Les Dix Commandements (film, 1956)
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox V3/Début Modèle:Infobox V3/Image Modèle:Infobox V3/Séparateur Modèle:Infobox V3/Tableau début Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau Ligne mixte Modèle:Infobox V3/Tableau fin {{#if: |Modèle:Infobox V3/Titre Bloc Modèle:Infobox V3/Navigateur |}} {{#if: |Modèle:Infobox V3/Titre Bloc Modèle:Infobox V3/Navigateur |}} Modèle:Infobox V3/Séparateur
Fichier:Information icon.svg Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution
Les Dix Commandements (Modèle:Lang) est un film épique<ref name=arte/> américain de Cecil B. DeMille sorti en 1956, avec notamment Charlton Heston, Yul Brynner, Anne Baxter, Edward G. Robinson et Yvonne De Carlo dans les rôles principaux.
Le film ne sort dans les cinémas français qu'en janvier 1958.
Réadaptation partielle de son film muet de 1923, Les Dix Commandements est le dernier film du réalisateur, qui meurt trois ans plus tard<ref name="Life magazine">Modèle:Lien web.</ref>. Tourné en Égypte, au mont Sinaï et dans la péninsule du Sinaï, au moment de sa sortie en salles, le Modèle:Date, il est le film le plus cher jamais produit<ref name="Life magazine"/> et présente l'une des distributions les plus importantes jamais réunies<ref name="Life magazine"/>.
En 1957, Les Dix Commandements est nommé pour sept Oscars, y compris l'Oscar du meilleur film, mais ne remporte en définitive que l'Oscar des meilleurs effets visuels. En 1999, le film est sélectionné pour conservation par la National Film Registry de la bibliothèque du Congrès des États-Unis comme étant Modèle:Citation. En Modèle:Date-, le film est classé par l'American Film Institute comme le [[AFI's 10 Top 10#Films épiques|Modèle:10e film dans le genre épique]].
Synopsis
Le film raconte la libération des Hébreux esclaves en Égypte, telle qu'elle est relatée dans l'Ancien Testament.
Moïse, sauvé des eaux, est élevé à la cour du Pharaon [[Séthi Ier|Sethi {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }}]] avec le futur Ramsès II, sur lequel il déclenchera les dix plaies d'Égypte pour le forcer à libérer son peuple. En chemin, Dieu lui remet les tables de la loi et Moïse conduit son peuple à la terre promise.
Fiche technique
- Titre original : Modèle:Lang
- Titre français : Les Dix Commandements
- Réalisation : Cecil B. DeMille
- Scénario : Æneas MacKenzie, Jesse L. Lasky Jr., Modèle:Lien et Fredric M. Frank, d'après les romans The Pillar of Fire de Modèle:Lien, On Eagle's Wing d'Modèle:Lien et Le Prince d'Égypte de Modèle:Lien
- Direction artistique : Hal Pereira, Walter Tyler et Modèle:Lien
- Décors : Sam Comer et Ray Moyer ; Jerry Cook (constructions monumentales)
- Costumes : Edith Head, Modèle:Lien, Modèle:Lien, Dorothy Jeakins et Arnold Friberg
- Maquillages : Wally Westmore
- chaussures : Salvatore Ferragamo
- Coiffures : Nellie Manley
- Photographie : Loyal Griggs ; W. Wallace Kelley, J. Peverell Marley et John F. Warren (photographie additionnelle)
- Montage : Anne Bauchens
- Musique : Elmer Bernstein
- Production : Cecil B. DeMille et Henry Wilcoxon
- Sociétés de production : Paramount Pictures et Motion Picture Associates
- Société de distribution : Paramount Pictures
- Pays : Modèle:Nobr
- Langue : anglais
- Budget : 13 millions de $
- Format : couleur (Technicolor) - Modèle:Unité à défilement horizontal 1,85:1 (VistaVision) - Son mono ou stéréo 4 pistes magnétiques (Western Electric Recording) sur les copies à défilement vertical.
