Jean-Pierre Sueur
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Personnalité politique
Jean-Pierre Sueur, né le Modèle:Date à Boulogne-sur-Mer (Pas-de-Calais), est un linguiste et homme politique français.
Membre du Parti socialiste, il est député du Loiret de 1981 à 1991, secrétaire d'État chargé des Collectivités locales de 1991 à 1993 et maire d'Orléans de 1989 à 2001. Sénateur du Loiret depuis 2001, il préside la commission des Lois du Sénat de 2011 à 2014 et est questeur du Sénat depuis 2020.
Situation personnelle
Jean-Pierre Sueur est né le Modèle:Date- à Boulogne-sur-Mer (Pas-de-Calais)<ref name="troisième">Modèle:Lien web.</ref>. Son père est journaliste à Nord Éclair<ref name="gagnant">Modèle:Lien web.</ref> et sa mère couturière<ref name="marathon">Modèle:Lien web.</ref>.
Étudiant à l'École normale supérieure de Saint-Cloud<ref name="marathon"/>, Jean-Pierre Sueur est agrégé de lettres modernes<ref name="collectivités">Modèle:Lien web.</ref>. En 1973, il devient maître-assistant en linguistique à l'université d'Orléans<ref name="collectivités"/>, dans le quartier de La Source<ref name="professeur">Modèle:Lien web.</ref>. À partir de 1981, il met sa carrière universitaire en pause pour se consacrer à la politique<ref name="collectivités"/>. Il reprend toutefois l'enseignement après sa défaite aux élections législatives de 1993<ref name="round"/>.
Avec son épouse Monique<ref name="gagnant"/>, il a trois filles et plusieurs petits-enfants<ref name="marathon"/>. Il est le père de Catherine Sueur, énarque, polytechnicienne, haute fonctionnaire et cheffe du service de l'Inspection générale des finances à partir de mai 2022<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Parcours politique
Débuts
Durant ses études, il est engagé au sein de Jeunesse étudiante chrétienne<ref name="collectivités"/>. Il rejoint parallèlement le Parti socialiste unifié à partir de 1967<ref name="collectivités"/> ; il y rencontre alors Michel Rocard<ref name="marathon"/>. Avec l'essentiel des rocardiens, il rejoint le Parti socialiste en 1974<ref name="collectivités"/>. Se réclamant de la gauche Modèle:Citation<ref name="rose">Modèle:Lien web.</ref> et de Pierre Mendès France<ref name="marathon"/>,<ref name="gagnant"/>, il sera qualifié de « rocardien » tout au long de sa carrière<ref name="rose"/>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Député
Il est élu député lors de la « vague rose » de 1981<ref name="collectivités"/>, dans une circonscription qui avait pourtant voté en faveur de Valéry Giscard d'Estaing quelques mois plus tôt<ref name="marathon"/>. Dans la [[Première circonscription du Loiret|Modèle:1re du Loiret]], il bat le député sortant Jacques Douffiagues<ref name="marathon"/> avec près de 52 % des voix<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Il est réélu à la proportionnelle en 1986<ref name="AN">Modèle:Lien web.</ref> puis remporte un troisième mandat en 1988 avec environ 51 % des suffrages face à Antoine Carré (UDF)<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Son mandat prend fin lors de sa nomination au gouvernement en Modèle:Date-<ref name="AN"/>.
Durant ses dix années de mandat, il est membre de la commission des Affaires culturelles, familiales et sociales de l'Assemblée nationale<ref name="AN"/>. Il s'investit notamment sur le thème de l'enseignement<ref name="collectivités"/>. Parlementaire en mission, il rédige un rapport sur le volontariat des retraités et préretraités intitulé Changer la retraite<ref name=":2">Changer la retraite : propositions pour le développement de l'activité volontaire des retraités et préretraités, rapport au Premier ministre, la Documentation française, 1984</ref>.
