Pontacq

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France

Pontacq (en béarnais Pontac ou Pountac) est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine.

Le gentilé est Pontacquais<ref>Gentilé sur habitants.fr</ref>.

Modèle:Sommaire

Géographie

Localisation

Modèle:Carte interactive

La commune de Pontacq se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine<ref name=meta>Modèle:Lien web.</ref>.

Elle se situe à Modèle:Unité par la route<ref group=Note>Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.</ref> de Pau<ref>Modèle:Lien web.</ref>, préfecture du département. La commune est par ailleurs ville-centre du bassin de vie de Pontacq<ref name=meta/>.

Les communes les plus proches<ref group=Note>Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.</ref> sont<ref>Modèle:Lien web.</ref> : Lamarque-Pontacq (Modèle:Unité), Labatmale (Modèle:Unité), Barzun (Modèle:Unité), Labatmale (Modèle:Unité), Barlest (Modèle:Unité), Livron (Modèle:Unité), Loubajac (Modèle:Unité), Hours (Modèle:Unité).

Sur le plan historique et culturel, Pontacq fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Modèle:Communes limitrophes

Hydrographie

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Pontacq.

La commune est drainée par le ruisseau de l'Ousse, le ruisseau du Goua de Michou, l’Ariou de Hounrède, le Cassagnet, le Gabastou, L'Oussére, le ruisseau de Bad, le ruisseau Hoursoumou, le ruisseau Sausse, un bras de l'Ousse, le Luc, l'Oussére, le ruisseau de Couet-Daban, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail.</ref>.

L’Ousse, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Bartrès et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Gelos, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre.</ref>.

Le Goua de Michou, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le Gabas à Luquet, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre.</ref>.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article.</ref>. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000<ref name=Joly/>

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 1,9 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 5,4 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitation : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,8 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,4 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web.</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Asson », sur la commune d'Asson, mise en service en 1970<ref>Modèle:Lien web.</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web.</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Milieux naturels et biodiversité

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.</ref> sont recensées sur la commune<ref name=INPN1>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref> : les « landes humides du plateau de Ger » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité dont 2 dans les Pyrénées-Atlantiques et 3 dans les Hautes-Pyrénées<ref>Modèle:Lien web.</ref> et les « tourbières de Couet-Daban et de Gabastou » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité dont 1 dans les Pyrénées-Atlantiques et 2 dans les Hautes-Pyrénées<ref>Modèle:Lien web.</ref> et une ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.</ref>,<ref name=INPN1/>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref> : le « plateau de Ger et coteaux de l'Ouest tarbais » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité dont 6 dans les Pyrénées-Atlantiques et 20 dans les Hautes-Pyrénées<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Urbanisme

Typologie

Pontacq est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Pontacq, une agglomération inter-régionale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est ville-centre<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (84,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (75,3 %), forêts (9,5 %), prairies (6,9 %), zones urbanisées (6,2 %), zones agricoles hétérogènes (1,3 %), zones humides intérieures (0,9 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web.</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits et hameaux

  • L'Abbadie ;
  • Angarons ;
  • Barbé ;
  • Belle Vue ;
  • Cardache ;
  • Cazenave ;
  • Honzet ;
  • Lande Darré ;
  • Marra cou ;
  • Montestrucq ;
  • Mouralot ;
  • Sarrail du Midi ;
  • Sarrail du Nord ;
  • Trabessat ;
  • la Ville.

Voies de communication et transports

La commune est desservie par l'autoroute A64 et les routes départementales 129, 936 et 940.

Risques majeurs

Le territoire de la commune de Pontacq est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Risques naturels

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le ruisseau du Goua de Michou et le ruisseau de l'Ousse. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 2009, 2013, 2014 et 2021<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>.

Fichier:64453-Pontacq-argile.jpg
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Pontacq.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie<ref>Modèle:Lien web</ref>. 6,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>. Depuis le Modèle:Date-, en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort<ref group=Note>Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :

  • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
  • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
  • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Toponymie

Le toponyme Pontacq apparaît sous les formes Pontacum (970<ref name="Raymond">Modèle:Dictionnaire topographique des Basses-Pyrénées</ref>, cartulaire de l'abbaye de Larreule<ref name="Abbaye de Larreule">Cartulaire de l'abbaye de Larreule, d'après Pierre de Marca, Histoire de Béarn</ref>), Lo cami Pontagues (1429<ref name="Raymond"/>, censier de Bigorre<ref name="Censier de Bigorre">Manuscrit de 1429 - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques</ref>) et Sant-Laurens de Pontacq(1507<ref name="Raymond"/>, notaires de Pontacq<ref name="Notaires de Pontacq">Notaires de Pontacq - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques</ref>).