- Genre : Film biblique épique, péplum
- Durée : 222 minutes
- Dates de sorties :
Distribution
- Charlton Heston (VF : Jean Davy) : Moïse
- Yul Brynner (VF : Georges Aminel) : Ramsès II
- Anne Baxter (VF : Claire Guibert) : Néfertari
- Edward G. Robinson (VF : Raymond Rognoni) : Dathan
- Yvonne De Carlo (VF : Claude Winter) : Séphora
- Debra Paget (VF : Thérèse Rigaut) : Lilia
- John Derek (VF : Serge Lhorca) : Josué
- Cedric Hardwicke (VF : Richard Francœur) : [[Séthi Ier|Séthi {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }}]]
- Nina Foch (VF : Sylvie Deniau) : Bithiah
- Martha Scott (VF : Lita Recio) : Yochebed
- Judith Anderson (VF : Marie Francey) : Memnet
- Vincent Price (VF : Marc Valbel) : Baka
- John Carradine (VF : Louis Arbessier) : Aaron
- Olive Deering (VF : Anne Carrère) : Myriam
- Douglass Dumbrille (VF : Claude Péran) : Janès
- Frank DeKova (VF : René Bériard) : Abiram
- Eduard Franz (VF : Abel Jacquin) : Jéthro
- Henry Wilcoxon (VF : Georges Hubert) : Pentaour
- Donald Curtis : Mered
- Lawrence Dobkin : Hur Ben Caleb
- H. B. Warner : Aminadab
- Julia Faye : Elishéba
- Ian Keith (VF : Jean Brunel) : [[Ramsès Ier|Ramsès {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:| }} }}]]
- John Miljan : le premier aveugle
- Modèle:Lien (VF : Jeanine Freson) : une fille de Jéthro
- Noëlle Williams : une fille de Jéthro
- Joanna Merlin : une fille de Jéthro
- Pat Richard : une fille de Jéthro
- Joyce Vanderveen : une fille de Jéthro
- Diane Hall : une fille de Jéthro
- Abbas el Boughdadly : le conducteur du char de Ramsès II
- Fraser Clarke Heston : Moïse enfant
- Francis McDonald (VF : Jean d'Yd) : Simon
- Paul De Rolf : Éléazar
- Woodrow Strode : le roi d'Éthiopie
- Tommy Duran : Gershom
- Eugene Mazzola : le fils de Ramsès II
- Ramsay Hill : Coré
- Joan Woodbury : la femme de Coré
- Esther Brown (VF : Darling Légitimus) : Tarbis
- Dorothy Adams : une esclave / une femme au palais de Ramsès / une femme au camp du Veau d'or
Et, parmi les acteurs non crédités : Modèle:Début de colonnes
- Luis Alberni : un vieil hébreu dans la maison de Moïse
- Michael Ansara (VF : Marcel Lestan) : un surveillant
- Arthur Batanides : un hébreu à la porte de Ramsès et au camp du veau d'or
- Edward Earle : un esclave
- Charles Evans : un conseiller
- Gavin Gordon : l'ambassadeur de Troie
- Peter Hansen : un jeune assistant
- Paul Harvey : le physicien royal
- Robert Vaughn : un figurant dans la scène du veau d'or
- Harry Woods : un officier
- Kay Hammond : Grease Woman
- Cecil B. DeMille (VF : Maurice Dorléac) : le narrateur (voix-off)
Sources et légende : version française (VF) sur Allodoublage<ref>Fiche du doublage français du film.</ref>
-
Charlton Heston dans le rôle de Moïse (ici lors du passage de la mer Rouge).
-
Yul Brynner
(Ramsès II). -
Anne Baxter (Néfertari).
-
Yvonne De Carlo (Séphora).
-
Edward G. Robinson (Dathan).
-
Debra Paget (Lilia) et John Derek (Josué).
-
Martha Scott (Yochebed)
-
Judith Anderson (Memnet)
Production
Pré-production
Le scénario des Dix Commandements, écrit par Æneas MacKenzie, Jesse L. Lasky Jr., Modèle:Lien et Fredric M. Frank, est inspiré des romans Pillar of Fire de Modèle:Lien, On Eagle's Wing de Modèle:Lien et Le Prince d'Egypte de Modèle:Lien<ref name=tournage/>.
Le réalisateur, Cecil B. DeMille, bénéficia de la part de la Paramount d'une carte blanche (à la fois financière et artistique) pour la réalisation de sa fresque biblique<ref name=arte>« Les Dix Commandements de Cecil B. DeMille », Olivier Père, Arte.tv, 3 mars 2017.</ref>. Le studio lui fit entièrement confiance et lui alloua le temps nécessaire (trois ans d’écriture et sept mois de tournage) avec des moyens quasiment illimités<ref name=arte/>. Pour ce film, DeMille demanda aux plus grands spécialistes de l’Égypte antique et du monde oriental de l'époque de le conseiller<ref name=tournage/>.
