Champagne-et-Fontaine

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Modèle:Bandeau homonymie Modèle:Voir homonymes

Modèle:Infobox Commune de France

Champagne-et-Fontaine (nom officiel) ou Champagne-et-Fontaines (graphie locale) est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

Généralités

Située dans la vallée de la Lizonne, la commune de Champagne-et-Fontaine est située en Ribéracois, dans le quart nord-ouest du département de la Dordogne, en limite de celui de la Charente.

Elle est composée de deux anciennes communes, Champagne et Fontaine.

À l'intersection des routes départementales Modèle:Nobr, le bourg de Champagne se situe, en distances orthodromiques, onze kilomètres à l'ouest-sud-ouest de Mareuil et dix-neuf kilomètres au nord du centre-ville de Ribérac. Traversé par la Modèle:Nobr, le bourg de Fontaine, parfois orthographié Fontaines (de l'occitan Fontanas), est quant à lui situé trois kilomètres plus au nord-est.

Les lieux-dits Chaumont, Jaufrenie et la Richardie sont sur la rive droite de la Lizonne, petite exception à cette rivière qui sert partiellement de limite départementale.

Communes limitrophes

Fichier:Map commune FR insee code 24097.png
Carte de Champagne-et-Fontaine et des communes avoisinantes.

Champagne-et-Fontaine est limitrophe de dix communes dont quatre dans le département de la Charente, et deux par des quadripoints : Édon (lieu-dit gué de Pompeigne) au nord et Villebois-Lavalette (lieu-dit les Quatre Croix) au nord-ouest. Également au nord-ouest, son territoire est distant de moins de Modèle:Unité de celui de Ronsenac.

Modèle:Communes limitrophes

Géologie et relief

Géologie

Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Champagne-et-Fontaine est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire datant du Cénozoïque, de roches sédimentaires du Mésozoïque.

On trouve le Coniacien sur le tiers nord de la commune. Le Santonien occupe la partie sud, avec une minuscule zone de Campanien à l'extrême sud-ouest (Jovelle). Une cuesta par paliers faisant face au nord-est marque un dénivelé sensible. On peut suivre cet escarpement vers le nord-ouest dans tout le sud du département de la Charente par Gurat jusqu'au sud de Cognac, et vers le sud-est à Verteillac.

Certains lieux-dits comme Puy-de-Versac, à Modèle:Unité d'altitude, sont sur le flanc d'un de ces paliers occupés par le Santonien supérieur et moyen, ce qui dégage une belle vue vers le nord-est ainsi que sur la vallée de la Pude au sud. Le bourg de Champagne est au pied de cette côte. La surface de ce plateau est recouverte de formations composées de sables argileux bruns, issues de l'altération du Santonien supérieur lors du Quaternaire (Pléistocène).

La vallée de la Lizonne est occupée par des alluvions récentes composées de sable et tourbe<ref>Visualisateur Infoterre, site du BRGM</ref>,<ref>Carte du BRGM sous Géoportail</ref>,<ref>Modèle:Pdf Modèle:Lien web.</ref>.

La formation la plus ancienne, notée c3(2), date du Coniacien indifférencié, composée de calcaires gréseux, sables et marnes à la base puis calcaires bioclastiques et calcaires crayeux et glauconieux ou calcaires à huîtres au sommet. La formation la plus récente, notée CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatées de vallons secs : sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « Modèle:N° - Montmoreau » et « Modèle:N° - Nontron » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine<ref>Modèle:Géoportail</ref>,<ref name=SIGES>Modèle:Lien web</ref> et leurs notices associées<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Fichier:24097-Champagne-et-Fontaine-géologie.svg
Carte géologique de Champagne-et-Fontaine.

