Le Muy

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France

Le Muy est une commune française située dans le département du Var, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Ses habitants sont appelés les Muyois.

Géographie

Modèle:Carte communes limitrophes

Localisation

Le Muy est située dans l'est du département du Var, à 13 km de Draguignan, 20 de Fréjus et 75 de Nice.

Intercommunalité

Le Muy fait partie de la communauté de Dracénie Provence Verdon agglomération (ex-communauté d'agglomération Dracénoise) qui regroupe vingt-trois communes du département du Var, dont Draguignan<ref>Le Muy en Dracénie</ref> de Modèle:Nombre en 2017<ref>Les Comptes des Groupements à Fiscalité Propre (GFP) : CA Dracénoise – Var</ref>, créée le Modèle:Date-. Les 23 communes composant la communauté d'agglomération en 2017 sont (par ordre alphabétique) :

Modèle:Communes limitrophes

Urbanisme

Typologie

Le Muy est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Draguignan, une agglomération intra-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Fréjus dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en Modèle:Date-, celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

La commune dispose d'un plan local d'urbanisme<ref>PLU, sur Géoportail de l'urbanisme</ref>.

Le schéma de cohérence territoriale (SCOT) arrêté par le préfet le Modèle:Date- épouse le périmètre de la communauté d’agglomération dracénoise qui en a donc la charge<ref>Le SCOT de la Dracénie : Diagnostic et enjeux</ref>. La commune dépend donc du schéma de cohérence territoriale (SCOT) de la Dracénie<ref>Schéma de cohérence territoriale, État d’avancement dans le département du Var Périmètre SCOT Dracénie</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (71,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (72,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (44,3 %), forêts (27 %), zones urbanisées (11,7 %), cultures permanentes (9,7 %), zones agricoles hétérogènes (3,9 %), terres arables (0,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,7 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,7 %), prairies (0,7 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,5 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Géologie et relief

Le Muy est située dans un rift d'âge permien, à sa bordure sud se trouve une faille qui sépare les Maures (massif métamorphique) du bassin permien (argiles, grès).

Sur la bordure nord se trouve le massif du Rouet, qui est une gigantesque coulée de lave (rhyolite ignimbritique) provenant d'un volcan aujourd'hui éteint du massif de l'Esterel.

Hydrographie et les eaux souterraines

Cours d'eau sur la commune<ref>Modèle:Lien web.</ref> ou à son aval<ref name="eaurmc 83086">L'eau dans la commune</ref> :

  • Le fleuve Argens et ses affluents<ref>Alluvions de l'Argens</ref>,
  • rivière la Nartuby<ref>Fiche signalétique : Nartuby à La Muy</ref>,
  • rivière l'Endre,
  • ruisseaux de la Tuilière, le Couloubrier, de la fontaine des Anguilles, la Capelle, des Flacs, de la Fontaine des Arnoux, du Golf, de la Source,
  • vallons des Baguiers, de Serrelong, de la Bonne Eau, des Charles, de l'Argentière, des Valettes, des Déguiers, des Preyres, de la Mare Règue, de la Doux, du Rabinon, de Bennet, des Laquets, des Hubriagues, de la Péguière<ref name="eaurmc 83086" />,
  • vallats le gros, le Marri.

Réservoirs du Collet Redon<ref>Réservoir du Collet Redon</ref>.

Voies de communication et transports

Les communes avoisinantes sont : La Motte, Callas, Roquebrune-sur-Argens, Sainte-Maxime et Les Arcs.

La commune est desservie par les voies de communication suivantes :

Les bus de la ligne 10 des Transports en Dracénie relient la commune à Draguignan.

Climat

Selon la classification de Köppen-Geiger, le climat est de type Csa<ref>Table climatique</ref>.

Modèle:Article détaillé

Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous les formes Modius en 1178, de Modio vers 1200, de Amodio en 1383, lo Muy au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, lo Muei au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref name="Ernest Nègre">Modèle:Ouvrage (lire en ligne) [1].</ref>.

Il faut noter qu'un texte de 1532, rédigé partiellement en provençal, mentionne un « luoc del muy ». Le nom du Muy était donc utilisé dans la langue courante.

