Université Toulouse-III-Paul-Sabatier
Modèle:Confusion Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Université
L’université Toulouse-III-Paul-Sabatier, (nom d’usage : Université Paul-Sabatier ; abréviation : UPS ou UT3) est une université française, située à Toulouse.
Elle a été constituée en 1969, à la suite de la loi Faure, par le regroupement des facultés de sciences et les facultés médicales de l'ancienne université de Toulouse, elle-même fondée en 1229<ref name=":8" />. Elle fait partie de la ComUE expérimentale « Université de Toulouse » en tant que membre fondateur<ref name=":9" />,<ref name=decret1537>Modèle:Lien web.</ref>.
Spécialisée dans les sciences, les technologies, les disciplines de la santé et les sports, c'est la plus grande université de Toulouse avec Modèle:Unité, à la rentrée 2021.
L'université Toulouse-III a été classée Modèle:1re parmi les meilleures universités françaises pour trouver un emploi. Cette étude a été publiée le Modèle:Date par le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, et interprétée par le journal Le Monde<ref>Nathalie Brafman et Isabelle Rey-Lefebvre, L’université française, un tremplin pour l’entreprise, Le Monde, 18 décembre 2013</ref>.
Histoire
Origines de l'université de Toulouse
Modèle:Article détaillé L’ancienne université de Toulouse fut créée en 1229. Elle a été supprimée, comme toutes les autres universités, par la Convention en 1793. L'année suivante, on institue à Toulouse un institut pluridisciplinaire d'enseignement supérieur, nommé Institut Paganel. Cet institut devient en 1795 l’école centrale de Toulouse tandis que l'école de médecine prend son autonomie. Cette école centrale disparaît alors que sont créées une faculté de médecine en 1808, une faculté de théologie catholique ainsi qu'une faculté de lettres en 1809 et une faculté de sciences en 1810. En 1893, l'enseignement supérieur toulousain devient un corps de facultés, puis en 1896, l'université de Toulouse est recréée avec le regroupement des facultés<ref name=":4">Modèle:Lien web</ref>.
Historique
À la fin des années 1950, Émile Durand, le doyen de la faculté des sciences de Toulouse, lance l’idée de la création d’un campus à l’américaine, pour héberger la faculté des sciences ; à la même époque, il est décidé de créer à Toulouse un institut national des sciences appliquées (INSA) rattaché à la faculté des sciences. L’INSA de Toulouse est ouvert en 1963 dans le quartier de Rangueil<ref>Arrêté du 19 juin 1963 INSTITUT NATIONAL DES SCIENCES APPLIQUEES DE TOULOUSE</ref>. Dans les années qui suivent, de nombreux enseignements de la faculté des sciences sont transférés des locaux des allées Jules-Guesde vers les nouvelles installations, grands amphithéâtres, nombreuses salles de cours. Il devient aussi possible de créer des bureaux pour les enseignants et des laboratoires de recherche.
En même temps que le campus de la faculté des sciences, se constitue ce que l’on nomme le complexe scientifique de Rangueil-Lespinet, dans lequel s’installent des écoles comme l’école nationale supérieure de l'aéronautique et de l'espace (SupAéro) ou l'école nationale de l'aviation civile (ENAC), mais aussi des laboratoires de recherche, comme le LAAS, le CESR, ainsi que le centre spatial du CNES<ref>Modèle:Ouvrage</ref>. Les travaux débutent en Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web</ref>, et le centre spatial de Toulouse accueille son premier personnel à la fin du mois de Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web</ref>. Cette période est marquée par une forte croissance du nombre d'étudiants, et de nombreux logements sont donc construits pour les héberger, notamment des cités universitaires gérées par le CROUS, comme celles de Rangueil et de Ponsan. Trois restaurants universitaires voient aussi le jour.
À la suite de la loi Faure du Modèle:Date-, l'université de Toulouse se scinde en 1969 en quatre universités : l'université Toulouse-I-Capitole spécialisée dans les sciences sociales, le droit, l’économie et la gestion, l'université de Toulouse II-Le Mirail spécialisée dans les sciences humaines, les disciplines artistiques et les disciplines littéraires, l’université de Toulouse-III-Paul-Sabatier, qui regroupe la médecine, la pharmacie, la chirurgie-dentaire et les sciences exactes, et l'institut national polytechnique de Toulouse (INPT) qui regroupe à l'époque quatre écoles nationales supérieures<ref>Décret Modèle:N° 69-930 du 14 octobre 1969 portant application aux instituts de facultés ou d’universités préparant à un diplôme d’ingénieur de la loi Modèle:N° 68-978 du 12 novembre 1968</ref>,<ref name=":8">Arrêté du 24 novembre 1969 CONSTITUTION DES UNIVERSITES DE TOULOUSE I, TOULOUSE II ET TOULOUSE III</ref>. L'université de Toulouse-III est composée de la faculté des sciences et d’ingénierie, la faculté des sciences pharmaceutiques, la faculté de chirurgie dentaire, la faculté de médecine Toulouse Purpan (la faculté historique de médecine) et la faculté de médecine de Toulouse Rangueil, construite à l’initiative du doyen Guy Lazorthes cette année-là<ref name=":4" />.