En 1993, il arrive en tête du premier tour des élections législatives avec 26,1 % des voix, devant une droite divisée entre le maire de Saint-Jean-le-Blanc Antoine Carré (UDF, 25,9 %) et la maire de La Ferté-Saint-Aubin Annick Courtat (RPR, 19,3 %)<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Dans un contexte national de déroute du Parti socialiste (qui passe de 258 à Modèle:Nobr)<ref>Modèle:Lien web.</ref>, il est battu au second tour par Antoine Carré avec 45 % des suffrages contre 55 % pour le maire de Saint-Jean-le-Blanc<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Jean-Pierre Sueur souhaite prendre sa revanche lors des élections de 1997. Il arrive en deuxième position du premier tour juste derrière Antoine Carré (32,92 % contre 32,99 %) puis est battu au second tour avec 48,9 % des voix contre 51,1 % pour le député sortant<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Maire d'Orléans
Il est candidat aux élections municipales de 1983 à Orléans. Il est cependant battu par Jacques Douffiagues (UDF), qu'il avait battu deux ans plus tôt aux législatives<ref name="collectivités"/>. Il devient alors conseiller municipal d'opposition<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
En 1989, il est à nouveau tête de liste aux élections municipales. Il remporte l'élection avec environ 51 % des voix face au maire sortant UDF Jean-Louis Bernard, qui avait succédé à Jacques Douffiagues, démissionnaire quelques mois plus tôt<ref name="round">Modèle:Lien web.</ref>. En 1995, Jean-Pierre Sueur est candidat à un second mandat, affrontant une nouvelle fois Jean-Louis Bernard. Bien qu'il soit salué pour avoir Modèle:Citation, il a perdu son siège de député deux ans plus tôt et Jacques Chirac a rassemblé 56 % des voix quelques mois plus tôt à l'élection présidentielle<ref name="round"/>. Il arrive cependant largement en tête du premier tour<ref>Modèle:Lien web.</ref>, et bat Bernard au deuxième tour avec plus de 57 % des suffrages<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Durant son mandat, il lance plusieurs projets d'envergure : la première ligne du tramway d'Orléans, le Zénith, la médiathèque<ref name="blessure">Modèle:Lien web.</ref>, le pont de l'Europe<ref name="troisième"/> ou encore le prolongement des Mails<ref name="round"/>. Avec son adjoint aux finances Charles Renard, qui fut notamment président de chambre régionale des comptes<ref>Modèle:Lien web.</ref>, il assainit par ailleurs les finances de la ville et réduit son endettement<ref name="professeur"/>.
Lors des élections municipales de 2001, sa liste arrive en deuxième position du premier tour avec 42,5 % des voix, devancée de peu par la liste du RPR Serge Grouard (44 %). Les listes d'extrême gauche, qui totalisent 13,5 % des suffrages, ne peuvent pas se maintenir au second tour. Jean-Pierre Sueur est battu au second tour en rassemblant 47,6 % des voix face à la droite<ref name="surprise">Modèle:Lien web.</ref>. Sa défaite est alors considérée comme une surprise<ref name="blessure"/>,<ref name="surprise"/>.
En 2008, Jean-Pierre Sueur tente de reconquérir la mairie d'Orléans face à la liste du maire sortant, rejoint par le MoDem et quelques dissidents socialistes<ref name="jouent">Modèle:Lien web.</ref>. Contrairement à 2001, il s'allie au Parti communiste dès le premier tour<ref name="Grouard">Modèle:Lien web.</ref> et mène une liste PS-PCF-Verts intitulée « Orléans Gagnant pour tous »<ref name="jouent"/>. L'équipe sortante arrive cependant largement en tête du premier tour, manquant l'élection d'environ Modèle:Nobr. Sa liste est battue au deuxième tour avec 48,6 % contre 51,4 % pour celle du maire<ref name="Grouard"/>. Après sa défaite, il annonce son retrait de la vie politique locale<ref name="gagnant"/> et quitte le conseil municipal.
Secrétaire d'État
Le Modèle:Date-, il est nommé secrétaire d’État chargé des Collectivités locales auprès du ministre de l'Intérieur Philippe Marchand au sein du gouvernement Édith Cresson. Il est reconduit sous le gouvernement Pierre Bérégovoy auprès de Paul Quilès et restera en poste jusqu'au Modèle:Date-.
