Montmédy
Modèle:Infobox Commune de France
Montmédy Modèle:MSAPI<ref>Jean-Marie Pierret, Phonétique historique du français et notions de phonétique générale, Peeters, Louvain-la-Neuve, 1994, p. 104.</ref> est une commune française située dans le département de la Meuse, en région Grand Est. Montmédy, ancienne capitale du comté de Chiny, fait partie de la Lorraine gaumaise.
Ses habitants sont appelés les Montmédiens. Modèle:Sommaire
Géographie
Localisation
Montmédy est située sur la N 43 à Modèle:Unité au sud-est de Sedan et à Modèle:Unité au nord-ouest de Longuyon ; Stenay est à Modèle:Unité à l'ouest via la D 947 et la frontière franco-belge est à Modèle:Unité à l'est via la D 981.
La commune se trouve à une altitude moyenne de 257 mètres<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Communes limitrophes
Modèle:Section communes limitrophes d'article de commune de France
Climat
Le climat de Montmédy est dit tempéré chaud. Montmédy est une ville avec des précipitations importantes. Même pendant le mois le plus sec, il y a beaucoup de pluie. La carte climatique de Köppen-Geiger y classe le climat comme étant de type Cfb. Sur l'année, la température moyenne à Montmédy est de Modèle:Tmp. La moyenne des précipitations annuelles atteint Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Hydrographie
La Chiers traverse le bourg de Montmédy. Avec l'Othain et la Thonne, ses affluents, elle sert parfois de limite au territoire de la commune.
Urbanisme
Typologie
Montmédy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Montmédy, une unité urbaine monocommunale<ref>Modèle:Lien web.</ref> de Modèle:Unité en 2017, constituant une ville isolée<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (53,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (54,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (38,5 %), prairies (28,5 %), terres arables (24,7 %), zones urbanisées (8,3 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Voies de communication et transports
Chemin de fer
Depuis le Modèle:Date- la gare de Montmédy est fermée et n'est plus qu'un arrêt situé sur la ligne Valenciennes - Thionville. Les voyageurs doivent se munir d'un billet au distributeur automatique ou à la maison de la presse locale située en centre-ville.
La ville est ainsi reliée directement à Carignan, Sedan et Charleville-Mézières à l'ouest et Longwy et Metz à l'est.
De 1914 à 1936 Montmédy était reliée à Verdun par une ligne de chemin fer secondaire qui faisait partie du réseau des Chemins de fer départementaux de la Meuse.
Le tunnel de chemin de fer qui traverse la colline de Montmédy construit en 1861 fut dynamité à trois reprises lors des invasions allemandes de 1870, 1914 et 1940. Aussi bien pendant la Première Guerre mondiale que lors de la Seconde Guerre mondiale un chemin de fer de contournement fut construit par l'occupant à travers les rues de la ville.
Lignes d'autobus
Services assurés par Les Rapides de la Meuse (entreprise du Groupe Veolia Environnement, branche Transport) pour le Réseau Intermodal des Transports de la Meuse (RITM) du conseil général de la Meuse :
- Transport à la demande : Montmédy - Damvillers (trois fois par jour)
- Service régulier :
- Montmédy - Stenay - Dun-sur-Meuse - Vacherauville - Verdun
- Damvillers - Verdun
- Montmédy - Virton (Belgique).
Toponymie
Anciennes mentions : Madiacum (634) ; Mons-Medius (933) ; Mons-Madiensis (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle) ; Novum castrum quod Mercurii-Mons dicitur (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle) ; Montmaidy, Montmaidi (1239) ; Mont-Maidei (1258) ; Mont-Maidie, Mont-Maidey (1264) ; Mont-Maidy (1270) ; Montmaidi, Montmaidie (1276) ; Monmeidey, Monmeidy (1284) ; Momaydi (1364) ; Maidybas, Maidy-Bas, Maidy-Haut (1365) ; Montmalde (1399) ; Monmady, Montmadey (1549) ; Malmedy (1562) ; Montmady (1564) ; Monmedy (1656) ; Montmaidier (1683) ; Montmedy (1700) ; Mons-Maledictus (1756)<ref name="Liénard Dic"/>.
