Tarbes

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}

Modèle:Semi-protection étendue Modèle:Infobox Commune de France Tarbes<ref>Modèle:Lien web.</ref> ({{#ifeq:1|0|[tàʁbə]|[[Alphabet phonétique international|Modèle:Nobr]]}} en français méridional, {{#ifeq:1|0|[taʁb]|[[Alphabet phonétique international|Modèle:Nobr]]}} en standard) est une commune de Gascogne, dans le Sud-Ouest de la France. C'est aussi la préfecture du département des Hautes-Pyrénées<ref>Modèle:Lien web.</ref>, en région Occitanie<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La ville est située sur l'axe pyrénéen, qui va de l'Atlantique à la Méditerranée, non loin de la frontière franco-espagnole.

Sur le plan historique et culturel, la commune appartient à l’ancien comté de Bigorre, comté historique des Pyrénées françaises et de Gascogne. Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Adour, l'Échez, la Gespe et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (la « vallée de l'Adour »), un espace protégé (l'« Adour et affluents ») et trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Tarbes est une commune urbaine qui compte Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année. Elle est comprise dans l'agglomération de Tarbes et fait partie de l'aire d'attraction de Tarbes. Ses habitants sont appelés les Tarbais ou Tarbaises.

Capitale historique du comté de Bigorre<ref>Modèle:Lien web.</ref>, cette ville pyrénéenne de tradition industrielle s’étend, à une altitude moyenne de Modèle:Nobr, au pied du massif des Pyrénées, dont les sommets (à commencer par le pic du Midi de Bigorre<ref>Modèle:Lien web.</ref>) se détachent nettement dans le paysage urbain.

La ville a une surface relativement réduite (Modèle:Unité). Certaines petites communes voisines, qui jouxtent Tarbes, ont une surface supérieure, c'est notamment le cas pour Ibos (Modèle:Unité) ou Ossun (Modèle:Unité).

Cette surface limitée explique en partie le nombre de ses habitants (42 426), appelés Tarbais et Tarbaises. En fait, Tarbes est au cœur d'une agglomération comprenant quatorze communes (notamment : Aureilhan, Séméac, Laloubère, Bordères-sur-l'Échez, Soues), constituant son unité urbaine et sa banlieue immédiate, qui représente environ Modèle:Unité. Tarbes constitue aussi la neuvième aire d'attraction urbaine de la région Occitanie<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> (2018), avec Modèle:Unité.

Tournée vers les industries de pointe, notamment dans le domaine de l’aéronautique, elle dispose d'un pôle universitaire intégré dans le réseau de l’université de Pau et des pays de l'Adour<ref name="campus">Modèle:Lien web.</ref>, qui comprend quatre autres villes du Bassin de l'Adour : Pau, Bayonne, Anglet et Mont-de-Marsan. Le site universitaire de Tarbes accueille aussi plusieurs formations rattachées aux universités Toulouse II Jean-Jaurès / Le Mirail et Toulouse-III-Paul Sabatier. Le campus est situé face aux Pyrénées.

Célèbre pour des productions locales telles que le haricot tarbais, Tarbes est également une « ville-marché » et un pôle spécialisé dans l’industrie agroalimentaire.

Elle est la pierre d'angle de la nouvelle communauté d'agglomération Tarbes-Lourdes-Pyrénées, créée le Modèle:Date-, qui comprend Modèle:Nobr réunissant environ Modèle:Nombre sur une surface de Modèle:Nombre, ce qui en fait la cinquième plus grande agglomération de la région Occitanie.

La ville est le siège historique d'un diocèse catholique érigé au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle (aujourd'hui « de Tarbes et Lourdes ») correspondant au département des Hautes-Pyrénées.

Modèle:Sommaire

Géographie

Localisation

Modèle:Encadré texte

Tarbes est une ville du piémont pyrénéen (Modèle:Nobr d'altitude) sise à l'extrême sud-ouest de la région Occitanie (latitude : 43° 13' 58" nord, longitude : 00° 04' 28" est, donc très proche du Méridien de Greenwich), à la frontière sud-est de la région Nouvelle-Aquitaine. La ville est située pratiquement au centre de l'axe pyrénéen Bayonne - Toulouse, dans le département des Hautes-Pyrénées<ref group=I name=meta>Modèle:Lien web.</ref>.

La situation géographique de Tarbes favorise, dans de nombreux domaines, des liens avec la région voisine de Nouvelle-Aquitaine, et notamment le département des Pyrénées-Atlantiques.

Les communes les plus proches<ref group=Note>Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.</ref> sont<ref>Modèle:Lien web.</ref> : Aureilhan (Modèle:Unité), Séméac (Modèle:Unité), Laloubère (Modèle:Unité), Bordères-sur-l'Échez (Modèle:Unité), Soues (Modèle:Unité), Odos (Modèle:Unité), Sarrouilles (Modèle:Unité), Horgues (Modèle:Unité).

Sur le plan historique et culturel, Tarbes fait partie de l’ancien comté de Bigorre, comté historique des Pyrénées françaises et de Gascogne créé au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle puis rattaché au domaine royal en 1302, inclus ensuite au comté de Foix en 1425 puis une nouvelle fois rattaché au royaume de France en 1607. La commune est dans le pays de Tarbes et de la Haute Bigorre<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.


Modèle:Communes limitrophes

Hydrographie

La commune est dans le bassin de l'Adour, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle est drainée par l'Adour, l'Échez, la Gespe un bras de l'Echez et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail.</ref>.

L'Adour, d'une longueur totale de Modèle:Unité, se forme dans la vallée de Campan en Haute-Bigorre de la réunion de trois torrents : l'Adour de Payolle, l'Adour de Gripp et l'Adour de Lesponne et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le golfe de Gascogne à Anglet, après avoir traversé Modèle:Nobr<ref>Modèle:Sandre.</ref>.

L'Échez, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune de Germs-sur-l'Oussouet et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Adour à Maubourguet, après avoir traversé Modèle:Nobr<ref>Modèle:Sandre.</ref>.

Climat

Tarbes bénéficie, grâce à sa situation privilégiée dans le bassin de l'Adour, d'un microclimat plus doux qu'à Lourdes, d'une altitude plus élevée et plus ensoleillé. Les étés y sont chauds et souvent orageux, le printemps est pluvieux et frais alors que l'automne reste doux et ensoleillé ; l'hiver quant à lui est de moins en moins rigoureux mais peut quand même réserver des surprises. Le record de froid a été enregistré en Modèle:Date- avec une température sous abri de Modèle:Tmp ; à l'inverse, on a enregistré +Modèle:Tmp en Modèle:Date-.

Ville Ensoleillement Pluie Neige Orage Brouillard
Paris 1 630 h/an Modèle:Unité/an 15 j/an 19 j/an 13 j/an
Nice 2 720 h/an Modèle:Unité/an 1 j/an 31 j/an 1 j/an
Toulouse 2 030 h/an Modèle:Unité/an 7 j/an 26 j/an 44 j/an
Tarbes 1 940 h/an Modèle:Unité/an 9 j/an 29 j/an 31 j/an
Moyenne nationale 1 973 h/an Modèle:Unité/an 14 j/an 22 j/an 40 j/an

Modèle:Climat

Paysages

Fichier:Pyrénées Projet.jpg
La chaîne des Pyrénées vue de Tarbes.

Milieux naturels et biodiversité

Espaces protégés

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée<ref name="EspProtégés">Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Dans ce cadre, la commune fait partieModèle:De quoi<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Un espace protégé est présent sur la commune : l'« Adour et affluents », objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Réseau Natura 2000

Fichier:65440-Tarbes-Natura 2000.png
Site Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)Modèle:Note. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : la « vallée de l'Adour »<ref name=Natura>Modèle:Lien web.</ref>, d'une superficie de Modèle:Unité, un espace où les habitats terrestres et aquatiques abritent une flore et une faune remarquable et diversifiée, avec la présence de la loutre et de la Cistude d'Europe<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.</ref> sont recensées sur la commune<ref name=INPN1>Modèle:Lien web.</ref> : « l'Adour, de Bagnères à Barcelonne-du-Gers » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Nobr dont 18 dans le Gers, une dans les Landes et 40 dans les Hautes-Pyrénées<ref>Modèle:Lien web.</ref> et le « réseau hydrographique de l'Échez » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Nobr dont trois dans les Pyrénées-Atlantiques et 23 dans les Hautes-Pyrénées<ref>Modèle:Lien web.</ref> et une ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.</ref>,<ref name=INPN1/> : l'« Adour et milieux annexes » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Nobr dont 18 dans le Gers, une dans les Landes et 41 dans les Hautes-Pyrénées<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Urbanisme

Typologie

Tarbes est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I >Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Tarbes, une agglomération intra-départementale regroupant Modèle:Nobr<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, dont elle est ville-centre<ref group=I name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tarbes, dont elle est la commune-centre<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Nobr, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de Modèle:Unité<ref group=I name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (88,6 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (85,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (67 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (19,2 %), zones agricoles hétérogènes (6,9 %), prairies (3,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,4 %), terres arables (1,1 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web.</ref>.

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web. Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.</ref>.

Quartiers

Modèle:Catégorie détaillée La ville est découpée en treize grands quartiers, et propose une mairie annexe (Laubadère) et pour des raisons de statistiques et de recensement de la population, Tarbes est divisée par l'INSEE en 24 sous quartiers.

Grands quartiers

  1. Sainte-Anne
  2. Centre-ville
  3. Ormeau-Figarol
  4. La Gespe
  5. Solazur
  6. Zone d'activité Bastillac-Cognac
  7. Urac-Sendère
  8. Laubadère
  9. Saint-Antoine
  10. Arsenal
  11. Martinet
  12. Mouysset
  13. Zone d'activité Kennedy

Voies de communication et transports

Modèle:Article détaillé

Transports et activités aériens

Tarbes bénéficie de deux plateformes aériennes.

La plateforme abrite également le détachement aérien de gendarmerie de Tarbes chargé, entre autres missions, du secours en montagne, avec son hélicoptère EC 145<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Les unités commandos des deux régiments parachutistes basés à Tarbes, le [[1er régiment de hussards parachutistes|Modèle:1er RHP]] et le [[35e régiment d'artillerie parachutiste|Modèle:35e RAP]]<ref>Modèle:Lien web.</ref>, l'utilisent aussi ponctuellement pour leurs sauts de précision en chute libre.

Transport ferroviaire - SNCF

Le TGV relie plusieurs fois par jour la gare de Tarbes à celle de Paris-Montparnasse moyennant un voyage de six heures. Il permet également de rallier Bordeaux en trois heures<ref>Une desserte privilégiée, site du Grand Tarbes.</ref>. Cette offre est complétée par celle des TER (Nouvelle-Aquitaine et Occitanie) et Intercités de nuit (ex-Lunéa) permettant des échanges importants avec Toulouse, Pau, Bayonne et la côte basque. Ces derniers assurent encore des liaisons sans changement de train entre Paris-Austerlitz et Irun, en Espagne.

Une navette électrique et gratuite relie la gare à l'hypercentre, place de Verdun, puis rue Maréchal-Foch.

Autoroute et routes

Tarbes est desservie par l'autoroute Modèle:Autoroute française (« La Pyrénéenne » ; code européen E80), qui relie l'Atlantique (Briscous) à Toulouse. Elle est accessible de Tarbes par deux échangeurs Tarbes-Ouest (Modèle:N°) et Tarbes-Centre / Tarbes-Est (Modèle:N°).

En direction de Toulouse (Modèle:Unité), elle permet de rallier gratuitement Tournay ou Capvern et, en direction de Bayonne (Modèle:Unité), de rejoindre Pau (Modèle:Unité) qui est aussi accessible depuis la RD 817. Notons qu'à la hauteur de Pau, un échangeur permet de rejoindre Langon et Bordeaux par l'autoroute A65 (autoroute de Gascogne, code européen E7)

Tarbes-Ouest (Modèle:N°) est la bretelle de sortie qui permet un accès direct à Lourdes (Modèle:Unité de Tarbes) et aux Pyrénées, par la RN 21.

En grande partie réalisée en 2×2 voies entre Tarbes et Lourdes, la RN 21 est prolongée, au sud, par une autre 2x2 voies (RD 821) entre Lourdes et Argelès-Gazost (Modèle:Unité), dans les Pyrénées. D'Argelès-Gazost, on a un accès direct à Luz-Saint-SauveurModèle:Unité de Tarbes) et au cirque de Gavarnie et la Brèche de Roland (Modèle:Unité de Tarbes), à proximité de la frontière espagnole, dans le parc national des Pyrénées. La RN 21 a donc une grande importance sur le plan économique et touristique.

La RD 935 et la RD 8 permettent, elles, de se rendre à Bagnères-de-Bigorre (Modèle:Unité) et à des stations de sports d'hiver comme La Mongie (Modèle:Unité).

Périphérique/rocades

À Tarbes même, les déplacements sont facilités par un boulevard faisant le tour de ville ; le développement récent des différents pôles d'activité autour de Tarbes a favorisé la création de la rocade Sud-Ouest qui a été prolongée au nord jusqu'à la D 935 (route de Bordeaux) et la RN 21 (route d'Auch) ; une rocade Sud-Est également en projet entre l'échangeur de Tarbes-Est vers Juillan et l'aéroport. Enfin une rocade Est est à l'étude, qui reliera Séméac à Orleix.