Ernest Nègre émet l'hypothèse d'une fixation toponymique d'un nom commun de la langue d'oc, à savoir muei, mui « mesure de capacité pour les grains et les liquides », il suggère le fait qu'il a pu avoir le sens du terme d'oïl mui « mesure agraire, étendue de terrain ensemencée avec un muid de grain »<ref name="Ernest Nègre"/>. En français moderne, la mesure de capacité s'orthographie muid selon l'étymon latin<ref>Muid sur le site du CNRTL (lire en ligne)</ref>. Rien n'indique par ailleurs que mui ait eu en ancien français le sens que cet auteur lui prête.

En occitan provençal Lo Muei selon la norme classique ou Lou Muei selon la norme mistralienne.

Histoire

Plusieurs sites du paléolithique ont été identifiés et fouillés sur la commune, en plaine et dans le massif du Rouet<ref>Entités archéologiques recensées sur la commune du Muy</ref>.

De nombreux oppidums de l'âge du fer parsèment le Rocher de Roquebrune et le massif du Rouet et témoignent de la présence de tribus ligures sur le futur territoire de la commune<ref>Centre Archéologique du Var Toulon</ref>.

L'époque gallo-romaine marque également le territoire par les nombreux vestiges prospectés ou fouillés, de la grande villa à la petite exploitation agricole, de la stèle funéraire à la borne milliaire, tout atteste la présence romaine au début du premier millénaire<ref>Centre Archéologique du Var. Toulon</ref>.

Vers l'an 1000 était le castrum de Marsens. Situé à San Luen<ref>San Luen, un îlot de nature, Revue du Conseil départemental du Var, n°4 Hiver 2017-2018, pp. 82 à 84</ref>, au Muy, il comprenait déjà tout le territoire du futur castrum de Modio. La famille de Marsens donne, par différentes chartes, à l'abbaye Saint-Victor de Marseille des terres et une église<ref>Guérard 1857 cartulaire de Saint-Victor chartes 569 570 571</ref>.

En 1023, un plaid se déroule « in loco quem vocant Modio » (Le Muy)<ref>POLY 1976 : Provence et société provençale</ref>.

En 1065, on retrouve « Modio » lié à la présence d'un pont « infra pontes ad Modium »<ref>charte 572 du cartulaire de l'abbaye de Saint-Victor de Marseille</ref>.

Au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, l’abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon y possède Notre-Dame-de-Lauzade, d’abord église rurale puis église paroissiale<ref>Patrimoine "non-jacquaire" du Var : Le Muy, pp. 22 à 24</ref>, dont elle percevait les revenus<ref>Guy Barruol, Michèle Bois, Yann Codou, Marie-Pierre Estienne, Élizabeth Sauze, « Liste des établissements religieux relevant de l’abbaye Saint-André du {{#switch: au

 | e | er | = 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: XIII|-| – | XIII }}Modèle:S mini- siècle
 | 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: au|-| – | au }}Modèle:S mini- siècle

}} », in Guy Barruol, Roseline Bacon et Alain Gérard (directeurs de publication), L’abbaye de Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon, histoire, archéologie, rayonnement, Actes du colloque interrégional tenu en 1999 à l'occasion du millénaire de la fondation de l'abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon, Éd. Alpes de Lumières, Cahiers de Salagon no 4, Mane, 2001, 448 p. Modèle:ISSN, Modèle:ISBN, p 223</ref>.

En 1235, le comte de Provence Raymond Béranger (de la famille de Barcelone) obtient la possession de Marsens après échange avec Raymond, évêque de Fréjus<ref>[Archives Départementales 13, côte B 326]</ref>.

En 1245, mort de Raimond Beranger. Mariage de sa dernière fille et héritière, Beatrix, avec Charles d'Anjou, frère du roi Saint Louis<ref>[Histoire des comtes de Provence, Antoine de RUFFI Modèle:P.]</ref>.

En 1252, première description du terroir de Modio dans « l’enquête sur les droits et revenus de Charles {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }} d'Anjou en Provence »<ref>a.d.13 côte B169</ref>

En 1278, Guillaume de Saint Auban (famille Balb) devient seigneur en partie du Modio après échange avec [[Charles Ier de Sicile|Charles {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }}]], comte de Provence (de la famille d'Anjou)<ref>Archives Départementales 13, côte B23 f°138</ref>.