Histoire
Montmédy, sous sa forme "Madiacum", est mentionné pour la première fois en 634. « Porcionem meam de Madiaco… cum mancipiis, aedificiis, vineis, campos, pratis, silvis, et prato sectum super Caro et Hogregia » : c’est ainsi que, dans son testament du Modèle:Date-, Adalgisel Grimo, diacre de Verdun issu d’une grande famille aristocratique, donne à l’église Sainte-Agathe de Longuyon ses propriétés de Montmédy et d’Iré : biens, édifices, vignes, champs, prés, bois, et prairie de fauche (?) en bordure de la Chièrs.
Ancienne capitale du comté de Chiny. Le comte de Chiny y élève en 1220 un château fort, le château de Mady, qui donnera son nom à la ville.
En 1285, en contrebas des remparts, dans la plaine de Chauvency-le-Château, Louis de Looz, comte de Chiny, offre des fêtes extraordinaires avec joutes et tournois où participent plus de 500 chevaliers des environs et même de lointaines régions (Grilly au bord du lac Léman, Bergues au bord de la mer du Nord, Trie-Château près de Paris, Sancerre, etc.). Le chroniqueur Jacques Bretel raconte ces journées dans Le Tournoi de Chauvency.
Après être passée aux ducs de Luxembourg et avoir été ainsi incorporée aux Pays-Bas bourguignons d'abord, puis espagnols, elle est, avec le territoire surnommé ensuite « Luxembourg français », rattachée à la France par le traité des Pyrénées en 1659.
La ville, défendue par Jean V d'Allamont, investie en juin 1657, est prise, en présence du jeune Louis XIV et de Mazarin, en Modèle:Date- par Vauban<ref>Modèle:Ref-Vauban-Intelligence, p. 166</ref>, qui dirige là son premier siège<ref>Barros et alii, p. 44</ref>.
En 1791, lors de sa fuite, le roi Louis XVI était attendu à Thonnelle. Reconnu, il est arrêté à Varennes-en-Argonne.
À la fin des guerres napoléoniennes, la ville est assiégée par des alliés de la Septième Coalition entre le Modèle:Date- et le Modèle:Date-.
Lors de la guerre franco-allemande de 1870, la ville est assiégée par l'armée prussienne : violemment bombardée après la capitulation de Metz, elle capitule le Modèle:Date-. Modèle:Article détaillé Elle est chef-lieu d'arrondissement de 1800 à 1926.
Pendant la Première Guerre mondiale, Montmédy est une plaque tournante de l'armée allemande pour l'approvisionnement du front de Verdun, utilisant dans ce but de la ligne du chemin de fer meusien de Montmédy à Verdun qui venait de s'ouvrir juste avant le début des hostilités. Le Modèle:Nobr, le Kronprinz reçoit en gare de Montmédy le feld-maréchal Paul von Hindenburg et le général Erich Ludendorff lors de leur premier déplacement en France.
Entre 1928 et 1940, le secteur de Montmédy est le lieu d'implantation de plusieurs ouvrages de la ligne Maginot (Modèle:Unité et Modèle:Unité, sept casemates, quinze maisons fortes, batteries de 155 L 77 au sud-est de Montmédy, sept PC et quatre observatoires). Modèle:Article détaillé Lors de la Seconde Guerre mondiale, pendant la drôle de guerre, le poste de commandement de la [[2e division légère de cavalerie|Modèle:2e légère de cavalerie]] du général André Berniquet s'établit à Montmédy<ref>Le corridor des Panzers, tome I, Jean-Yves Mary, p.34-35, Heimdal, 2009</ref>.
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Modèle:Article connexe Avec 58,06 % des voix au Modèle:2d tour de la présidentielle à Montmédy, Emmanuel Macron (En Marche!) arrive à la première place. À la seconde place, Marine Le Pen (Front national) recueille un score de 41,94 %.
Parmi les votants, 5,14 % ont glissé un bulletin blanc dans l'urne<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Liste des maires
Maire à une date non précisée ( en principe début Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle) : Jean Baptiste de Reumont, baron de Reumont<ref name=":1325232">Modèle:Article.</ref>.Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Population et société
Démographie
Évolution démographique
Modèle:Population de France/section
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 32,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (32,4 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 27,3 % la même année, alors qu'il est de 29,6 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait Modèle:Unité pour Modèle:Nobr, soit un taux de 54,3 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (49,51 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Modèle:Pyramide des âges communes de France
Économie
Grâce à ses commerces et ses administrations, Montmédy reste un centre de services pour le nord meusien. L'essentiel des emplois relève de l'administration publique, mais les secteurs du tourisme, du commerce et du transport tiennent une place importante dans la vie économique locale.