Son nom béarnais est Pontac<ref>Modèle:Lien web.</ref> ou Pountac<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Abbadie, fief de Pontacq, est mentionné sous la forme la maison de l'Abbadie de l'Archiprestre (1675<ref name="Raymond"/>, réformation de Béarn<ref name="Réformation de Béarn">Modèle:Réformation de Béarn</ref>).

Angarons, hameau de Pontacq, est cité en 1863 dans le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque<ref name="Raymond"/>.

Le toponyme Barbé' apparaît sous la forme Lo Barber (1385<ref name="Raymond"/>, censier de Béarn<ref name="censier">Modèle:Censier de Béarn</ref>).

Pontacq signifie « domaine de Pontus », d'un nom romain Pontus avec le suffixe gallo-romain -acum<ref>Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Librairie Guénégaud Paris 1978. Modèle:P..</ref>,<ref>Michel Grosclaude, Dictionnaire toponymique des communes du Béarn, 2006, Modèle:P..</ref>.

Histoire

Paul Raymond<ref name="Raymond"/> note que la commune comptait une abbaye laïque, vassale de la vicomté de Béarn.

En 1385, Pontacq comptait vingt-six feux à l'intérieur de la ville, et quatre-vingt-deux hors les murs. Elle dépendait du bailliage de Montaner. La notairie de Pontacq n'englobait que la ville elle-même.

Le fief d'Abbadie était vassal de la vicomté de Béarn<ref name="Raymond"/>.

Sous l'influence de Jeanne d'Albret, reine de Navarre, convertie au protestantisme en 1560, la région bascule dans la religion réformée prônée par Calvin. Pendant les guerres de religion, Pontacq est prise par les troupes catholiques du roi de France Charles IX les 2 et 3 avril 1569. Les maisons des protestants sont pillées<ref>GUERRES DE RELIGION EN BEARN par Philippe CHAREYRE</ref>. Le lieutenant général huguenot, Gabriel de Lorges, comte de Montgomery, en route depuis Castres pour libérer Jeanne d'Albret, assiégée à Navarrenx, dévaste et pille la Bigorre sur son trajet, brûlant les églises. Il arrive à Pontacq le 6 août 1569<ref>Août 1569, désastre dans le Marquisat de Bénac et dans une grande partie de la Bigorre</ref>, et laisse de nombreux dégâts. Le secteur Nay-Pontacq est un bastion du protestantisme en Béarn jusqu'à la révocation de l'édit de Nantes par l'édit de Fontainebleau en 1685. La lutte contre les protestants prend de multiples formes, notamment les dragonnades. Philippe Chareyre: "La dragonnade du Béarn débute par Pontacq le 17 mai 1685 avec quatre compagnies d’infanterie, en présence de l’évêque de Tarbes qui protesta néanmoins contre les méthodes employées"<ref>Le Béarn, terre d’expérimentation de la Révocation, Philippe Chareyre</ref>.

Archiprêtré de Pontacq

Il dépendait du diocèse de Tarbes et comprenait, pour ce qui concerne les Basses-Pyrénées, les communes de Hours, Montaut, Pontacq et Saint-Hilaire (hameau de Montaut), et pour les Hautes-Pyrénées, celles de Gardères, Lamarque et Luquet.

Canton de Pontacq

En 1790, le canton comprenait les communes de Barzun, Espoey, Ger, Gomer, Hours, Labatmale, Livron, Lucgarier, Pontacq et Soumoulou.

Héraldique

Modèle:Blasonnement

Politique et administration

Tendances politiques et résultats

Modèle:Article connexe Modèle:…

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Intercommunalité

Pontacq fait partie de quatre structures intercommunales<ref>Modèle:Lien web.</ref> :

  • la communauté de communes Ousse-Gabas ;
  • le syndicat d'aménagement hydraulique du bassin de l'Ousse ;
  • le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
  • le syndicat mixte d'eau et d'assainissement de la vallée de l'Ousse.

Population et société

Démographie

Fichier:Église Saint-Laurent de Pontacq.JPG
Église Saint-Laurent.

Modèle:Population de France/section

Économie

La commune fait partiellement partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

Culture locale et patrimoine

Fichier:Poey-Oloron eglise 002.JPG
L'église, vue latérale.

