Ordre du Carmel

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Modèle:Infobox Ordre religieux

Fichier:Pietro Novelli Our Lady of Carmel and Saints.JPG
Notre-Dame du Mont Carmel avec Marie-Madeleine de Pazzi, Thérèse d'Avila, Ange de Jérusalem et Simon Stock, tableau de Pietro Antonio Novelli.

L’ordre du Carmel est un ordre religieux catholique contemplatif. Ses membres sont appelés carmesModèle:Note (pour les hommes) et carmélitesModèle:Note (pour les femmes). Leur père spirituel est le prophète Élie. Fondé par des ermites sur le mont Carmel en Palestine à la fin du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, les premiers Carmes quittent leurs ermitages au début du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle pour se réfugier en Europe. Après bien des tribulations, l'ordre érémitique se transforme en ordre monastique. Il connaît de nombreuses réformes dont la plus marquante est la réforme instituée par Thérèse d'Avila au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle.

Il existe aujourd'hui deux branches principales : les Grands Carmes (n'ayant pas suivi la réforme de sainte Thérèse d'Avila) et la branche issue de la réforme thérésienne, les Carmes déchaux. Ces deux branches sont découpées en trois ordres :

  • les Carmes (pour les hommes) ;
  • les Carmélites (pour les femmes), appelées le second ordre (du Carmel) car leur ordre a été créé après l'ordre des Carmes ;
  • le Tiers-Ordre carmélite (pour les laïcs), appelé le troisième ordre car créé dans un troisième temps<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

L'ordre du Carmel est porteur d'une tradition spirituelle riche, qui a une grande importance pour l'Église catholique tout entière, notamment grâce à plusieurs docteurs de l'Église issus de l'ordre : Thérèse d'Avila, Jean de la Croix, Thérèse de Lisieux. Ils sont spécialement connus pour leur enseignement sur l'oraison, centre de la vie spirituelle du Carmel. De nombreux mystiques ont également laissé des écrits ayant éclairé leur époque et même faisant parfois référence jusqu'à nos jours (Jean de Saint-Samson, Laurent de la Résurrection, Marie-Madeleine de Pazzi, Élisabeth de la Trinité, Marie Candide de l'Eucharistie, Maria Petyt).

Historique

Fichier:Coustumes - Carmes.png
Carmes.
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Carmes déchaussés.
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Carmélites.
Fichier:Coustumes - Carmelites déchaussées.png
Carmélites déchaussées.

Origine et développement au Moyen Âge

Modèle:Article détaillé

Dès le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, des hommes s'inspirant du prophète Élie viennent vivre en ermites dans les grottes du mont Carmel. Albert Avogadro, Patriarche latin de Jérusalem, leur donne une règle de vie en 1209. Cette règle, constituée de quelques thèmes majeurs empruntés à la Bible, est centrée sur la prière. C'est l'acte fondateur de l'Ordre, qui prend le nom de « ordre des Frères de Notre-Dame du Mont-Carmel » ou Carmes<ref name="carmelasso1">Modèle:Lien web.</ref>. Plus tard, en 1247, le pape Innocent IV donnera aux Carmes l'appellation officielle de Frères de Notre-Dame du Mont-Carmel<ref name="carmelasso1" />.

Le siège de Jérusalem en 1187, qui achève la conquête de la Palestine par Saladin, oblige les chrétiens venus d'Occident lors des croisades à partir. De retour en Europe en 1238, ils vivent de plus en plus dans les villes où ils constituent de petites communautés. En 1247, l'ordre érémitique qu'est le Carmel est organisé par le pape Innocent IV en ordre monastique mendiantModèle:Sfn. En 1274, l'existence de l'Ordre est définitivement confirmée par le pape Grégoire X.

En 1435, le pape Eugène IV assouplit les rigueurs de la règle monastique par une mitigation qui entrainera de nombreuses tentatives de contre-réforme (tentatives de réformes par Jean Soreth, réforme de Mantoue, réforme de Touraine)Modèle:Sfn.