En 1363, Foulques de Pontevès était servi par son juge, Étienne Salas, juge de Nice (1363-64)<ref>AD du 13, série B1855f49v</ref>.

En 1385, confirmation par la reine Marie de la donation à Foulques de Pontevès du quart restant de la seigneurie du Muy<ref>Archives Départementales 13, côte B8 F° 21</ref>.

En 1393, reprise de Modio et du castrum de Malcens sur les ennemis (Raimond de Turenne ?) par le sénéchal de Provence<ref>Comptes trésoraires de Brignoles AA1 F° 172s</ref>.

En 1430, Monet de Rascas épouse Alayette Balb et devient ainsi co-seigneur du Muy pour trois-quarts.

En 1524, lors de la première invasion de la Provence par les troupes de l'empereur Charles Quint, Le Muy est sur le passage de ces troupes à l'aller comme au retour.

En 1526, le marquis de Villeneuve, seigneur de Trans et co-seigneur de la Motte, donne la permission à Guillaume de Rascas co-seigneur du Muy de dériver les eaux de la Nartubie vers un canal pour l'arrosage des terres du Muy.

En 1531, pris-faict de sept vitraux figurés pour la nouvelle église du Muy<ref>A.D. B.D.R. 309 E 829 F° 177-179</ref>.

En 1532, l'église actuelle est en construction sous le vocable de « Notre-Dame-de-la-Lause ». Elle est construite à l'extérieur des remparts. Le portal damont ou portal dhault sert de base au clocher . Pour terminer sa construction on utilise les pierres de l'ancienne église « Notre Dame de la Lauzade située près du portal dabas<ref>Archives Départementales du Var, 3E 3177, f°54-57</ref> ( place Gambetta ) ».

En 1536, Modèle:2e de la Provence par les troupes conduites par l'empereur Charles Quint. Lors de sa retraite, des Muyois, enfermés dans la tour, essayent de le tuer. Ils ne réussissent qu'à blesser mortellement le poète Garcilaso de la Véga

En 1540, Louis de Rascas épouse Anne de Pontevès. À la mort de cette dernière, en 1570, les Rascas sont seuls seigneurs du Muy.

En 1558, quatre miracles se produisent à la chapelle Notre-Dame du Pasme (Notre-Dame de la Roquette) et sont enregistrés par le notaire<ref>Archives départementales 83, 3E3187</ref>.

En 1565, Antoine de Loubières, seigneur de La Motte et Valbourgès vend le droit de prendre l'eau de la rivière Nartuby pour la conduire au territoire du Muy<ref>Archives départementales 83, E dépôt 72 FF2</ref>.

En 1588, Jean Baptiste de Rascas, seigneur du Muy, est assassiné par les habitants. Son château est détruit<ref>Gaufradi - Histoire de Provence T2 p.645</ref>.

En 1592, Le Muy est assiégée, canonnée et prise, pour le compte du roi Henry IV, par le duc de Lesdiguières. L'église est en partie détruite<ref>Actes et correspondance du connétable de LESDIGUIERE, Vol. 3, Gallica B.N.F.</ref>.

En 1669, Charles Emmanuel de Simiane, marquis de Pianesse, acquiert la seigneurie du Muy.

En 1689, Jean-Baptiste de Felix, seigneur de la Reynarde, nouveau seigneur du Muy.

En 1707, les troupes du duc de Savoie envahissent la Provence. Au Muy, « les portes de l'église ont été rompues et brisées ». Le château est entièrement brulé (archives du service historique de l'armée de terre A1-2043 f° 105). En 1708, la commune ne peut payer les impositions du roi " a cauze du pillement et brullement qui feur fait l'année dernière".

En 1746, invasion de la Provence par les troupes austro-sardes. Une contribution est payée par les Muyois pour les « huzards et pandoures » de sa Majesté Impériale Royale la reine de Hongrie et de Bohème.

En 1793, le château seigneurial est partiellement incendié par des volontaires et des habitants du Muy.

En 1851 lors du coup d'état de Louis Napoléon, des Muyois tentent d'investir la mairie. Repoussés par le maire ils se joignent aux insurgés de la colonne Duteil.