Réseaux de bus

La gare routière de Tarbes est située à proximité de la gare SNCF et bénéficie de la navette électrique gratuite de celle-ci pour l'accès à l'hypercentre.

Réseau de bus nationaux et internationaux

Tarbes est l'une des étapes des réseaux de bus nationaux et internationaux (Loi Macron) sur la ligne Saint-Sébastien (Espagne), Hendaye, Bayonne, Toulouse.

Réseau régional « liO »

Les lignes intermodales d'Occitanie constituent le réseau de transport interurbain de la région Occitanie. Le réseau liO relie plusieurs communes du département des Hautes-Pyrénées (notamment, Bagnères-de-Bigorre, Lourdes, Luz-Saint-Sauveur, Barèges, Gavarnie, Lannemezan, Saint-Lary, Vic-en-Bigorre, Maubourguet) ainsi que la commune de Pontacq dans le département des Pyrénées-Atlantiques.

Réseau de bus urbains « TLP Mobilités »
Fichier:Logo TLP Mobilités.png
TLP Mobilités.

Les communes de Tarbes et de sa banlieue sont desservies par un réseau de bus dénommé TLP Mobilités<ref>TLP Mobilités.</ref>. Une navette électrique gratuite relie la gare SNCF et la gare routière à l'hypercentre.

Risques majeurs

Le territoire de la commune de Tarbes est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et le risque industriel<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Risques naturels

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Adour et l'Échez. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XIe{{#if:|  }} }} contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1989, 1997, 1999, 2005, 2009, 2014, 2019 et 2021<ref>Modèle:Lien web, partie 1 - chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>.

Tarbes est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le Modèle:Date- pour la période 2020-2029. Le précédent couvrait la période 2007-2017. L’emploi du feu est régi par deux types de réglementations. D’abord le code forestier et l’arrêté préfectoral du Modèle:Date-, qui réglementent l’emploi du feu à moins de Modèle:Unité des espaces naturels combustibles sur l’ensemble du département. Ensuite celle établie dans le cadre de la lutte contre la pollution de l’air, qui interdit le brûlage des déchets verts des particuliers. L’écobuage est quant à lui réglementé dans le cadre de commissions locales d’écobuage (CLE)<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Fichier:65440-Tarbes-argile.jpg
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Tarbes.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels<ref>Modèle:Lien web, chapitre Mouvements de terrain.</ref>.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (44,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les Modèle:Unité dénombrés sur la commune en 2019, 6 966 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 75 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune<ref name="ECS">Modèle:Lien web.</ref>.

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2002 et 2003 et par des mouvements de terrain en 1999<ref name=Géorisques/>.

Risques technologiques

La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque industriel.</ref>.

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ligne de chemin de fer et une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque transport de matières dangereuses.</ref>.

Toponymie

Fichier:65 HP 00 8913.jpg
Fichier:65 HP 13 4064.jpg
Extrait de la carte de Cassini (entre 1756 et 1789) situant Tarbes.

La ville est nommée pour la première fois au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle comme Civitas Turba ubi castrum Bigorra, puis sous le nom de Turba au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle (sans doute une erreur pour Tarba) sans doute une déformation arabe pour la tourbe. C’était une cité importante de la Novempopulanie. Grégoire de Tours au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle la nomme Talvam vicum. Au Moyen Âge, elle fut appelée Tarbe (1214), Tursa, Tarvia (1284) ou encore Tarbia. À ne pas confondre avec les Tarbelles, dont la capitale était Dax.

Selon une carte de la Bigorre aux premiers siècles de l'occupation romaine<ref>La Cité de Bigorre, de Norbert Rosapelly et Xavier de Cardaillac aux éditions du Val d'Adour.</ref>, Tarbes se nommait Vicus Talva, posée dans le sillon du fleuve Atur (Adour).

En occitan, la commune porte le nom de Tarba.

Origine légendaire du nom

La légende veut que la reine d'Éthiopie, Tarbis, proposa son amour à Moïse et que celui-ci le refusa. Inconsolable, elle décida de quitter son trône et de cacher au loin sa déception. Après bien des pérégrinations, elle arriva en Bigorre et fit construire au bord de l'Adour sa demeure pour fonder la ville de Tarbes, et sa sœur, sur les bords du Gave, fit surgir Lourdes.

Histoire

Protohistoire

Fichier:Villa antique de l'Ormeau 2010.JPG
Fondation de villa antique au quartier de l’Ormeau.

Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle Modèle:Av JCModèle:Vérification siècle, les fondations de la cité tarbaise voient le jour, d'après les témoignages des vestiges exhumés du sous-sol. Par nécessité pour le commerce du sel, des marchands vraisemblablement aquitains cheminaient sur le piémont pyrénéen. Pour continuer leur route, ils devaient emprunter un gué afin de franchir l'Adour descendu de la montagne. Il était plus prudent de fractionner les charges pour franchir le gué à la suite duquel une pause était nécessaire. Le fond de la vallée était dominé par une émergence sablonneuse qui incita les hommes à s'y établir.

Antiquité

Puis, Tarba ou Turba connaît une colonisation romaine et se dote de villas antiques et de grands domaines agricoles, découverts notamment dans le quartier de l'Ormeau. L'existence d'un artisanat se vérifie par les restes d'ateliers de potiers et de tisserands. Le noyau urbain, quant à lui, assume des fonctions administratives et sera doté d'une église paléo-chrétienne dès le Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle.

Moyen Âge

Fichier:Dux Wasconum 1150.png
Carte des fiefs de Gascogne vers 1150.

Aux {{#switch: e

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   Modèle:S mini{{#ifeq: et|-| – | et }}Modèle:S mini siècles
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}}

}}, sous l'effet des invasions barbares qui déferlent par vagues successives, la ville se rétracte autour du castrum, dont un vestige subsiste dans la cour arrière de la préfecture.

Vers 840, les Vikings mènent un raid dévastateur à la suite duquel l'évêque de Bigorre relève la ville en commençant par la cathédrale, appelée avec originalité, la Sède.

À la fin du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, le comte de Bigorre s'installe dans son château fort de Tarbes, entraînant à sa suite la cour de justice. Puis la capitale de la Bigorre reçoit une sénéchaussée royale.

Deux maisons nobles fondent au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, hors les murs, l'une le couvent des cordeliers près de Carrère Longue, l'autre celui des Carmes au voisinage du Bourg Crabé.

À la fin des siècles médiévaux, la ville se compose de six bourgs fortifiés séparément, juxtaposés et alignés sur un axe ouest-est, dont le noyau primitif est ordonné autour de la cathédrale. On dénombre ainsi la Sède, Carrère Longue, Maubourguet, Bourg Vieux flanqué à l'est du château comtal, Bourg Neuf, Bourg Crabé, chacun entouré de ses propres murailles.

Durant les guerres de Religion, en 1569, les troupes de Jeanne d'Albret incendient la cathédrale, les couvents et autres églises ainsi que l'évêché. Malgré les destructions stratégiques pour tenter d'assurer la défense du Bourg Vieux, les habitants sont massacrés.

Époque moderne

Au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, après la peste et les problèmes de logement des gens de guerre, Tarbes assure son renouveau avec la reconstruction du palais épiscopal en 1652 (hôtel de la préfecture aujourd'hui), la fondation d'un troisième hôpital en 1690 et de deux nouveaux couvents (capucins et ursulines). L'irrigation des terres et la force hydraulique utilisée par les artisans sont produites par le système de canaux dérivés de l'Adour.

Le Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle annonce un essor démographique, le développement de l'agriculture, de l'artisanat et du commerce. La ville s'étend et des quartiers nouveaux apparaissent (comme l'actuelle rue Maréchal-Foch). Ensuite, l'Assemblée constituante dont fait partie Bertrand Barère de Vieuzac (député de la Bigorre aux États Généraux) décide de la réforme administrative et Tarbes en bénéficie en devenant chef-lieu du département des Hautes-Pyrénées.

Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

Fichier:Gare de Tarbes XIXe.jpg
Gare de Tarbes vers 1900.
Fichier:Marché Brauhauban XIXe.jpg
Marché Brauhauban vers 1900.
Fichier:ArsenalTarbes.jpg
Image ancienne de l'arsenal.

Prérogatives d'un chef-lieu

À partir de 1800, Tarbes devient le siège d'une préfecture (accroissement de son rôle administratif et de ses fonctions). En 1806, Napoléon {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }} rétablit le haras national de Tarbes et à partir du cheval tarbais donne naissance à la race anglo-arabe. En 1859, Tarbes est reliée à Paris par voie ferrée.

Legs

Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, différents legs enrichissent les espaces publics tarbais… En 1853, Placide Massey lègue à la ville le jardin éponyme encore inachevé<ref>Modèle:Lien web.</ref>. En 1877, une donation de l'ancien maire Antoine Brauhauban est à l'origine de la construction d'une imposante halle portant son nom (ce bâtiment a cependant été détruit en 1970 pour y établir un parking aérien en dessous duquel continue à se tenir un marché animé, y compris le dimanche)<ref>http://www.hautes-pyrenees-marches-de-pays.com/MARCHES/tarbes/brauhauban/index.htm, Site des Marchés de Pays des Hautes-Pyrénées.</ref>. La fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle voit encore l'élévation des deux fontaines (Quatre vallées et les Sources de l'Amour) de la place Marcadieu, héritage de la bienfaitrice Félicitée Duvignau.

Développement industriel

Après la guerre de 1870-1871, le général Verchère de Reffye transforme l'atelier expérimental de Meudon (transféré par train à Tarbes) en atelier de construction d'artillerie (appelé Arsenal par les Tarbais). Ainsi, Tarbes devient une ville industrielle et ouvrière mais affirme également sa vocation militaire par la construction des quartiers Larrey, Soult et Reffye.

Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

Pendant la Première Guerre mondiale, Tarbes intensifie sa production en artillerie du fait de son positionnement géographique en arrière-pays. Le maréchal Foch, commandant-en-chef de toutes les armées alliées, maréchal de France, de Grande-Bretagne et de Pologne, est né à Tarbes en 1851.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, le Modèle:Date-, Tarbes, située en Zone Libre, accueille l'École de cavalerie de Saumur<ref>Modèle:Lien web.</ref>, dénommée à l'époque "École d'application de la cavalerie et du train". C'est de cette école que sont issus les fameux "Cadets de Saumur" qui se sont illustrés par d’héroïques combats sur la Loire en Modèle:Date-, avec d'autres unités françaises. Elle se réorganisera au Quartier Soult, aujourd'hui occupé par le [[35e régiment d'artillerie parachutiste|Modèle:35e Régiment d'Artillerie Parachutiste]], jusqu'à sa dissolution en Modèle:Date-. En effet, le Modèle:Date-, les Allemands envahissent la zone libre à la suite du débarquement allié en Afrique du Nord. Le Modèle:Date-, l’Armée d’Armistice est démobilisée. Tarbes étant en zone libre, désormais envahie, l'École est dissoute. Durant ces deux années passées à Tarbes, elle formera de nombreux officiers qui rejoindront plus tard les Forces Françaises Libres (FFL). L'École se reconstituera à Saumur (Maine-et-Loire), en 1945, sous l'appellation d École d’application de l’arme blindée et de la cavalerie devenue, en 2009, l'École de cavalerie (de Saumur). Le choix de Tarbes, en 1940, est lié à l'important Haras national de la ville et au "cheval tarbais" (aussi appelé cheval Navarrin) qui fut traditionnellement le cheval de la cavalerie française. Ce lien avec la cavalerie se retrouve, aujourd'hui encore, avec l'implantation à Tarbes, depuis 1961, du [[1er régiment de hussards parachutistes|Modèle:1er régiment de Hussards Parachutistes]], l'unique régiment français de cavalerie parachutiste, composé de blindés légers aérotransportables.

C'est aussi à Tarbes, le 2 octobre 1945<ref>Modèle:Lien web</ref>, que le brigadier Mike Calvert, commandant les commandos SAS ("Special Air Service") britanniques , transfère les Modèle:3e et Modèle:4e régiments SAS, composés de volontaires français libres, de l'armée britannique à l'armée française. En effet, contrairement à une idée répandue, à la fin de la guerre, les SAS, sous commandement britannique, comprenaient deux régiments britanniques (Modèle:1er et Modèle:2e SAS), deux régiments français (Modèle:3e et Modèle:4e SAS) et un régiment belge (Modèle:5e SAS). À noter que sur les 215 premiers engagés SAS français en 1942, seuls 22 étaient encore vivants en 1945. Le Modèle:3e SAS devint le Modèle:3e régiment de chasseurs parachutistes (Modèle:3e RCP)<ref>Modèle:Permalien</ref> , le Modèle:4e SAS devint le Modèle:2e régiment de chasseurs parachutistes (Modèle:2e RCP)<ref>Modèle:Permalien</ref>.

Fichier:Mémorial des Martyrs de la Déportation (Tarbes) 3.jpg
Mémorial des martyrs de la déportation.
Fichier:Monument aux morts des Hautes-Pyrénées 1.jpg
Monument aux morts des Hautes-Pyrénées.