Modèle:Boîte déroulante/début

Ère Période Époque Formations géologiques
Cénozoïque
(0 - Modèle:Donnée stratigraphique)
Quaternaire
(0 - Modèle:Donnée stratigraphique)
Holocène
Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Box-D24 Modèle:Nobr Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Leg-D24
Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Box-D24 Modèle:Nobr Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Leg-D24
Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Box-D24 Modèle:Nobr Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Leg-D24
Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Box-D24 Modèle:Nobr Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Leg-D24
Pléistocène  non présent
Néogène
(Modèle:Donnée stratigraphique - Modèle:Donnée stratigraphique)
 non présent
Paléogène
(Modèle:Donnée stratigraphique - Modèle:Donnée stratigraphique)
 non présent
Mésozoïque
(Modèle:Donnée stratigraphique - Modèle:Donnée stratigraphique)
Crétacé
(Modèle:Donnée stratigraphique - Modèle:Donnée stratigraphique)
Supérieur
Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Box-D24 Modèle:Nobr Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Leg-D24
Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Box-D24 Modèle:Nobr Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Leg-D24
Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Box-D24 Modèle:Nobr Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Leg-D24
Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Box-D24 Modèle:Nobr Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Leg-D24
Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Box-D24 Modèle:Nobr Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Leg-D24
inférieur non présent.
Jurassique
(Modèle:Donnée stratigraphique - Modèle:Donnée stratigraphique)
 non présent
Trias
(Modèle:Donnée stratigraphique - Modèle:Donnée stratigraphique)
 non présent
Paléozoïque
(Modèle:Donnée stratigraphique - Modèle:Donnée stratigraphique)
 non présent

Modèle:Boîte déroulante/fin

Relief et paysages

Fichier:Champs vers les village de Fontaine (29649063474).jpg
Le village de Fontaine entouré de champs.

Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (Modèle:Unité, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (Modèle:Unité à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre Modèle:Unité et Modèle:Unité<ref name="Cassini"/>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le Modèle:Date-, renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères<ref group=Note>Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est dans le Ribéracois, une région naturelle possédant un relief vallonné avec des altitudes moyennes comprises autour des Modèle:Unité, sculpté par la Dronne et ses nombreux affluents. Les paysages sont ondulés de grandes cultures dont les vastes horizons contrastent avec les paysages plus cloisonnés de la Dordogne<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de Modèle:Unité<ref name="Cassini"/>,<ref>Modèle:Lien web</ref>,Modèle:Note. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de Modèle:Unité<ref name=SIGES/>.

Hydrographie

Réseau hydrographique

La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est drainée par la Lizonne, la Pude, le ruisseau de Fontaine et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail</ref>.

La Lizonne, appelée Nizonne dans sa partie amont, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Sceau-Saint-Angel et se jette ans la Dronne en rive droite, en limite d'Allemans et de Saint-Séverin, face à la commune de Bourg-du-Bost<ref>Modèle:Géoportail.</ref>,<ref>Modèle:Sandre</ref>. Elle traverse la commune du nord à l'ouest sur plus de cinq kilomètres, lui servant de limite naturelle sur trois kilomètres et demi, en deux tronçons séparés, face à Blanzaguet-Saint-Cybard et à Gurat.

Son affluent de rive gauche le ruisseau de Fontaine prend sa source au sud du village de Fontaine et baigne le territoire communal sur plus de deux kilomètres.

La Pude, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Gout-Rossignol et se jette en rive gauche de la Lizonne, en limite de Bouteilles-Saint-Sébastien et de Nanteuil-Auriac-de-Bourzac, face à Palluaud<ref>Modèle:Géoportail.</ref>,<ref>Modèle:Sandre</ref>. Elle arrose le sud du territoire communal sur près de quatre kilomètres et demi, dont trois kilomètres et demi en limite de Cherval et La Chapelle-Grésignac, en deux tronçons.

Gestion et qualité des eaux

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de Modèle:Unité, a été approuvé le Modèle:Date-. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)<ref>Modèle:Lien web</ref>. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web</ref>.

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000<ref name=Joly/>

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 3 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 8,5 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitationModèle:Note : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,5 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,7 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Martial Viveyrols », sur la commune de Saint-Martial-Viveyrol, mise en service en 1988<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Cognac », sur la commune de Châteaubernard, dans le département de la Charente, mise en service en 1945 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Milieux naturels et biodiversité

ZNIEFF

Les vallées de la Lizonne et de son affluent la Pude sont protégées dans leur traversée de la commune au titre de la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de Modèle:Nobr « Vallée de la Nizonne »<ref>Modèle:Pdf Vallée de la Nizonne, INPN, consulté le 19 octobre 2019.</ref>,<ref>Carte de localisation de la ZNIEFF 7720008181, INPN, consulté le 19 octobre 2019. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux limites communales, cliquer à droite sur « Fonds de cartes », déplacer le curseur « Fond Cartographique » complètement sur la droite et barrer le curseur « Orthophotos ».</ref>.

