Jeux olympiques d'été de 1976

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Modèle:Infobox Jeux olympiques

Les Jeux olympiques d'été de 1976, Jeux de la {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XXIe{{#if:|  }} }} olympiade de l'ère moderne, ont été célébrés à Montréal, dans la province de Québec, au Canada, du Modèle:Date au Modèle:Date. Montréal est la seconde ville francophone a accueillir les Jeux d'été après Paris.

Modèle:Nombre et Modèle:Nombre (dont Modèle:Nombre) prirent part à Modèle:Nombre sportives dans vingt-et-un sports. L'héroïne de ces Jeux fut la gymnaste roumaine Nadia Comăneci.

Des polémiques furent engagées sur le coût des installations sportives et sur le boycott de la majorité des pays africains en raison de la présence de la Nouvelle-Zélande.

Quatre ans après la tragédie de Munich, la sécurité est renforcée. Près de Modèle:Nombre de dollars sont affectés à la protection des athlètes et des délégations étrangères. Modèle:Nombre et soldats sont mobilisés.

Élection de la ville hôte

Le Comité international olympique confie l'organisation des Jeux olympiques d'été de 1976 à la ville de Montréal au cours de la Modèle:69e du Modèle:Date à Amsterdam.

Résultats officiels du scrutin
Villes Pays Tour 1 Tour 2
Montréal Modèle:Pays 25 42
Moscou Modèle:URSS 28 28
Los Angeles Modèle:Nobr 17 Modèle:N/A

Emblèmes

Fichier:Montreal torch.jpg
La torche olympique des Jeux de Montréal.
Fichier:Amik.jpg
Amik, la mascotte des Jeux, sur une affiche.

Le logo officiel est l'œuvre du graphiste Georges Huel. Il représente les cinq anneaux olympiques surmontés d'un podium ou d'une piste d'athlétisme, lieu privilégié des jeux. On peut également deviner la lettre « M », initiale de Montréal. L'artiste a voulu donner comme signification « la fraternité universelle que propose l'idéal olympique, la gloire des vainqueurs, l'esprit chevaleresque de leurs luttes et l'accession de Montréal au rang de ville olympique »<ref>Jeux de la {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XXIe{{#if:|  }} }} Olympiade Montréal 1976 : Rapport officiel, Modèle:P..</ref>. L'artiste a également conçu, avec Michel Dallaire, le flambeau olympique.

La mascotte des Jeux de 1976 se nomme « Amik », terme tiré de la langue algonquine signifiant « castor ». Cet animal a été choisi comme mascotte car il est reconnu pour sa patience et son ardeur au travail. Par ailleurs, il est un grand symbole national au Canada où on le retrouve sur certaines pièces de monnaie, et des timbres-poste.

La musique de ces Jeux de Montréal est l'œuvre du pianiste-compositeur André Mathieu. Le directeur musical et chef d’orchestre était Vic Vogel. La chanson Bienvenue à Montréal, écrite par Vogel et Mathieu sur des paroles de Claude Lacombe et chantée par René Simard (dans des versions en français<ref>Modèle:Lien web.</ref> et en anglais<ref>Modèle:Lien web.</ref>), a été publiée avant les jeux comme outil de promotion mais sera boudée par les stations radio, la considérant trop générique<ref>Modèle:Lien web.</ref>. L'auteur-compositeur Stéphane Venne organise donc un concours pour trouver une nouvelle chanson et elle fut remplacée par Je t'aime écrite par Jean Robitaille et Christian Saint-Roch, interprété par Estelle Ste-Croix, ces deux derniers membres du groupe Ville Émard Blues Band<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Sites olympiques

Polémique sur le coût des constructions

La construction du Stade olympique de Montréal a couté un milliard de dollars<ref>http://www.olympes.info/page1.htm Villes organisatrices Olympes.info</ref>, soit trois fois plus que la somme prévue initialement. Ce surcout est dû notamment aux retards accumulés et aux mauvaises planifications financières du comité d'organisation mais également aux nombreuses innovations techniques voulues. Pour la première fois, la piste d'athlétisme, entièrement synthétique, fut construite par la société italienne Mondo mettant fin au Tartan : une "Sportflex Super X Performance" rouge.