La Résistance civile fait également partie du quotidien de la ville de Tarbes, à qui la Croix de guerre a été attribuée. D'ailleurs, Maurice Trélut, maire "modéré" de Tarbes de 1935 à 1944, est mort déporté à Buchenwald pour avoir aidé de nombreux juifs, avec la complicité active des religieuses et du directeur de l'hôpital de la ville. Maurice Trélut a été reconnu " juste parmi les nations" par l'État d'Israël. Son nom est gravé sur le mur d'honneur du mémorial de Yad Vashem.

Après le retour de la paix, l'industrie est diversifiée, et on constate une expansion de la démographie, jusque dans les années 1980. L'Arsenal<ref>Modèle:Permalien</ref> a progressivement disparu au fil des restructurations liées, notamment, à la disparition de l'URSS.

Cependant, Tarbes demeure une ville à fort caractère militaire avec la présence de ses deux régiments parachutistes: le [[1er régiment de hussards parachutistes|Modèle:1er Régiment de Hussards Parachutistes (Modèle:1er RHP)]] et le [[35e régiment d'artillerie parachutiste|Modèle:35e Régiment d'Artillerie Parachutiste (Modèle:35e RAP).]] régulièrement sollicités pour participer aux opérations extérieures (Opex).

Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

Aujourd'hui, Tarbes est devenue une ville universitaire dont l'activité principale relève désormais du secteur tertiaire. En effet, l'Arsenal, principale activité industrielle de la ville (Modèle:Nombre en 1987), a été fermé dans le cadre de la restructuration de l'industrie de défense. Le site a fait l'objet d'un réaménagement pour accueillir des activités industrielles et tertiaires. La ville a été fortement affectée, sur les plans économique et démographique, par cette fermeture non compensée par l'État.

Politique et administration

Fichier:Tribunal de grande instance de Tarbes (Hautes-Pyrénées, France).JPG
Tribunal de grande instance de Tarbes.
Fichier:Maison d'arrêt de Tarbes (Hautes-Pyrénées) 1.jpg
Maison d'arrêt.

Tarbes est le chef-lieu du département des Hautes-Pyrénées et concentre divers services publics dont le Tribunal de grand instance, une succursale de la Banque de France, la Chambre de Commerce et d'Industrie locale, la Chambre de métiers et de l'artisanat et des services...

En 2016, la commune de Tarbes a été récompensée par le label « Ville Internet @@@@ »<ref>http://www.villes-internet.net/ville/?tx_icscommunity_pi1%5Btable%5D=tx_icscommunity_group&tx_icscommunity_pi1%5Bgroup%5D=505 Villes Internet> Tarbes.</ref> pour la Modèle:6e fois consécutive.

Tendances politiques et résultats

Modèle:Article connexe L’histoire municipale de Tarbes sous la [[Cinquième République (France)|{{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ve{{#if:|  }} }} République]] a été marquée par plusieurs alternances.

À l’occasion des élections de 1959, le maire socialiste sortant, Marcel Billières, est victime de la bonne tenue du Parti communiste mais surtout de la poussée de la droite, qui parvient à s’emparer de la mairie avec l’élection de Paul Boyrie. Ce dernier est confortablement réélu en 1965 (58,4 %) et 1971 (55,2 %). Mais son décès brutal à quelques semaines des élections de 1977 sème la confusion dans les rangs de la majorité sortante.

Lors de ce scrutin, le communiste Paul Chastellain l’emporte dès le premier tour (50,6 %), à la tête d’une liste d’union de la gauche. Il est réélu en 1983 avec 54,8 % face à Jean Journé (UDF-RPR), mais est emporté par une crise cardiaque pendant le dépouillement. Raymond Erraçarret (PCF) est alors élu maire par le conseil municipal. Le nouvel édile retrouve son fauteuil en 1989 avec 54,1 % face à Jean Journé (UDF-RPR), puis de façon plus étriquée (51,3 %) en 1995, face à Gérard Trémège (UDF-RPR).

2001 marque alors une nouvelle alternance : Gérard Trémège, après une fusion des listes DL-UDF et RPR, devient maire avec 50,1 % des suffrages (Modèle:Nobr d'avance) ; il est réélu le Modèle:Date- sous l'étiquette UMP-Parti Radical « valoisien » avec cette fois-ci 54,3 % (Modèle:Nombre d'avance sur Jean Glavany) et de nouveau le Modèle:Date-, cette fois-ci dès le premier tour avec 52,95 % des suffrages.

Liste des maires

Modèle:Article détaillé Modèle:Article détaillé Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Cantons

Tarbes est le chef-lieu de trois cantons (ne regroupant que des quartiers de Tarbes), eux-mêmes répartis sur les deux circonscriptions électorales des Hautes-Pyrénées : les cantons I et III dans la première, et le canton II dans la seconde :

Avant le redécoupage cantonal de 2014 en France, Tarbes comprenait deux autres cantons :

Intercommunalité

Modèle:Article détaillé

Depuis le Modèle:Date-, Tarbes a intégré la communauté d'agglomération Tarbes-Lourdes-Pyrénées d'environ Modèle:Nombre, ce qui en fait la Modèle:5e de la région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée.

Jumelages

La ville de Tarbes est jumelée avec les villes de :

Équipements et services publics

Espaces publics

Fichier:Jardin massey tarbes 3.jpg
Jardin Massey.

Tarbes est une ville verte. Avec une surface totale d'espaces verts de Modèle:Nobr, elle permet d'apporter par habitant une surface moyenne de Modèle:Unité d'espaces verts.

Tarbes a obtenu sa quatrième fleur en 2002 dans le cadre du concours des villes et villages fleuris et cherche à conserver cette distinction. Tarbes a également obtenu le Grand-Prix national de fleurissement<ref>Modèle:Lien web.</ref>

Elle s'honore de plusieurs parcs arborés et fleuris.

Jardin Massey

Fichier:Mini ferme du jardin Massey.jpg
Mini-ferme du jardin Massey.

Classé « Jardin remarquable » par le ministère de la Culture, le Jardin Massey couvre plus de Modèle:Nobr et offre une oasis de verdure en plein cœur de la ville. Il abrite de nombreuses variétés d'arbres. Son concepteur, le botaniste Placide Massey, né (1777) et mort (1853) à Tarbes, fut l'intendant des jardins de la Reine Hortense puis le directeur des Parcs de Versailles, Trianon, Sèvres et Saint-Cloud. Le jardin fut légué, ainsi que la grande demeure attenante de style oriental, à la ville de Tarbes par son propriétaire en 1853. Ouvert au public, le jardin abrite des arbres datant des années 1830. On y trouve des essences variées, des conifères et des cèdres. Outre les richesses botaniques, le jardin Massey accueille un musée<ref name="MMT">Modèle:Lien web.</ref>, le cloître de l'abbaye de Saint-Sever-de-Rustan, l'École Supérieure d'Art de Tarbes, une orangerie, un parc animalier, un kiosque à musique. Selon la saison, il est possible de visiter le Jardin Massey en calèche et en petit train. C'est ainsi un espace de détente privilégié voisin de la salle d'exposition du Carmel, de la médiathèque Louis-Aragon et des courts de tennis du parc Berrens<ref>Modèle:Lien brisé.</ref>.

Parc des Haras

Le parc des Haras, ancien haras national, créé sous Napoléon en 1806 et racheté par la ville en 2016. Ce parc classé de Modèle:Unité, au centre-ville, comprend un certain nombre de bâtiments rénovés. Une activité équestre y est maintenue. Situé au centre-ville, chaque année en été, il accueille Equestria<ref name="festival equestria">Modèle:Lien web.</ref>, le festival de la création équestre.

Parc Bel-Air

Fichier:Parc Bel-Air de Tarbes (Hautes-Pyrénées) 3.jpg
Le parc Bel-Air.

Le parc Bel-Air couvre une surface de Modèle:Unité avec une grande pelouse centrale qui dégage de belles perspectives sur les Pyrénées. Il comprend un plan d'eau alimenté par une belle cascade, des aires de jeux pour enfants, des coins repos équipés de bancs. L'ensemble ponctué d'arbres remarquables, est un lieu de quiétude et de promenade très apprécié des usagers. Au centre du parc Bel Air, trône l'ancien château Delong mieux connu aujourd'hui comme étant « la villa Bel Air », devenue centre de loisir pour enfants. Le parc de la Sellerie (Modèle:Nobr), à l'aspect plus urbain, lui est adossé, séparé par une route<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Parc Paul-Chastellain

Fichier:Parc Paul Chastellain de Tarbes (Hautes-Pyrénées) 1.jpg
Le parc Paul-Chastellain.

Le parc Paul-Chastellain est un parc paysager de Modèle:Unité, créé au milieu du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle avec la villa Fould. Il comprend un plan d'eau alimenté par des cascades et de grandes pelouses qui dégagent de belles perspectives sur la villa. Il est traversé par une belle allée cavalière, plantée de platanes, qui reliait autrefois la villa aux écuries situées au sud du parc. De nombreux arbres et glycines centenaires subsistent. Une aire de jeux pour enfants a été aménagée en lisière du plan d'eau. Le parc renferme le siège administratif du parc national des Pyrénées.

Parc Raymond-Erraçarret

Le parc Raymond-Erraçarret<ref>Modèle:Lien web.</ref> est un espace vert de Modèle:Unité qui unit la zone universitaire aux quartiers Bastillac et Solazur.

Parc des Bois-Blancs

Au sein du quartier de Laubadère, le parc des Bois-Blancs (Modèle:Unité) est, de même, une création contemporaine. Il comprend cinq îlots symbolisant les cinq continents auquel s'ajoute un îlot central servant à accueillir des manifestations. Des espaces voués au jeu et au sport agrémentent la zone consacrée à l'Europe<ref>http://www.legrandtarbes.fr/actus/Apercu-du-futur-Parc-des-Bois-blancs-a-Laubadere/064/0 Site du Grand Tarbes.</ref>.

Divers

Fichier:Statue de Larrey de Tarbes (Hautes-Pyrénées) 1.jpg
La statue de Larrey.

Le long des verdoyantes et arborées allées Maréchal-Leclerc (Modèle:Unité) sont rassemblés divers monuments commémorant les deux guerres mondiales dont la statue équestre du maréchal Foch, né à Tarbes. On y trouve aussi une statue de Dominique-Jean Larrey (1766-1842), né à Beaudéan (Hautes-Pyrénées), à une trentaine de kilomètres de Tarbes. Ce médecin et chirurgien militaire bigourdan, baron d'Empire est le père de la médecine d'urgence. Napoléon le qualifiait dans son testament d' « homme le plus vertueux que j'aie connu »<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le nom de Dominique Larrey est inscrit sur le pilier sud de l'Arc de Triomphe de l'Étoile, à Paris.

Le chemin des berges de l'Adour, encore appelé CaminAdour, constitue un espace de promenade de Modèle:Unité, aménagé, très apprécié des Tarbais. Il est équipé d'un parcours sportif,

Enseignement

Établissements scolaires publics et privés sous-contrat

Écoles maternelles

Pour le premier degré d'éducation, Tarbes possède Modèle:Nobr maternelles : 15 publiques et 4 privées. Modèle:Boîte déroulante/début

Statut Nom Destination Coordonnées Adresse Image
École maternelle École Henri-Wallon Public Modèle:Coord 16 bis boulevard Claude-Debussy
École maternelle École Michelet Public Modèle:Coord 1 ter rue Michelet Fichier:École Maternelle Michelet de Tarbes (Hautes-Pyrénées) 1.jpg
École maternelle École Frédéric-Mistral Public Modèle:Coord Place de-la-Providence Fichier:École Maternelle Frédéric-Mistral de Tarbes (Hautes-Pyrénées) 1.jpg
École maternelle École Louise-Michel Public Modèle:Coord 8 impasse Raymond-Peyrès Fichier:École Maternelle Louise-Michel de Tarbes (Hautes-Pyrénées) 1.jpg
École maternelle École Berthelot Public Modèle:Coord 20 rue de-la-Sède Fichier:École Maternelle Berthelot de Tarbes (Hautes-Pyrénées) 1.jpg
École maternelle École Henri-Duparc Public Modèle:Coord 14 rue Henri-Duparc Fichier:École Maternelle Henri-Duparc de Tarbes (Hautes-Pyrénées) 1.jpg
École maternelle École Anatole-France Public Modèle:Coord rue Tristan-Derème Fichier:École Maternelle Anatole-France de Tarbes (Hautes-Pyrénées) 1.jpg
École maternelle École Henri-IV Public Modèle:Coord 23 rue Charles-Perrault Fichier:École Maternelle Henri-IV de Tarbes (Hautes-Pyrénées) 1.jpg
École maternelle École Jean-de-La Fontaine Public Modèle:Coord 35 rue Massey Fichier:École Maternelle Jean-de-La Fontaine de Tarbes (Hautes-Pyrénées) 1.jpg
École maternelle École Jeanne-Larroque Public Modèle:Coord 22 rue Blaise-Castells Fichier:École Maternelle Jeanne-Larroque de Tarbes (Hautes-Pyrénées) 1.jpg
École maternelle École La Sendère Public Modèle:Coord 7 place Marcel-Biard Fichier:École Maternelle La Sendère de Tarbes (Hautes-Pyrénées) 1.jpg
École maternelle École Perrault-Prévert Public Modèle:Coord 2 rue Jean-Mermoz Fichier:École Maternelle Perrault-Prévert de Tarbes (Hautes-Pyrénées) 1.jpg
École maternelle École Pablo-Neruda Public Modèle:Coord 2 rue Erik Satie
École maternelle École Voltaire Public Modèle:Coord 58 rue Larrey
École maternelle Institution Jeanne-d'Arc Privé Modèle:Coord 15 rue Massey
École maternelle École Saint-Joseph Privé Modèle:Coord 10 rue Cronstadt Fichier:École Maternelle Saint-Joseph de Tarbes (Hautes-Pyrénées) 1.jpg
École maternelle Institution Sainte-Thérèse Privé Modèle:Coord 3 rue des Carmes
École maternelle École Pradeau-La Sède Privé Modèle:Coord 22 rue Gaston-Manent