L'enseignement est assuré localement de la maternelle au baccalauréat, voire au-delà. Les Montmédiens dispose ainsi d'écoles maternelle et primaire, d'un collège (Jean-d'Allamont) et, à Stenay, d'un lycée polyvalent et professionnel (Alfred-Kastler). Celui-ci offre par ailleurs un brevet de technicien supérieur d’assistant de gestion.
Les médecins, y compris spécialistes, sont présents sur place, ainsi que deux pharmacies, un opticien, un audioprothésiste et plusieurs autres professionnels de santé (diététicienne, infirmiers, orthophonistes...).
La ville dispose d'un cinéma classé art et essai<ref>Modèle:Article.</ref>, d'un Centre Social et Culturel et de nombreuses associations sportives ou culturelles.
L'offre commerciale, alimentaire et non alimentaire, est présente en centre-ville, mais aussi par le biais d'un supermarché de 2 490 m² de surface de vente (Super U), ou de hard-discounteur (Aldi) implantés en périphérie. L’attraction des pôles commerciaux extérieurs est significative mais elle reste assez diffuse (Longwy, Verdun, Virton,…). La proximité de la Belgique (Virton à 19 minutes) alimente une évasion commerciale importante notamment dans le domaine non alimentaire, peu développé dans la commune.
Plusieurs banques et assureurs sont présents, ainsi que plusieurs restaurants.
Le centre de détention de Montmédy<ref>Modèle:Article.</ref> est un acteur majeur de la vie économique locale depuis 1990. 310 détenus, souvent condamnés à de longues peines, y sont encadrés par 120 membres du personnel.
La place forte (ville haute) attire de nombreux touristes.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Édifices civils
- Citadelle (XVIe, {{#switch: XIX
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}})<ref>La citadelle de Montmédy de 1874 à 1914</ref>,<ref>Citadelle de Montmédy</ref> Modèle:Classé MH<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>;
- Fortification de Vauban ;
- Musée Jules-Bastien-Lepage consacré au peintre Jules Bastien-Lepage ;
- Musée de la Fortification ;
- Château de Fresnois à Montmédy Modèle:Inscrit MH<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref> ;
- Cimetière militaire allemand.
Édifices religieux
- Église Saint-Martin à Montmédy-Haut Modèle:Classé MH<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>.
- Église de la Nativité à Iré-les-Prés.
- Église Saint-Bernard à Montmédy-Bas.
- Église Saint-Martin à Fresnois.
- Chapelle de la Croix.
- Chapelle de Malandry à Montmédy-Haut.
- Chapelle Saint-Nicolas à Fresnois.
- Abbaye d'Orval de Montmédy Modèle:Inscrit MH<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>
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Église Saint-Martin à Montmédy haut (1790).
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Église Saint-Bernard à Montmédy-Bas.
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Chapelle de Malandry à Montmédy-Haut.
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Église de la Nativité à Iré-les-Prés.
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Église Saint-Martin à Fresnois.
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Chapelle Saint-Nicolas à Fresnois.
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Chapelle de la Croix.
Arbres remarqués
Quelques-uns des arbres les plus intéressants de Montmédy, tous visibles de la route (mesures prises à épaule d'homme soit à Modèle:Unité, en Modèle:Date-) :
- le chêne de l'Attaque, spectaculaire tronc creux toujours vivant, ayant survécu à plusieurs incendies malveillants et autres actes de vandalisme, d'une circonférence de Modèle:Unité, au bord du ruisseau du Chabot, un peu en amont d'Iré-les-Prés.
- trois séquoias remarquables par leur circonférence :
- Modèle:Unité, arbre situé sous les remparts sud de la citadelle, dans un joli jardin près d'une folie tout en bois de la Belle Époque ;
- Modèle:Unité, dans un parc privé, place Tronville ;
- Modèle:Unité(?), à Iré-les-Prés, dans un jardin privé : cet arbre avait été fracassé au tiers de sa hauteur lors de la tempête de Noël 1999.