Sa faune est constituée d'environ Modèle:Nombre dont trente sont considérées comme déterminantes :

Sa flore est également riche de plus de deux cents espèces de plantes, dont neuf sont considérées comme déterminantes : la Fritillaire pintade (Fritillaria meleagris), la Gentiane des marais (Gentiana pneumonanthe), l'Hélianthème blanc (Helianthemum canum), l'Orchis à fleurs lâches (Anacamptis laxiflora), l'Orpin de Nice (Sedum sediforme), le Pigamon jaune (Thalictrum flavum), la Sabline des chaumes (Arenaria controversa), le Scirpe des bois (Scirpus sylvaticus) et l'Utriculaire citrine (Utricularia australis).

Sur le territoire communal, la quasi-totalité de la zone riveraine de la Lizonne, sur une superficie de près d'un kilomètre carré, et s'étendant sur plus de Modèle:Unité de large au niveau du lieu-dit Aux Pêcheries, fait partie d'une ZNIEFF de Modèle:Nobr « Marais alcalins de la vallée de la Nizonne »<ref>Modèle:Pdf 720020064 - Marais alcalins de la vallée de la Nizonne, GEREA, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le Modèle:Date-.</ref>,<ref>Carte de la ZNIEFF 720020064, INPN, consulté le Modèle:Date-. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».</ref> dans laquelle ont été recensées douze espèces déterminantes d'animaux : l'Agrion de Mercure (Coenagrion mercuriale), l'Azuré de la croisette (Phengaris rebeli), l'Azuré de la sanguisorbe (Phengaris teleius), la Cistude (Emys orbicularis), la Cordulie à corps fin (Oxygastra curtisii), le Cuivré des marais (Lycaena dispar), le Fadet des laîches (Coenonympha oedippus), le Gomphe de Graslin (Gomphus graslinii), la Loutre d'Europe (Lutra lutra), la Rainette verte (Hyla arborea), le Triton marbré (Triturus marmoratus) et le Vison d'Europe (Mustela lutreola), ainsi que cinq espèces déterminantes de plantes : la Fritillaire pintade (Fritillaria meleagris), la Gentiane des marais (Gentiana pneumonanthe), le Pigamon jaune (Thalictrum flavum), la Sagittaire à feuilles en flèche (Sagittaria sagittifolia) et l'Utriculaire citrine (Utricularia australis). Par ailleurs, Modèle:Unité espèces animales et Modèle:Unité espèces végétales y ont été répertoriées.

Deux zones réduites formant un total d'une dizaine d'hectares (près des lieux-dits les Écures et le Quinze) font partie d'une autre ZNIEFF de Modèle:Nobr « Vallée de la Pude » composée Modèle:Citation<ref name=fiche>Modèle:Pdf 720008182 - Vallée de la Pude, GEREA, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le Modèle:Date-.</ref>,<ref>Carte de la ZNIEFF 720008182, INPN, consulté le Modèle:Date-. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».</ref> dans laquelle ont été recensés deux espèces déterminantes d'odonates, le Gomphe semblable (Gomphus simillimus) et le Gomphe vulgaire (Gomphus vulgatissimus)<ref name="fiche"/>. Trente-sept autres espèces animales y ont également été répertoriées (seize odonates et Modèle:Unité) ainsi qu'une trentaine d'espèces végétales<ref name="fiche"/>.

Natura 2000

Dans leur traversée de la commune, la Lizonne et sa vallée<ref>Carte du site FR7200663, INPN, consulté le Modèle:Date-. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».</ref> font partie d'une zone du réseau Natura 2000 également appelée « Vallée de la Nizonne » avec vingt espèces animales inscrites à [[Directive habitats#Annexe II|Modèle:Nobr]] de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne<ref>Modèle:Pdf FR7200663 - Vallée de la Nizonne, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le Modèle:Date-.</ref> :

Urbanisme

Typologie

Champagne-et-Fontaine est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (79,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (64,6 %), forêts (19,2 %), zones agricoles hétérogènes (10 %), prairies (4,9 %), zones urbanisées (1,2 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Villages, hameaux et lieux-dits

Modèle:Liste horizontale

Prévention des risques

Le territoire de la commune de Champagne-et-Fontaine est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible)<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Lizonne. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 1999<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>.

Champagne-et-Fontaine est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du Modèle:Date- fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février<ref>Modèle:Lien web, chapitre Feux de forêts.</ref>. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Fichier:24097-Champagne-et-Fontaine-argile.jpg
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Champagne-et-Fontaine.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels<ref>Modèle:Lien web, chapitre Mouvements de terrain.</ref>. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie<ref>Modèle:Lien web</ref>. 17,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>. Depuis le Modèle:Date-, en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort<ref group=Note>Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :

  • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
  • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
  • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et 2003 et par des mouvements de terrain en 1999<ref name=Géorisques/>.