Pendant son passage ministériel, il a présenté et défendu plusieurs projets de loi :
- Loi sur l'administration territoriale de la République (qui a instauré les communautés de communes)<ref>Loi d'orientation no 92-125 du 6 février 1992 relative à l'administration territoriale de la République.</ref> ;
- Loi sur les conditions d'exercice des mandats locaux<ref>Loi no 92-108 du 3 février 1992 sur les conditions d'exercice des mandats locaux.</ref> (qui a posé les bases d'un « statut de l'élu », instaurant un droit à la formation) ;
- Loi portant réforme des opérations funéraires (mettant fin au monopole et donnant des garanties de transparence aux familles)<ref>Loi no 93-23 du 8 janvier 1993 modifiant le titre VI du livre III du Code des communes et relative à la législation funéraire.</ref> ;
- Loi sur la protection sociale des sapeurs-pompiers volontaires<ref>Loi no 55-899 du 7 juillet 1991 relative à la protection sociale des sapeurs pompiers volontaires en cas d'accident survenu ou de maladie contractée en service.</ref> ;
- Loi sur l'action culturelle des collectivités locales (qui a permis aux communes d'apporter des aides aux cinémas afin de soutenir le réseau des salles d'art et d'essai et de financer les bibliothèques - et médiathèques - municipales à vocation régionale)<ref>Loi no 92-651 du 13 juillet 1992 relative à l'action des collectivités locales en faveur de la lecture publique et des salles de spectacle cinématographique.</ref>.
Sénateur
Il est élu sénateur du Loiret le Modèle:Date-, à la proportionnelle. Le Modèle:Date-, il est candidat à un second mandat lors d'une élection au scrutin majoritaire. Bien que le Loiret soit historiquement ancré à droite, il est réélu dès le premier tour avec 51,2 % des voix<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le Modèle:Date-, il remporte un troisième mandat : la liste socialiste qu'il mène arrive en tête avec 34,5 % des suffrages, devant deux listes de droite (à 25,2 et 21,8 %)<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Membre du groupe socialiste, il siège à la Commission des lois constitutionnelles, de législation, du suffrage universel, du Règlement et d'administration générale, dont il est vice-président de 2008 à 2011, président de 2011 à 2014<ref>Modèle:Lien web.</ref> et une seconde fois vice-président de 2014 à 2020.
En Modèle:Date-, il est co-rapporteur de la commission sénatoriale d'enquête chargée de l'affaire Benalla<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
En 2020, il est désigné par le groupe socialiste et républicain pour devenir l'un des trois questeurs du Sénat, chargé de l'administration et du budget de la haute assemblée<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Il reste membre de la commission des Lois. Il est juge suppléant à la Cour de justice de la République, président du groupe France-Tunisie du Sénat, vice-président de l'Union interparlementaire et secrétaire de la section française de l'Association parlementaire de la francophonie.
Après plus de quarante ans de vie politique, il annonce son intention de se retirer à l'issue des élections sénatoriales de 2023<ref name="marathon"/>.
Travaux scientifiques
Travaux sur la linguistique française
Les modalités
Jean-Pierre Sueur a publié un certain nombre d'articles dans le domaine de la linguistique. La majorité d'entre eux porte sur la syntaxe et la sémantique des verbes et adverbes de modalité. Ils reprennent la quasi-totalité des chapitres de sa thèse de doctorat de troisième cycle intitulée Étude sémantique et syntaxique des verbes DEVOIR et POUVOIR. Recherches sur les modalités en grammaire<ref>Modèle:Article.</ref>.
- À propos des restrictions de sélection : les verbes DEVOIR et POUVOIR<ref>Modèle:Article.</ref>
- Quantificateurs et modalités<ref>Modèle:Article.</ref>
- Adverbes de modalité et verbes modaux épistémiques<ref>Modèle:Article.</ref>
- Une analyse sémantique des verbes DEVOIR et POUVOIR<ref>Modèle:Article.</ref>
- Les verbes modaux sont-ils ambigus<ref>Modèle:Article.</ref> ?