Modèle:Boîte déroulante/fin

Écoles primaires

Tarbes dispose également de Modèle:Nobr primaires : 12 publiques et 4 privées. Modèle:Boîte déroulante/début

Statut Nom Destination Coordonnées Adresse Image
École primaire École Henri-IV Public Modèle:Coord 23 rue Charles-Perrault Fichier:École Primaire Henri-IV de Tarbes (Hautes-Pyrénées) 1.jpg
École primaire École Claude-Debussy Public Modèle:Coord 16 bis boulevard Claude-Debussy
École primaire École Jean-Macé Public Modèle:Coord 1 place Germain-Claverie
École primaire École Paul-Bert Public Modèle:Coord 1 Rue Michelet Fichier:École Primaire Paul-Bert de Tarbes (Hautes-Pyrénées) 1.jpg
École primaire École Victor-Hugo Public Modèle:Coord 7 rue de l'Ayguerote Fichier:École Primaire Victor-Hugo de Tarbes (Hautes-Pyrénées) 1.jpg
École primaire École Jean-Jacques-Rousseau Public Modèle:Coord Place de la Providence Fichier:École Primaire Jean-Jacques-Rousseau de Tarbes (Hautes-Pyrénées) 1.jpg
École primaire École Jean-Moulin Public Modèle:Coord 7 bis rue Henri-Duparc Fichier:École Primaire Jean-Moulin de Tarbes (Hautes-Pyrénées) 1.jpg
École primaire École La Sendère Public Modèle:Coord 7 place Marcel-Biard Fichier:École Primaire La Sendère de Tarbes (Hautes-Pyrénées) 1.jpg
École primaire École Théophile-Gautier Public Modèle:Coord 43 rue Massey Fichier:École Primaire Théophile-Gautier de Tarbes (Hautes-Pyrénées) 1.jpg
École primaire École Voltaire Public Modèle:Coord 58 rue Larrey Fichier:École Primaire Voltaire de Tarbes (Hautes-Pyrénées) 1.jpg
École primaire École Jules-Verne Public Modèle:Coord 5 boulevard Garigliano
École primaire École Ormeau-Figarol Public Modèle:Coord 11 rue Joliot-Curie Fichier:École Primaire Ormeau-Figarol de Tarbes (Hautes-Pyrénées) 1.jpg
École primaire Institution Jeanne-d'Arc Privé Modèle:Coord 15 rue Massey Fichier:École Primaire Jeanne-d’Arc de Tarbes (Hautes-Pyrénées) 1.jpg
École primaire École Saint-Joseph Privé Modèle:Coord 10 rue Cronstadt Fichier:École Maternelle Saint-Joseph de Tarbes (Hautes-Pyrénées) 1.jpg
École primaire Institution Sainte-Thérèse Privé Modèle:Coord 3 rue des Carmes
École primaire École Pradeau-La Sède Privé Modèle:Coord 22 rue Gaston Manent

Modèle:Boîte déroulante/fin

Collèges

Pour l'enseignement secondaire, Tarbes dénombre 6 collèges publics ainsi que 2 collèges privés. Modèle:Boîte déroulante/début

Statut Nom Destination Coordonnées Adresse Image
Collège Collège Desaix Public Modèle:Coord 28 bis rue Desaix Fichier:Collège Desaix de Tarbes (Hautes-Pyrénées) 1.jpg
Collège Collège Massey Public Modèle:Coord 53 rue Massey Fichier:Collège Massey de Tarbes (Hautes-Pyrénées) 1.jpg
Collège Collège Paul-Éluard Public Modèle:Coord 2 rue Maryse-Bastié Fichier:Collège Paul-Éluard de Tarbes (Hautes-Pyrénées) 1.jpg
Collège Collège Pyrénées Public Modèle:Coord 6 boulevard du Maréchal-Juin Fichier:Collège Pyrénées de Tarbes (Hautes-Pyrénées) 1.jpg
Collège Collège Victor-Hugo Public Modèle:Coord 5 chemin de l’Hippodrome Fichier:Collège Victor-Hugo de Tarbes (Hautes-Pyrénées) 1.jpg
Collège Collège Voltaire Public Modèle:Coord 1 rue Alfred-Kastler Fichier:Collège Voltaire de Tarbes (Hautes-Pyrénées) 1.jpg
Collège Institution Jeanne-d’Arc Privé Modèle:Coord 15 rue Massey Fichier:Collège Jeanne-d’Arc de Tarbes (Hautes-Pyrénées) 1.jpg
Collège Collège Pradeau-La Sède Privé Modèle:Coord 22 rue Gaston-Manent Fichier:Collège Pradeau-La Sède de Tarbes (Hautes-Pyrénées) 1.jpg

Modèle:Boîte déroulante/fin

Lycées

Le second cycle du second degré est assuré par 6 lycées publics et 4 lycées privés. Modèle:Boîte déroulante/début

Statut Nom Destination Coordonnées Adresse Image
Lycée Lycée Marie-Curie Public Modèle:Coord 4 rue Georges-Ledormeur Fichier:Lycée Marie-Curie de Tarbes (Hautes-Pyrénées) 1.jpg
Lycée Lycée Théophile-Gautier Public Modèle:Coord 15 rue Abbé-Torné Fichier:Lycée Théophile-Gautier de Tarbes (Hautes-Pyrénées) 1.jpg
Lycée Lycée Adriana Public Modèle:Coord 59 bis avenue du Pouey
Lycée Lycée Reffye Public Modèle:Coord 76 avenue Maréchal-Joffre Fichier:Lycée Reffye de Tarbes (Hautes-Pyrénées) 1.jpg
Lycée Lycée Jean-Dupuy Public Modèle:Coord 14 rue Gaston-Dreyt Fichier:Lycée Jean-Dupuy de Tarbes (Hautes-Pyrénées) 1.jpg
Lycée Lycée Lautréamont Public Modèle:Coord 2 rue Jacques-Duclos Fichier:Lycée Lautréamont de Tarbes (Hautes-Pyrénées) 1.jpg
Lycée Institution Jeanne-d’Arc Privé Modèle:Coord 15 rue Massey
Lycée Lycée Pradeau-La Sède Privé Modèle:Coord 22 rue Gaston-Manent
Lycée Lycée Saint-Vincent-de-Paul Privé Modèle:Coord 7 rue Saint-Vincent-de-Paul
Lycée Lycée Saint-Pierre Privé Modèle:Coord 4 avenue d'Azereix Fichier:Lycée Saint-Pierre de Tarbes (Hautes-Pyrénées) 1.jpg

Modèle:Boîte déroulante/fin

Établissements d'enseignement supérieur - Pôle universitaire

Tarbes dispose d'un important pôle universitaire<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Outre les nombreuses offres débouchant sur un brevet de technicien supérieur (BTS), et les classes préparatoires aux grandes écoles (CPGE) proposées par les lycées publics et privés, Tarbes accueille plusieurs établissements d'enseignement supérieur, situés pour la plupart sur le campus implanté face aux Pyrénées. Compte tenu de sa situation géographique, à la frontière de deux régions, le pôle universitaire tarbais est lié, à la fois, à l'académie de Bordeaux car il est partie intégrante de l'université de Pau et des pays de l'Adour, et à l'académie de Toulouse puisqu'il comprend aussi des établissements rattachés aux universités : Toulouse-II-Jean-Jaurès (Anciennement Toulouse-Mirail) et Toulouse-III-Paul-Sabatier. Au total, la ville accueille environ Modèle:Nombre<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

École nationale d'ingénieurs de Tarbes

Modèle:Article détaillé

Fichier:École nationale d'ingénieurs de Tarbes 2.jpg
Entrée et bâtiment administratif de l'INP-ENIT.

L'École nationale d'ingénieurs de Tarbes (ENIT)<ref>Modèle:Lien web.</ref> est associée à l'institut national polytechnique de Toulouse. Son projet pédagogique vise à former des ingénieurs polyvalents, du génie mécanique au génie industriel, de forte culture et ouverture, capables de concevoir, de mettre en œuvre et de conduire des systèmes industriels et des équipements de production, dans le respect de l'environnement et de la sécurité<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

École de gestion et de commerce de Tarbes

L'École de gestion et de commerce est un établissement géré par la chambre de commerce et d'industrie de Tarbes. Elle délivre des bachelors en « Business and Management »<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Université Toulouse III-Paul-Sabatier

Modèle:Article détaillé

Différentes structures et formations implantées à Tarbes sont rattachées à l'Université Toulouse-III-Paul-Sabatier (UPS).

Ainsi, l'institut universitaire de technologie de Tarbes, interne à l'UPS, dispense : 6 BUT (bachelor universitaire de technologie) et 12 licences professionnelles dans les domaines du multimédia, de la mécanique, du développement durable, des systèmes électriques, du commerce, de la gestion et du tourisme. Une licence de physique (bac+3) et un master en entrepreneuriat (bac+5) de l'université Toulouse-III-Paul-Sabatier sont également délocalisés à l'IUT de Tarbes<ref name=":2">Modèle:Ouvrage</ref>,<ref name=":4">Modèle:Lien web</ref>.

Institut national supérieur du professorat et de l'éducation

L'institut national supérieur du professorat et de l'éducation (INSPÉ) Toulouse Occitanie-Pyrénées est un établissement, rattaché à l'université Toulouse-Jean-Jaurès, qui forme des enseignants du primaire (master mention métiers de l'enseignement, de l'éducation et de la formation Modèle:1er degré). Une mention bilingue occitan est aussi proposée<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Université de Pau et des pays de l’Adour (UPPA)

Modèle:Article détaillé

L'université de Pau et des pays de l'Adour (UPPA) a délocalisé son département de Sciences et Techniques des Activités Physiques et Sportives (STAPS) à Tarbes<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle propose quatre parcours de licences mention STAPS, un master mention STAPS, un master mention métiers de l'enseignement, de l'éducation et de la formation Modèle:2d degré en éducation physique et sportive ainsi qu'un diplôme d'université renforcement préparation CAPEPS<ref>Modèle:Lien web</ref>.

École supérieure d’art des Pyrénées - Tarbes

Modèle:Article détailléNée de la réunion des écoles d'art de Tarbes et Pau, l’École supérieure d'art et de design des Pyrénées est un établissement public d’enseignement supérieur artistique dont les études conduisent à des diplômes nationaux. À Tarbes, sont proposés : le certificat d'études d'arts plastiques (CEAP) en Modèle:Nobr, le diplôme national d'arts (DNA) de niveau licence et le diplôme national supérieur d'expression plastique (DNSEP), mention art (céramique) de niveau master<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Institut de formation en pédagogie musicale (IFPM) et école Kaddouch & Music

Créé en 1998, à l’initiative du préfet Jean Dussourd et encouragé par monsieur Joël-René Dupont, inspecteur d'académie, cet établissement privé<ref>Modèle:Lien web.</ref> collabore avec de nombreuses universités et écoles prestigieuses en France et dans le monde (Université d'Oxford, Université Paris Descartes, ENS, Neurospin, INSERM, Royal Academy de Stockholm, Sibélius Academy d'Helsinki, Conservatoire de Lausanne, Neuchâtel, Genève...). On y enseigne la pédagogie de Robert Kaddouch auprès des professeurs du monde entier, et on y dispense un enseignement musical à des élèves de tout âge dont les plus jeunes sont des bébés. L'initiateur, Robert Kaddouch, a été proclamé citoyen d'honneur<ref name="kaddouch">Modèle:Lien web.</ref>, par le maire, Gérard Trémège, le Modèle:Date-, puis chevalier des Arts et Lettres le Modèle:Date-. L'école Kaddouch & Music Tarbes a fait naître la pédagogie Kaddouch, elle est l'école-mère avant celle de Pau et Paris, modèle des cours Kaddouch Clermont Ferrand, Toulouse, Neuchâtel (Suisse).

