François Achille Bazaine

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Personnalité militaire

François Achille Bazaine, né à Versailles le Modèle:Date et mort à Madrid le Modèle:Date, est un militaire français et maréchal de France.

Il a servi en Algérie, en Espagne, en Crimée et au Mexique, mais il est surtout connu pour avoir failli à sa tâche de commandant en chef de l'armée du Rhin et avoir ainsi contribué à la défaite française lors de la guerre franco-prussienne de 1870. Traduit en conseil de guerre en Modèle:Date-, il est condamné à mort. Sur les instances du jury qui vient de le condamner, le Président de la République Mac Mahon commue sa peine en vingt ans de détention et supprime la dégradation qui était prévue.

Il est par ailleurs le fils cadet du polytechnicien et ingénieur des ponts et chaussées Pierre-Dominique Bazaine (1786-1838), qui a effectué toute sa carrière dans l'Empire russe, notamment à Saint-Pétersbourg, dans le cadre d'un accord entre les empereurs [[Napoléon Ier|Napoléon {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }}]] et [[Alexandre Ier (empereur de Russie)|Alexandre {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }}]], et le frère de Pierre-Dominique Bazaine (1809-1893), polytechnicien, ingénieur des ponts et chaussées et pionnier des chemins de fer français.

Biographie

Début

Son père est le général de corps d'armée Pierre-Dominique Bazaine (1786-1838), polytechnicien (promotion X1803), ingénieur de mérite de [[Napoléon Ier|Napoléon {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }}]], directeur de l'Institut des voies de communications de l'empire russe. Achille Bazaine est né le Modèle:Date à Versailles, d'une liaison antérieure au mariage de son père, avec une lingère-mercière, Marie-Madeleine, Josèphe dite Mélanie Vasseur. Son frère aîné était Pierre-Dominique Bazaine (1809-1893), ingénieur des Ponts et Chaussées. Achille Bazaine fait des études à l'institution de Bardet, (ou Barbet), rue d'Assas, puis au collège Saint-Louis.

Légion étrangère et Algérie

Ayant échoué au concours d'entrée à l'École polytechnique en 1830, il s'engage comme simple soldat le Modèle:Date au [[37e régiment d'infanterie|Modèle:37e d'infanterie de ligne]], il est nommé caporal le Modèle:Date. Il passe caporal fourrier le Modèle:Date et sergent fourrier en juillet.

C'est avec ce grade qu'il arrive à la Légion étrangère en août. Il y est nommé sergent-major, le Modèle:Date-, il accède à l'épaulette le Modèle:Date et le Modèle:Date, blessé au combat de la Macta d'un coup de feu au poignet, il est promu au grade de lieutenant et reçoit la croix de chevalier de la Légion d'honneur. Depuis 1834, il a rang de maître dans la franc-maçonnerie.

Avec la légion, il est cédé par Louis-Philippe à la reine Christine pour combattre les Carlistes. Nommé immédiatement capitaine au titre espagnol, il commande une compagnie de voltigeurs puis il est attaché à l'état-major du colonel Conrad. Il est cité aux combats de Ponts en 1835, de Larminar en 1836, d'Huesca en 1837 et de Barbastro en 1837, d'où il tire le corps du général Conrad des mains de l'ennemi, malgré une blessure par balle à la jambe droite. Il est attaché ensuite auprès du colonel Cariès de Senilhes, commissaire du gouvernement français à l'armée de la reine.