Une commission d'enquête présidée par le juge Albert Malouf blâma sévèrement<ref>Dépôt du rapport sur le coût des Jeux olympiques de Montréal</ref> l'administration du maire Jean Drapeau, dans un rapport, rendu public en 1980. Le remboursement de l'hypothèque des installations comprenant le Village olympique, le Vélodrome et sa transformation en Biodôme, ainsi que le stade fut terminé en juin 2006.

La construction de la tour du stade olympique n'était pas terminée lors de la tenue des Jeux en 1976, en particulier sa grande tour penchée de dix-huit étages longue de Modèle:Unité qui n'atteignit que la moitié de sa hauteur prévue. Par ailleurs, le gazon du stade fut posé le Modèle:Date-, veille des cérémonies d'ouverture. Le stade fut achevé en 1987.

Les autorités québécoises ont contracté une hypothèque de Modèle:Nombre sur une somme de 1,47 milliard de dollars pour le stade, sa tour, le vélodrome, la piscine olympique et le village olympique, vendu et transformé en appartements. Les coûts des Jeux de 1976 ont été remboursés par les contribuables québécois en 2007<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Sites des compétitions

Fichier:Stadeolympique.jpg
Le stade olympique de Montréal. La tour n'était pas construite lors des Jeux.
Fichier:Biodome1.jpg
Le vélodrome olympique devenu par la suite le Biodôme de Montréal, devant le stade olympique.

Parc olympique

Montréal

Sites à l'extérieur de Montréal

Cérémonie d'ouverture

Malgré toutes les polémiques autour du coût de la construction du stade olympique, plus de Modèle:Nombre assistent, le Modèle:Date-, à la cérémonie d'ouverture en présence d'Élisabeth II, reine du Canada, de Pierre Elliott Trudeau, Premier ministre canadien, et de Lord Killanin qui assiste à ses premiers Jeux en tant que président du Comité international olympique. Par ailleurs, Jean Drapeau, maire de Montréal qui a beaucoup œuvré pour l'organisation de ces Jeux, reçoit une ovation des spectateurs de plus de cinq minutes.

Les derniers porteurs de la flamme olympique sont deux athlètes canadiens, Sandra Henderson de Toronto et Stéphane Préfontaine de Montréal. Ces jeunes athlètes symbolisent les deux peuples fondateurs. Après l'envolée de milliers de pigeons du stade olympique, la reine Élisabeth II proclame l'ouverture officielle des Jeux de Montréal. La cérémonie se conclut par l'interprétation de l'hymne national Ô Canada par l'orchestre de l'ensemble olympique.

Nations boycottant les Jeux

Fichier:Olympic boycotts 1976 1980 1984.PNG
Les nations boycottant les Jeux de Montréal sont indiquées en jaune.
Voir aussi le boycott des Jeux paralympiques de 1976 à Toronto, en raison de la participation de l'Afrique du Sud.

Ces Jeux olympiques sont marqués par le boycott de 22 nations<ref name="or">Modèle:Lien web.</ref> africaines qui protestent contre la présence de la Nouvelle-Zélande. Elles reprochent à cette dernière d'avoir envoyé son équipe de rugby participer à une tournée en Afrique du Sud, pays pratiquant l'apartheid<ref name=Politics-no-stranger>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Article</ref>,<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Lien web</ref>,<ref name="bbc">{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Lien web</ref>,<ref name="typologie-boycott">Modèle:Ouvrage.</ref>.

Le boycott est décidé quelques jours à peine avant l'ouverture des jeux, alors que les délégations olympiques sont arrivées sur place. Vingt-deux pays africains choisissent finalement de se retirer. Le Cameroun, l'Égypte, l'Irak, le Maroc et la Tunisie participent au début des épreuves avant de s'aligner sur les autres nations africaines et de quitter les Jeux<ref name="typologie-boycott"/>. Le Sénégal et la Côte d'Ivoire décident de ne pas s'associer à ce boycott.

Le Comité international olympique est surpris par ce boycott. Il le conteste car l'Afrique du Sud n'est plus invitée aux Jeux depuis plus de dix ans, et que le rugby à XV n'est plus un sport olympique.