Recherche

La recherche au sein du pôle universitaire tarbais s'articule autour de diverses domaines : mécanique, matériaux et énergétique, électronique, automatique et systèmes, psychologie et sociologie, information-communication, économie-gestion, activité physique et sport, santé publique, informatique et mathématiques, Univers et environnement. Cette activité se manifeste dans ses 13 laboratoires (ou antennes) et ses 8 plates-formes de recherche, comprenant près de 120 enseignants-chercheurs et chercheurs, ainsi qu'environ 80 doctorants<ref>Modèle:Ouvrage.</ref> :

Laboratoires :
  • CERTOP : centre d'étude et de recherche travail, organisation, pouvoir ;
  • ICA : institut Clément Ader ;
  • IRIT : institut de recherche en informatique de Toulouse ;
  • IMT : institut de mathématiques de Toulouse ;
  • LABCEEM : laboratoire contraintes électromagnétiques et électronique mobile (antenne de SIAME) ;
  • LaTEP : laboratoire de thermique, énergétique et procédés ;
  • LERASS : laboratoire d'études et de recherches appliquées en sciences sociales ;
  • LGCO : laboratoire gouvernance et contrôle organisationnel ;
  • LGP : laboratoire génie de production ;
  • LiSST-CIEU : laboratoire interdisciplinaire solidarités, sociétés, territoires — centre interdisciplinaire d'études urbaines ;
  • LMDC : laboratoire matériaux et durabilité des constructions ;
  • MEPS : mouvement, équilibre, performance et santé ;
  • OMP : observatoire Midi-Pyrénées ;
Plates-formes :
  • Agromat, halle de transfert en agromatériaux ;
  • CEF3D : centre d'étude en fabrication additive métallique ;
  • CIMMES : centre d'ingénierie en mécanique, matériaux et ingénierie du collage, surfaces ;
  • CRTCI : centre de ressources et de transfert sur les composites innovants ;
  • CRC-IDCE : centre de ressources et de compétences information, décision et communication en entreprises ;
  • Métallicadour : centre de transfert de technologies en fabrication haute performance, usinage, robotisation, FSW et autres techniques d'assemblages ;
  • PRIMES : plate-forme de recherche et d'innovation en mécatronique, énergie et systèmes ;
  • Technacol : centre de ressources technologiques spécialisé dans l'ingénierie du collage ;

Toutes ces unités sont regroupées par la fédération « structure interdisciplinaire de recherche sur les systèmes, les instruments et leurs usages » (FED SIRYUS - 4144), créée par l'ENIT et le LGP. Sa vocation est de promouvoir les recherches interdisciplinaires<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Santé

Fichier:Centre Hospitalier de Bigorre (La Gespe) 1.jpg
Le centre hospitalier de La Gespe.

La ville dispose également d'un centre hospitalier réparti sur trois sites qui forment le Centre hospitalier intercommunal de Tarbes - Vic-en-Bigorre (CHIC-TV). Le Modèle:Date-, l’établissement change de nom et devient le centre hospitalier de Bigorre (CHB) : un site de court séjour (« La Gespe » à Tarbes) et deux sites gériatriques (« L'Ayguerote » à Tarbes et Vic-en-Bigorre). Le projet du nouvel hôpital ultramoderne est en attente. La polyclinique de l'Ormeau en collaboration avec la clinique Pyrénées-Bigorre constitue le deuxième pôle de santé de Tarbes. Chaque année en octobre, sont organisées les Journées pyrénéennes de gynécologie, de reconnaissance mondiale.

Culture

Musées et salles d'exposition

Le musée Massey<ref name="MMT" /> est situé, à l'intérieur du Jardin Massey, dans une construction caractéristique de style byzantin et mauresque, copie d'un palais du Caire, dominé par une tour observatoire sur les Pyrénées et le Pic du Midi de Bigorre. Le musée Massey est principalement connu dans le monde pour abriter le Musée International des Hussards, une collection exceptionnelle de Modèle:Unité. Il présente également une riche collection des Beaux Arts.

La salle d'exposition du Carmel lui est complémentaire. Ce lieu de sensibilisation à l'art est un ancien couvent de carmélites datant de 1870.

Le musée de la Déportation et de la Résistance, inauguré en 1989, est né de la volonté d'associations d'anciens déportés et d'anciens résistants. On peut trouver sur les allées du Général-Leclerc le Monument aux morts des Hautes-Pyrénées et juste en face depuis 1964 le Mémorial des Martyrs de la Déportation.

L'espace muséographique de la Maison du Parc national des Pyrénées évoque la faune et la flore locale.

Au Parc des haras, sont exposés des selles anciennes, des voitures d'attelage, un atelier de maréchal-ferrant...

Dans la maison natale du maréchal Foch, ont été reconstitués sa chambre, son alcôve et son bureau.. On y conserve des objets souvenirs d'origine personnelle et militaire...


Salles de spectacles

Fichier:Théâtre des Nouveautés de Tarbes (Hautes-Pyrénées) 1.jpg
Le Théâtre des Nouveautés.
Fichier:Salle La Gespe de Tarbes (Hautes-Pyrénées) 1.jpg
La Salle musicale de La Gespe.
Fichier:Théâtre Le Pari de Tarbes (Hautes-Pyrénées) 2.jpg
Le théâtre Le Pari.
Fichier:Médiathèque Louis Aragon de Tarbes (Hautes-Pyrénées) 1.jpg
La médiathèque Louis-Aragon.

Tarbes a une vie artistique et culturelle riche. Elle accueille plusieurs structures dédiées à la scène.

Le Théâtre des Nouveautés

Le Théâtre des Nouveautés<ref>Modèle:Lien web.</ref>, construit en 1885, est un théâtre à l'italienne, un écrin caractérisé par une séparation distincte entre la scène classique (Modèle:Nobr de longueur et 10 de profondeur) et la salle. La fosse d’orchestre et le parterre en forme de rampe permettent une visibilité et une acoustique parfaites. Les Modèle:Nobr en encorbellement sont en forme de fer à cheval. La capacité globale d’environ Modèle:Nobr en fait une salle conviviale qui donne une proximité entre la scène et le public. La façade et la salle associent des pilastres, des colonnes, des mascarons, des guirlandes de fleurs, des frises grecques qui en font un lieu chargé d’histoire. Le plafond en voûte de la salle de spectacle et la toiture ont été entièrement restaurés en 2009. Dès lors, c’est une fresque représentant Bacchus qui vient parfaire le plafond. Le Théâtre des Nouveautés est aujourd'hui un théâtre municipal.

La Gespe

La Gespe<ref>Modèle:Lien web.</ref> est une salle, construite en 1961, à qui le Ministère de la culture a attribué, en 2000, le label Scène De Musiques Actuelles (SMAC). La salle de spectacle a une capacité de Modèle:Nombre dont Modèle:Nobr assises en balcon.

Le Pari

Le Pari<ref>Modèle:Lien web.</ref> est destiné exclusivement à la création contemporaine et aux spectacles vivants. Il accueille des artistes ou groupes d’artistes exprimant tous les aspects de la création (danse, musique, théâtre). Le Pari est situé en plein centre-ville et se présente comme un ensemble de trois salles (Modèle:Nobr, Modèle:Nobr et, pour la salle de répétition, Modèle:Nobr).

Le Parvis

Le Parvis<ref>Modèle:Lien web.</ref>, Modèle:Nobr, Modèle:Unité de plateau, est l'une des Modèle:Nobr labellisées par le Ministère de la culture. Il est une structure pluridisciplinaire alliant musique, danse et cinéma, situé en périphérie, au cœur du centre commercial Le Méridien.

Le Méga CGR
Fichier:Méga CGR de Tarbes (Hautes-Pyrénées) 1.jpg
Le Méga CGR.

Le Méga CGR de Tarbes<ref>Modèle:Lien web.</ref> est un cinéma comprenant onze salles « tout-numérique et 3D ». Ouvert depuis 2010, il est situé dans le nouveau quartier de l'Arsenal, à proximité du centre-ville.

Culture musicale

Tarbes a une tradition musicale ancienne.

Quelques formations rayonnent bien au-delà du département :

Par ailleurs, différentes écoles de musique s'offrent aux tarbais : notamment le conservatoire départemental Henri Duparc<ref>Modèle:Lien web.</ref>, l'école de musique Jack-Le Bourgeois<ref>Modèle:Lien web.</ref>, l'école Kaddouch<ref>Modèle:Lien web.</ref> (Robert Kaddouch est un concertiste et pédagogue tarbais, il est l'initiateur de la « pédagogie Kaddouch »<ref>Modèle:Lien web.</ref>)Modèle:Etc.

De nombreux orchestres et formations, de tous styles, animent la vie culturelle de la cité.

Un musée du disque vinyle, le dernier disquaire des Pyrénées situé au centre-ville dans la galerie Alhambra, 43 rue Maréchal-Foch. Une exposition permanente d’œuvres basés sur le disque vinyle, des pièces uniques à découvrir.

Vie militaire

Fichier:Insigne du 35e régiment d'artillerie parachutiste.png
Insigne du Modèle:35e régiment d'artillerie parachutiste.

Trois régiments sont localisés à Tarbes lorsque la Première Guerre mondiale éclate : le [[14e régiment d'artillerie|Modèle:14e régiment d’artillerie]] basé au quartier Soult, le Modèle:12e régiment d’infanterie installé au sein de la caserne Reffye ainsi que le [[10e régiment de hussards|Modèle:10e Hussard]] situé au quartier Larrey. À ces corps militaires, s’ajoute la présence du haras national implanté dans le quartier de Foix-Lescun et sur le passage du Pradeau depuis son transfert d’Auch en 1852, de l’École d’artillerie, des services du Génie ainsi que de la sous-intendance et des fourrages<ref>Archives départementales des Hautes-Pyrénées. Les Hautes-Pyrénées dans la Grande Guerre</ref>.

  • Unités militaires ayant été en garnison à Tarbes :
    • [[53e régiment d'infanterie|Modèle:53e régiment d'infanterie]], 1871 - 1907
    • [[14e régiment d'artillerie|Modèle:14e régiment d'artillerie de Campagne]], (avant) 1906 - 1914
    • [[24e régiment d'artillerie|Modèle:24e régiment d'artillerie]], 1906
    • [[24e régiment d'artillerie|Modèle:24e régiment d'artillerie divisionnaire]], 1939 - 1940
    • [[5e régiment de hussards|Modèle:5e régiment de hussards]], 1838 - 1839
    • [[9e régiment de hussards|Modèle:9e régiment de hussards]], 1851 - 1856
    • Fichier:Insigne régimentaire du 1er régiment de hussards parachutistes.jpg
      Insigne régimentaire du Modèle:1er régiment de hussards parachutistes.
      [[1er régiment de hussards parachutistes|Modèle:1er régiment de hussards]], 1858
    • [[2e régiment de hussards|Modèle:2e régiment de hussards]], 1859 - 1861
    • [[10e régiment de hussards|Modèle:10e régiment de hussards]], 1901 - 1919
    • [[2e régiment de hussards|Modèle:2e régiment de hussards]], 1919 - 1940
    • [[2e régiment de hussards|Modèle:2e régiment de hussards]], 1940 - 1942
    • [[2e régiment de hussards|Modèle:2e régiment de hussards]], 1944 - 1945
    • [[3e compagnie de cavaliers de remonte|Modèle:3e compagnie de cavaliers de remonte]], (avant) 1906 - 1914
    • Modèle:541e groupe vétérinaire
  • Unités militaires actuellement en garnison à Tarbes :
    • [[35e régiment d'artillerie parachutiste|Modèle:35e Régiment d'Artillerie Parachutiste]]<ref>Modèle:Lien web.</ref>, depuis 1947, situé au quartier Soult.
    • [[1er régiment de hussards parachutistes|Modèle:1er Régiment de Hussards Parachutistes]]<ref>Modèle:Lien web.</ref> depuis 1953, situé au quartier Larrey. Il est à noter que le béret rouge du Modèle:1er Régiment de Hussards Parachutistes se particularise par une "hongroise" (signe distinctif des hussards qui symbolise les rangées de brandebourgs en fil blanc disposées sur le dolman et la pelisse de l'uniforme des hussards de l'Ancien Régime) tissée, placée sous l'insigne métallique des parachutistes métropolitains. Le Modèle:1er RHP est la seule unité parachutiste française à porter une hongroise.
Entrée du quartier Soult - Modèle:35e RAP

Population et société

Démographie

Évolution démographique

Modèle:Population de France/section Depuis 2016, Tarbes regagne des habitants<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 38,1 %, soit un taux supérieur à la moyenne départementale (29,0 %). À l'inverse, le taux de personnes d'un âge supérieur à Modèle:Nobr (29,6 %) est inférieur au taux départemental (34,2 %).

En 2018, la commune comptait Modèle:Unité pour Modèle:Unité, soit un taux de 52,45 % de femmes, supérieur au taux départemental (51,91 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit :

Modèle:Pyramide des âges communes de France

Autres approches démographiques

Le Pôle urbain de Tarbes, composé de Modèle:Nobr, réunissait Modèle:Nombre en 2018, en hausse de 0,6% par rapport à 2013.

L'Aire d'attraction urbaine de Tarbes (153 communes) comptait Modèle:Nombre en 2018, en hausse de 0,5% par rapport à 2013.

La communauté d'agglomération Tarbes-Lourdes-Pyrénées, créée le Modèle:Date-, comprend Modèle:Nobr réunissant près de Modèle:Nombre en 2018 sur une surface de Modèle:Nombre, ce qui en fait la Modèle:5e de la Région Occitanie.

L'arrondissement de Tarbes (225 communes) réunit une population totale de Modèle:Nombre.

Manifestations culturelles et festivités

Origine

Tarbes a une vie associative très dynamique. Tout au long de l'année, elle propose diverses manifestations organisées principalement par les associations locales et/ou la ville.