Toponymie

Le nom officiel de la commune s'écrit Champagne-et-Fontaine<ref>Code officiel géographique de Champagne-et-Fontaine sur le site de l'Insee, consulté le 18 mai 2016.</ref>. Il résulte de la fusion en 1832 des communes de Champagne et de Fontaine<ref name=Cassini/>. Localement, la graphie communale s'écrit « Champagne-et-Fontaines », avec un S final<ref>Site de la commune, consulté le 18 mai 2016.</ref>.

En occitan, la commune porte le nom de Modèle:Langue<ref>Le nom occitan des communes du Périgord - Champanha e Fontanas sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le Modèle:Date-.</ref>.

Histoire

La voie romaine de Saintes à Périgueux traversait la Lizonne au Pas de Fontaine, que rejoignait l'ancienne voie venant d'Angoulême, qui traversait, elle, la Lizonne au Gué de Pompeigne et qui forme encore la limite communale au nord-est de Fontaine. Cette voie se dirigeait vers Vesunna (Périgueux) par la Tour-Blanche.

En 1832, les communes de Fontaine et de Champagne fusionnent sous le nom de Champagne-et-Fontaine<ref name=Cassini/>.

Politique et administration

Rattachements administratifs

Dès 1790, la commune de Champagne a été rattachée au canton de Champaigne qui dépendait du district de Ribérac jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviôse an IX (Modèle:Date) portant sur la « réduction du nombre de justices de paix », la commune est rattachée au canton de Verteillac dépendant de l'arrondissement de Ribérac. Ce dernier étant supprimé en 1926, ses communes sont alors rattachées à l'arrondissement de Périgueux<ref name=Cassini/>.

Intercommunalité

Fin 2001, Champagne-et-Fontaine rejoint la communauté de communes du Verteillacois créée cinq ans plus tôt. Celle-ci est dissoute au 31 décembre 2013 et remplacée au Modèle:1er janvier 2014 par un intercommunalité élargie : la communauté de communes du Pays Ribéracois, renommée en 2019 communauté de communes du Périgord Ribéracois.

Administration municipale

La population de la commune étant comprise entre 100 et Modèle:Unité au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020<ref>Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 30 août 2020.</ref>,<ref>Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 25 octobre 2020.</ref>.

Liste des maires

Fichier:Champagne-f mairie.JPG
La mairie de Champagne-et-Fontaine.

Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Jumelages

Fichier:Canton Verteillac jumelage.JPG
Panneau de jumelage du canton avec Fontanetto Po.

L'ensemble des communes de l'ancien canton de Verteillac, dont faisait partie Champagne-et-Fontaine, est jumelé avec la commune italienne de Fontanetto Po depuis 1988<ref>Jean-Louis Savignac, « Les 30 bougies du jumelage franco-italien », Sud Ouest édition Périgueux, 27 avril 2018, Modèle:P..</ref>.

Équipements et services publics

Justice

Dans le domaine judiciaire, Champagne-et-Fontaine relève<ref> Modèle:Lien web.</ref> :

Population et société

Démographie

Modèle:Article connexe

Démographie de Fontaine

Jusqu'en 1832, les communes de Champagne et de Fontaine étaient indépendantes.

{{#invoke:Démographie|demographie}}

Démographie de Champagne, puis de Champagne-et-Fontaine

Modèle:Population de France/section

Économie

Emploi

En 2015<ref>Dossier complet - Commune de Champagne-et-Fontaine (24097) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 4 septembre 2018.</ref>, parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent Modèle:Unité, soit 38,8 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (vingt-cinq) a fortement augmenté par rapport à 2010 (dix) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 15,8 %.

Établissements

Au Modèle:Date-, la commune compte cinquante-cinq établissements<ref>Modèle:Lien web.</ref>, dont vingt-six au niveau des commerces, transports ou services, quatorze dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, dix dans la construction, trois relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, et deux dans l'industrie<ref>Dossier complet - Commune de Champagne-et-Fontaine (24097) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 4 septembre 2018.</ref>.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Patrimoine civil

Château de Clauzuroux

Le château de Clauzuroux (ou château du Clauzurou), Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, avec son domaine des {{#switch: e

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}} (qui s'étend également sur les communes de La Chapelle-Grésignac et Cherval), inscrit au titre des monuments historiques en 1947, le parc et l'ensemble des autres éléments (pigeonnier, moulin, grange, bief, escalier d'eau, etc.) étant inscrits en 2002<ref>Modèle:Base Mérimée, consultée le 23 mai 2011.</ref>,<ref>Modèle:Base Mérimée, consultée le 23 mai 2011.</ref>, visitables.