Par ailleurs, le gouvernement du Canada refuse de laisser concourir les athlètes de Taïwan sous une autre bannière que celle de la république populaire de Chine. Taïwan refuse et ne participe donc pas aux Jeux.

Ce boycott massif préfigure de nouvelles absences de nations pour motif politique aux Jeux de 1980 et de 1984.

Les 22 nations boycottant les Jeux de 1976 :
Algérie
Cameroun
Centrafrique
Tchad
Congo
Égypte
Éthiopie
Gabon
Gambie
Ghana
Guyana
Irak
Kenya
Libye
Madagascar
Malawi
Mali
Niger
Nigeria
Soudan
Tunisie

Nations participantes

Fichier:1976 Summer Olympic games countries.png
Pays participants en 1976.Modèle:Légende/DébutModèle:LégendeModèle:LégendeModèle:Légende/Fin

Quatre-vingt-douze nations étaient présentes aux Jeux olympiques de 1976. Trois d'entre elles ont fait leur première apparition à Montréal : Andorre, Antigua-et-Barbuda et les Îles Caïmans. Comme lors des Jeux précédents, le Comité international olympique décida d'exclure l'Afrique du Sud en raison de sa politique d'apartheid. La République de Chine (Taïwan) et la République populaire de Chine ne participèrent pas à ces Jeux, mais pour des raisons différentes du boycott concernant la présence de la Nouvelle-Zélande.

Les 92 délégations participantes
Le nombre d'athlètes engagés est indiqué entre parenthèses)
Afrique Amériques Asie Europe Océanie
Modèle:Nombre Modèle:Nombre Modèle:Nombre Modèle:Nombre Modèle:Nombre

Compétition

Sports

Comme lors des Jeux de Munich en 1972, 21 sports figurent au programme de ces Jeux de Montréal. 196 épreuves donneront lieu à 198 cérémonies de remise de médailles<ref>Les meilleures équipes du pentathlon moderne et du concours complet d’équitation sont également couronnées</ref> Parmi les nouveautés, les femmes participent pour la première fois aux compétitions d'aviron, de basket-ball et de handball.

Modèle:Colonnes

Calendrier

Calendrier des Jeux olympiques de 1976
juillet et Modèle:Date- 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 01 Spectateurs
Cérémonie d'ouverture 67.050
Athlétisme 2 3 4 6 6 4 5 7 786.042
Aviron (sport) 6 8 55.025
Basket-ball 1 1 168.707
Boxe 11 128.625
Canoë-kayak 6 5 35.175
Cyclisme 1 1 1 2 1 35.917
Équitation 2 1 1 1 1 187.607
Escrime 1 1 1 1 1 1 1 1 24.517
Football 1 581.469
Gymnastique 1 1 2 4 6 172.359
Haltérophilie 1 1 1 1 1 1 1 1 1 33.275
Handball 2 60.483
Hockey sur gazon 1 98.427
Judo 1 1 1 1 1 1 68.015
Lutte 10 10 45.869
Natation 2 4 4 4 4 4 6 3 193.344
Pentathlon moderne 2 17.338
Tir 1 1 1 1 2 1 6.232
Tir à l'arc 2 12.502
Voile 6 2.078
Volleyball 2 139.348
Cérémonie de clôture 68.197
juillet et Modèle:Date- 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 01 Spectateurs

Résultats et faits saillants

Athlétisme

Modèle:Article détaillé Le Cubain Alberto Juantorena réalise le premier doublé Modèle:Unité/Modèle:Unité de l’histoire. Autre doublé, celui du Finlandais Lasse Virén sur Modèle:Unité et Modèle:Unité. Il avait réalisé ce même exploit quatre ans plus tôt à Munich. Le Soviétique Viktor Saneïev remporte sa troisième médaille d’or au triple saut alors que, le Français Guy Drut devient le premier Européen à remporter le Modèle:Unité haies olympique.

Aviron

Modèle:Article détaillé

Basket-ball

Modèle:Article détaillé L'URSS remporte le premier tournoi olympique féminin. Elle dispose des américaines en finale. Chez les hommes, les États-Unis récupèrent leur titre perdu quatre ans plus tôt.