En 1838, il rejoint le Modèle:4e d'infanterie légère avec son grade français de lieutenant. Le Modèle:Date, il retrouve ses galons de capitaine et la légion en Algérie. En 1840, il passe au Modèle:8e de chasseurs à pied. Il prend une part aux expéditions de Miliana où il est cité, de Kabylie et du Maroc. Promu au grade de chef de bataillon, le Modèle:Date, il est affecté au Modèle:58e d'infanterie de ligne en qualité de chef du bureau arabe de Tlemcen. Il est promu officier de la Légion d'honneur après le combat de Sidi Kafir, le Modèle:Date. Cité au combat de Sidi Afis, le Modèle:Date, il passe au Modèle:5e d'infanterie de ligne toujours chargé des relations arabes, en 1847. Il est cité au combat d'Afir pour sa contribution à la soumission d'Abdelkader en décembre. Promu lieutenant-colonel le Modèle:Date-, il est affecté au Modèle:19e d'infanterie légère puis revient au Modèle:5e d'infanterie de ligne le Modèle:Date en qualité de commandant supérieur de la place de Tlemcen. Le Modèle:Date, il est nommé colonel au [[55e régiment d'infanterie|Modèle:55e de ligne]] et directeur des affaires arabes de la division d'Oran.

Le Modèle:Date, il est placé à la tête du [[1er régiment étranger|Modèle:1er de la Légion étrangère]] et, le mois suivant, il commande la subdivision de Sidi bel-Abès, poste qu'il occupe jusqu'en 1854. C'est pendant ce temps de commandement qu'il épouse Maria Juaria Gregorio Tormo de la Soledad, le Modèle:Date.

Crimée et Italie

Le Modèle:Date, il est admis en Modèle:1re des officiers généraux avec le grade de maréchal de camp et commande deux régiments de la Légion à l'armée d'Orient. Le Modèle:Date, il devient commandant militaire de Sébastopol et général de division le Modèle:Date suivant. Lors de la campagne de Crimée, il est blessé et cité au combat pendant l'attaque de la Quarantaine, avec un cheval tué sous lui, le même jour. En octobre, il gagne une autre citation et la cravate de commandeur de la Légion d'honneur pour la prise de la position de Kinbourn en Ukraine à l'embouchure du Dniepr, il en obtient la reddition en trois jours.

À son retour en France, il occupe des postes d'inspecteur de l'infanterie puis commande la [[19e division d'infanterie (France)|Modèle:19e militaire]] à Bourges.

Commandant la [[3e division d'infanterie (France)|Modèle:3e d'infanterie]] du [[1er corps d'armée (France)|Modèle:1er Corps]] de Baraguey d'Hilliers, il est proche de la ligne des combats à Melegnano, le Modèle:Date, et à Solférino le Modèle:Date, où il a à nouveau un cheval tué sous lui lors de la conquête du cimetière ; il est de nouveau cité.

Expédition du Mexique

Fichier:Bazaine Disdéri BNF Gallica.jpg
François Achille Bazaine en 1860.

De retour à Paris, il est nommé inspecteur général du Modèle:4e puis du Modèle:5e de l'infanterie. Le souvenir de l'Espagne lui fait suggérer à Napoléon III qu'on peut prêter la légion étrangère au nouvel empereur du Mexique. Cette idée deviendra celle de l'empereur.

Bazaine est ensuite désigné pour faire partie de l'Expédition du Mexique.

Fichier:Expédition du Mexique. — La population de Guadalajara se portant au devant du corps du général Bazaine à son entrée dans la ville. (D'après un croquis de M. S. Barbier).jpg
La population de Guadalajara se portant au devant du corps du général Bazaine à son entrée dans la ville.

Commandant la Modèle:1re d'infanterie du corps expéditionnaire au Mexique le Modèle:Date, son action est décisive lors de la prise de Puebla en 1863. Comme conséquence, il est cité puis est nommé à la tête du corps expéditionnaire en remplacement de Forey. Il reçoit encore une citation à la bataille de San Lorenzo et les insignes de grand-croix de la Légion d'honneur, le Modèle:Date. Il est élevé à la dignité de maréchal de France et de sénateur du Second Empire par décret impérial du Modèle:Date. Il commande en personne le siège d'Oaxaca en Modèle:Date, à la suite de quoi, l'empereur le complimente et le décore de la médaille militaire, le Modèle:Date.