Choix des interprètes
Charlton Heston, qui avait déjà travaillé avec Cecil B. DeMille dans Sous le plus grand chapiteau du monde (1952), a décroché le rôle de Moïse après avoir impressionné DeMille lors de son audition, grâce à sa connaissance de l'Égypte antique. William Boyd, le premier choix de DeMille pour incarner Moïse dans le film, refusa le rôle. Heston a également été choisi pour interpréter la voix de Dieu sous la forme d'un buisson ardent<ref name="Charlton Heston: The EW Q&A">Modèle:Lien web.</ref>, atténuant sa voix dans un registre plus doux et plus bas.
L'acteur incarnant Moïse bébé dans son panier d'osier n'est autre que Fraser Heston, le fils de Charlton Heston, alors âgé de trois mois<ref name=Moïse/>.
-
Cecil B. DeMille tenant une photo de Charlton Heston en train de regarder le Moïse de Michel-Ange. La ressemblance de l'acteur avec la sculpture l'a aidé à obtenir le rôle de MoïseModèle:Sfn.
-
Martha Scott (Yochebed) mettant son fils Moïse bébé (Fraser Heston) dans son panier d’osier ; à droite Heather, la fille de Henry Wilcoxon, sœur de Moise dans le film.
Tournage
Le film a été tourné aux studios Paramount de Los Angeles, ainsi qu'en extérieurs en Égypte (à Louxor, Abu Rudeis, Abu Ruwash, Beni Youssef et sur le mont Sinaï), ainsi qu'à Monument Valley (Arizona) et dans le parc d'État de Red Rock Canyon (Californie). Il a nécessité la présence de plus de 10 000 figurants et cent mille accessoires, pour un budget estimé à Modèle:Unité de dollars<ref name=tournage/>. Il a été réalisé d'après un scénario de Modèle:Nobr pages et a nécessité l'utilisation de 1 200 storyboards<ref name="Moïse">Commentaires de Katherine Orrison, DVD édition spéciale collector, Paramount (consulté le 11 mai 2020).</ref>.
Le film comporte Modèle:Nobr rôles parlants ; la voix du buisson ardent (en version originale) est celle de l'acteur Charlton Heston lui-même<ref name=Moïse/>.
Victime d'une attaque cardiaque durant le tournage, le réalisateur Cecil B. DeMille retourna travailler sur le plateau contre l'avis de ses médecins après seulement deux jours d'arrêt<ref name=tournage>Anecdotes de tournage sur Allociné.fr.</ref>. Par ailleurs, le narrateur du film (en version originale) est Cecil B. DeMille lui-même<ref name=tournage/>.
Effets spéciaux et trucages
- Pour le trucage des eaux du fleuve Nil changées en sang, c'est un simple tuyau d'arrosage qui envoie de la teinture rouge à l'endroit où Aaron touche l'eau de son bâton. Le vase égyptien devant purifier le Nil est à deux compartiments, l'un contenant de l'eau claire et l'autre de l'eau couleur sang<ref name=Moïse/>.
- Pour le trucage de grêle, c'est en réalité du pop-corn qui est jeté par les assistants. Le feu et le son ont été ajoutés en postsynchronisation<ref name=Moïse/>.
- Dans la scène des grenouilles, celle-ci a été tourné avec l'actrice Anne Baxter mais ne fut pas retenue au montage, car jugée pas assez effrayante<ref name=Moïse/>.
- Concernant la mort des premiers-nés<ref name=Moïse/> :
- la statue de cire du fils mort de Ramsès (Eugène Mazzola), placée au pied du dieu Sokar, a été réalisée chez Madame Tussauds ;
- la brume verte représentant l'ange de la mort a été réalisé avec un ventilateur, de l'huile minérale et de la teinture, projetée dans des rigoles creusées dans le sol.
Anachronismes
- Quand Moïse bébé est dans son panier d’osier, on voit une épingle de sûreté sur le vêtement de l'enfant ; l'épingle de sûreté n'a été inventée qu'en 1849.
- Lors de l'Exode, on voit des chameaux, un animal qui n'a été introduit en Égypte qu'après Jésus-Christ<ref name="Moïse"/>.
Différence avec le film original
Dans la première version de 1923 des Dix Commandements de DeMille, et contrairement au film de 1956, l'histoire était divisée en deux parties, la seconde partie se situant à l’époque contemporaine<ref name=arte/>.