Trois manifestations ont acquis une réputation internationale:

  • Equestria<ref name="festivalequestria.com">Modèle:Lien web.</ref>: magie du cheval et des arts. Il accueille plus de Modèle:Unité en juillet, dans le cadre de l'ancien Haras National, aujourd'hui propriété de la ville.
  • Tarbes en Tango<ref>Modèle:Lien web.</ref>: festival international de tango argentin. L'une des plus grandes manifestations européennes centrées sur le Tango. Elle attire des milliers de festivaliers, au mois d'août.
  • Les Petits As - Le Mondial Lacoste<ref>Modèle:Lien web.</ref>: tournoi de tennis le plus important au monde (championnat du monde officieux) pour les jeunes filles et garçons de 12-Modèle:Nobr. Il se déroule à Tarbes depuis sa création en 1982 (janvier-février). Un tournoi de présélection (USA Playsoff) est organisé en Floride, aux États-Unis, depuis 2017<ref>Modèle:Article.</ref>.

Janvier

Février

  • fête foraine
  • salon des peintres cheminots
  • tournoi féminin de pelote basque
  • fête du timbre

Mars

  • journée internationale des droits des femmes
  • journées de la langue française
  • Salon Agricole<ref>Modèle:Lien web.</ref>
  • les nautiques de Tarbes
  • journée de la courtoisie sur la route
  • gala des arts martiaux

Avril

  • journée Jobs d'été
  • semaine du développement durable
  • Disquaire Day
  • semaine des saveurs
  • la nuit des Rocktambules
  • semaine occitane
  • salon de la voiture d'occasion
  • salon de l'immobilier et des énergies renouvelables
  • festival BD
  • journée nationale du Souvenir

Mai

  • journées européennes du solaire
  • festival Danceroots
  • forum des associations
  • Mai du Livre
  • fête des voisins
  • festival de culture urbaine
  • fête du jeu
  • baptême et rencontres de Capoeira

Juin

  • festival « culture des îles »
  • Tarba en Canta : festival international de polyphonies<ref>Modèle:Lien web.</ref>
  • cérémonies des 8 et Modèle:Date-
  • salon national de la philatélie
  • Fêtes de Tarbes<ref>Modèle:Lien web.</ref>
  • les Portes Ouvertes du Modèle:35e RAP
  • fête de la Musique
  • salon Pyrénées Passions
  • salon des antiquaires
  • meeting de natation
  • concours d'attelage national

Juillet

  • Equestria : magie du cheval et des arts<ref name="festivalequestria.com"/>
  • marché de nuit
  • cérémonie du Modèle:Date-
  • nuit des étoiles

Août

  • Tarbes en Tango : festival international de tango argentin<ref>Modèle:Lien web.</ref>
  • cérémonie de la libération de la ville
  • la « vuelta » (le Tour des Pyrénées)
  • marché de nuit.

Septembre

  • festival rockabilly tarbes 65
  • festival international de musique militaire,
  • journée de la moto
  • fête du sport en famille
  • salon des Arts et de la Décoration
  • Vital'Sport
  • slalom poursuite auto-sport
  • Quinqua's Cup
  • journées du patrimoine
  • journée de festivité Association Avenue de la Marne
  • coupe de parachutisme
  • salon Agro-Sud Industrie
  • journée nationale d'hommage aux harkis
  • exposition canine international
  • Terro'Art : rencontre des arts et de la gastronomie<ref>Modèle:Lien web.</ref>
  • tournoi des Chiffres et des Lettres
  • Convention de jeux de rôle de l'association des Terres D'ouest

Octobre

  • journées pyrénéennes de gynécologie « Infogyn »
  • journée des Dys
  • salon de l'Éducation
  • foire de Tarbes
  • fête de Sainte-Thérèse
  • semaine d'éducation et de lutte contre le racisme et les discriminations
  • semaine mondiale pour l'allaitement maternel
  • salon « rendez-vous pour l'emploi »
  • tournoi des Cimes

Novembre

  • festival ibéro-andalou de Tarbes et de la Bigorre
  • foire des hobbies
  • semaine de la mandoline
  • semaine de la solidarité internationale
  • salon de la nature et des écosystèmes
  • fête du thé
  • fête de la science
  • fête du sport tarbais

Décembre

Sports et loisirs

Clubs

Fichier:Logo TGB-2014.jpg
Logo du Tarbes Gespe Bigorre.

Ville sportive, Tarbes est représentée à haut niveau par :

Équipements

Fichier:Voie verte du CaminAdour (Hautes-Pyrénées) 4.jpg
Le CaminAdour.
  • Palais des sports du quai de l'Adour
  • Stade Maurice-Trélut
  • L’Usine des Sports. Bâtiment couvert de Modèle:Unité permettant de pratiquer toute l'année différents sports d'intérieur et d'extérieur. Il comprend un "Pôle Escalade" qui est parmi les plus grands d’Europe de par sa longueur et permet la pratique simultanée des trois disciplines (vitesse - difficulté - bloc) Il a été choisi comme centre de préparation pour les Jeux Olympiques de Paris 2024 parle COJO. Un "Pôle Athlétisme" avec une piste de Modèle:Unité, 4 couloirs, saut à la perche, saut en longueur, lancer de poids. Un "Pôle Sports Collectifs" composé de 2 terrains multisports (hand-ball, basket-ball, volley-ball, badminton).
  • Maison Régionale de l'Escrime
  • Maison des Arts Martiaux
  • Centre Nautique Paul Boyrie, piscines Michel-Rauner et Tournesol
  • Terrains de tennis du parc Berrens
  • Canoë-kayak
  • Vélodrome du Chêne-Vert
  • Hippodrome de Laloubère
  • Golf Les Tumulus et golf de l'Hippodrome
  • Complexe de Pelote Basque<ref name="sport">Modèle:Lien web.</ref>
  • Boulodrome couvert avec tribunes<ref name="sport"/>
  • Skate parc de la Bourse du travail
  • Parcours sportif : voie verte du CaminAdour
  • Stade Jules-Soulé

Manifestations sportives

Parmi les nombreuses manifestations et tournois organisés par les clubs locaux ou régionaux, le tournoi international de tennis : Les Petits As - Le Mondial Lacoste, émerge comme le championnat du monde officieux des 12-Modèle:Nobr. Il est le plus important au monde dans cette catégorie d’âge, et a lieu chaque année à Tarbes depuis sa création en 1982.

Médias

Presse écrite

Le groupe La Dépêche du Midi dispose d'une édition quotidienne locale ainsi que d'une seconde édition comparable sous la marque La Nouvelle République des Pyrénées. Cette dernière ne parait pas le dimanche contrairement à la première qui parait tous les jours.

Le groupe Sogemedia édite l'hebdomadaire La Semaine des Pyrénées. Une version de l'hebdomadaire Le Petit Journal est également disponible dans le département.

Radio

Les ondes FM comptent plusieurs radios locales ayant leurs locaux dans l'agglomération : Ràdio País, Radio Présence, Atomic.

D'autres radios de la région diffusent des bulletins d'information de proximité telle que 100 % Radio et Radio Inside.

Certaines radios nationales ont encore des studios dans la cité telle que Fun Radio, NRJ.

Internet

Plusieurs portails Web à rayonnement local sont basés à Tarbes tel que Bigorre.org<ref>bigorre.org.</ref>.

Il existe encore plusieurs sites d'information (webzines) ayant parfois leurs propres web TVs tel que Tarbesinfo.fr.

Économie

Revenus

En 2018, la commune compte Modèle:Unité fiscaux<ref group=Note>Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.</ref>, regroupant Modèle:Nombre. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de Modèle:Unité<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> (Modèle:Unité dans le département<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>). 38 % des ménages fiscaux sont imposés<ref group=Note>La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.</ref> (44,4 % dans le département).

Emploi

Modèle:Tableau En 2018, la population âgée de Modèle:Unité s'élève à Modèle:Nombre, parmi lesquelles on compte 65,6 % d'actifs (51,6 % ayant un emploi et 14 % de chômeurs) et 34,4 % d'inactifs<ref group=Note>Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.</ref>,<ref name=EmpT1C group=I />. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des Modèle:Nobr est supérieur à celui de la France et du département.

La commune est la commune-centre de l'aire d'attraction de Tarbes<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Elle compte Modèle:Unité en 2018, contre 26 722 en 2013 et 28 156 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 14 152, soit un indicateur de concentration d'emploi de 195,6 % et un taux d'activité parmi les Modèle:Nobr ou plus de 48,6 %<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Sur ces 14 152 actifs de Modèle:Nobr ou plus ayant un emploi, 9 270 travaillent dans la commune, soit 66 % des habitants<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Pour se rendre au travail, 73,8 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3,8 % les transports en commun, 17,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.

Activités

Modèle:Article détaillé

Située au pied des Pyrénées, à l'extrême sud-ouest de la région Occitanie et à la frontière avec la Nouvelle-Aquitaine, sur l'axe Atlantique-Méditerranée, Tarbes est donc à l'écart de la sphère d'influence économique des grandes métropoles régionales : Toulouse, Bordeaux et Montpellier.

En effet, plus éloignée de Toulouse (Modèle:Unité par l'autoroute ou le chemin de fer) et Montpellier (Modèle:Unité) que ne le sont la plupart des autres villes moyennes d'Occitanie, elle bénéficie très peu du dynamisme de la métropole toulousaine, contrairement aux autres villes bien plus proches de la capitale régionale, notamment MontaubanModèle:Nombre du centre de Toulouse, considérée aujourd'hui comme sa banlieue), Castres (Modèle:Nombre), Auch (Modèle:Nombre), Albi (Modèle:Nombre), Foix (Modèle:Nombre) ou encore Carcassonne (Modèle:Unité).

Proche de la région Nouvelle-Aquitaine, elle est aussi très éloignée de Bordeaux (Modèle:Unité).

Tarbes bénéficie donc très peu ou pas du rayonnement des grandes métropoles économiques régionales, mais elle entretient quelques relations économiques avec Pau et le Béarn, dans la région voisine de Nouvelle-Aquitaine.

Étant donné le contexte général, ces deux villes, traditionnellement concurrentes, sont appelées à collaborer<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref> afin de construire ensemble un véritable pôle économique au pied des Pyrénées.

Il est à noter que la concurrence traditionnelle entre les deux villes est à l'origine d'un emblématique exemple de gaspillage de fonds publics, dénoncé par la Cour des Comptes et de nombreux économistes. Dans les années 1970, le projet d'un grand aéroport international commun, situé au cœur du triangle Tarbes-Lourdes-Pau, fut abandonné, contre toute logique économique, pour des querelles de clochers<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Résultat: aujourd'hui, coexistent difficilement deux aéroports internationaux (Tarbes-Lourdes-Pyrénées et Pau-Pyrénées), situés à une quarantaine de kilomètres l'un de l'autre ! De nos jours, les deux plateformes totalisent plus d'un million de passagers par an, avec un équilibre économique fragilisé par la concurrence. Si le grand aéroport régional, commun aux trois villes, avait été construit, il serait largement bénéficiaire...

Industrie

Fichier:TARMAC and fields (Ossun, Hautes-Pyrénées, France).jpg
TARMAC et les champs avoisinant à Ossun.

Tarbes est la deuxième ville industrielle de l'ancienne région Midi-Pyrénées, malgré la disparition de l'Arsenal (GIAT) et de ses Modèle:Nombre. Aujourd'hui, elle s'illustre en particulier dans le secteur de la construction ferroviaire (avec Alstom : Modèle:Nobr) et dans le domaine de l'aéronautique et du spatial.

Tarbes est, en effet, un site important de l'Aerospace Valley ("Vallée de l'Aérospatiale") avec quelques entreprises de référence, dont Daher-Socata (Modèle:Nombre)<ref>Modèle:Article.</ref> qui construit les avions d'affaires de la gamme TBM, comme les TBM 900, 910 et 930, et participe aussi au programme Airbus, en tant que sous-traitant. Son siège social et son principal site industriel sont situés à Ossun, aux abords de l’aéroport de Tarbes-Lourdes-Pyrénées<ref>Modèle:Lien web.</ref>, au sud de l'agglomération. Ses installations s’étendent sur Modèle:Nobr, dont Modèle:Unité de surfaces couvertes. L'essentiel de la production des TBM est exportée à l'étranger.

À proximité de l'aéroport de Tarbes-Lourdes-Pyrénées se développent de nombreuses autres entreprises liées à l'aéronautique et l'espace dont Tarmac Aerosave<ref>Modèle:Lien web.</ref>, une société centrée sur trois activités complémentaires : la maintenance, le stockage et la déconstruction d'avions. Le site de Tarbes dispose de Modèle:Nobr et d'imposants bâtiments devenus insuffisants. Ce qui a obligé la société à ouvrir deux autres sites : à Teruel en Espagne (Modèle:Nobr) et à Francazal, à proximité de Toulouse.

À Bazet, au nord de Tarbes, Boostec, spécialiste mondial de la fabrication d'éléments en carbure de silicium, collabore avec l'Agence Spatiale Européenne, et coopère à différents programmes spatiaux internationaux d'envergure: satellites, télescopes (dont le télescope spatial Herschel lancé le Modèle:Date<ref>Des innovations technologiques avec le télescope Herschel: le miroir, site du CEA, publié le 16 mars 2009.</ref>), camera spatiale Rosetta<ref>Modèle:Lien web.</ref>, etc. Boostec fait aussi partie du Pôle Européen de la Céramique.<ref>Modèle:Lien web.</ref>

La plupart des autres entreprises liées à l"aéronautique sont situées essentiellement dans deux zones d'activités (Pyrène Aéropole et Pyrénia) proches de l'aéroport.