Le Modèle:Date-, l'université de Toulouse-III prend le nom d'usage de Paul Sabatier, prix Nobel de chimie en 1912, qui enseigna à la faculté des sciences de Toulouse, l’université comprenant à peu près autant de scientifiques que de médecins, il avait été souhaité de trouver un nom lié simultanément à la science et à la médecine. Le nom du professeur de médecine Ducuing avait été proposé face à celui de Paul Sabatier. En 1970, elle prend le statut d'établissement public à caractère scientifique, culturel et professionnel (EPCSCP)<ref>Arrêté du 30 avril 1970 APPROBATION DES STATUTS DE L'UNIVERSITE DE TOULOUSE III</ref>,<ref>Décret Modèle:N° 70-725 du 5 août 1970 portant érection en établissement public à caractère scientifique et culturel de l’université de Toulouse-III</ref>. L'institut universitaire de technologie de Toulouse A créé en 1966<ref>Arrêté du 13 septembre 1966 DES SPECIALITES ENSEIGNEES DANS LES IUT DE BORDEAUX, GRENOBLE, LILLE, MONTPELLIER, NANCY, NANTES, ORLEANS, PARIS, POITIERS, REIMS, RENNES, ROUEN ET TOULOUSE EN VUE DE L'OBTENTION DU DIPLOME UNIVERSITAIRE DE TECHNOLOGIE. (DUT)</ref>, rejoint alors l'université. Une antenne de cet IUT voit le jour à Tarbes en 1970<ref name=":5">Arrêté du 10 mai 1993 relatif aux spécialités dispensées par l'institut universitaire de technologie de Tarbes et par l'institut universitaire de technologie Toulouse-III</ref>.
Alors que le déplacement des facultés de sciences s'est déroulé dans les années soixante, le déplacement des enseignements médicaux s'est fait plus tardivement puisque le nouvel hôpital qui a le statut de centre hospitalier universitaire (CHU) n’est ouvert qu’en 1975. Il prend le nom de Rangueil, bien que situé sur le sommet de la colline de Pech-David, éloignée du lieu-dit Rangueil<ref>Modèle:Lien web</ref>. L'hôpital de Purpan, inauguré en 1940 et situé au nord-ouest de Toulouse, sert de CHU depuis 1958 pour la moitié des étudiants en médecine de Toulouse. Les bâtiments des cours théoriques et l'administration de l’UFR médicale de Purpan sont situés dans les locaux de l’ancienne faculté de médecine au 37 allées Jules-Guesde.
En 1991, une antenne de l'IUT A de Toulouse est créé à Auch. L'année suivante, une antenne ouvre à Castres. Un an plus tard, l'antenne tarbaise de cet IUT devient une unité administrativement indépendante : l'institut universitaire de technologie de Tarbes<ref name=":5" />.
La loi de programme pour la recherche du Modèle:Date- permet aux établissements de se regrouper sous la forme d’un pôle de recherche et d'enseignement supérieur (PRES). Ainsi le PRES « Université de Toulouse » est créée en 2007 avec le statut d’établissement public de coopération scientifique. Il regroupe au moment de sa création six membres fondateurs : les trois universités toulousaines, l’INPT, l’INSA de Toulouse et l’ISAE-SupAéro<ref>Décret n° 2007-385 du 21 mars 2007 portant création de l'établissement public de coopération scientifique « Université de Toulouse »</ref>.
En Modèle:Date-, l'université accède aux « compétences élargies » (applications de la LRU)<ref name="DossierRentrée09">Dossier de presse du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche pour la rentrée 2009 (lire en ligne)</ref>. En 2011, une vaste restructuration a été opérée : les UFR MIG (mathématiques, informatique, gestion), PCA (physique, chimie, automatique), SVT (sciences de la vie et de la Terre) et langues vivantes, par leur fusion en une seule UFR, ont laissé la place à la FSI (faculté des sciences et de l'ingénierie). L'UFR STAPS (sciences et techniques des activités physiques et sportives) a changé de nom pour devenir la F2SMH (faculté des sciences du sport et du mouvement humain). La même année, l'université obtient l'accréditation de la part de la commission des titres d'ingénieur à délivrer des titres d'ingénieur diplômé. Ces titres sont préparés au sein de l'université Paul Sabatier, sciences, ingénierie et technologie (UPSSITECH). Cette école d'ingénieurs n'a pas le statut d'école interne de l'UPS mais est un département de la FSI<ref>Avis n° 2011/05-05 relatif à l’habilitation de l'université Toulouse-III à délivrer des titres d’ingénieur diplômé</ref>.
La loi relative à l'enseignement supérieur et à la recherche du Modèle:Date- supprime les PRES et instaure les communautés d’universités et établissements (COMUE), regroupements d'établissements d'enseignement supérieur et de recherche ainsi que d'organismes de recherche situés sur un même territoire. Ainsi le PRES université de Toulouse, créé en 2007, prend ses nouveaux statuts en 2015 et devient l’ « université fédérale de Toulouse-Midi-Pyrénées » ; ses membres sont les mêmes que ceux du PRES, à la différence de l’ajout du centre national de la recherche scientifique (CNRS)<ref name=":9">Décret n° 2015-663 du 10 juin 2015 portant approbation des statuts de la communauté d'universités et établissements « Université fédérale de Toulouse Midi-Pyrénées »</ref>. En 2023, l'établissement évolue en ComUE expérimentale nommée « université de Toulouse »<ref name=decret1537/>.