Accueil
Critique
Les Dix Commandements rencontre un accueil critique majoritairement positif, bien que certains critiques aient noté sa divergence par rapport au texte biblique.
Parmi les avis positifs suscités à la sortie du film en 1956, le critique Bosley Crowther du New York Times reconnaît que Modèle:Citation<ref name="New York Times Review">Modèle:Article.</ref>.
Le magazine Variety parle des Modèle:Citation comme étant Modèle:Citation et estime que le film Modèle:Citation<ref name="Variety review">Modèle:Lien web.</ref>.
James Powers du Hollywood Reporter déclare que le film est Modèle:Citation<ref name="TheHollywoodReporter">Modèle:Article</ref>. Philip K. Scheuer du Los Angeles Times est dans la même veine, parlant du film comme Modèle:Citation<ref>Modèle:Article.</ref>.
La distribution du film a également été complimentée. Variety qualifie Charlton Heston d'Modèle:Citation qui, en tant que Moïse, révèle Modèle:Citation<ref name="Variety review"/>. James Powers estime pour sa part que Heston est Modèle:Citation<ref name="TheHollywoodReporter"/>. Variety considère également Yul Brynner comme un « expert » dans son rôle de Ramsès<ref name="Variety review"/>. La performance d'Anne Baxter en tant que Néfertari a été signalée par Variety comme s'approchant Modèle:Citation<ref name="Variety review"/>, mais Bosley Crowther estime que ceci, conjugué avec la performance de Brynner, constitue un aspect Modèle:Citation<ref name="New York Times Review"/>. Les performances d'Yvonne De Carlo et de John Derek ont elles-aussi été acclamées par Bosley Crowther comme Modèle:Citation<ref name="New York Times Review"/> ; Crowther a également salué la Modèle:Citation du film comme étant Modèle:Citation<ref name="New York Times Review"/>.
Du fait de son succès dans le temps et de ses nombreuses rediffusions à la télévision, le film a aussi suscité des avis critiques contemporains. Le critique américain Leonard Maltin a attribué au film une note de quatre étoiles sur quatre, évoquant une Modèle:Citation<ref name="Leonard Maltin's 2010 Movie Guide">Modèle:Ouvrage.</ref>.
Pour le critique français Olivier Père, DeMille dans ce film Modèle:Citation<ref name=arte/>. Selon lui, le cinéaste fait preuve Modèle:Citation<ref name=arte/>. Il conclut que Modèle:Citation<ref name=arte/>.
Sur le site agrégateur de critiques Rotten Tomatoes, le film obtient un score de 89 % d'avis favorables, sur la base de 37 critiques collectées et une note moyenne de 7,59/10 ; le consensus du site indique : Modèle:Citation<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Box-office
Les Dix Commandements est l'une des plus belles réussites financières jamais réalisées, engrangeant un montant d'environ 122,7 millions de dollars<ref name=Blockbusting>Modèle:Ouvrage</ref> au box-office lors de sa sortie initiale (pour un budget de 13 millions de $<ref name=budgets>Budgets signalés :
- Modèle:Harvnb. « ...a record $13,266,491 ».
- Modèle:Harvnb. « $13,272,381 ».</ref>) ; ce qui en fait le film le plus lucratif de l'année 1956 et le deuxième plus gros succès cinématographique de la décennie.
Selon le Guinness World Records, pour sa carrière en salles, ce film est le septième plus gros succès de tous les temps<ref>« Les 10 films les plus lucratifs de l’histoire », Cédric Rousseau, Ouest-France.fr (consulté le 10 février 2017).</ref>,<ref name=le_matin_817>« Box-office Voici les (vrais) 10 plus gros succès de l'histoire du cinéma », Le Matin.ch, 3 juin 2015.</ref> lorsque le montant des recettes est ajusté à l'inflation.
Distinctions
En 1957, lors de la [[29e cérémonie des Oscars|Modèle:29e des Oscars]], Les Dix Commandements est nommé pour sept Oscars, y compris l'Oscar du meilleur film. Cependant, le film ne remporta qu'une seule statuette, celle des meilleurs effets spéciaux (John P. Fulton, ASC)<ref name=tt0049833>Modèle:Lien web</ref>. Cette année-là, c'est Le Tour du monde en 80 jours de Michael Anderson qui remporta l'Oscar du meilleur film<ref name=tournage/>.