Des femmes proches de ces communautés de Frères Carmes sont attirées par leur vie de prière. Ainsi par exemple, des béguinages aux Pays-Bas donnent naissance à des monastères de carmélites dans la seconde moitié du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. Jean Soreth, frère du couvent des Carmes de Caen, supérieur de l'ordre du Carmel de 1451 à 1471, travaille à la transformation de quelques béguinages des Pays-Bas en monastères de carmélites. Le mouvement ainsi lancé se répand en Bretagne avec la duchesse de Bretagne Françoise d'Amboise<ref group=alpha>Françoise d'Amboise épouse le duc de Bretagne à l'âge de Modèle:Nobr. Veuve à Modèle:Nobr, elle fonde un couvent de carmélites près de Vannes avec l'aide de Jean Soreth et y prend l'habit.</ref> mais aussi en Italie et en Espagne.

La Réforme thérèsienne et son extension en Europe

Modèle:Article détaillé

Dans le contexte de la tourmente protestante et du Concile de Trente, deux grandes figures marquent en Espagne la vie du Carmel : sainte Thérèse d'Avila (1515-1582) et saint Jean de la Croix (1542-1591) qui fondent les Carmes déchaussés en 1568. Ils renouvellent dans l'Ordre le sens de la prière et de la pauvreté à travers l'humilité et une vie cachée<ref name="carmelasso2">Modèle:Lien web.</ref>.

Après la fondation du premier monastère de la réforme, le couvent Saint-Joseph à Ávila en 1562, seize communautés féminines et quinze communautés masculines nouvelles sont érigées en Espagne en seulement 20 ans<ref name="carmelasso3">Modèle:Lien web.</ref>.

En 1604, le cardinal de Bérulle et Barbe Acarie fondent le premier carmel déchaussé en France où ils connaissent rapidement un très grand succès (74 carmels féminins et 67 couvents de Carmes réformés sont présents à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle contre seulement 6 couvents de carmélites non réformées)<ref name="carmelasso4">Modèle:Lien web.</ref>. Plusieurs grands noms de la noblesse ou de la société parisienne entrent au Carmel comme Louise de La Vallière, ou Louise de France.

Persécutions et effondrement de l'Ordre

Modèle:Article détaillé Les guerres de Religion entrainent des exactions et la destruction de plusieurs couvents. Le siècle des Lumières est un temps de fléchissement spirituel pour la vie religieuse confrontée aux remises en question du rationalisme, les vocations religieuses diminuentModèle:Sfn.

L'empereur Modèle:Souverain2 du Saint-Empire romain germanique, avant même la Révolution française décide de supprimer tous les couvents des ordres religieux contemplatifs (le Carmel, mais également les visitandines). Tous les monastères de son empire (Allemagne, Autriche, Pologne, une partie de l'Italie, les Pays-Bas) sont supprimés, et les religieux et religieuses sont soit expulsés soit envoyés dans les couvents d'autres ordres. Même l'intervention et la visite du pape Pie VI ne le fait pas changer d'avis<ref name="carmelasso5">Modèle:Lien web.</ref>.

La Révolution française entraîne la fermeture de tous les couvents de Carmes et de Carmélites en France (l'Assemblée constituante supprime les congrégations religieuses à vœux solennels le Modèle:Date). Les biens des religieux sont saisis et vendus. Les Carmes disparaissent de France jusqu'en 1840, les carmélites restent et entrent dans la clandestinité<ref name="carmelasso5"/>. Plusieurs religieux et religieuses sont exécutés<ref group=alpha>Voir l'article Pontons de Rochefort, ou les Carmélites de Compiègne.</ref>.