Pontacq Radio

Pontacq Radio est une webradio qui a été créée fin 2011<ref>Modèle:Lien web.</ref> sur l’initiative de Julien TOTH, l’actuel président et directeur d’antenne.

Pontacq Radio est avant tout un média généraliste de proximité au format musical adulte offrant un mélange très varié de morceaux pop-rock et de nouveautés.

Après l’enthousiasme et l’approximation des débuts, l’aventure s’est peaufinée avec les équipes de la station jusqu’à une récente restructuration et professionnalisation<ref>Modèle:Lien web.</ref> basées sur un projet de communication précis qui ont mené Pontacq Radio à ce qu’elle est aujourd’hui.

Animée par une équipe d'amateurs et de professionnels, Pontacq Radio couvre un secteur géographique local, principalement situé sur le territoire du Nord-Est Béarn et du Pays de Nay.

Reflet de la vie locale au sens large, Pontacq Radio a conquis une audience fidèle et en constante progression jusqu’à devenir un média incontournable pour tous les secteurs d’activité locaux.

Patrimoine civil

La vieille tour<ref>Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur la vieille tour et les remparts</ref> de Pontacq et les vestiges de remparts attenants (Modèle:S mini - Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècles), sont inscrits à l'inventaire des monuments historiques (20 juillet 1945).

Le monument aux morts fut réalisé par le sculpteur Ernest Gabard.

Le manoir<ref>Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur le domaine de Meyracq</ref>, dit domaine de Meyracq, date partiellement du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle.

Patrimoine religieux et culturel

Fichier:Vieille tour de Pontacq.JPG
Vieille tour.

L’église Saint-Laurent recèle l'un des derniers tableaux des ateliers de Jacques-Paul Migne et daté de 1858Modèle:Référence souhaitée.

Équipements

Enseignement

Il y a deux collèges à Pontacq, le collège privé Saint-Joseph et un collège public, le collège Jean-Bouzet<ref>Site du collège Jean Bouzet</ref>. Pour ce dernier, le syndicat intercommunal pour le fonctionnement du collège de Pontacq est compétent pour les activités post- et périscolaires, la restauration scolaire et les investissements d'équipements publics. Il regroupe dix communes du canton de Pontacq et deux communes des Hautes-Pyrénées, Lamarque-Pontacq et Ossun.

Pontacq dispose de deux écoles primaires, l'une publique et l'autre privée (école Saint-Jeanne-Elisabeth).

École agricole de la Frede Duce, ou l’art du fauchage, ramassage, etc.

Sports et infrastructures sportives<ref>Associations sportives sur le site de la mairie</ref>

  • badminton ;
  • club athlétique ;
  • cyclisme : le cyclo-club<ref>Site du cyclo-club pontacquais</ref> pontacquais a été créé en 2005 ;
  • football : Pontacq possède une école de football, l'entente Pontacq-Luquet ;
  • rugby : Pontacq possède une école de rugby<ref>Site du CAP rugby</ref> Pontacquais Basket-ball.

Personnalités liées à la commune

Modèle:Catégorie principale

Nées au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

  • Jean La Placette (1639-1718), pasteur et théologien protestant, né à Pontacq.
  • Pierre Peiret, né vers 1644 à Pontacq et mort en 1707 à Manhattan (New York), est un pasteur protestant, ministre d'Osse-en-Aspe de 1677 à 1685. Il est membre de la famille Peiret (ou Peyret), ancienne famille noble de Pontacq apparentée à la famille Barbanègre. Il s'enfuit de France avec sa famille en 1685 à la suite de la révocation de l'Édit de Nantes par celui de Fontainebleau. Il se réfugie à New York où il fonde l'Eglise protestante française du Saint-Esprit. Il a de nombreux descendants aux Etats-Unis. Sa tombe est encore aujourd'hui visible dans le cimetière de Trinity Church.

Nées au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

Nées au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

  • Jean Bouzet, né en 1892 à Pontacq et décédé en 1954, est un spécialiste de la langue espagnole qu'il enseigna dans divers lycées parisiens et à La Sorbonne. Il reste de lui, qui eut Georges Pompidou et François Mitterrand comme élèves, une grammaire espagnole qui a accompagné des générations d'élèves et d'étudiants du baccalauréat à l'agrégation.

Nées au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes

Modèle:Références

  • Cartes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références nombreuses

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Autres projets

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