Château de la Richardie

Le château de la Richardie, entre Jaufrenie et le Pas-de-Fontaine est une demeure du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle sur le site d'un château médiéval<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.

Château de Champagne dit Château de Chaumont

Situé dans le bourg de Champagne, c'est un château fort de style Renaissance. Il date de 1667, mais a été endommagé pendant la Révolution française (tours arasées), et reconstruit et agrémenté aux {{#switch: e

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}}<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>. Modèle:-

Château de la Ligerie
Fichier:Fontaines ligerie.JPG
Château de la Ligerie.

Le château de la Ligerie est situé à Fontaine. C'est un manoir des {{#switch: XVII

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}}<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>, qui a été acheté en 1900 par Henri de Gaulle, père de Charles de Gaulle, qui l'a conservé jusqu'en 1920<ref name=Jamet/>. De 1901 à 1908, le jeune Charles y a passé ses vacances estivales<ref>Claude-Hélène Yvard, « Les vacances en Dordogne du petit Charles », Le Mag Modèle:N°, supplément à Sud Ouest, Modèle:Date-, Modèle:P..</ref>.

Le château a été acheté en 1940 par Henri Legendre, second mari de Georgette Louise Barrouin, mère de Jacques Chaban-Delmas. Ce dernier a utilisé le château pour créer son réseau de résistants en Périgord avec l'aide du boulanger de Fontaine. Il a hérité du château. Ses descendants l'ont cédé en 2004. Modèle:-

Patrimoine religieux

Le village de Fontaine a eu un prieuré double de l'ordre de Fontevraud, un prieuré pour femmes et un pour hommes, dans la même clôture, le supérieur de l'ensemble étant la supérieure du prieuré des femmes, comme c'était toujours le cas dans cet ordre monastique. Le premier couvent, celui des Dames-Sainte-Marie a été créé en 1120 par Bernard du Tiron après le passage en Périgord de Robert d'Arbrissel et a bénéficié des libéralités des comtes de Périgord et des seigneurs de Mareuil et de Bourdeilles. La fondation de l'abbaye de Cadouin est contemporaine de celle de ce prieuré. Ce prieuré a eu à souffrir de la Guerre de Cent Ans et des guerres de religion pour disparaître à la Révolution<ref>Dictionnaire de l'ordre monastique de Fontevrault</ref>. Le second couvent dépendant de l'ordre de Fontevrault était le prieuré Saint-Pierre d'Embournet, établi à la même époque mais dilapidé<ref>Abbé Paul Legrand, « L'abbé Jean Gilbert des Héris (1758), promoteur du diocèse d'Angoulême », dans Bulletin et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, 1900, Modèle:6e série, tome X, Modèle:P. note (1) (lire en ligne)</ref>

Église paroissiale Saint-Martin

L'église paroissiale Saint-Martin, à Champagne, date du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et a été remaniée aux Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, {{#switch: e

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}}. Elle est inscrite aux monuments historiques depuis 1947<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.

Église de Fontaine
  • L'église paroissiale Saint-Jean-Baptiste de Fontaine, à la sortie du bourg, date des {{#switch: e
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}}

}}, et a été inscrite monument historique en 1948<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.

  • On peut aussi remarquer au bourg de Fontaine une ancienne église ou chapelle, qui pourrait correspondre aux restes du prieuré fontevriste<ref>Jean-Marc Bienvenu, « Les prieurés Fontevristes », Les ordres religieux et monastiques en Limousin du {{#switch: au
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}}, ordre de Grandmont, consulté le 30 octobre 2018.</ref>.

Personnalités liées à la commune

  • Charles de Gaulle (1890-1970), a passé ses vacances d'été de 1901 à 1908 au domaine de la Ligerie qu'avait acheté son père<ref name=Jamet>Jérôme Jamet, « Les vacances du petit Charles », Sud Ouest édition Dordogne/Lot-et-Garonne, 18 juin 2020, Modèle:P..</ref>.
  • Jean Férignac (1936-), handballeur, est né à Champagne-et-Fontaine.

Héraldique

Modèle:Article connexe

Modèle:Blason commune

Pour approfondir

Modèle:Autres projets

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Liens

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes

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  • Cartes

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Références

Modèle:Références

Modèle:Portail