Présidents de l'université
La liste des présidents qui se sont succédé à l'université Paul Sabatier est la suivante<ref>Salle des présidents du bâtiment de l'administration centrale de l'université Paul-Sabatier, informations affichées sous les photographies des différents présidents de l'UPS</ref> :
Titre et nom | Date début de mandature | Date de fin de mandature |
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Modèle:Pr Louis Lareng | Modèle:Date- | Modèle:Date- |
Modèle:Pr Jean-Claude Martin | Modèle:Date- | Modèle:Date- |
Modèle:Pr Daniel Bancel | Modèle:Date- | Modèle:Date- |
Modèle:Pr Jean-Jacques Conte | Modèle:Date- | Modèle:Date- |
Modèle:Pr Jean-Claude Martin | Modèle:Date- | Modèle:Date- |
Modèle:Pr Georges Larrouy | Modèle:Date- | Modèle:Date- |
Modèle:Pr Raymond Bastide | Modèle:Date- | Modèle:Date- |
Modèle:Pr Jean-François Sautereau | Modèle:Date- | Modèle:Date- |
Modèle:Pr Gilles Fourtanier | Modèle:Date- | Modèle:Date- |
Modèle:Pr Bertrand Monthubert | Modèle:Date- | Modèle:Date- |
Modèle:Pr Jean-Pierre Vinel | Modèle:Date- | Modèle:Date- |
Modèle:Pr Régine André-Obrecht | Modèle:Date- | Modèle:Date- |
Modèle:Pr Jean-Marc Broto | Modèle:Date- | mandat en cours |
Identité visuelle
Depuis sa création, l'université a vu se succéder plusieurs logos<ref>Modèle:Lien web</ref> :
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Logo de 1971 à 1976.
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Logo de 1976 à 1986.
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Logo de 1986 à 1991.
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Logo de 1991 à 2006.
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Logo de 2006 à 2013.
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Logo de 2013 à 2015.
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Logo depuis 2015 avec le nouveau sceau de l'université de Toulouse à l'effigie de Minerve.
Localisation
L’essentiel de l'université est situé sur la commune de Toulouse. Le campus se déploie sur une superficie de Modèle:Unité, essentiellement dans le quartier de Rangueil, dans le Sud de la ville de Toulouse, au bord du canal du Midi. Il est composé de Modèle:Unité de locaux dont Modèle:Unité pour la recherche, et de 68 structures de recherche. D'autres locaux sont basés au centre de la ville, proche de la gare, mais aussi à l'ouest dans le quartier de Purpan, au sud à l'Oncopole de Toulouse. Certaines filières d'enseignement, IUT notamment, sont situées à Tarbes, Auch, ou Castres et des laboratoires de recherche rattachés à l’université peuvent se trouver à Auzeville-Tolosane, à Labège, à Castanet-Tolosan ou au pic du Midi de Bigorre<ref>Modèle:Lien web</ref>. Le campus est en cours d'extension sur la ZAC de Montaudran Aerospace, située sur l'ancien aérodrome éponyme.
Depuis le Modèle:Date-, le campus est desservi par la ligne B du métro toulousain, et se trouve à proximité de trois stations : faculté de Pharmacie, université Paul-Sabatier et Ramonville. Les allées Jules-Guesde où se trouvent des laboratoires et des enseignements de l'université se situent à proximité de la station Palais de Justice.
Aujourd'hui, l'université Paul-Sabatier est au cœur du pôle de compétitivité Aerospace Valley.
Structure
Unités de formation et comités de recherche
Depuis 2011, l’université Paul Sabatier est structurée en unités de formation et de recherche :
- La faculté des sciences et de l'ingénierie (FSI),
- La faculté de médecine Toulouse-Rangueil,
- La faculté de médecine Toulouse-Purpan,
- La faculté des sciences pharmaceutiques,
- La faculté de chirurgie dentaire,
- La faculté des sciences du sport et du mouvement humain (F2SMH).
Elles ont la charge de la formation des étudiants. L’accession en premier cycle se fait de droit pour tous les titulaires d’un baccalauréat ou d’un titre équivalent. Au niveau de la recherche, l'université est de également divisée en différents comités de recherches :
- Le comité SdM : sciences de la matière,
- Le comité MST2I : mathématiques, sciences et technologies de l'information et de l'ingénierie,
- Le comité UPEE : univers, planète, espace, environnement,
- Le comité BABS : biologie, agronomie, biotechnologie, santé,
- Le comité ACTIHS : activités humaines & sociales.
Instituts et autres structures rattachées
Les autres composantes de l'université Paul Sabatier sont les suivantes :
- L'institut universitaire de technologie de Toulouse A présent sur les sites de Toulouse (Rangueil, Ponsan et Montaudran), Auch, Castres et Albi,
- L'institut universitaire de technologie de Tarbes,
- L'observatoire Midi-Pyrénées.