Le site de l'usine Alstom de Tarbes est spécialisé dans les systèmes de traction ferroviaire, les modules de puissance et les appareillages.

Zones d'activité

Fichier:Centre commercial Méridien (Tarbes, Hautes-Pyrénées, France).jpg
Centre commercial Le Méridien à Ibos.

À Tarbes intra muros et en périphérie, plusieurs zones d'activité spécialisées ont été créées:

  • Pyrène Aeropole<ref>Modèle:Lien web.</ref>, et Pyrenia<ref>Modèle:Lien web.</ref> situées à proximité de l'Aéroport de Tarbes-Lourdes-Pyrénées, accueillent des entreprises du secteur aéronautique et spatial qui font partie de l'Aerospace Valley<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>
  • le Parc des Pyrénées situé à Ibos est aménagé pour l'accueil d'activités artisanales, industrielles, de services et de bureaux ;
  • le Parc Bastillac-Université est consacré à la recherche technologique ;
  • le Parc de l'Adour, à Séméac, est à vocation industrielle, commerciale et tertiaire ;
  • le Parc de Cognac, sur la route de Pau, est consacré à l'artisanat et au tertiaire ;
  • l’Écoparc de Bordères-sur-l'Echez fait l'objet de projets complémentaires concernant la production d’énergie (centrale de méthanisation biomasse en projet), des entreprises consommatrices de froid (Salaisons Pyrénéennes et plate-forme frigorifique Dominique-Sallaberry Logistique en projet).

Tourisme

Fichier:Calèche, Tarbes.jpg
Calèche devant le NextHotel dans le quartier de l'Arsenal.

Chef-lieu des Hautes-Pyrénées<ref>Modèle:Lien web.</ref>, située au pied des montagnes, à Modèle:Nobr d'altitude, Tarbes est un important carrefour du tourisme des Pyrénées centrales<ref>Modèle:Lien web.</ref>. De Tarbes on peut rayonner sur le piémont et la montagne. Par temps clair, la vue sur les Pyrénées est très dégagée (plusieurs pics autour de Modèle:Unité sont bien visibles). Plusieurs villes et sites touristiques sont situés dans les environs : Lourdes<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>(Modèle:Unité), Pau (Modèle:Unité), le pic du Midi de Bigorre (Modèle:Unité)<ref>Modèle:Lien web.</ref> et son observatoire astronomique<ref name="obs-mip">Modèle:Lien web.</ref>, le Parc national des Pyrénées<ref>Modèle:Lien web.</ref>, le cirque de Gavarnie<ref>Modèle:Lien web.</ref> et la brèche de Roland, les nombreuses stations de sports d'hiver et d'été, les stations thermales, les grottes et gouffres du département, etc.

La ville a développé des infrastructures favorisant l'accueil et les loisirs des visiteurs dans différents domaines, notamment : l'hôtellerie, les nombreux restaurants, des parcs arborés dont le Jardin Massey classé « Jardin remarquable »<ref>Modèle:Lien web.</ref>, un complexe cinématographique Mega-CGR de 11 salles, etc. L’aéroport International de Tarbes-Lourdes-Pyrénées<ref>Modèle:Lien web.</ref> est un important aéroport régional qui a une forte activité durant la période touristique.

Tarbes est le siège du Parc National des Pyrénées<ref>Modèle:Lien web.</ref>, dont la zone centrale, appelée cœur de parc, s'étend sur Modèle:Nombre (Modèle:Nobr) dans les Hautes-Pyrénées (60%) et les Pyrénées-Atlantiques (40%). Il communique sur plus de Modèle:Unité avec le parc national d'Ordesa et du Mont-Perdu (Espagne)<ref>Modèle:Lien web.</ref> ainsi qu'avec des réserves naturelles comme celle du massif du Néouvielle (Modèle:Unité)<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Le cœur de parc est prolongé et protégé par une zone périphérique, appelée aire optimale d'adhésion, dont le règlement est moins contraignant. L'aire optimale d'adhésion est composée de 86 communes ou parties de communes (56 dans les Hautes-Pyrénées et 30 dans les Pyrénées-Atlantiques) qui ont vocation à faire partie du parc national en raison notamment de leur continuité géographique ou de leur solidarité écologique avec la zone cœur du parc national. Le périmètre de l'aire optimale d'adhésion du Parc national des Pyrénées est défini par le décret Modèle:N° du Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Agriculture

Fichier:Halle Brauhauban (Tarbes).jpg
Halle Brauhauban.
Fichier:Halle Marcadieu de Tarbes (Hautes-Pyrénées) 1.jpg
Halle Marcadieu

Souvent présentée telle une « ville-marché », Tarbes abrite d'importantes halles et places de marché, débouchés pour l'agriculture locale : halle Brauhauban et halle Marcadieu.

La ville est mondialement connue des gourmets pour le Haricot Tarbais<ref>Modèle:Lien web.</ref>, un haricot blanc de grande taille, à la peau filante très fine, avec une chair fondante et moelleuse, une texture délicate et non farineuse. Il bénéficie du Label rouge (1997) et d'une Indication Géographique Protégée (2000)<ref>Modèle:Lien web.</ref>

Tarbes est aussi le siège de la Compagnie d'Aménagement des Coteaux de Gascogne (CACG)<ref>Modèle:Lien web.</ref>, une Société anonyme d'économie mixte (SEM) de Modèle:Nobr<ref>La SEM, site de la CACG.</ref>, détenue à 68 % par des fonds publics qui "a pour objet principal de concourir à l'aménagement, à l'équipement et au développement économique des régions Midi-Pyrénées et Aquitaine. Cet objet comporte d'une part une mission générale de maîtrise de l'eau (...) d'autre part une mission de développement des zones rurales (...) ».

Marchés

  • le « Grand Marché » a lieu le jeudi matin, place Marcadieu ; Marcadieu est le nom qui désigne l'espace bien particulier du « Grand Marché », qui a une dimension régionale et une personnalité propre : une halle aux grains de style Baltard (1883), une fontaine dite « des 4-Vallées » et une seconde, plus modeste, appelée « fontaine des Sources de l'Amour », fontaines érigées par des sculpteurs locaux au début du siècle.
  • le marché alimentaire se déroule tous les matins à la halle Brauhauban, c'est un marché traditionnel.
  • le marché aux fleurs se déroule le jeudi matin sur la place du Foirail, autrefois haut lieu des marchés à bestiaux.
  • le marché aux puces se tient aussi le jeudi matin sous la halle Marcadieu.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Édifices publics

Fichier:Mairie de Tarbes (Hautes-Pyrénées, France).jpg
Hôtel de ville.
Fichier:Commissariat de police de Tarbes (Hautes-Pyrénées) 1.jpg
Commissariat de police.

La mairie et le palais de justice, édifices classiques du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, jouxtent la rue Maréchal-Foch. Inaugurée en 1906<ref>La construction et les travaux de l'Hôtel de Ville, site de la mairie de Tarbes.</ref>, la mairie détonne par sa franche monumentalité. Elle est surmontée d'un campanile et fait face à la place Jean-Jaurès où trône la statue de Danton. Sur sa façade, on peut lire les devises « Concorde, Liberté, Égalité, Fraternité, Travail ». L'hôtel Brauhauban, hôtel particulier du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, constitue l'une de ses annexes.

Non loin, le commissariat de police occupe deux maisons bourgeoises construites sur les remparts nord comblés au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle pour donner naissance à l'actuelle rue Georges-Clemenceau.

L'Inspection d'académie des Hautes-Pyrénées occupe l'ancienne école normale construite à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.

Dans le quartier de la Sède, la préfecture s'est installée dans l'ancien palais épiscopal reconstruit au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Non loin, se trouve l'ancien collège de Tarbes devenu lycée impérial en 1853 et renommé lycée Théophile-Gautier en 1911. Le conseil départemental des Hautes-Pyrénées y possède également plusieurs édifices dont l'ancien séminaire de prêtres du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Les archives départementales sont abritées dans un remarquable bâtiment de 1936.

Trois lieux sont consacrés aux marchés : la halle Marcadieu et la place Marcadieu, la halle Brauhauban et la place du Foirail. Près de la halle Brauhauban a été édifié en 1885 un théâtre à l'italienne dit théâtre des Nouveautés<ref>Le théâtre des Nouveautés, théâtre à l'italienne, site de la mairie de Tarbes.</ref>.

Fontaines et places

Fichier:Fontaine Duvignau (Tarbes, Hautes-Pyrénées, France).JPG
Fontaine des Quatre-Vallées.

La ville compte de nombreuses fontaines. La place Marcadieu et la place de Verdun reproduisent le même schéma : elles disposent respectivement de deux fontaines réparties sur leurs extrémités et non en leur milieu.

Félicitée Duvignau initie ce particularisme, place Marcadieu, en souhaitant par legs l'édification de fontaines à chaque bout de cette vaste esplanade. Celle-ci est relative à la construction en 1883 d'une halle de type Baltard éponyme<ref>Patrimoines.midipyrenees.fr.</ref>. Inaugurée en 1897<ref>Les fontaines de la place Marcadieu, Pyrenees-pireneus.com.</ref>, la monumentale fontaine des quatre vallées, alliant fonte et sculpture, figure les vallées de Bagnères, d'Aure, d'Argelès et la plaine de Tarbes<ref>Tarbes.com, Site de l'Office du Tourisme de la ville de Tarbes.</ref>. À l'autre extrémité de la place, la plus modeste « Source de l'amour », en est comme l'écho.

La fontaine Montaut trône jusqu'alors au centre de cet espace public puis est déplacée non loin sur la place du même nom. Portant le nom de son donateur, elle est sculptée par Nelli dans la pierre des Pyrénées et est érigée, une première fois, en 1874.

En 2008, l'ensemble est encore complété par l'aménagement d'une place voisine plantée de palmiers au nord de l'église Sainte-Thérèse éponyme<ref>Tarbes-Info.com.</ref>.

La place de Verdun, rénovée pour la fin du deuxième millénaire, compte elle deux fontaines à l'aspect bien plus contemporain :

Au sud, la Grande Fontaine forme une cloche d'eau ludique et intermittente. Elle est secondée au nord par la fontaine des Droits-de-l'Enfant, où un puissant jet d'eau soulève une boule d'une tonne de marbre rose que l'on peut faire pivoter à la seule force du poignet.

Fichier:Galerie de l'Alhambra, Tarbes.jpg
Réplique de la Fontaine de l'Alhambra.

Une réplique de la fontaine mythique de l'Alhambra à Grenade en Espagne est située au 43 rue Maréchal-Foch, dans le patio verdoyant d'une galerie commerciale.

La fontaine de l'Inondation qui fut installée place de Verdun en 1901 a été déplacée en 1934, place de la Courteboule, dans le quartier Soult. Une famille et sa chèvre fuyant les eaux y figurent. Il s'agit d'une allusion à l'inondation de 1875.

D'autres fontaines peuvent encore être citées telles celles du Cours Reffye, de la place Saint-Jean ou celle de la Gespe, place André-Guerlin.

Patrimoine militaire

Fichier:Rond-point et statue équestre de Ferdinand Foch (Tarbes, Hautes-Pyrénées, France).JPG
Statue équestre de Ferdinand Foch.
Fichier:Table d'Orientation de Tarbes (Hautes-Pyrénées) 1.jpg
Table d'Orientation dessinée par Georges Ledormeur.

Le haras de Tarbes est composé d'un parc de Modèle:Nobr abritant des bâtiments de style empire dont la Maison du Cheval. Il est créé par Napoléon en 1806 et constitue le berceau d'une race de chevaux peaufinée afin de fournir les régiments de hussards, le cheval navarrin. Les édifices ont été construits avec des matériaux essentiellement locaux : pierre marmorifère grise, galets de l'Adour, briques et ardoises. Il est doté d'un manège et d'écuries dont les boxes et plafonds constituent un ensemble de boiseries en châtaignier remarquable.

Durant la guerre franco-allemande de 1870, Jean-Baptiste Verchère de Reffye établit, dans l'ancien magasin des tabacs à Tarbes, un atelier de construction d'artillerie communément dénommé « Arsenal ». On y produisit pour l'armement militaire jusqu'en 2006. Le site se tourne aujourd'hui vers les activités tertiaires. L'ancien magasin des tabacs abrite les Archives Municipales et les réserves du musée Massey. En face, vient se dresser la maison des associations et son campanile.

Le développement des quartiers Larrey, Soult et Reffye voit l'affirmation de la vocation militaire de Tarbes au cours des {{#switch: e

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}}. Plusieurs casernes y sont édifiées. En ce qui concerne la caserne Larrey (1825), la majesté du bâtiment central, long de Modèle:Nobr et flanqué de deux avant-corps latéraux, est renforcée par l'existence d'une cour d'honneur accessible depuis un portail encadré de deux pavillons d'inspiration néoclassique. L'ensemble se trouve dans l'axe des martiales allées Leclerc qui concentrent des monuments commémoratifs dont la monumentale statue équestre du Maréchal Foch, érigée en 1935. Firmin Michelet l'y représente chevauchant Marboré, un cheval appartenant à la famille Fould.

Le lycée Reffye est une ancienne caserne militaire cédée par l'armée après la Seconde Guerre mondiale.

