Maurepas (Yvelines)

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France

Maurepas est une commune française située dans le département des Yvelines en région Île-de-France. Intégrée au sein de l'agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines et située à proximité de Trappes, la ville compte près de Modèle:Nombre habitants en 2019.

Modèle:Sommaire

Géographie

Modèle:Fragéoloc78

Situation

La commune est située à Modèle:Nombre environ au nord de Rambouillet, en bordure de la route nationale 10 et à Modèle:Nombre de Paris.

Elle se compose d'une zone très urbanisée, qui s'étend de la RN 10 au sud à l'ancien village et du lotissement ancien hameau de la Villeneuve, au nord, près du hameau des Mousseaux de Jouars-Pontchartrain.

La commune est assez boisée : une forêt domaniale, une forêt privée (le Bois-Prudhomme) et un petit bois transformé en square urbain (le Bois de Nogent).

Communes limitrophes

Modèle:Section communes limitrophes d'article de commune de France

Hydrographie

  • Ru de Maurepas.

Transports et voies de communications

Réseau routier

La commune est traversée, selon un axe nord-ouest - sud-est, par la route départementale 13 (Montfort-l'Amaury - Chevreuse).

Elle est longée, selon un axe nord-sud, par la route nationale 10 dont deux entrées-sorties desservent Maurepas.

Desserte ferroviaire

La gare SNCF la plus proche est la gare de La Verrière.

Bus

La commune est desservie par les lignes 401, 410, 411, 412, 416, 417, 423, 424, 441, 449 et 450 et du réseau de bus de Saint-Quentin-en-Yvelines, par la ligne 61 de l'établissement Transdev de Houdan et, la nuit, par la ligne N145 du réseau Noctilien<ref>https://www.maurepas.fr/index.php/_minisite_/display/Horaires-des-bus?idpage=567&afficheMenuContextuel=true</ref>.

Urbanisme

Typologie

Maurepas est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en Modèle:Date-, celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire regroupe Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

Occupation des sols en 2018
Type d’occupation Pourcentage Superficie
(en hectares)
Tissu urbain discontinu 42,1% 356
Zones industrielles ou commerciales et installations publiques 10,7% 90
Prairies et autres surfaces toujours en herbe 3,4 % 29
Systèmes culturaux et parcellaires complexes 16,0% 135
Forêts de feuillus 27,8% 235
Source : Corine Land Cover<ref>Modèle:Lien web.</ref>

Toponymie

Le nom de la commune est attesté sous la forme latinisée de Malus repastus en 1099<ref name="Victor R 1994, Page 240">Victor R. Belot, Coutumes et folklores en Yvelines, préface de Paul-Louis Tenaillon, Librairie Guénégaud, 1977, (FRBNF 34588328), Modèle:P..</ref>, Malorepastu avant 1105<ref name=dauzat>Modèle:Ouvrage.</ref>, Malrepast<ref>Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus étampois.</ref> au début du Moyen ÂgeModèle:Quand, puis finalement Modèle:Refnec.

Homonymie avec Maurepas (Somme) (Malum Repastum en 1181)<ref name="Ernest Nègre">Modèle:Lien web.</ref>.

Il s'agit d'une formation toponymique médiévale, basée sur le français mal devenu mau- par vocalisation de [l] devant une autre consonne, suivi du français repas<ref name=dauzat/>. Le français repas est attesté entre 1160 et 1174 chez Wace sous la forme de l'ancien français repast au sens de « nourriture ». Il s'agit d'un dérivé formé en ancien français à partir de past « nourriture, repas » (terme issu du latin pastus cf. paître) à l'aide du préfixe français re-<ref>Site du CNRTL : étymologie de « repas »</ref>. Ernest Nègre donne au mot repas, dans ce contexte, le sens de « nourriture des animaux, pâturage »<ref name="Ernest Nègre"/>.

Le sens global du toponyme Maurepas est donc celui de « mauvais repas pour les animaux », c'est-à-dire de « mauvaise pâture ». Il n'y avait que peu de champs à l'origine et bien des marécages peu propices à la culture céréalière, sans compter les forêts, la place manquante peut faire penser qu'y manger mal était fréquent.

Histoire

Les origines

Le fond du vallon de Maurepas est habité dès la préhistoire. Des outils et des poteries datant du {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | IVe{{#if:|  }} }} et du {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | IIIe{{#if:|  }} }} millénaire Modèle:Av JC ont été retrouvés à proximité de la source (fontaine Saint-Sauveur) et le long du ru de la Courance<ref name=hier>Modèle:Ouvrage.</ref>.