- Les verbes modaux : construction et déconstruction du sens<ref>Modèle:Article.</ref>
La grammaire du discours
- Étude de la structure syntaxique de titres de journaux<ref>Modèle:Lien web.</ref>, Ce mémoire d'étude de Jean-Pierre Sueur constitue son premier travail de recherche dans le domaine de la grammaire du discours. Ce mémoire est une analyse de la structure syntaxique de titres de deux journaux : France Soir et Le Monde. L'objet de cette recherche n'était pas d'étudier ce que ces titres ont de différent ; au contraire, Jean-Pierre Sueur s'attache à voir ce qu'il y a de commun dans l'un et dans l'autre, quant à la structure des titres. Ces deux journaux s'adressent à des publics différents, ne traitent pas des mêmes sujets, usent d'un lexique et de formes syntaxiques en partie différents. L'unité sera donc recherchée dans le fonctionnement d'un ensemble structuré d'énoncés, liés à la fonction du journal.
- Syntaxe, lexique et énonciation dans quelques résolutions syndicales<ref>Modèle:Article.</ref>
- Pour une grammaire du discours. Élaboration d'une méthode; exemples d'applications<ref>Modèle:Article.</ref>
- Sur la syntaxe du récit oral<ref>Modèle:Article.</ref>
La lexicométrie et la lexicologie
- Le vocabulaire des confédérations syndicales ouvrières : une analyse des corrélations<ref>Modèle:Article.</ref>
- Le vocabulaire des confédérations syndicales ouvrières : une analyse des spécificités<ref>Modèle:Article.</ref>
- La Parole syndicale : étude du vocabulaire confédéral des centrales ouvrières françaises<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>, étude réalisée entre 1971 et 1976 par le Groupe de Saint-Cloud, PUF, 1982, Jean-Pierre Sueur a publié, en collaboration avec Alain Bergounioux, Michel-François Launay, René Mouriaux et Maurice Tournier
Travaux sur Charles Péguy
Jean-Pierre Sueur a publié quinze articles sur l'œuvre de Charles Péguy (natif d'Orléans), qui portent essentiellement sur son écriture, son style, sa poétique et les rapports, dans ses écrits, en vers comme en prose, entre « poétique et polémique ».
Ouvrage
- Charles Péguy ou les vertiges de l'écriture, éditions du Cerf, 2021<ref>Modèle:Ouvrage</ref>
Articles
- Les rythmes d'Ève, L'Amitié Charles Péguy n°22, avril 1983<ref>Modèle:Article</ref>
- Pour une poétique d'Ève, L'Amitié Charles Péguy n°36, octobre 1986<ref>Modèle:Article</ref>
- Péguy et la révolution, L'Amitié Charles Péguy n°49, janvier 1990, en collaboration avec Julie Sabiani<ref>Modèle:Article</ref>
- Péguy et Orléans, L'Amitié Charles Péguy n°54, avril 1991, en collaboration avec Julie Sabiani<ref>Modèle:Article</ref>
- Péguy et les totalitarismes, L'Amitié Charles Péguy n°63, juillet 1993, en collaboration avec Julie Sabiani<ref>Modèle:Article</ref>
- L'écriture poétique dans la première "Jeanne d'Arc" de Charles Péguy, Mémoires de l'Académie d'Orléans, 1998<ref>Modèle:Article</ref>
- Une relecture de "Notre jeunesse", Le Porche n°3, 1998<ref>Modèle:Article</ref>
- La première Jeanne d'Arc, Genèse d'une écriture, L'Amitié Charles Péguy n°82, avril 1998
- Un débat difficile, Le Porche n°8, colloque, décembre 2001<ref>Modèle:Article</ref>
- Ce que disait Clio, L'Amitié Charles Péguy n°100, octobre 2002<ref>Modèle:Article</ref>