Son épouse décède de pleurésie, au domicile de son beau-frère, alors qu'il est au Mexique. Une rumeur de suicide, reprise par le général Azan, dans le Dictionnaire de biographie française, serait consécutive à un adultère. Alors qu'il est encore au Mexique, Bazaine compromet une jeune fille de dix-sept ans, Maria-Josefa Pedraza de la Peña y Barragán, se fiance avec elle le Modèle:Date puis l'épouse. Maximilien leur offre le palais de Buena Vista.

Ses relations avec l'empereur Maximilien deviennent tendues. Il est accusé de faire durer l'expédition contre la volonté de Napoléon III ce qui provoque son rapatriement. Le Modèle:Date, il obtient le commandement du [[3e corps d'armée (France)|Modèle:3e d'armée]] à Nancy et, l'année suivante, il commande le camp de Châlons puis remplace Regnaud de Saint-Jean d'Angély à la tête de la Garde impériale.

Guerre franco-prussienne de 1870

Fichier:Le cimetière de Saint-Privat (preparatory work).jpg
Bataille de Saint-Privat

Le Modèle:Date, en pleine guerre, Bazaine est nommé commandant en chef de l'armée du Rhin qui, battue, s'efforce de se replier vers Châlons-sur-Marne pour y rejoindre des réserves et faire face aux troupes allemandes. Cependant, alors que s'offre à lui l'occasion de détruire plusieurs corps de l'armée ennemie à la suite de la bataille de Mars-la-Tour, le Modèle:Date, il décide, à l'étonnement général de son état-major, de replier son armée de Modèle:Unité à Metz, se laissant ainsi couper de la France libre et donc de ses réserves. Deux jours plus tard, au soir de la bataille de Saint-Privat, le maréchal Canrobert demande désespérément et à plusieurs reprises des renforts à Bazaine, mais ne les obtient pas. Ce dernier, en effet, ne juge pas que Saint-Privat soit une bataille importante et refuse d'engager ses troupes de réserve, pourtant nombreuses. Aucun renfort n'est envoyé aux troupes françaises qui se battent héroïquement sur le plateau et Bazaine n'apparaît même pas sur le champ de bataille.

Dirigeant la seule véritable armée organisée de France à ce moment-là, il semble la considérer surtout comme un atout politique et tente de nouer des intrigues, notamment avec l'impératrice, probablement pour restaurer l'empire déchu depuis le Modèle:Date, qui voit la proclamation de la République. Après la déclaration de la République le 4 Septembre 1870, Bazaine, après l'accord unanime de son état major, contacte l'ennemi en envoyant le Général Napoléon Boyer. Après le 10 octobre, il tente de négocier avec le Prince Frédérick-Charles afin d'obtenir l'autorisation d'une sortie de son armée « pour sauver la France d'elle-même Modèle:Référence souhaitée», c'est-à-dire de la poussée républicaine, voire révolutionnaire, en marchant sur Paris avec ses 173 000 hommes. Il fera partir le général Bourbaki à Londres pour rencontrer l'impératrice Eugènie, mais celle-ci est favorable à la poursuite de la guerre, comme le capitaine Louis Rossel avec lequel il s'oppose vigoureusement. Il se rend ensuite à Tours, mais l'armistice est signé. Rossel ne veut pas trahir son pays et se rend à Paris (Rossel est le seul officier à rejoindre dès le Modèle:Date la Commune de Paris). Finalement, les négociations souhaitées par Bazaine s'éternisent et les vivres viennent à manquer dans la cité messine.

Alors que depuis la chute de Sedan, le Modèle:Date, il représente le dernier espoir du camp français, et approché notamment par un émissaire officieux, Edmond Régnier, il renonce à poursuivre le combat et capitule le Modèle:Date<ref>Ordre général de rendre les armes donné à l'armée du Rhin le 28 octobre 1870 : Texte sur Wikisource.</ref>. Cette reddition est souvent expliquée par le manque de motivation de Bazaine à défendre un gouvernement qui correspondait de moins en moins à ses idées conservatrices. L'intéressé présente la situation différemment dans une lettre du Modèle:Date- au journal Le Nord : Modèle:Citation.