L'université Paul Sabatier, sciences, ingénierie et technologie (UPSSITECH) est une école d'ingénieurs, département de la faculté des sciences et de l'ingénierie<ref name=":1">Avis n° 2017/04-01 relatif à l’accréditation de l’Université Toulouse III à délivrer des titres d’ingénieur diplômé</ref>.
Enseignement et recherche
Formations
À la rentrée 2016-2017, l'université Toulouse-III-Paul-Sabatier compte un total de Modèle:Nombre, dont 47% de femmes, 31% de boursiers, 60% dans le Modèle:1er cycle, 35% dans le Modèle:2e et 18% de doctorants. Ces élèves sont encadrés par 2509 enseignants et enseignants-chercheurs (dont 21 membres de l'institut universitaire de France), ainsi que 1996 BIATSS. Plus de Modèle:Nombre sont délivrés chaque année<ref name=":2">UPS - Chiffres clés 2017</ref>,<ref name=":3">Modèle:Ouvrage</ref>.
Licences et assimilés
L'UPS propose des formations pour le diplôme d'accès aux études universitaires permettant aux non-bacheliers d’accéder aux études supérieures. Des diplômes universitaires (DU) et des diplômes inter-universitaires (DIU) en santé sont également proposés aux étudiants ; 14 concernent la chirurgie dentaire, 1 concerne la médecine et 12 concernent la pharmacie. Ces diplômés sont dispensés par les facultés de médecine de Rangueil et de Purpan ainsi que par la faculté de chirurgie dentaire.
Les deux instituts universitaires de technologie (IUT) proposent quant à eux 14 diplômes universitaires de technologie (DUT) dans les domaines des sciences et de la gestion : chimie – génie biologique – génie chimique et génie des procédés – génie civil et construction durable – génie électrique et informatique industrielle – génie mécanique et productique – gestion des entreprises et administrations – hygiène, sécurité et environnement – informatique – information-communication – mesures physiques – métiers du multimédia et internet – packaging, emballage et environnement – techniques de commercialisation<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
L'université délivre aussi la licence dans trois domaines qui se déclinent en 13 mentions divisées en parcours<ref name=":0">Modèle:Lien web</ref> :
- Sciences, technologies, santé : mathématiques – informatique – mathématiques et informatique appliquées aux sciences humaines et sociales – physique – chimie – électronique, énergie électrique, automatique – mécanique – génie civil – sciences de la vie – sciences de la Terre ; dispensées par la faculté sciences et ingénierie (FSI)<ref>Modèle:Lien web</ref>,
- Droit, économie, gestion : information-communication – sciences sociales (gestion) ; dispensées par la FSI et l'IUT A Paul Sabatier<ref>Modèle:Lien web</ref>,
- Sciences et techniques des activités physiques et sportives (STAPS) : activité physique adaptée – éducation et motricité – entraînement sportif – management du sport ; dispensées par la faculté des sciences du sport et du mouvement humain (F2SMH)<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les licences mentions mathématiques, physique, chimie et sciences de la vie peuvent être suivies en « parcours spéciaux ». Elles s'adressent aux étudiants désireux d'effectuer des études longues dès leur entrée à l'université, et de s'orienter vers la recherche. Les enseignements en sciences y sont approfondis<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Par ailleurs, l'université Paul Sabatier propose 44 licences professionnelles, à partir de ses deux IUT, de la FSI, de la F2SMH, et de la faculté des sciences pharmaceutiques<ref name=":2" />.
Master et assimilés
De même, l'université délivre le master dans 29 mentions différentes, réparties dans les domaines suivants :
- Sciences, technologies, santé : biodiversité, écologie et évolution avec l'université Toulouse-I-Capitole, l'INPT et l'institut national universitaire champollion – bio-informatique – biologie végétale avec l'INPT – biologie-santé avec l'INPT et l'université Toulouse-Jean-Jaurès – biotechnologies avec l'université Toulouse-I-Capitole et l'INPT – chimie avec l'INPT – économétrie, statistiques avec l'université Toulouse-I-Capitole – électronique, énergie électrique, automatique avec l'INPT – énergétique, thermique avec l'INPT, l'INSA de Toulouse, l'ISAE-SUPAERO, l'institut Mines-Télécom et l'école nationale supérieure des mines d'Albi-Carmaux – éthique avec l'université Toulouse-I-Capitole et l'université Toulouse-Jean-Jaurès – génie civil avec l'INSAT – génie des procédés et des bio-procédés avec l'INPT – génie mécanique avec l'INPT, l'INSA de Toulouse l'IMT et l'école nationale supérieure des mines d'Albi-Carmaux – informatique avec l'INPT et l'école nationale de l'aviation civile – mathématiques et applications avec l'université Toulouse-I-Capitole, l'ISAE et l'ENAC – méthodes informatiques appliquées à la gestion des entreprises avec l'université Toulouse-I-Capitole – mécanique avec l'INPT, l'INSA de Toulouse, l'ISAE et l'ENAC – physique fondamentale et applications – réseaux et télécommunications avec l'INPT, l'INSA de Toulouse, l'ISAE et l'ENAC – santé publique – sciences de l’océan, de l’atmosphère et du climat avec l'INPT – sciences de la Terre et des planètes, environnement – sciences de l'univers et technologies spatiales avec l'ISAE – sciences et génie des matériaux avec l'INPT<ref>Modèle:Lien web</ref>,
- Droit, économie, gestion : management des systèmes d'information<ref>Modèle:Lien web</ref>,
- Sciences humaines et sociales : information-communication avec l'université Toulouse-I-Capitole<ref>Modèle:Lien web</ref>,
- STAPS : activité physique adaptée et santé – entraînement et optimisation de la performance sportive – management du sport<ref>Modèle:Lien web</ref>.
