l’est par les paysages du Montreuillois, du Ternois et les paysages des plateaux cambrésiens et artésiens. Le caractère frontalier de la vallée de l’Authie, aujourd’hui entre le Pas-de-Calais et la Somme, remonte au Moyen Âge où elle séparait le royaume de France du royaume d’Espagne, au nord.
Son coteau Nord est net et escarpé alors que le coteau Sud offre des pentes plus douces. À l’Ouest, le fleuve s’ouvre sur la baie d'Authie, typique de l’estuaire picard, et se jette dans la Manche. Avec son vaste estuaire et les paysages des bas-champs, la baie d’Authie contraste avec les paysages plus verdoyants en amont.
L’Authie, entaille profonde du plateau artésien, a créé des entités écopaysagères prononcées avec un plateau calcaire dont l’altitude varie de 100 à Modèle:Unité qui s’étend de chaque côté du fleuve. L’altitude du plateau décline depuis le pays de Doullens, à l'est (point culminant à Modèle:Unité), vers les bas-champs picards, à l'ouest (moins de Modèle:Unité). Le fond de la vallée de l’Authie, quant à lui, est recouvert d’alluvions et de tourbes. L’Authie est un fleuve côtier classé comme cours d'eau de première catégorie où le peuplement piscicole dominant est constitué de salmonidés. L’occupation des sols des paysages de la Vallée de l’Authie est composé de 70% en culture<ref>Modèle:Lien web.</ref> ;
  • les « paysages du Ternois » qui concernent Modèle:Nobr avec trois pôles d’attraction que sont Hesdin à l'ouest, Saint-Pol-sur-Ternoise à l’est et, dans une moindre mesure, Frévent en lisière sud, sont délimités par deux cours d’eau : la Canche au Sud et la Ternoise au Nord. Ces paysages sont composés de plateaux, de vallées et de bocages. Les plateaux du Ternois montrent une structure tabulaire assez plane et une altitude assez régulière avec des points culminants entre 150 et Modèle:Nobr.
Le territoire d’une vingtaine de kilomètres du Nord au Sud et d’Est en Ouest, est traversé par la D 939 reliant Saint-Pol-sur-Ternoise à Hesdin, par la D 912 entre Saint-Pol-sur-Ternoise et Frévent et par la ligne ferroviaire de Saint-Pol-sur-Ternoise à Étaples dans la vallée de la Canche. La position excentrée, en l’absence de grands axes autoroutiers ou ferrés structurants, a permis au Ternois de conserver un caractère rural et une certaine qualité de paysage.
Au niveau de l’occupation des sols, les surfaces cultivées sont omniprésentes sur les plateaux, avec majoritairement la culture de la betterave et de la pomme de terre, et représentent près de Modèle:Pourcentage de la surface totale de ces paysages du Ternois, les espaces artificialisés, cantonnés dans les fonds de vallée, représentent Modèle:Pourcentage et les surfaces boisées, présentes dans les deux principales vallées de la Ternoise et de la Canche, ne représentent que Modèle:Pourcentage<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Milieux naturels et biodiversité

Dans le cadre des projets de la commune en 2012 au hameau de Beauvoir, la peupleraie devrait être transformée en corridor biologique dans le cadre de la Trame verte et bleue communale et régionale. Modèle:Citation<ref>La Voix du Nord (ed Ternois Ouest), compte rendu de conseil municipal intitulé Les financeurs ont donné leur accord, la défense incendie sera bien réalisée (Lien vers l'article)</ref>.

La commune est située dans un fond alluvial de petite vallée, qui est d'intérêt pour la trame verte et bleue.

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend deux ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.</ref> :

  • les coteaux et bois de Remaisnil, Frohen et Courcelles. Cette ZNIEFF est constituée de boisements relativement diversifiés et gérés en futaie et taillis sous futaie<ref>Modèle:Lien web.</ref> ;
  • le fond de Croisette. Cette ZNIEFF est constituée d'une flore calcicole très diversifiée, typique de l’Artois méridional<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

et deux ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.</ref> :

  • la moyenne vallée de l’Authie et ses versants entre Beauvoir-Wavans et Raye-sur-Authie. Cette ZNIEFF de la moyenne vallée de l’Authie comprend une organisation paysagère régulière avec le fond de vallée humide, des versants calcaires, pentes boisées et hauteurs cultivées<ref>Modèle:Lien web.</ref> ;
  • la haute vallée de la Canche et ses versants en amont de Sainte-Austreberthe qui se situe dans le pays du Ternois. Il offre un relief de coteau abrupt au Nord et des pentes douces au Sud. Le fond de vallée est constitué de pâturages et de zones de cultures. Les versants les plus pentus et inaccessibles accueillent des boisements<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Urbanisme

Fichier:Bonnières (62) - Entrée.JPG
Une entrée de la commune.