L'Antiquité

Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle Modèle:Av JCModèle:Vérification siècle, le réseau des voies romaines se développe en Gaule. Deux grands axes se croisent non loin de Maurepas, sur le territoire de Jouars-Pontchartrain : la voie qui relie Paris à Dreux, et celle qui relie Beauvais à Orléans et à Chartres. Autour de ce carrefour se développe une agglomération nommée Diodurum, mentionnée dans l’Modèle:Langue<ref>Itinéraire d'Antonin, 384, 6. Itineraria Antonini Augusti et Burdigalense, éd. Otto Cuntz, Leipzig, 1929 (Itineraria Romana, 1) ; repr. Stuttgart, 1990 Modèle:ISBN.</ref> sous la forme Dioduro. Les fermes et les champs de Maurepas doivent contribuer à son alimentation<ref name=hier/>.

Du Moyen Âge à la Renaissance

Après le départ des Romains, les périodes d’invasion se succèdent, dont celles des Normands. Pour se défendre, les paysans se regroupent sur la butte qui domine la vallée.

Les terres appartiennent alors au roi de France. Pépin le Bref les donne à l’abbaye de Saint-Denis en 768<ref name=hier/>. Elle les cède rapidement à une famille locale, qui prend le nom de la terre (Malrepast) et qui devient le vassal du seigneur de Chevreuse. Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, une enceinte et un donjon cylindrique<ref>Châtelain André, Châteaux forts et féodalité en Île-de-France, du {{#switch: au

 | e | er | = 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: XIII|-| – | XIII }}Modèle:S mini- siècle
 | 
   Modèle:S mini-{{#ifeq: au|-| – | au }}Modèle:S mini- siècle

}}, 1983, Modèle:P..</ref> en meulière ont dû succéder aux fortifications en bois des siècles précédents.

Fichier:Donjon de Maurepas 20.jpg
Ruines du donjon de Maurepas.

Avec la guerre de Cent Ans, le château appartient, sous Charles VI, au seigneur de Nancy, qui met, vers 1364 avec une troupe de brigands, à contribution les pays voisins. Les Anglais envoient finalement une équipe de mercenaires pour pacifier la région. Le château est pris d’assaut le 11 septembre 1432 et démantelé. Le donjon en ruine est toujours visible.

La baronnie de Maurepas appartient encore à la maison de Chevreuse qui la vend en 1543 au duc d'Étampes Jean IV de Brosse dont la femme Anne de Pisseleu est la maîtresse de [[François Ier (roi de France)|François {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }}]]. Avec la disgrâce de la duchesse, Maurepas est revendue dès 1551 au cardinal de Lorraine. Le cardinal désigne Jean du Fay, duc de Chevreuse, comme intendant. C’est lui et ses héritiers qui gèreront effectivement Maurepas pendant un peu plus d'un siècle. L’église Saint-Sauveur reçoit en 1659 deux cloches offertes par ses descendants Marie de Rohan, duchesse de Chevreuse, et Charles d’Albert, duc de Luynes, le favori de Louis XIII. L’une des cloches sera fondue à la Révolution française.

L'influence de Versailles

Lors de la construction du château de Versailles, un vaste chantier est lancé pour collecter toutes les eaux de la région afin d’alimenter les bassins et les fontaines. Deux rigoles sont creusées sur le plateau de Maurepas à partir de 1684 ; elles se rejoignent dans un bassin sec (l’étang des Bessières) puis un aqueduc enterré conduit l’eau vers l’étang des Noës (il passe encore sous le centre-ville actuel). Ce drainage permet d’assécher les marécages et l’agriculture peut se développer sur le plateau.

En 1691, Louis XIV érige Maurepas en comté et le cède à son ministre Louis Phélypeaux, comte de Pontchartrain. Son fils Jean Frédéric Phélypeaux, comte de Maurepas, sera ensuite ministre de Louis XV et de Louis XVI.

Les temps modernes

Fichier:WKPDJDA03.JPG
Quartier des Friches en 2009, allée de l'Aube.

Jusqu'à la fin des années 1960 Maurepas est un petit village vivant essentiellement de l'agriculture. Puis les champs cèdent la place à une urbanisation rapide, menée par le promoteur immobilier et urbaniste Jacques Riboud. En 1973, dès la création de la ville nouvelle de Saint-Quentin-en-Yvelines, la commune en fait intégralement partie<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle sort de son périmètre en 1984. Puis elle y revient en 2016<ref>Modèle:Article.</ref>.

La partie moderne de Maurepas est principalement l'œuvre de Jacques Riboud et de son architecte Roland Prédiéri : des pavillons mitoyens et des petits immeubles, un centre-ville piétonnier et de nombreuses sentes, des espaces de vie dans les quartiers, et une profusion d'arbres et d'espaces verts. Des lotissements ont ensuite comblé les espaces restés ou redevenus libres autour de ces nouveaux quartiers. Construit entre 1982 et 1983, le quartier des Friches est aujourd'hui classé prioritaire et compte près de Modèle:Nombre habitants<ref>Quartier Prioritaire : Friches sur sig.ville.gouv.fr</ref>,<ref>Le quartier des Friches en pleine réhabilitation sur Le Parisien, le 24 avril 2013</ref>.