La nouvelle de cette reddition afflige la France, alors que le général Trochu ne parvient pas à desserrer l'étau allemand autour de Paris assiégée. Léon Gambetta, parti à Tours dans l'espoir de rassembler une armée de libération, comprend que sa tentative est désormais vaine et il lance une proclamation où il accuse explicitement Bazaine de trahison : Modèle:Citation<ref>Extrait du discours de Léon Gambetta (1870) sur assemblee-nationale.fr.</ref>.

Accusation de trahison et procès

Fichier:Touchatout - Le Trombinoscope, Num. 89 (portrait).jpg
Caricature de Bazaine par Georges Lafosse parue dans Le Trombinoscope de Touchatout en 1873.

La défection de Bazaine libère en effet juste à temps l'armée de siège allemande qui accourt à Orléans pour faire front à l'initiative en cours de levée d'une armée républicaine. Le poids moral de la défaite est alors attribué à Bazaine. En Modèle:Date, il arrive à Paris, où une procédure de conseil d'enquête est ouverte sur l'initiative du général Cissey. Le conseil d'enquête donne son avis qui se traduit par plusieurs blâmes. L'intéressé demande alors à être présenté devant un conseil de guerre. Les royalistes et les républicains, en mettant en accusation ce bonapartiste, démontrent aussi l'incapacité de l'Empereur, par personne interposée. Quant à certains bonapartistes, ils ne sont pas mécontents que Bazaine soit jugé, occultant ainsi les responsabilités de Napoléon III. Bazaine est donc traduit devant un conseil de guerre siégeant au Grand Trianon. Le duc d'Aumale, président, le condamne à la peine de mort avec dégradation militaire pour avoir capitulé en rase campagne, traité avec l'ennemi et rendu la place de Metz avant d'avoir épuisé tous les moyens de défense dont il disposait. Mais le même tribunal, qui vient tout juste de le condamner, signe à l'unanimité et envoie au président de la République (et au ministre de la Guerre) une demande en grâce de M. le maréchal Bazaine<ref>Édition du 13/12/1873 du journal Le Républicain de la Loire et de la Haute-Loire : [1].</ref>. Sa peine est alors commuée en Modèle:Unité de prison, sans cérémonie de dégradation, par le nouveau maréchal-président Mac-Mahon, qui lui aussi avait été battu à Sedan. Cette décision inspirera la littérature contemporaine. Pour Victor Hugo, « Mac-Mahon absout Bazaine. Sedan lave Metz. L’idiot protège le traître <ref>Modèle:Ouvrage.</ref>», tandis que pour l'abbé Ferrand, « Bazaine eut le tort de ne vouloir point recevoir des ordres d'un pouvoir de sac et de corde (...) Mais, pour insulter le chef d'armée qui avait livré tant de combats, dont quarante-deux mille soldats étaient tombés dans la mêlée ; pour le traiter de lâche... Holà ! Que Rabagas aille se cacher : ce n'est pas un capon à outrance qui juge un Maréchal de France<ref name=":1">Modèle:Ouvrage.</ref> ! »

Il est incarcéré au Fort royal de l'île Sainte-Marguerite, au large de Cannes. Avec l'aide de l'ex-capitaine Doineau, des bureaux arabes, de son aide de camp, le lieutenant-colonel Henri-Léon Willette et de son épouse, qui partagent sa captivité, il parvient à s'évader dans la nuit du 9 au Modèle:Date et à s'enfuir en Espagne. Il se réfugie à Madrid au 23 de la rue Monte-Esquinza où, le Modèle:Date, un bourrelier français de La Rochelle, Louis Hillairaud, part à sa recherche et le blesse d'un coup de poignard au visage. François Bazaine meurt l'année suivante, le Modèle:Date-, d'une congestion cérébrale.