En Espagne, au cours du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, plusieurs émeutes et révoltes amènent les populations à brûler des couvents, voire à y massacrer les religieux. En 1835 le gouvernement ordonne la suppression des couvents qui comptent moins de 12 membres. C'est ainsi que plus de 900 couvents sont fermés<ref name="carmelasso5"/>. En 1936, avant même le début de la guerre d'Espagne, les milices républicaines attaquent et incendient de nombreux couvents, et vont même jusqu'à massacrer les religieux (voir Terreur rouge : Violences antireligieuses)<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

La renaissance du Carmel

Modèle:Article détaillé

Expansion des couvents

Fichier:Gregorio Fernández, Santa Teresa de Jesús, 1625.jpg
Thérèse d'Avila par Gregorio Fernández

Après la fermeture des couvents de France en 1792, des carmélites organisent des couvents clandestins. Mère Thérèse-Camille de l’Enfant Jésus (Marie-Thérèse-Françoise-Camille de Soyécourt) qui a pu récupérer la fortune familiale va utiliser cet argent pour racheter des anciens couvents saisis et vendus par la république afin de réinstaller des religieuses. En 1800, Modèle:Mme organise un premier couvent clandestin qui servira de plaque tournante pour recueillir les carmélites isolées et les renvoyer vers de nouveaux couvents (clandestins). Ainsi, en 1804, vingt-cinq couvents sont reconstitués<ref name="carmelasso5"/>. Après la chute de [[Napoléon Ier|Napoléon {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }}]], les restaurations de couvents de carmélites se poursuivent et de nouvelles fondations voient le jour (cinquante-sept restaurations et fondations jusqu'en 1850)<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Les Carmes déchaux, qui avaient fui la France reviennent y fonder un premier couvent en 1840. Les fondations se multiplient en France jusqu'à la fin du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. En 1901, on compte alors cent trente-deux couvents de carmélites, soit cinquante-huit de plus qu'avant la Révolution<ref name="carmelasso5"/>. À partir de la seconde moitié du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, les ordres carmélites français lancent des fondations sur d'autres continents (Inde, Palestine)<ref>Amédée Brunot : Mariam, la petite arabe, 2009, (Modèle:ISBN).</ref>.

Après la guerre civile espagnole, sainte Maravillas de Jesús restaure le couvent de Cerro de los Angeles et fonde 10 nouveaux couvents en Espagne et à l'étranger (un couvent en Équateur). L'ordre des Carmes déchaux se développe rapidement en Espagne pour atteindre les 149 couvents<ref name="carmelEurope">Modèle:Lien web.</ref>. En Grande-Bretagne plusieurs fondations de couvents ont lieu au milieu du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. Ces couvents essaiment à leur tour dans différents pays anglophones (Australie, Irlande, États-Unis)<ref name="carmelEurope"/>.

D'autres personnalités contribuent à la restauration du Carmel : l'Espagnol François Palau y Quer, l'officier polonais Raphaël Kalinowski, le pianiste et carme allemand Hermann Cohen. En 1831 en Inde, le bienheureux Kuriakose Elias Chavara fonde la Congrégation des Serviteurs de Marie Immaculée du Mont-Carmel, communément appelés Carmes de Marie Immaculée. Il fonde également la congrégation féminine du Carmel de Marie en 1866. Ces deux congrégations se répandent en Afrique et en Europe.

Renouveau spirituel

Sainte Thérèse de Lisieux et sainte Élisabeth de la Trinité renouvellent le message spirituel du Carmel. La lecture d' Histoire d'une âme de la sainte de Lisieux a un immense retentissement, ainsi que sa canonisation en 1925. En 1933, le Carmel de Cologne accueille Edith Stein, philosophe juive réputée, sous le nom de sœur Thérèse-Bénédicte de la Croix. Son œuvre théologique et philosophique a beaucoup influencé son époque, et ce jusqu'à aujourd'hui.

Au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle le père Marie-Eugène de l'Enfant-Jésus fonde le premier institut séculier carmélitain : Notre-Dame de Vie, faisant partie du Tiers-Ordre carmélite. La fin du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle voit le développement et l’expansion du Carmel séculier.