Politique et administration

Rattachements administratifs et électoraux

Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964<ref>Loi Modèle:N°64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF Modèle:N°162 du 12 juillet 1964, Modèle:P.6204–6209, fac-similé sur Légifrance.</ref>, la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département des Yvelines et à son arrondissement de Rambouillet, après un transfert administratif effectif au Modèle:Date-.

Pour l'élection des députés, la commune fait partie depuis 1988 de la dixième circonscription des Yvelines.

Elle faisait partie de 1801 à 1976 du canton de Chevreuse, année où elle devient le chef-lieu du canton de Maurepas<ref name="Cassini"/>. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle est désormais le bureau centralisateur de ce canton, qui est modifié, passant de 4 à 16 communes.

Intercommunalité

Maurepas était l'une des communes de la ville nouvelle aménagée par l'établissement public d’aménagement de Saint-Quentin-en-Yvelines (EPASQY) et gérée le syndicat communautaire d’aménagement de l’agglomération nouvelle (SCAAN) créé en 1972.

Maurepas, ainsi que Bois-d'Arcy, Coignières et Plaisir quittent la ville nouvelle fin 1983 et la commune adhère en 2014 à la communauté de communes des Étangs (CCE), mais la quitte le Modèle:Date-

En effet, dans le cadre de la mise en œuvre de la loi MAPAM du 27 janvier 2014, qui prévoit la généralisation de l'intercommunalité à l'ensemble des communes et la création d'intercommunalités de taille importante, le préfet de la région d'Île-de-France, après avoir sans succès souhaité la constitution d'une grande intercommunalité de Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, approuve le 4 mars 2015 un schéma régional de coopération intercommunale qui prévoit notamment la « fusion de la communauté d'agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines et de la communauté de communes de l'Ouest Parisien et extension du périmètre du nouveau groupement aux communes de Maurepas et Coignières<ref>Modèle:Lien web.</ref> ».

Dans ce cadre est ainsi créé le Modèle:Date- une nouvelle communauté d'agglomération qui conserve la dénomination de Saint-Quentin-en-Yvelines, et comprend douze communes, dont Maurepas<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Tendances politiques et résultats

Modèle:Article connexe

Politique locale

Coignières et Maurepas rendent publique en 2018 une réflexion en vue de la création d'un commune nouvelle qui les regrouperait le Modèle:Date- notamment afin d’affronter la « baisse continue des dotations de l’État ». Les deux communes limitrophes ont antérieurement mutualisé leurs archives et leurs polices municipales<ref>Modèle:Article Modèle:Citation.</ref>, et partagent depuis longtemps les mêmes déchetteries, station d’épuration ou réseau d’assainissement<ref>Modèle:Article.</ref>. Cette initiative fait l'objet d'un refus d'habitants de Coignières<ref>Modèle:Article.</ref> et d'une partie de la majorité siégeant au conseil municipal de Coignières.

La municipalité de Coignières fait part de l'abandon de ce projet controversé en mai 2018<ref>Modèle:Article.</ref>.

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu

Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Politique de développement durable

La commune s’est engagée dans une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2008<ref>FICHE | Agenda 21 de Territoires - Maurepas, consultée le 5 décembre 2017</ref>.

Jumelages

Population et société

Les habitants sont appelés les Maurepasiens<ref>Nom des habitants de la commune sur le site Habitants.fr, consulté le 9 octobre 2015.</ref>.

Démographie

Évolution démographique

Modèle:Article connexe Modèle:Population de France/section

Pyramide des âges

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 35,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 25,2 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait Modèle:Unité pour Modèle:Unité, soit un taux de 50,74 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,32 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Modèle:Pyramide des âges communes de France

Équipements scolaires

Il existe 10 écoles maternelles et 7 écoles élémentaires réparties sur le territoire de la ville<ref>https://www.journaldesfemmes.fr/maman/ecole/maurepas/ville-78383</ref>.

Équipements sportifs

La commune dispose de :

  • Trois gymnases ;
  • Un "skatepark" ;
  • Un stade municipal.

La construction d'une nouvelle piscine dans le cadre d'un partenariat public-privé (PPP) de 25 ans pour remplacer celle de Maurepas fermée depuis avril 2015 a été décidée fin 2017 par Saint-Quentin-en-Yvelines, Maurepas, Élancourt <ref>Modèle:Article.</ref>. En effet, la communauté d'agglomération a refusé d'inclure les piscines parmi ses compétences, mais apporte une partie des fonds au nouvel équipement de Maurepas <ref>Modèle:Article Modèle:Citation.</ref>. Le conseil municipal a approuvé le PPP le 17 décembre 2019, officialisant le lancement définitif du projet. Un recours au tribunal administratif a été fait par l'opposition.