L'université propose aussi le cursus master en ingénierie (CMI) en cinq ans dans 7 mentions : électronique énergie électrique automatique – chimie – génie des procédés – informatique – matériaux – mathématiques – physique. Ces formations sont labellisées par le réseau FIGURE (formation à l'ingénierie par des universités de recherche) et permettent d'accéder au métier d'ingénieur par l'université<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Enfin, l'UPS via son école interne l'université Paul Sabatier, sciences, ingénierie et technologie (UPSSITECH) est l'une des Modèle:Nobr françaises accréditées au Modèle:Date- à délivrer un diplôme d'ingénieur<ref>Modèle:Légifrance.</ref>.
Doctorat
Les doctorats de l'université Paul Sabatier sont préparés dans une école doctorale, au sein d'un laboratoire et d'une équipe de recherche reconnue. Sur les quinze écoles doctorales de Midi-Pyrénées, l'UPS est établissement support de six d'entre-elles<ref>Modèle:Lien web</ref> :
- L'école doctorale biologie, santé, biotechnologies - ED BSB 151,
- L'école doctorale génie électrique, électronique, télécommunications - ED GEET 323,
- L'école doctorale mathématiques, informatique, télécommunications de Toulouse - ED MITT 475,
- L'école doctorale sciences de la matière - ED SDM 482,
- L'école doctorale sciences de l'univers, de l'environnement et de l'espace - ED SDU2E 173,
- L'école doctorale sciences écologiques, vétérinaires, agronomiques et bioingénieries - ED SEVAB 458.
Ainsi qu'établissement co-accrédité pour cinq autres :
- L'école doctorale aéronautique, astronautique - ED AA 467,
- L'école doctorale mécanique, énergétique, génie civil, procédés - ED MEGeP 468,
- L'école doctorale systèmes - ED Sys 309,
- L'école doctorale comportement, langages, éducation, socialisation, cognition - ED CLESCO 326,
- L'école doctorale arts, lettres, langues, philosophie, communication - ED ALLPH@ 328.
L'UPS compte un total de 1758 étudiants en doctorat, avec un flux annuel de 40% de nouveaux doctorants.
Études de santé
L'université Paul Sabatier propose des études de santé à ses élèves. La première année commune aux études de santé (PACES) qui permet de préparer les étudiants au concours permettant de choisir entre les formations de médecin, odontologue, pharmacien, sage-femme et masseur-kinésithérapeute. Les étudiants en PACES sont répartis de façon aléatoire dans les facultés de médecine de Rangueil et Purpan et la faculté des sciences pharmaceutiques, mais la plupart des enseignements sont effectués à Rangueil<ref>Modèle:Lien web</ref>. Les études de médecine sont ensuite effectuées dans les facultés de médecine de Rangueil et Purpan, les études d'odontologie sont suivies à la faculté de chirurgie dentaire, les études de pharmacies sont réalisées dans la faculté des sciences pharmaceutiques.
Des études paramédicales sont également délivrées : orthophoniste, orthoptiste, psychomotricien, audioprothésiste par les deux facultés de médecine, et masseur-kinésithérapeute par l'institut de formation de masso-kinésithérapie de Toulouse-Purpan.
Préparation aux concours
L'université Paul Sabatier dispose de classes préparatoires universitaire aux grandes écoles (CUPGE). Il s'agit de formations généralistes de deux ans, enseignant les mathématiques, la physique, la chimie et l'informatique, et permettant d'intégrer des écoles d'ingénieurs sur concours ou sur dossier, ou de continuer en Modèle:3e année de licence. L'UPS offre aussi un cursus concours B Agro-Véto qui permet de préparer au concours B d'accès aux écoles d'agronomie et aux écoles vétérinaires<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Formation continue
Les formations de l'université Paul Sabatier peuvent être suivies en formation continue. En 2015, ce cas concerne 6037 stagiaires. Cette même année, 43 personnes ont obtenu leur diplôme par validation des acquis de l'expérience (VAE) et 101 ont validé un niveau de l'enseignement supérieur par VA 85<ref name=":2" />.
Recherche
La recherche à l'université Paul Sabatier bénéficie d'un budget de 25,7 millions d'euros en 2017<ref name=":2" />. Un très large spectre de thématiques scientifiques est couvert : de la science des matériaux à l'astronomie, en passant par l'étude des organismes ou de l'activité humaine. Douze axes thématiques prioritaires ont été définis par la commission de la recherche du conseil académique :
- Recherche translationnelle (de la molécule à la population) : cancérologie, vieillissement et pathologies dégénératives, chroniques ou inflammatoires,
- Coévolution humains - environnements,
- Interactions biotiques et abiotiques, biologie intégrative, organismes modèles et analyses multi-échelles,
- Molécules, matériaux, dispositifs et procédés pour la santé, le vivant et l'environnement,
- Modélisation, simulation numérique, modèles de calcul, calcul intensif,
- Des masses de données à la connaissance, dans la société, l'exploration spatiale, la biologie et la santé,
- Atomes, molécules et nano-objets : du concept à l'expérience,
- Système Terre, planètes et étoiles : observation et mécanismes,
- Matériaux, procédés et structures pour l'aéronautique et le spatial,
- Systèmes embarqués intelligents : vers les systèmes cyberphysiques,
- Énergie : stockage, conversion, transport, matériaux et optimisation,
- Instruments et instrumentation extrêmes (de l'infiniment grand à l'infiniment petit).