Charlton Heston a été nommé pour un Golden Globe du meilleur acteur dans un film dramatique pour son rôle de Moïse. Yul Brynner a remporté le National Board of Review du meilleur acteur pour son rôle de Ramsès II<ref name=tt0049833/>,<ref group=note>Ainsi que pour ses autres rôles cette même année dans Anastasia et Le Roi et moi.</ref>.
En 1999, le film est sélectionné pour conservation par la National Film Registry de la bibliothèque du Congrès des États-Unis comme étant Modèle:Citation<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} « Complete National Film Registry Listing », Library of Congress.gov (consulté le 20 avril 2016).</ref>.
En Modèle:Date-, Les Dix Commandements a été classé comme le [[AFI's 10 Top 10#Films épiques|Modèle:10e film dans le genre épique]]<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref> par l’American Film Institute, après un scrutin de plus de Modèle:Nombre de la communauté cinématographique.
Analyse
Un sous-texte anti-communiste ?
Plusieurs critiques distinguent dans le film, conçu durant la guerre froide et le Maccarthysme par un réalisateur ouvertement conservateur, une charge contre le communisme et particulièrement l'Union soviétique, personnifiée par la dictature de Ramsès<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Article</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les lettres paléo-hébraïques des tables de la loi dans le film
- Les versions des tables de la loi apparaissant dans Les Dix Commandements sont apparemment composées de lettres issues de l'alphabet paléo-hébraïque. À l'époque, l'hébreu avec les lettres carrées n'existait pas encore ; il n'apparaîtra qu'au retour de l'Exil à Babylone. Cette représentation des tables de la loi dans le film est plus proche du récit biblique que le Décalogue écrit habituellement en hébreu moderne. Une reproduction d’un manuscrit avec le décalogue en paléo-hébreu présente un texte en partie différent de celui du film<ref>manuscrit en paleo-hébreu du décalogue</ref>. Le texte du décalogue dans le film est traduisible, les dix commandements y sont abrégés.
- Sur plusieurs sites internet, l'image de Moïse tenant les tables de la loi est montrée avec une image inversée<ref>Par exemple dans l'article « "Les dix commandements» : pitié !" de Liberation daté du 8 octobre 2013.</ref>.
Éditions vidéo
DVD
Le Modèle:Date-, le film sort en DVD pour la première fois (ainsi qu'en VHS). Cette édition comporte la version restaurée de 1989, la présentation de Cecil B. DeMille, l'ouverture avec entracte et fermeture, ainsi que trois bandes-annonces VO en bonus. Le film est réparti sur deux disques. Les bandes-annonces du film ne sont disponibles que sur le deuxième disque.
Le Modèle:Date-, le film ressort en coffret collector 3 DVD, incluant des nouveaux bonus, ainsi que la version de 1923. Cependant, l'image et le son restent identiques à la précédente édition. Il faudra attendre 2011 pour qu'une nouvelle restauration HD soit effectuée.
DVD / Blu-ray
En 2011, aux États-Unis, le film sort en Blu-ray (ainsi qu'en DVD), pour la première fois. Il s'agit d'une version restaurée en haute définition, réalisée à partir d'un scan 6K de la pellicule d'origine. La version sortie aux États-Unis incorpore six disques (Blu-ray et DVD), un livre, des photos ainsi que de nombreux bonus.
En 2012, le film sort en France en Blu-ray, en boîtier métal et boîtier plastique, aucun bonus n'y est présent.
Le 10 juin 2020, le film ressort en Blu-ray sous la forme d'un médiabook. Il propose cette fois-ci le long-métrage de 1923 ainsi que les bonus de l'édition américaine.
Dans la culture populaire
Le film a servi d'inspiration aux musiciens du groupe de metal américain Metallica pour leur chanson Creeping Death, un single de l'album Ride the Lightning sorti en 1984<ref>Modèle:Lien web</ref>. Le titre aurait été trouvé par le bassiste Cliff Burton, lors du visionnage du film<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Dominik Winter, « Neudefinition eines Genres », Metal Hammer, Décembre 2009, S. 24ff. Modèle:ISSN</ref>.
Notes et références
Notes
Modèle:Traduction/Référence Modèle:Références
Références
Annexes
Bibliographie
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Articles connexes
- Décalogue
- Exode hors d'Égypte
- Livre de l'Exode
- Pharaon de l'Exode
- Dix plaies d'Égypte
- Passage de la mer Rouge
- Pierre du décalogue de Los Lunas
- Exodus: Gods and Kings (2014), film de Ridley Scott sur le même thème.