Équipements culturels

La ville dispose :

  • D'un conservatoire de musique et d'art dramatique ;
  • D'une salle de concert et spectacle (Espace Albert-Camus) ;
  • D'une médiathèque (Le Phare).

Un multiplexe de 8 salles et Modèle:Unité dont la livraison devrait avoir lieu d'ici mars 2020<ref>Modèle:Lien web.</ref> est en cours de construction dans la zone commerciale du Village des Loisirs par Cinémovida, exploitant qui exploitait auparavant 65 salles en France<ref>Modèle:Article.</ref>.

Après de nombreux reports et problèmes, Le projet de multiplexe est finalement abandonné définitivement en septembre 2021<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Autres équipements

  • Une salle des fêtes<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
  • Un marché couvert dit "La Halle du Marché". (Victime d'un incendie criminel dans la nuit du jeudi Modèle:Date- à 22h30. L'avenir de cette dernière est en jeu)<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le conseil municipal a voté à l'unanimité le 17 décembre 2019 une grande concertation avec les habitants, les commerçants et les usagers du marché afin d’identifier au mieux les besoins et ainsi lancer un projet répondant aux attentes de tous.
  • Offre de soins : Modèle:Référence nécessaire

Économie

Le centre-ville accueille surtout des commerces et des artisans. Le sud-est de la commune est occupé par une vaste zone d'activité (ZAC Maurepas-Coignières). Initialement zone industrielle, depuis la fin des années 1980 elle se transforme en zone commerciale sous le nom de PariWest<ref>https://maurepas.aushopping.com/fr/magasins/shops</ref>.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Modèle:Article détaillé Maurepas « village » comporte plusieurs maisons datant des {{#switch: XIX

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   Modèle:S mini-{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini- siècles

}}

}}. Les deux édifices les plus anciens sont les ruines du donjon, datant de l'an mil et détruit en 1425 et, à proximité, l'église Saint-Sauveur datant des {{#switch: XVI

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}}

}}.

Dans la partie nouvelle, plusieurs œuvres d'art monumentales ont été installées à l'initiative de Jacques Riboud.

Fichier:Donjon de Maurepas 2.JPG
Donjon de Maurepas.

Sculptures de Gérard Ramon<ref>Site du sculpteur Gérard Ramon.</ref> :

  • La grande maternité allongée (tirage en bronze d'après l'original en cuivre façonné, 1968) place de Gascogne.
  • Les ibis (cuivre façonné, 1970) initialement place de la Rance, en dépôt aux serres municipales.
  • L'élan (cuivre façonné, 1970) initialement au centre-ville (actuelle place J.-Riboud), désormais sur le rond-point du seuil de Coignières.
  • Le combat de chèvres (cuivre façonné, 1970). initialement entre le centre-ville et la nationale 10, désormais sur le rond-point Jean-Moulin.
  • Métamorphose (cuivre façonné, 1972) initialement place des Échoppes, en dépôt aux serres municipales.
  • La jeune fille assise (tirage en bronze d'après l'original en cuivre façonné, 1972) initialement allée de la Côte-d'Or, désormais devant l'hôtel de ville.
  • Les acrobates (cuivre façonné, 1974) initialement en bordure du bassin de la Nouvelle-Amsterdam (donc en fait à Élancourt), désormais à la Ferme des Mousseaux à Élancourt.
  • Les astronautes (cuivre façonné, 1975) rue de Brie.

Autres œuvres de Gérard Ramon :

  • Les Chevaux sauvages (mosaïque, 1969) sur le pignon de l'hôtel au centre de la ville.
  • Pavement en mosaïque dans le hall du même hôtel.
  • Paysage rural, Le Génie civil, La Construction de la ville, Paysage urbain (quatre hauts reliefs en cuivre, 1973) sur la façade ouest de l'hôtel de ville.
  • Autres mosaïques réalisées avec D. Hideux et M. Houari sur les façades sud et est de l'hôtel de ville.
  • La Vague (mosaïque) avenue de Sologne.

Fresques signées Robert Lesbounit :

  • Les Croisés (mosaïque, 1968) en face de la gare de La Verrière.
  • Façade ouest du gymnase Malmedonne (mosaïque, 1969) à la suite de l'agrandissement du gymnase la fresque a été déplacée et est désormais à l'intérieur de la grande salle.
  • Façade nord de l'église Notre-Dame (mosaïque, 1972).
  • Œuvre sans nom (square du Velay/square des Garrigues).

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Modèle:Blason-ville-fr

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références

Modèle:Palette Modèle:Portail