Vestiges industriels

L'ancien site de l'Arsenal a été rénové pour accueillir des commerces, des lieux de loisirs (Méga CGR, un deuxième bowling, laser quest<ref>Tarbes. Un bowling et des commerces sur l'ancien site de GIAT - Hautes-Pyrénées : LaDépêche.fr.</ref>, restaurants...), des bâtiments municipaux ou communautaires (archives, maison des associations, pépinière d'entreprises...) et des entreprises.. L'architecture industrielle du lieu y est préservée. Sa genèse a lieu en 1871 avec comme principal protagoniste Jean-Baptiste Verchère de Reffye<ref>giat tarbes vivra.</ref>. Sa sénescence industrielle intervient lors de l'annonce en 2003 de la fermeture du site GIAT, héritier de l'arsenal de 1871.

Cette zone jouxte, à Aureilhan, l'usine de céramique Oustau qui a été fondée en 1873 par Laurence Oustau. Les bâtiments de l'usine, abondamment décorés de briques vernissées, ont été protégés au titre des Monuments historiques en 1994.

Édifices religieux

Les églises et chapelles catholiques

Les églises

Modèle:Boîte déroulante/début Modèle:En-tête de tableau Monument Modèle:Ligne de tableau Monument Modèle:Ligne de tableau Monument Modèle:Ligne de tableau Monument Modèle:Ligne de tableau Monument Modèle:Ligne de tableau Monument Modèle:Ligne de tableau Monument Modèle:Ligne de tableau Monument Modèle:Ligne de tableau Monument Modèle:Ligne de tableau Monument Modèle:Ligne de tableau Monument Modèle:Ligne de tableau Monument |} Modèle:Boîte déroulante/fin

Adossée à l'ancien palais épiscopal devenu préfecture, la cathédrale Notre-Dame-de-la-Sède, place De Gaulle, comporte une façade classique datant du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. À l'opposé, le chevet surmonté d'une tour-lanterne agrandie à l'époque gothique et le transept datant du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle restent avant tout marqués par les origines romanes de l'édifice. Le maître autel est doté d'un baldaquin de marbre baroque dont la réalisation a été attribuée à Dominique FerrèreModèle:Référence souhaitée. On peut y voir encore le plafond peint par Henri Borde et le Testament de Louis XVI gravé dans une grande plaque de marbre, dans la chapelle Saint-Louis (l'oratoire<ref>Article de La Dépêche.</ref>). Saint Vincent-de-Paul y est ordonné sous-diacre puis diacre en 1598<ref>Saint-Vincent-de-Paul, site du Centre Généalogique des Landes.</ref>. Sainte Élisabeth de la Trinité, qui a séjourné brièvement à Tarbes, et le pape Saint Jean-Paul II sont venus se recueillir dans la cathédrale.

Plus excentrée encore vis-à-vis du centre-ville en direction de Pau ou Ibos, se situe non loin l'église Sainte-Anne.

L'église Saint-Martin, l'église Sainte-Bernadette et l'église Saint-Vincent-de-Paul, de forme pyramidale, tranchent par leur architecture contemporaine.

Les chapelles

Modèle:Boîte déroulante/début Modèle:En-tête de tableau Monument Modèle:Ligne de tableau Monument Modèle:Ligne de tableau Monument Modèle:Ligne de tableau Monument Modèle:Ligne de tableau Monument Modèle:Ligne de tableau Monument |} Modèle:Boîte déroulante/fin

  • L'actuel lycée Théophile-Gautier, rue de l'Abbé-Torne, jadis dirigé par les Doctrinaires (frères de la doctrine chrétienne), abrite une chapelle dont l'autel majeur est classé monument historique. Il a été réalisé par le sculpteur bigourdan Dominique Ferrère à l'époque baroque.
  • L'institution Jeanne-d'Arc comporte une chapelle à la décoration d'inspiration art déco.
  • L'hôpital de l'Ayguerote, rue d'Ayguerote, devenu maison de retraite, comprend une chapelle baroque.
  • Le Carmel, rue Théophile-Gautier, de Tarbes a été fondé en 1870. Il a reçu la visite de sainte Elisabeth de la Trinité lors de son séjour dans les Pyrénées. Aujourd'hui les carmélites ont quitté la ville. Les bâtiments sont la propriété de la ville de Tarbes: la chapelle est devenue un lieu d'expositions. Le cloître n'est pas accessible au public.
  • Le conservatoire Henri-Duparc, rue Larrey, a progressivement investi la chapelle qui lui est attenante<ref>Tarbes. Le conservatoire Henri-Duparc s'étend à la chapelle, article La Dépêche.</ref>.

La chapelle du lycée Saint-Vincent-Paul, rue Saint-Vincent-de-Paul, la chapelle ensemble scolaire du Pradeau de Séde, rue Mesclin, la chapelle (ANRAS), rue Eugène Térot.

Protestantisme
L’Église orthodoxe

Fondée en 1986, l'Église orthodoxe serbe Notre-Dame-Source-de-Vie, avenue Aristide-Briand, est ornée de magnifiques peintures murales.

La mosquée de Tarbes

La mosquée Omar ibn al-Khattâb<ref>Modèle:Lien web.</ref> accueille la communauté musulmane de la ville. Cette mosquée, construite en 2005, sur un terrain acheté à la ville, comprend, notamment, deux salles de prière (l'une de Modèle:Unité pouvant accueillir jusqu’à 300 fidèles, l'autre, à l'étage, prévue pour Modèle:Nobr), une salle de lecture d’une capacité de Modèle:Nobr, une salle pour les ablutions et divers locaux et sanitaires. L’intérieur de la mosquée s’ouvre sur une cour avec patio. Un minaret de style andalou<ref>Modèle:Article.</ref> surmonte l’édifice.

Églises millénaristes américaines

l'Église de Jésus-Christ des saints des derniers jours, rue Corneille et la salle du royaume des Témoins de Jéhovah, quai de l'Embarquement.

Demeures anciennes

Hôtel de Briquet (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle) (maison plus ancienne de Tarbes)<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Dans le quartier La Sède où sont visibles la préfecture et la cathédrale, la maison familiale du maréchal Foch datant du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle a été aménagée en musée. Il s'agit d'une demeure typiquement bigourdane reconnaissable à sa façade jaune. Il est possible de visiter la chambre natale et le bureau du maréchal et d'observer des objets lui étant relatifs.

D'autres beaux exemples de maisons bigourdanes sont visibles rue de la Victoire, rue Clemenceau ou encore rue du Régiment-de-Bigorre. Elles sont reconnaissables à leurs portes en bois sculptées, à leurs crépis de couleur qui rehaussent les encadrements en pierre marmorifère grise, à leurs balcons de bois sous toit et à leurs toitures d'ardoise percées de lucarnes.

Fichier:Cimetière Saint-Jean de Tarbes (Hautes-Pyrénées) 3.jpg
Cimetière Saint-Jean.
Fichier:Cimetière de la Sède de Tarbes (Hautes-Pyrénées) 4.jpg
Cimetière de la Sède.

Face à l'église Saint-Jean-Baptiste, est visible la maison natale de Bertrand Barère.

Au gré des mutations de son père, Théophile Gautier est, lui aussi, né rue Brauhauban. La demeure est encore aujourd'hui visible. La famille n'y habita cependant que trois ans. La rue Brauhauban abrite également la maison natale d'un autre poète du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Laurent Tailhade.

Des villas de style anglais, impérial ou encore néobasques datant des {{#switch: XX

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}}, ornent le jardin Massey, le parc Bel-Air, le parc Paul-Chastellain et leurs quartiers respectifs. La villa Massey, au cœur du jardin homonyme, est néo-mauresque (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle). La villa Fould, jadis demeure d'Achille Fould, ministre d'État de Napoléon III, vient d'être restaurée. Elle abrite désormais le siège du parc national des Pyrénées. Un peu plus loin se trouve la villa Bel-Air du début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.

Des bâtiments Art nouveau bordent les rues Maréchal-Foch et Bertrand-Barrère.

Cimetières

On trouve trois cimetières à Tarbes; le cimetière de la Sède, cimetière Saint-Jean et cimetière nord.

Personnalités liées à la commune

De nombreuses personnalités sont nées à Tarbes, ou ont un lien avec la ville. Toutes ne peuvent être citées ici, mais il est possible d'en trouver la liste sur la page: Catégorie:Naissance à Tarbes

Parmi ces personnalités, on peut citer :

Personnalités politiques

Sportifs

Écrivains

Militaires

Fichier:Tarbes Foch.JPG
Maison natale de Ferdinand Foch.

Musiciens, chanteurs

Artistes peintres, sculpteurs

Cinéastes, acteurs

Industriels, commerçants, bienfaiteurs

Autres personnalités liées à la ville

Patrimoine culturel

Gastronomie

Produits locaux
  • Le haricot tarbais<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La Bigorre élève jalousement ce produit gastronomique, originaire d'Amérique Latine et introduit au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle en vallée de l'Adour. Il lui faut un sol aux critères bien définis et une semence à une date précise. La cueillette se fait exclusivement à la main, gousse par gousse. Ce haricot réputé a obtenu le Label rouge en 1997 et une Indication Géographique Protégée en 2000.
  • La garbure<ref>Modèle:Lien web.</ref>, plat typique de Bigorre, est une revigorante soupe aux légumes et haricots tarbais dans laquelle on cuit le confit et le "camailhou" (os du jambon du pays)<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
  • Le vin de Madiran<ref>Modèle:Lien web.</ref> appartient à la mosaïque des vignobles du Sud-Ouest. Il existe depuis l'époque gallo-romaine, cependant sa véritable création date du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, lorsque fut fondée l'abbaye de Madiran par les moines bénédictins. Sa renommée fut établie grâce aux pèlerins de St Jacques de Compostelle qui le découvraient en traversant la région. À cheval sur trois départements, le Madiran est un vignoble de coteaux, d'une superficie d'environ Modèle:Unité. Très riche en tanins, c'est un vin rouge corsé et charpenté, rude dans sa jeunesse. Après un vieillissement, ses tanins s'assouplissent et il développe des arômes plus fins, où se mêlent les odeurs de pain grillé et d'épices.
  • Le porc noir de Bigorre<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Très ancienne race sauvée de la disparition en 1981, ce produit d'exception nécessite des conditions d'élevage en plein air qui respectent les exigences de cette race pure et s'appuie sur un savoir-faire traditionnel. Au bout de Modèle:Nobr de soins attentifs et un affinage naturel minimum de Modèle:Nobr, le Porc Noir de Bigorre donne un jambon de premier choix.
  • Le jambon de Bayonne<ref>Modèle:Lien web.</ref>. S'il est possible d'élever les porcs destinés à la production du Jambon dit « de Bayonne » dans 22 départements du Sud-Ouest de la France , la zone de transformation de ces jambons (salage, séchage, affinage, désossage) se limite à l'Indication Géographique Protégée (IGP) c'est-à-dire à une partie du Bassin de l'Adour (Pyrénées-Atlantiques, et une partie des Hautes-Pyrénées, du Gers et des Landes). C'est ainsi qu'à proximité de Tarbes (à Bordères sur l'Echez et Louey) se trouvent deux importantes entreprises de transformation du Jambon de Bayonne.
  • Le gâteau à la broche, gâteau bigourdan par excellence, au bon goût de feu de bois. C'est une recette réservée à ceux qui possèdent une cheminée car la cuisson se fait « à la broche » devant une flambée. Un cône est arrosé lentement de pâte afin d'obtenir des couches successives, qui au bout de plusieurs heures de cuisson, donnent un gâteau de forme conique<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Il peut se conserver plus d'un mois et ne doit être consommé qu'au bout du Modèle:3e avec ou sans crème anglaise.
  • Le fromage des Pyrénées, de chèvre, vache, brebis ou mixte (vache-brebis). Fromage fermier, généralement moulé à la main, salé et affiné en cave fraîche.
  • Le mouton « de Barèges ».

Tarbes dans la littérature

Jean Paulhan, Les Fleurs de Tarbes ou La Terreur dans les Lettres (1936 & 1941) ;

La ville de Tarbes est citée dans le manga Zero no tsukaima chapitre 28 page 8. C'est la ville où se rend le héros pour trouver une ancienne machine de guerre. Elle est aussi le lieu d'une grande bataille.

Dans Les Trois Mousquetaires (1844), le roman d'Alexandre Dumas (Père), D'Artagnan vient de Tarbes<ref>« Après cela, comme vous arrivez de Dax ou de Pau… – De Tarbes, dit d’Artagnan. » (chapitre 5)..</ref>. En réalité, le D'Artagnan historique est né à une soixantaine de kilomètres de là, au château de Castelmore, près de Lupiac, dans le département voisin du Gers. Le village d'Artagnan, d'où vient la famille de sa mère, et dont il a choisi de prendre le nom, est, lui, bien situé dans les Hautes-Pyrénées, à Modèle:Nobr au nord de Tarbes, ce qui peut expliquer "l'erreur" du romancier. Contrairement à une autre erreur du romancier, Artagnan est situé en Bigorre (Hautes-Pyrénées) et non en Béarn (Pyrénées-Atlantiques).

Tarbes dans la peinture

Héraldique

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Voir aussi

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Articles connexes

Liens externes

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Notes et références

Notes et cartes

Notes

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Cartes

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Références

Site de l'Insee

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Autres sources

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