Le Modèle:Date, parachutage des troupes alliées, dont un Muyois Claude Jacquemet, dans le cadre de l'opération du débarquement en Provence : ANVIL/opération Dragoon.

Le Modèle:Date, libération du Muy.

La commune est durement touchée lors des inondations dans le Var en juin 2010.

Politique et administration

Tendances politiques et résultats

Modèle:Article connexe Modèle:…

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut |- |colspan="5" align="center" bgcolor="#f3fff3"| Modèle:Boîte déroulante/début Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluFin Source : Modèle:Boîte déroulante/fin Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin

Budget et fiscalité 2020

Fichier:Le Muy - Mairie.JPG
Mairie du Muy.

En 2020, le budget de la commune était constitué ainsi<ref>Les comptes de la commune</ref> :

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 14,00 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 18,00 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 58,37 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2018 : médiane en 2018 du revenu disponible, par unité de consommation : Modèle:Unité<ref>Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet</ref>.

Politique environnementale

La commune dispose d'une station d'épuration de 6300 équivalent-habitants.<ref>Station d'épuration</ref>,<ref>Le Muy Ferrage Capo : Description de la station</ref>.

Jumelages

Modèle:...

Population et société

Démographie

Modèle:Population de France/section

Enseignement

Les élèves du Muy poursuivent l'intégralité de leurs études, jusqu'au niveau baccalauréat, sur la commune, qui dispose de deux écoles primaires<ref>école primaire</ref>, d'un collège et d'un lycée polyvalent <ref>Lycée du Val d'Argens</ref>. La municipalité met à disposition des étudiants, au sein de la médiathèque, des facilités d'apprentissage, accès internet et documentations scolaires<ref>médiathèque et scolarité</ref>.

Santé

Professionnels et établissements de santé<ref>Professionnels et établissements de santé</ref>,<ref>Les établissements de santé</ref> :

Cultes

La paroisse Saint-Joseph du Muy, de culte catholique, dépend de la doyenné de Draguignan, diocèse de Fréjus-Toulon<ref>Paroisse Saint Joseph</ref>.

Économie

Au Modèle:Date, Modèle:Nombre sont installées sur la commune du Muy, tous secteurs d'activités confondus : 5,3 % dans l'agriculture, 7,2 % dans l'industrie, 21 % dans la construction, et près de 23 % dans le commerce. Près de 30 % des entreprises de la commune comptent de Modèle:Unité/2<ref>Entreprises sur la commune selon l'INSEE</ref>.

Agriculture

La viticulture est la principale activité agricole, avec notamment le château du Rouët<ref>Château du Rouët</ref>,<ref>L'accueil au Château du Rouët</ref>, le château du Collet Redon<ref>Château Collet Redon</ref> et le domaine du Thouar.

Industrie

Plusieurs zones industrielles et commerciales sont installées au Muy, dont la zone des Ferrières, au début de la route de Draguignan, près de l'accès de l'autoroute A8.

Commerce et Artisanat

En plus des marchés hebdomadaires des jeudis et dimanches<ref>les marchés</ref>, très fréquentés tant par les touristes que par les habitants de la région, et des commerces de proximité du centre-ville, deux enseignes de moyenne surface, dont une avec galerie marchande, proposent leurs services aux consommateurs du Muy<ref>galerie marchande</ref>.

Tourisme

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Patrimoine religieux :

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Modèle:Article connexe Modèle:Blason commune La signification de l'écu des armoiries du Muy n'est pas à rechercher dans l'histoire, même idéalisée, du village. Une dizaine de particuliers provençaux possèdent les mêmes armes (avec des couleurs différentes), les éléphants et les croix se comptent par dizaines ! Il faut plutôt voir la pression des employés du fermier chargés de collecter les armes (souvent en les créant eux-mêmes) des villes, bourgeois ou confréries contraints ou attirés par vanité à se pourvoir de cette « distinction ». La commune du Muy paiera Modèle:Nombre Modèle:Nombre en 1706 pour l'enregistrement de son écu au Grand Armorial de France. (Armorial Général de France volume 29 Provence)<ref>Étude héraldique</ref>,<ref>Héraldique</ref>.

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Liens

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Cartes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références nombreuses

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