Typologie

Bonnières est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Voies de communication et transports

Voies de communication

Modèle:Article connexe La commune est desservie par les routes départementales D 114, D 115 et D 916 qui relie Saint-Pol-sur-Ternoise et Doullens<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous les formes Boniræ en 1079 (D.Bét., cartulaire d'Auchy, Modèle:P.). Boneres en 1163 (cartulaire de Saint-Georges, f° 3 r°), Boneries en 1172 (ibid., f° 6 v°), Boneriæ en 1196 (cart. de Cercamp). Boniiex, xu° s. (cart. de Saint-Georges, f° 20 r°). Bonieres en 1218 (D. Bét., cart. d'Auchy, Modèle:P.), Bonneriœ en 1260 (abb. de Cercamp., c. 11). Bounieres en 1271 (ibid.). Bonnierea, 1393 (ibid.). Bonnières en 1326 (cart. des charlr. de Gosnay, T.1, f°56 r°). Bouniere en 1326 (sc. d'Art., Modèle:N°). Bonnyères en 1515 (Arch. nat., F. 1005, Modèle:N°), Bounniers en 1640 (arch. de Béth., GG. 48)<ref name="Loisne" />.

Le nom de « Bonnières » viendrait de l'ancien français bonnier (ou bonier), désignant une mesure agraire dans le nord de la France et en Belgique, qui équivalait à plus ou moins un hectare, avec de grande variations selon les régions.

D’un point de vue étymologique, toutes les hypothèses étant possibles, il est vraisemblable que Bonnières peut avoir été, à l’origine, un territoire dont la superficie s’étendait sur un tel bonnier.

Histoire

Durant l'Ancien Régime, la paroisse dépendait des abbayes d'Anchin et de Cercamps.

Bonnières était le siège d'une seigneurie.

La commune a donné son nom à une importante famille noble, les de Bonnière, qui descendent au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle des comtes de Guînes<ref name="lire en ligne">Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de la Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 47, lire en ligne</ref>.

  • Guillaume de Bonnières, sire de Bonnières, a été chambellan du roi Charles VI et de Jean de Bourgogne ([[Jean Ier de Bourgogne|Jean {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }} de Bourgogne]] dit Jean Sans Peur), puis gouverneur d'Arras, Bapaume, Renty.
  • Jean {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }} de Bonnières, sire de Bonnières, fils de Guillaume, a été chambellan du duc de Bourgogne Philippe le Bon et a épousé l'héritière des Souastre. Jean {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }}, chevalier , seigneur de Souastre, a été gouverneur d'Arras.
  • Jean II de Bonnières, fils de Jean {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }}, a été gouverneur de Dunkerque.
  • Charles de Bonnières, fils de Jean II, chevalier, seigneur de Souastre, a été gouverneur de Saint-Omer.
  • Philippe Albert de Bonnières, fils de Charles, seigneur de Souastre, a été gouverneur de Binche.
  • Charles Ignace de Bonnières, chevalier, seigneur de Souastre, Maisnil, Noulette, Aigny, etc., plusieurs fois député de la noblesse d'Artois, issu de la très noble famille des comtes de Guînes, (son fils va ajouter le nom de « de Guînes » à son nom), est bénéficiaire de l'érection en comté de la terre de Souastre en 1676<ref name="lire en ligne"/>.
  • Louis Benoit Hippolyte de Guisne de Bonnière, chevalier, seigneur de Souastre, obtient le 26 mars 1695 une sentence de noblesse en sa faveur<ref>Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de la Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 59-60, lire en ligne.</ref>.

Circonscriptions d'Ancien Régime

Bonnières, en 1789, faisait partie de la généralité et de l'intendance d'Amiens, prévôté de Doullens, du bailliage et subdélégation d'Hesdin et disposait d'une coutume locale rédigée en 1507 d'après la coutume d'Artois

La paroisse relevait du diocèse d'Amiens, doyenné d'Auxi-le-Château et avait comme annexe l'église de Canteleu<ref name="Loisne" >Modèle:Ouvrage sur Gallica.</ref>.

Première Guerre mondiale

Pendant la Première Guerre mondiale, Bonnières était située à l'arrière du front d'Artois et de la Somme. Des troupes françaises sont passées par la commune. Y ont séjourné des soldats relevés du front et envoyés à l'arrière pour récupérer, reconstituer les unités, etc., par exemple au début de juillet 1915<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Seconde Guerre mondiale

Au cours de la Seconde Guerre mondiale, Bonnières subit de lourds bombardements alliés en raison des trois rampes de lancement que les Allemands avaient construit aux abords du village, pour leurs missiles V1. Aucun V1 ne fut pourtant jamais lancé depuis Bonnières.