Boxe

Modèle:Article détaillé Les frères Michael et Leon Spinks remportent, sous des catégories de poids différentes, une médaille d'or chacun. Avant sa grande carrière professionnelle, Sugar Ray Leonard remporte le titre olympique en super-légers.

Canoë-kayak

Modèle:Article détaillé Les rameurs soviétiques s'adjugent 6 des 11 épreuves au programme. Toutes les médailles reviennent à des pays européens.

Cyclisme

Modèle:Article détaillé

Équitation

Modèle:Article détaillé Le cavalier Edmund Coffin et les États-Unis s'adjugent les deux titres du concours complet. L'Allemagne de l'Ouest remporte sept médailles au total, dont les titres du dressage par équipe et du saut d'obstacles individuel.

Escrime

Modèle:Article détaillé Viktor Krovopouskov remporte deux médailles d'or au sabre dans une discipline dominée par l'URSS.

Football

Modèle:Article détaillé L'Allemagne de l'Est s'impose en finale face à la Pologne. L'URSS complète le podium en disposant du Brésil dans la petite finale.

Gymnastique

Modèle:Article détaillé La gymnaste roumaine Nadia Comăneci réalise l'exploit de ces Jeux en remportant cinq médailles dont trois d’or. Elle s'impose au concours général, aux barres asymétriques et à la poutre. Elle monte par ailleurs à deux autres reprises sur le podium (médaille d'argent par équipe et médaille de bronze au sol). Nadia Comăneci<ref>Nadia Comaneci, le 10 parfait</ref>, âgée alors de Modèle:Nombre et demi, obtient la note parfaite de 10 à sept reprises. Aux barres asymétriques, elle réalise une démonstration somptueuse, qui se termine par un saut périlleux avant avec demi-tour. Elle obtient un 20 sur 20, soit quatre fois la note maximale. Ses exploits sont d'autant plus retentissants qu'elle dut faire face à une concurrence relevée, notamment de la part des gymnastes soviétiques. Durant ces jeux de Montréal, la Roumaine bénéficia du soutien total du public canadien. Autre héros, le soviétique Nikolai Andrianov remporte sept médailles au total, dont quatre d'or.

Haltérophilie

Modèle:Article détaillé

Handball

Modèle:Article détaillé L'URSS remporte les deux tournois olympiques de handball, face à la Roumanie chez les hommes et face à l'Allemagne de l'Est chez les femmes.

Hockey sur gazon

Modèle:Article détaillé La Nouvelle-Zélande remporte le tournoi olympique pratiqué pour la première fois sur gazon artificiel.

Judo

Modèle:Article détaillé

Lutte

Modèle:Article détaillé Le lutteur soviétique Levan Tediashvili s’impose chez les lourds-légers quatre ans après sa victoire chez les moyens.

Natation

Modèle:Article détaillé L’Italien Klaus Dibiasi devient le premier plongeur à remporter trois médailles d’or consécutives. La nageuse Est-allemande Kornelia Ender remporte cinq médailles, dont quatre en or.

Pentathlon moderne

Modèle:Article détaillé Le médaillé d’argent Boris Onishchenko (URSS) est exclu des compétitions, pris en flagrant délit de tricherie lors de l'épreuve d'escrime du pentathlon moderne. Il provoquait l’allumage de l’ampoule témoin grâce à un interrupteur.

Tir

Modèle:Article détaillé

Tir à l'arc

Modèle:Article détaillé

Voile

Modèle:Article détaillé

Volley-ball

Modèle:Article détaillé L'équipe de Pologne remporte le tournoi masculin en battant l'URSS en finale. Le Japon s'adjuge le titre féminin, également face aux Soviétiques.

Water-polo

Modèle:Article détaillé L'équipe de Hongrie remporte le tournoi masculin de water-polo en battant l'Italie en finale, et son Modèle:6e titre olympique.