Laboratoires de recherche
Les différentes unités de recherche ont été classées selon les cinq comités de recherche de l'université<ref>Modèle:Lien web</ref> :
Comité sciences de la matière (SdM)
Sont rassemblés ici les laboratoires de chimie et de physique, dont certains intègrent d'ailleurs de manière étroite ces deux disciplines, ainsi que le secteur de la science des matériaux, qui est généralement rattaché à la chimie, mais concerne aussi le génie des procédés et certains aspects physiques. Dans ce comité, un thème transversal important est celui des nanosciences et nanomatériaux.Modèle:Tableau
Comité mathématiques, sciences et technologies de l'information et de l'ingénierie (MST2I)
Les disciplines de ce comité entretiennent des relations étroites afin de conduire des recherches pluridisciplinaires, avec la volonté d'introduire de nouveaux concepts issus des mathématiques, de l'informatique et des sciences fondamentales. Ces recherches sont fortement motivées par des contraintes et des verrous conceptuels, méthodologiques ou technologiques et des enjeux sociétaux ; elles sont donc liées aux activités industrielles à travers de nombreuses collaborations et participent très fortement au transfert dans l'esprit des disciplines de l'ingénierie.Modèle:Tableau
Comité univers, planète, espace, environnement (UPEE)
Les thématiques de recherche de ce comité couvrent un champ allant de l'étude des origines et de l'évolution de l'univers et des planètes du système solaire, jusqu'à l'évolution de notre Terre au travers de son fonctionnement actuel, marqué par une pression anthropique croissante. Grâce à des compétences croisées en physique, chimie, astronomie, météorologie, écologie, géologie et biologie, ces études passent par des approches théoriques, des observations, des expériences et des développements instrumentaux, et par la modélisation numérique.Modèle:Tableau
Comité biologie, agronomie, biotechnologie, santé (BABS)
De fortes compétences sont réunies pour étudier la complexité du vivant à tous les niveaux d'organisation : de la molécule à l'écosystème en passant par la cellule, l'organisme et les populations actuelles et anciennes. L'émergence de ce comité facilitera l'intégration des connaissances acquises sur ces différents niveaux d'organisation. Au-delà des enjeux cognitifs, ce comité créera des conditions favorables pour que les biologistes toulousains, fortement engagés dans des programmes de valorisation en santé, agrobioscience et environnement, atteignent leurs objectifs.Modèle:Tableau
Comité activités humaines & sociales (ACTIHS)
L'objectif du comité ACTIHS est l’étude des activités humaines et sociales et de leur influence sur les débats sociaux. Il travaille sur des thèmes variés comme l’intelligence du travail, les recherches en didactique des langues pour spécialistes d’autres disciplines (LANSAD), les pratiques corporelles et sportives, ou l’étude des organisations comme productrices et consommatrices de connaissances. Modèle:Tableau
Scientométrie
L'université de Toulouse-III est classée dans le groupe Modèle:201e-Modèle:300e au classement académique des universités mondiales par l'université Jiao Tong de Shanghai pour l’année 2017<ref>Modèle:Lien web</ref>. Dans ce classement, elle se situe dans la fourchette 100 meilleures universités européennes et 9 des meilleures universités françaises<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Partenariats avec des entreprises
Modèle:Section incomplète En septembre 2022 est lancé un nouveau master "transition énergétique" dans le cadre d'un partenariat avec TotalEnergies dont les enseignants bénévoles, salariés ou retraités du groupe, assureront une partie des cours<ref>Le canard enchaîné, 12 octobre 2022, page 5 "Total retourne à la fac"</ref>.
Relations internationales
En 2015-2016, l'université accueille 521 étudiants étrangers et envoie 545 de ses étudiants grâce à des programmes d'échange comme Erasmus, Erasmus Mundus, TASSEP, BCI, etc<ref name=":2" />. Elle bénéficie d'accords d'échange avec 92 universités étrangères, situées en Europe, Afrique, Asie, Amérique du Nord et Amérique du Sud<ref>Accords de coopération par pays 2017</ref>.
L'Amérique hispanique et le Brésil font partie des axes géographiques privilégiés avec lesquels l'université développe de nombreux liens au niveau de l'enseignement et de la recherche scientifique. Ces activités sont fédérées par le bureau Amérique hispanique et Brésil<ref>Modèle:Lien web</ref>.
La mobilité à l'international des étudiants étant une des priorités de l'UPS, tous les projets de mobilité (semestres d'étude ou stages, même hors programme) sont financés<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Dans le domaine de la recherche, l’université a fortement développé le nombre de structures internationales qui est passé, entre 2010 et 2013, de 7 à 27. Par ailleurs, 40% des doctorants de l'établissement sont d'origine étrangère<ref name=":3" />.