Présentation de l'Ordre

La famille carmélitaine

Fichier:Carmelitemonks.jpg
Carmes du Wyoming.

La famille carmélitaine comprend aujourd'hui deux branches :

Globalement, le Tiers-Ordre constitue l'ordre plus nombreux (pour les deux branches de l'Ordre), devant les religieuses, puis les frères Carmes.

À ces branches se rajoutent différentes communautés de Carmélites apostoliques (religieuses non cloitrées), rattachées à l'ordre du Carmel, dont : Modèle:Article détaillé

La famille carmélitaine comprend également :

Organisation et structuration

Fichier:Nun and novice discalced carmelites in Porto Alegre Brazil 20101129.jpeg
Sœurs carmélites.

Les carmes et carmélites travaillent pour subvenir à leurs besoins. Ce point est indiqué dès le départ dans la règle du Carmel<ref name="Régle">Modèle:Lien web.</ref>. Si pour les Grands Carmes, la taille des couvents n'est pas limitée (le couvent de l'Incarnation à Avila comptait deux cents religieuses au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle), Thérèse d'Avila a limité les effectifs des couvents de carmes déchaux à vingt personnes plus la prieure.

Les religieux, regroupés dans un couvent, élisent un responsable (le père supérieur, ou la mère supérieure pour les carmélites). Ce responsable est élu lors d'un chapitre pour 3 ans. Les couvents sont regroupés en province. Un pays peut être découpé en plusieurs provinces, ou, s'il y a peu de couvents, la province peut inclure les couvents de plusieurs pays. Les communautés séculières du Tiers-Ordre carmélite sont rattachées aux provinces carmélitaines comme les couvents de l'Ordre. Les différents couvents d'une province élisent (pour trois ans) lors du chapitre provincial, le responsable de la province nommé provincial. L'ensemble des provinces Carmes élisent (pour 3 ans) le prieur général de l'Ordre appelé général de l'Ordre. Le général de l'Ordre est commun aux deux branches chaussées et déchaussées.

Les moines carmes déchaux et les moniales carmélites déchaussées vivent le même rythme de prière et consacrent quatre heures chaque jour à la prière, dont deux heures à l’oraison silencieuse (ils prient quotidiennement cinq offices de la Liturgie des Heures). Les frères carmes ont également des activités apostoliques de prédication axées sur la tradition spirituelle du Carmel. Les laïcs du Tiers-Ordre s'engagent également à prier la Liturgie des Heures, mais celle-ci est (pour eux) limitée aux laudes et aux vêpres.

La règle du Carmel

La règle du Carmel<ref name="Régle" /> rédigée en 1209 était destinée à des ermites vivant dans les grottes du mont CarmelModèle:Sfn. Celle-ci a dû être légèrement modifiée par le pape Innocent IV en 1247 quand les ermites ont dû se réfugier en Europe et quitter la vie érémitique pour passer à une vie monastique. Par la suite d'autres révisions ont eu lieuModèle:Sfn,Modèle:Sfn.

Modèle:Article détaillé

Le charisme du Carmel

Initialement contemplatif, le Carmel voit sa spiritualité évoluer lors de son retour en Europe avec la fin du mode de vie érémitique. Après l'approbation d'Innocent IV en 1247, le charisme du Carmel se développe selon une double dimension : une vie contemplative et une vie apostolique (vie mixte). Cette évolution de la spiritualité carmélitaine ne s'achève qu'au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècleModèle:Sfn.

La mission apostolique se retrouve dans la paternité d'Élie, le "prophète de Feu", vénéré dès les premiers temps par les ermites sur le mont Carmel. Élie fait partie intégrante de la spiritualité du Carmel. Le père carme Kilian, prieur général de l'Ordre en 1959, auteur de plusieurs livres, insiste sur le charisme fondamental de l'Ordre Modèle:CitationModèle:Sfn. La Vierge Marie (vénérée sous l'appellation de Notre-Dame du Mont-Carmel) est également très présente dans la spiritualité carmélitaineModèle:Sfn.