Records de médailles par athlète

Sportifs les plus médaillés aux Jeux de Montréal en 1976
Athlète Pays Sport Modèle:Médaille Modèle:Médaille Modèle:Médaille Total
Nikolai Andrianov Modèle:URSS Gymnastique 4 2 1 7
Kornelia Ender Modèle:Pays Natation 4 1 0 5
John Naber Modèle:Nobr Natation 4 1 0 5
Nadia Comăneci Modèle:Pays Gymnastique 3 1 1 5
Nellie Kim Modèle:URSS Gymnastique 3 1 0 4
Jim Montgomery Modèle:Nobr Natation 3 0 1 4
Ulrike Richter Modèle:Pays Natation 3 0 0 3

Tableau des médailles par pays

Au bilan des médailles, les athlètes d'URSS dominent la compétition avec 125 médailles, dont 49 d'or. Derrière, la RDA se classe devant les États-Unis grâce à un plus grand nombre de médailles d'or. Les Bermudes deviennent le pays le moins peuplé (Modèle:Nombre) à obtenir une médaille aux Jeux olympiques d'été (grâce au boxeur Clarence Hill dans la catégorie poids-lourds). Enfin, le Canada, pays hôte, n'obtient aucun titre olympique<ref>Le Canada est le seul pays à ne pas avoir remporté de médaille d'or alors qu'il était l'hôte des Jeux (Montréal 1976 et Calgary 1988), jusqu'aux Jeux olympiques d'hiver de 2010</ref>.

Tableau des médailles officiel<ref>Source CIO 1976</ref>
Rang Pays / Équipe Modèle:Médaille Modèle:Médaille Modèle:Médaille Total
1 Modèle:URSS 49 41 35 125
2 Modèle:Pays 40 25 25 90
3 Modèle:Nobr 34 35 25 94
4 Modèle:Pays 10 12 17 39
5 Modèle:Japon 9 6 10 25
6 Modèle:Pays 7 6 13 26
7 Modèle:Pays 6 9 7 22
8 Modèle:Pays 6 4 3 13
9 Modèle:Roumanie (1947-1989) 4 9 14 27
10 Modèle:Pays 4 5 13 22
11 Modèle:Pays 4 2 0 6
12 Modèle:Pays 4 1 0 5
13 Modèle:Pays 3 5 5 13
14 Modèle:Pays 2 7 4 13
15 Modèle:FRA-d France 2 3 4 9
16 Modèle:Pays 2 3 3 8
17 Modèle:Pays 2 2 4 8
18 Modèle:Pays 2 1 1 4
19 Modèle:Pays 1 1 4 6
20 Modèle:Pays 1 1 2 4
21 Modèle:Pays 1 1 0 2
Modèle:Pays 1 1 0 2
Modèle:Pays 1 1 0 2
24 Modèle:Pays 1 0 2 3
25 Modèle:Pays 1 0 1 2
26 Modèle:Pays 1 0 0 1
27 Modèle:Pays 0 5 6 11
28 Modèle:Pays 0 3 3 6
29 Modèle:Pays 0 2 3 5
30 Modèle:Pays 0 2 0 2
Fichier:Flag of Spain 1945 1977.svg Espagne 0 2 0 2
32 Modèle:Pays 0 1 4 5
33 Modèle:Iran (1964-1980) 0 1 1 2
34 Modèle:Pays 0 1 0 1
Modèle:Pays 0 1 0 1
36 Modèle:Pays 0 0 2 2
37 Modèle:Pays 0 0 1 1
Modèle:Pays 0 0 1 1
Modèle:Pays 0 0 1 1
Modèle:Pays 0 0 1 1
Modèle:Pays 0 0 1 1
Total 198 199 216 613

Contrôles antidopages

Plus de 2000 athlètes furent soumis à des contrôles antidopages durant ces Jeux olympiques de Montréal. Dix cas de dopage seront avérés. Les sportifs suivants furent disqualifiés et déchus de leur médaille éventuelle<ref>Liste des sportifs dopés aux Jeux olympiques</ref> :

Droits télévisés

Attribution des droits à ABC aux États-Unis

Les Jeux olympiques de Montréal ont été diffusés dans Modèle:Nombre. Après avoir sollicité les trois grands réseau de télévision américains (ABC, CBS et NBC), le Comité d'organisation reçoit le Modèle:Date une proposition du réseau ABC s'élevant à Modèle:Nombre de dollars<ref>En déduisant Modèle:Nombre de dollars de dépenses pour des installations au profit exclusif d'ABC.</ref>. Cette proposition est formellement signée le Modèle:Date et approuvée par le CIO en Modèle:Date-. Ce contrat marque une hausse de 85 % par rapport au prix payé pour la diffusion aux États-Unis des jeux de Munich (Modèle:Nombre de dollars) Modèle:Nombre plus tôt<ref name=":0">Modèle:Ouvrage.</ref>.