Vie étudiante
Associations étudiantes
La vie étudiante est animée par plus de 50 associations étudiantes présentes sur le site toulousain ainsi que sur les sites périphériques de l'université Paul Sabatier<ref name=":3" />. La division de la vie étudiante (DVE) est l'association servant d'interlocuteur entre les étudiants, les différentes associations et l'université. Les différentes facultés et instituts disposent de leurs propres associations et clubs : par exemple, UPS in space qui est l'association d'astronomie, active dans la médiation scientifique de l'astrophysique et du spatial pour les étudiants et du public, les airs solidaires faisant la promotion d'actions humanitaires, GRUMÖ qui est une association d'arts plastiques, Comput yourself une association d'informatique, Sonosmose qui est une association culturelle et musicale, Oups la radio universitaire, les amicales des différents départements de l'IUT de Tarbes, etc<ref>Modèle:Lien web</ref>Modèle:Refins.
Par ailleurs, il a été créé en 2012, un conseil des étudiants, composé d’élus des conseils centraux et d’élus des conseils de composantes. Ce conseil a pour ambition de servir d'espace de débat et de devenir une force de proposition auprès des instances statutaires. La participation des représentants des étudiants à la vie institutionnelle de l'établissement est une volonté de l’université<ref name=":3" />.
Évolution démographique
Évolution démographique de la population universitaire
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Personnalités liées
Enseignants et anciens enseignants
- Dominique Bakry (1954-), mathématicien français, professeur à l'UPS, membre senior de l'institut universitaire de France,
- Daniel Bancel (1941-), mathématicien français, professeur des universités depuis 1977, président de l'UPS de 1982 à 1984, recteur des académies de Rouen (1984-1988), de Lyon (1991-2000) et de Versailles (2000-2004), chevalier de la légion d'Honneur<ref>Modèle:Ouvrage</ref>,
- Raymond Bastide, pharmacien français, professeur honoraire des universités, président de l'UPS de 1997 à 2002, doyen de la faculté de pharmacie,
- José Braga (1967-), anthropobiologiste et paléoanthropologue, professeur des universités à l'UPS depuis 2006<ref>Modèle:Lien web</ref>,
- Xavier Buff (1971-), mathématicien, maître de conférences (1998) puis professeur des universités (2008) à l'UPS,
- Béatrice Chatel, professeure des universités en physique, directrice du laboratoire collisions agrégats réactivité (LCAR) de l'UPS, directrice de recherche CNRS,
- Jean-Jacques Conte, médecin français, professeur des universités en néphrologie, directeur d'une unité de l'hôpital de Purpan de 1984 à 1986, président de l'UPS de 1986 à 1991,
- Patrice Dalle (1948-2014), professeur des universités en informatique à l'UPS, responsable d'équipe à l'institut de recherche en informatique de Toulouse (IRIT), fondateur et président (1995-2014) de l'association nationale de parents d’enfants sourds, diplômé d'une maîtrise d'informatique en 1970 et d'un doctorat en 1974 à l'UPS,
- Philippe Douste-Blazy (1953-), cardiologue diplômé de l'UPS et homme politique français, député et maire de Lourdes (1989-2000) puis de Toulouse (2001-2004), plusieurs fois ministre (Culture, Santé, Affaires étrangères), conseiller spécial du secrétaire général des Nations unies de 2017 à 2021, ancien professeur de médecine au CHU de Toulouse de 1988 à 2016, professeur invité à la Medical School de l'université Harvard depuis 2016,
- Daniel Fabre (1947-2016), ethnologue, maître de conférences à l'UPS jusqu'en 1976<ref>Modèle:Article</ref>,
- Francis Filbet (1975-), professeur des universités en mathématiques à l'UPS depuis 2015, membre de l'institut universitaire de France depuis 2015, lauréat du prix Blaise-Pascal en 2012,
- Gilles Fourtanier (1948-), chirurgien français, professeur des universités à l'UPS, chef de service au CHU de Toulouse, président de l'UPS de 2008 à 2012, médaille d’or de la société d’encouragement au bien, officier des Palmes académiques, chevalier de l'ordre du mérite national, chevalier de la légion d'honneur<ref>Modèle:Lien web</ref>,
- Martin Giurfa (1962-), professeur des universités en neurosciences à l'UPS depuis 2001, membre junior et senior de l'Institut Universitaire de France, lauréat de l'Advanced Grant de l'European Research Council (ERC),
- Jean-Claude Laprie (1944-2010), chercheur en informatique, diplômé d'un doctorat en informatique et d'un doctorat d’État en 1975 sur la tolérance aux fautes et la sûreté de fonctionnement des systèmes informatiques à l'UPS, chef d'équipe de recherche au laboratoire d'analyse et d'architecture des systèmes (LAAS) de 1975 à 1996, directeur du LAAS jusqu'en 2002, chevalier de l'ordre national du Mérite, directeur de recherche émérite CNRS<ref name=":6" />,