- Ève : les vertiges de l'écriture, colloque du 3 décembre 2006, Paris sur "L'Ève de Charles Péguy", publié dans Péguy au cœur: De George Sand à Jean Giono, éditions Klincksieck, mai 2011<ref name=":0">Modèle:Ouvrage</ref>
- Ève, le monde moderne et l'art en contrepoint, colloque du 3 décembre 2006, Paris sur "L'Ève de Charles Péguy", publié dans Péguy au cœur: De George Sand à Jean Giono, éditions Klincksieck, mai 2011<ref name=":0" />
- Ramuz, lecteur de Péguy, Les Amis de Ramuz n°35, mars 2014<ref>Modèle:Article</ref>
- Dictionnaire Charles Péguy, sous la direction de Salomon Malka : "Jaurès", "Poésie", "Socialisme", 2018<ref>Modèle:Ouvrage</ref>
- Avant-propos de La Loire de Charles Péguy, éditions La Guêpine, 2022<ref>Modèle:Ouvrage</ref>
- Péguy est-il illisible ?, Renaissance de Fleury, décembre 2022<ref>Modèle:Article</ref>
Publications
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Ouvrage
- Modèle:Ouvrage : rapport remis au Premier ministre
- Modèle:Ouvrage : rapport en deux tomes présenté au Ministre de l'emploi et de la solidarité
- Modèle:Ouvrage : adaptation du précédent
- Modèle:Ouvrage : rapport remis au Ministre de l'emploi et de la solidarité
- Modèle:Ouvrage : colligeant un certain nombre de chroniques rédigées entre 1989 et 2001 dans le bulletin municipal de la ville
- Modèle:Ouvrage : rapport d'information no 372 écrit au nom de la commission des lois et de la mission d'information de la commission des lois, déposé le Modèle:Date-
- Modèle:Ouvrage : rapport d'information no 54 écrit au nom de la commission des lois, déposé le Modèle:Date-
- Modèle:Ouvrage : rapport d'information no 594 pour la délégation à la prospective du Sénat déposé le Modèle:Date- ; Tome 1 : enjeux, tome 2 : analyses, tome 3 : débats.
- Jean-Pierre Sueur et Hugues Portelli, Les contrats de partenariat : des bombes à retardement ?<ref name="2013_Charles_Péguy_ou_les_vertiges_de_l_écriture">Modèle:Lien web.</ref>, Paris, Sénat français 2014
- Jean-Pierre Sueur, Filières "djihadistes" : pour une réponse globale et sans faiblesse<ref name=":1">Modèle:Lien web.</ref>, Paris, Sénat français 2015
- Jean-Pierre Sueur et Roger Karoutchi, Le phénomène urbain : un atout pour le futur, Paris, Sénat français 2017<ref>Rapport d'information n°117 (2016-2017) au nom de la Délégation sénatoriale à la prospective.[1]</ref>
- Jean-Pierre Sueur, Victor Hugo au Sénat, Corsaire Editions, 2018, 140 pages Modèle:ISBN<ref>Modèle:Ouvrage</ref>
- Jean-Pierre Sueur, Étienne Dolet, Jean Jaurès et le combat pour la souveraine liberté de l'esprit, préface de Le Martyr d'un libre-penseur : Étienne Dolet, par Jean Jaurès, Éditions La Guêpine, 2019, 62 pages<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.
- Jean-Pierre Sueur, Définir enfin un cadre rigoureux pour l'exercice de la thanatopraxie : une urgence pour les familles et les professionnels, Paris, Sénat français, 2019<ref>Rapport d'information fait au nom de la commission des lois, n° 654 (2018-2019) - 10 juillet 2019</ref>
- Jean-Pierre Sueur, Charles Péguy ou les vertiges de l'écriture, Éditions du Cerf, 2021<ref name="Charles_Péguy_ou_les_vertiges_de_l_écriture" />
Notes et références
Voir aussi
Articles connexes
- Liste des sénateurs du Loiret
- Liste des maires d'Orléans
- Liste des ministres français des Collectivités territoriales
- Affaire Benalla