Il est inhumé au cimetière Saint-Just<ref>Localisation de sa tombe : Patio Millan, niche 1916.</ref>.

Décorations

Du fait de sa dégradation militaire, il perd ses droits au port de décorations françaises et étrangères, au port de l'uniforme et à percevoir toute pension.

Pour mémoire, les décorations et distinctions qu'il avait acquises antérieurement sont les suivantes :

Il avait été cité dix fois au service de la France et quatre fois au service de l'Espagne.

Publications

  • Ordre général. À l'armée du Rhin, Modèle:Date-. Il s'agit de l'ordre de capitulation donné à l'armée du Rhin. Texte sur Wikisource
  • Rapport du maréchal Bazaine : Bataille de Rezonville. Le Modèle:Date-, Bruxelles : Auguste Decq, 1870
  • « Manifeste français. Au maréchal Bazaine » de Théophile Gratiot de Luzarey. Modèle:Date-. monographie 24 pages.(Bordeaux et Tours)<ref>Modèle:Ouvrage</ref>
  • La Capitulation de Metz : Rapport officiel du maréchal Bazaine, Lyon : Lapierre-Brille, 1871
  • L'Armée du Rhin depuis le Modèle:Date- jusqu'au Modèle:Date-, Paris : Henri Plon, 1872
  • Épisodes de la guerre de 1870 et le blocus de Metz par l'ex-maréchal Bazaine, Madrid : Gaspar, 1883 (Interdit en France lors de sa parution, désormais disponible sur Gallica<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>)
  • Les papiers personnels du maréchal Bazaine sont conservés aux Archives nationales sous la cote 320AP : Inventaire du fonds.

Notes et références

Modèle:Références

Annexes

Bibliographie

  • Henri d'Orléans, duc d'Aumale, Procès Bazaine, affaire de la capitulation de Metz, seul compte rendu sténographique in extenso des séances du Modèle:1er de guerre de la Modèle:1re militaire ayant siégé à Versailles (Trianon), du Modèle:Date- au Modèle:Date-, sous la présidence de M. le Général de division Duc d'Aumale, Paris, Librairie du Moniteur Universel, 1873 Modèle:Lire en ligne.
  • Amédée Le Faure, Procès du Maréchal Bazaine. Rapport. Audiences du premier conseil de guerre. Compte rendu rédigé avec l'adjonction de notes explicatives, Paris, Garnier, 1874.
  • F. de La Brugère, L'Affaire Bazaine : Compte-rendu officiel et in extenso des débats, avec de nombreuses biographies, Paris, Fayard, 1874.
  • Robert [Bazaine]-Christophe, Bazaine innocent, Paris, Nantal, 1938.
  • Modèle:Article.
  • Robert Burnand, Bazaine, Paris, Librairie Floury, 1939.
  • Robert Christophe, La Vie tragique du maréchal Bazaine, Paris, Éditions Jacques Vautrin, 1947.
  • Jean Cahen-Salvador, Le Procès du maréchal Bazaine, Lausanne, La Guilde du Livre, 1946.
  • Edmond Ruby et Jean Regnault, Bazaine coupable ou victime ? À la lumière de documents nouveaux, Paris, J. Peyronnet & Cie, 1960.
  • Maurice Baumont, Bazaine : les secrets d'un maréchal (1811–1888), Paris, Imprimerie Nationale, 1978, Modèle:ISBN.
  • François Christian Semur, L'affaire Bazaine, un maréchal devant ses juges, Cheminements éditions, 2009.
  • Élie Peyron, Bazaine fut-il un traitre ? Paris: Picard, collection Ernest, 1904.
  • Un fonds Bazaine (1K 18) est conservé au Service historique de défense.
  • Un fonds Bazaine est conservé au CHAN.
  • Modèle:Article.

Articles connexes

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Liens externes

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