Un aérodrome militaire, situé entre le hameau de La Croix Tempez et celui de Beauvoir, a été aménagé de façon sommaire, dès septembre 1939 par la Royal Air Force, durant la Drôle de guerre, mais, inachevé, n'a pas été utilisé. Après l'Armistice du 22 juin 1940, il est mis en service par l'armée nazie et comprend une piste d'envol bétonnée (mesurant Modèle:Unité de long et Modèle:Unité de large), avec un taxiway ceinturant l'ensemble du site. À partir de 1943, il est abandonné et utilisé comme un leurre pour attirer les bombardiers alliés<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Fusion de communes

Canteleux était depuis des décennies la commune la moins peuplée du Pas-de-Calais et de l'ex-Nord-Pas-de-Calais avec ses 15 habitants recensés en 2015. Dépourvue de toute capacité d'action et de vie collective<ref>Modèle:Article.</ref>, elle a engagé en 2018 une réflexion en vue de sa fusion avec sa voisine Modèle:Incise la commune de Bonnières.

La fusion est intervenue le Modèle:Date- et Bonnières a donc pris le statut de commune nouvelle à cette date<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref name="F3HdF10012019">Modèle:Article Modèle:Citation.</ref>.

Politique et administration

Découpage territorial

Modèle:Article connexe La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais.

Commune et intercommunalités

Modèle:Article connexe La commune faisait partie de la petite communauté de communes de la région de Frévent, créée fin 1998.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de Modèle:Nombre<ref>Section III de l'Modèle:Légifrance, sur Légifrance</ref>, le préfet du Pas-de-Calais a publié le 12 octobre 2015 un projet de schéma départemental de coopération intercommunale qui prévoyait diverses fusion d'intercommunalité<ref>Modèle:Article.</ref>.

À l'initiative des intercommunalités concernées<ref>Modèle:Article.</ref>, la Commission départementale de coopération intercommunale (CDCI) adopte le 26 février 2016 un amendement à ce projet, proposant la fusion de :

Le schéma, intégrant notamment cette évolution, est approuvé par un arrêté préfectoral du Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref> et la communauté de communes du Ternois, dont la commune est désormais membre, est créée par un arrêté préfectoral du Modèle:Date- qui a pris effet le Modèle:Date-<ref>Modèle:Article.</ref>.

Circonscriptions administratives

Modèle:Article connexe La commune fait partie depuis 1801 du canton d'Auxi-le-Château<ref name="Cassini"/>. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Saint-Pol-sur-Ternoise.

Circonscriptions électorales

Modèle:Article connexe Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la première circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires

Modèle:Article connexe

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Équipements et services publics

Enseignement

La commune fait partie d'un regroupement pédagogique intercommunal (RPI) avec Fortel-en-Artois, Villers-l'Hôpital, Buire-au-Bois, Rougefay, Vacquerie-le-Boucq, permettant la scolarisation dans le primaire de près de 220 enfants dans les années 2000/2010.

Justice, sécurité, secours et défense

La commune dépend du tribunal judiciaire d'Arras, du conseil de prud'hommes d'Arras, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai et du tribunal pour enfants d'Arras<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Population et société

Démographie

Les habitants de la commune sont appelés les Bonnièrois<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Évolution démographique

Modèle:Article connexe

Modèle:Population de France/section

Pyramide des âges

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 35,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 29,2 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait Modèle:Nobr pour Modèle:Nobr, soit un taux de 50,81 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,5 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Modèle:Pyramide des âges communes de France

Manifestations culturelles et festivités

Économie

Modèle:… Les revenus des habitants sont essentiellement agricoles ou dépendent de l'agriculture, avec 25 exploitations sur la commune au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

  • L'église Saint-Aubin, édifiée en 1959-1961 sur les plans d'Yves Huchez d'Arras et Pierre-André Dufétel de Boulogne-sur-Mer, à l'emplacement d'un édifice des {{#switch: XVII
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}}

}} détruit lors du bombardement de Bonnières du Modèle:Date-.

Les baies en dalle de verre éclaté conçues par le verrier Gérard Lardeur occupent toute la surface des murs latéraux, un campanile se trouve à un angle de la façade<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.

Modèle:Saut

Personnalités liées à la commune

Modèle:…

Héraldique

Modèle:Article connexe Modèle:Blason commune

Pour approfondir

Modèle:Autres projets

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références

Modèle:Palette Modèle:Portail