L'oraison est un temps de prière à laquelle le carme doit se consacrer. Ce temps de prière est décrit dans la Règle comme un "veiller dans la prière". Le frère carme Bruno Secondin, professeur de théologie indique que Modèle:Citation. Ce temps de prière silencieuse (et les moyens d'y entrer), même s'il n'est pas exclusif du Carmel, a beaucoup été développé et mis en valeur par l'Ordre.

Le blason de l'Ordre

Exemples de blasons

Symbolique du blason

Le blason du Carmel existe sous de multiples formes plus ou moins simplifiées. La plus basique conserve juste les 3 étoiles avec le cœur marron entouré de deux lobes blancs.

L'écu central représente deux lobes blancs surplombant un cœur marron : le tout symbolisant les deux pans blancs du manteau carmélitain s'ouvrant sur la robe de bure (brune). La partie brune monte et se termine sur une croix ; elle indique que la croix est la voie qui conduit au mont Carmel où se fait la rencontre avec Dieu<ref name="revue">Revue Communautés carmélitaines séculières aujourd'hui, nouvelle édition 2008, éditions du Carmel. Modèle:P..</ref>.

Les 3 étoiles peuvent représenter, selon une interprétation habituelles les trois vertus théologales (foi, espérance et charité)<ref name="revue"/>, ou bien les trois vœux prononcés lors de l'entrée en religion (pauvreté, obéissance et chasteté).

Le blason, de l'Ordre reprend deux versets bibliques ancrés sur le prophète Élie (considéré comme le père fondateur de l'Ordre)<ref name="revue"/> :

Prieurs Généraux de l’Ordre

Branche des Grands Carmes

Modèle:Article détaillé

Ordre des Carmes déchaux

Modèle:Article détaillé

Liste des couvents de l'ordre

Modèle:Article détaillé Modèle:Article détaillé Modèle:Article détaillé

Personnalités dans l'ordre du Carmel

Les saints et bienheureux du Carmel

Modèle:Article détaillé

Sainte Thérèse d'Avila, saint Jean de la Croix et sainte Thérèse de Lisieux, tous trois Docteurs de l'Église, sont souvent considérés aujourd'hui comme les trois maîtres du Carmel.

Sainte Thérèse-Bénédicte de la Croix (Edith Stein), sainte co-patronne de l'Europe.

Dans l'ordre des Carmes déchaux

Modèle:Article détaillé

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références nombreuses

Annexes

Bibliographie

Bibliographie carmélitaine

La doctrine de ces auteurs tourne beaucoup autour du thème de la nuptialité (telle qu'évoquée entre autres dans le Cantique des Cantiques, le livre d'Osée et même par Jésus dans les Évangiles), soit de l'union de l'âme avec Dieu qui est l'époux. Les écrits de Thérèse d'Avila et de Jean de la Croix constituent un véritable enseignement sur l'art de l'oraison, et en particulier de la contemplation mystique au cours de laquelle Dieu prend lui-même l'initiative durant l'oraison.

Autres ouvrages de synthèse

  • Modèle:Ouvrage.
  • Sr Pascale-Dominique Nau, Suivre le Christ avec sainte Thérèse d'Avila, (Bayonne, 2008).
  • Sr Pascale-Dominique Nau, Quand Dieu parle: Saint Jean de la Croix et la lectio divina, (Bayonne, 2008).
  • Modèle:Ouvrage.
  • Robert Serrou et Pierre Vals, Le Carmel, Carmélites et Carmes, éditions Horay, 1957, 208 p.
  • Modèle:Ouvrage.

Articles connexes

Modèle:Autres projets

Liens externes

Modèle:Liens

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