Désignation de CBC/Radio-Canada comme diffuseur hôte

CBC/Radio-Canada est désigné comme diffuseur hôte de la compétition ainsi que diffuseur exclusif au Canada de la compétition (tant en anglais qu'en français) en Modèle:Date-<ref name =":0" />.

Autres diffuseurs

Le comité d'organisation des jeux établit de premiers contacts avec les syndicats de diffuseurs européens (UER) et japonais (NHK) en Modèle:Date-. La volonté du comité de répartir les frais globaux entre tous les diffuseurs entraîne une fronde de ces derniers. Sept diffuseurs s'associent à l'UER à l'issue de la deuxième conférence des organismes de diffusion dans un communiqué de presse pour déclarer : Modèle:Citation bloc L'impasse demeure jusqu'en Modèle:Date-, chaque session de négociation achoppant sur le partage des frais de production. Dans le même temps l'accord entre le comité d'organisation et le CIO est suspendu tant que le comité d'organisation ne verse pas un tiers des droits de diffusion perçus pour le Canada. Constatant l'impasse des négociations, le comité d'organisation publie en Modèle:Date- un rapport sur les Modèle:Nombre représentés par les 6 plus important syndicats de diffuseurs afin de publiciser sa position. Cette publication déclenche une forte crise : outragés, les diffuseurs menacent de boycotter la diffusion des jeux.

Un ultime sommet est organisé en Modèle:Date- entre le comité d'organisation et les syndicats de diffuseurs (hors États-Unis et Canada). Alors que les syndicats font une proposition à Modèle:Nombre de dollars, le comité remet son estimation (plus de deux fois plus importante) qui s'élève à Modèle:Nombre de dollars. La négociation échoue et les syndicats refusent de dépasser Modèle:Nombre et annoncent boycotter la diffusion des jeux en l'absence d'accord.

Le CIO quitte le sommet et fait pression sur le comité d'organisation pour aboutir à un accord. Ce dernier cède et attribue les droits de diffusions pour un total de Modèle:Nombre de dollars<ref name=":0" />.

Controverse

Présence illégale du drapeau québécois à la cérémonie de clôture

Le Modèle:Date, l'émission satirique québécoise Infoman révèle une controverse inédite des Jeux olympiques de Montréal. Pendant la cérémonie de clôture, un drapeau du Québec de 2,4 mètres de large sur 4,9 mètres de long apparaît mystérieusement sur l'anneau technique entre deux drapeaux olympiques, pour disparaître aussitôt après.

Le drapeau a été retrouvé un an après sa mystérieuse apparition sous les gradins du Stade olympique, dans un sac plastique, par le patron d'une ancienne employée du comité organisateur des Jeux. Il a proposé à cette employée de le garder et elle a accepté. Trente ans plus tard, elle a confié le drapeau à son beau-frère, un professeur d'histoire et régisseur pendant les Jeux, avec l'intention de le donner à l'indépendance du Québec.

Selon le régisseur, le drapeau aurait été apparu avant ou pendant les compétitions équestres qui avaient lieu le même jour que la cérémonie de clôture. Il soupçonne qu'un membre du comité organisateur des Jeux pourrait être responsable de son apparition.

Lorsque la controverse a été révélée par Infoman, Cédric Essiminy, conseiller en relation publiques du Parc olympique, a déclaré que personne ne savait que cet événement avait eu lieu. Il a affirmé que le travail d'installation d'un drapeau de cette taille aurait nécessité une équipe de plusieurs personnes.

Le drapeau québécois était provocateur pour deux raisons : il est illégal de hisser un drapeau qui ne représente pas un pays aux Jeux olympiques et il était plus grand que les drapeaux olympiques.

Finalement, Jean-René Dufort hisse à nouveau le drapeau pour commémorer le Modèle:75e anniversaire du drapeau du Québec dans le Stade olympique.

Jusqu'à présent, l'identité des individus responsables de cet événement reste inconnue<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Notes et références

Modèle:Références

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Articles connexes

Liens externes

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