- un calocèdre, d'une circonférence de Modèle:Unité, situé dans un jardin privé, à Iré-les-Prés, à quelques pas du séquoia foudroyé. C'est le seul arbre de cette taille et de cette beauté dans le Nord-Meusien. Un spécimen comparable est visible dans les ruines de l'abbaye d'Orval.
- un tulipier de Virginie d'une circonférence de (?) mètres, à l'entrée de l'avenue du Lieutenant-Bourguignon.
- un platane, d'une circonférence de (?) mètres, dans le parc du château de Fresnois.
- un très rare frêne pleureur, en compagnie de plusieurs anciens catalpas et de pins dans le Jardin Poulain, route de Villécloye.
Bande dessinée
La citadelle de Montmédy constitue le cadre de « Les enfants de la citadelle », un album de la série « Tendre Violette » dessinée par Jean-Claude Servais.
- Le tournoi de Chauvency, 1285, Jacques Bretel (traduction Dominique Henriot-Walzer, Editions de La Joyeuserie, Dampicourt, Belgique, 1997)
- Guillaume de Waha-Baillonville : le fidèle et vaillant gouverneur Jean V d'Allamont (nouvelle édition présentée et annotée par Daniel Garrot, Éditions de La Joyeuserie, Dampicourt, Belgique, 2002)
Personnalités liées à la commune
- Pierre Antoine Michaud (1746-1808), général des armées de la République et de l'Empire, né le Modèle:Date- à Villers-lès-Luxeuil (Haute-Sâone), décédé dans cette ville.
- Nicolas-Charles Bochsa<ref>sources : "Nicolas-Charles Bochsa, harpiste, compositeur, escroc" de Michel Faul (éditions Delatour 2003) et site sur Bochsa et sa biographie</ref>, un des plus célèbres harpistes du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, né à Montmédy en août 1789 et mort à Sydney en 1856.
- Georges Villa, graveur, lithographe, illustrateur, né à Montmédy le Modèle:Date, mort en 1965.
- Stéphane Errard (°1907 - +1983), spéléologue français, né à Montmédy le Modèle:Date, mort à Saint-Benoît-la-Chipotte (Vosges) le Modèle:Date.
- Paulette Lagosse, artiste peintre et illustratrice, née à Montmédy le Modèle:Date. Elle meurt à Paris en 1996.
- Jean Lanher (1924-2018), professeur émérite de l'Université de Nancy II, spécialiste de dialectologie lorraine, né à Montmédy.
- Henri Auger (1883-1916), missionnaire au Japon.
- Anly (Jean D’), historien, né à Montmédy (ancien Luxembourg), vers 1540.
Héraldique
Les armoiries de Montmédy, figurées sur le sceau du corps municipal, étaient mi-parties de Los et de Chiny<ref name="Liénard Dic"/>.
Voir aussi
Bibliographie
- Jean Lanher, Le pays de Montmédy au fil des jours : Modèle:Date--Modèle:Date-, Éd. Serpenoise, Metz, 2001, 125 Modèle:P. Modèle:ISBN
- Georges Henri Parent, Additions et corrections au catalogue des plantes vasculaires de l'arrondissement de Montmédy : étude sur l'évolution séculaire de la flore, Musée national d'histoire naturelle, Luxembourg, 2006, 195 p.
- Alfred-Jean-Marie Pierrot, L'arrondissement de Montmédy sous la Révolution, C. Lacour, Nîmes, 2005, 206 p. Modèle:ISBN (fac-simile de l'édition de Bar-le-Duc, Imprimerie Contant-Laguerre, 1904)
- Alfred-Jean-Marie Pierrot, Montmédy sous l'ancienne monarchie française : 1657-1789, C. Lacour, Nîmes, 2004, Modèle:XXXVI p. Modèle:ISBN (fac-simile de l'édition de Bar-le-Duc, Imprimerie Contant-Laguerre, 1909)
- Jean François Louis Jeantin, Manuel de la Meuse : histoire de Montmedy et des localités meusiennes de l’ancien comté de Chiny, Nancy : Veuve Raybois, en 3 parties, 1861-1863 — volume 1: A-F , volume 2: G-N & volume 3: O-Z Modèle:BNF
Articles connexes
- Liste des communes de la Meuse
- Communauté de communes du pays de Montmédy
- Liste des monuments historiques de la Meuse