- Louis Lareng (1923-2019), médecin ayant exercé à l'hôpital de Purpan, professeur agrégé de médecine spécialiste en « anesthésie réanimation » et homme politique français, diplômé d'un doctorat de la faculté de médecine de Toulouse en 1955, président de l'UPS de 1970 à 1976,
- Georges Larrouy (1933-2015), médecin français, maître de conférences (1970) puis professeur des universités (1974) à l'UPS, président de l'UPS de 1996 à 1997, président honoraire jusqu'à sa mort, diplômé d'un doctorat de médecine en 1960 à l'ancienne université de Toulouse, chef de service du laboratoire de parasitologie de l'hôpital Purpan de 1975 à 1997,
- Guy Lazorthes (1910-2014), neurochirurgien à la faculté de médecine de Toulouse (1948-1979) et doyen de cette dernière (1958-1970), professeur émérite à l'UPS jusqu'en 2004, créateur de la faculté de médecine Toulouse-Rangueil en 1968 et de l'hôpital Rangueil en 1975, titulaire de la Légion-d'Honneur en 2002,
- Michel Ledoux (1958-), mathématicien français, professeur des universités à l'UPS, ancien directeur de l'institut de mathématiques de Toulouse (IMT), lauréat du prix Servant en 2010,
- Thierry Magnin (1953-), prêtre catholique du diocèse de Saint-Étienne depuis 1985 et professeur des universités, recteur de l'université catholique de Lyon depuis 2011, vice-président de la fédération internationale des universités catholiques depuis 2015, président de la fédération des universités catholiques européennes depuis 2013, chargé de cours en bio-éthique et éthique des sciences et techniques à l'UPS (2009-2011)<ref>Modèle:Lien web</ref>,
- Jean-Claude Martin, professeur émérite à l'UPS depuis 2002, président de l'UPS de 1976 à 1981 et de 1991 à 1996, diplômé d'un doctorat en sciences physiques à l'ancienne université de Toulouse en 1966,
- Sylvestre Maurice (1966-), astrophysicien à l’institut de recherche en astrophysique et planétologie depuis 1998, astronome à l'observatoire Midi-Pyrénées depuis 2007, docteur diplômé de l'UPS en 1993
- Bertrand Monthubert (1970-), mathématicien et homme politique français, ancien président de l'UPS (2012-2015), maître de conférences (1998) puis professeur des universités à l'UPS (2007), enseigne à l'institut universitaire de technologie de Tarbes<ref name=":7">Modèle:Lien web</ref>,
- Solomon Passi (1956-), homme politique bulgare, professeur invité en maths à l'UPS,
- Stefanie Petermichl (1971-), mathématicienne allemande, professeure à l'UPS depuis 2009<ref>Modèle:Lien web</ref>,
- Gwénaël Rapenne (1970-), maître de conférences (1999) puis professeur des universités (2011) en chimie au CEMES-CNRS de l'UPS<ref>Modèle:Lien web</ref>,
- Jean-Pierre Riba (1944-2001), maître de conférences (1980) puis professeur des universités (1982) en biotechnologies à l'institut de génie chimique de l'UPS, diplômé d'un diplôme d'ingénieur (1968), d'un doctorat (1971) et d'un doctorat d'État à l'UPS (1978), mort deux mois après l'explosion de l'usine AZF de Toulouse probablement à la suite du blast subi et du stress intense ressenti lors de la destruction complète du laboratoire,
- Jacques Ruffié (1921-2004), hématologue, généticien et anthropologue, maître de conférences (1958) puis professeur des universités (1965) de la faculté de médecine de l'ancienne université de Toulouse jusqu'en 1969, puis professeur des universités de l'UPS de 1969 à 1972, research professor à l'université de New York, fondateur du centre d'hémotypologie de Toulouse du CNRS, grand officier de la légion d'Honneur, membre de l'académie nationale de médecine,
- Paul Sabatier (1854-1941), professeur de chimie à l'ancienne université de Toulouse à partir de 1882, doyen de cette même université de 1905 à, donne son nom à l'UPS, fondateur de l'institut de chimie de Toulouse en 1906 qui devient l'ENSCT puis l'ENSIACET après fusion, lauréat du prix Nobel de chimie en 1912, mais aussi du prix Lacaze (1897), du prix Jecker (1905), de la Davy Medal (1915) et de la médaille Franklin (1933), grand officier de la légion d'Honneur en 1931, correspondant de l'académie des sciences,
- Laurent Saloff-Coste (1958-), mathématicien, ancien professeur à l'UPS, directeur de recherche CNRS,
- Jean-François Sautereau (1948-), électronicien, professeur des universités à l'UPS depuis 1973, président de l'UPS de 2002 à 2007, président du réseau universitaire Toulouse Midi-Pyrénées de 2005 à 2008, cofondateur du PRES « Université de Toulouse » en 2007, président de la fédération française du sport universitaire depuis 2013<ref>Modèle:Lien web</ref>,
- Marcel Sendrail (1900-1976), médecin et écrivain français, professeur jusqu'à 1969 à l'ancienne université de Toulouse puis de 1969 à 1971 à l'UPS, diplômé d'un doctorat en médecine à l'ancienne université de Toulouse en 1925,
- Carlos Simpson (1962-), mathématicien américain, ancien enseignant à l'UPS, directeur du laboratoire J-A Dieudonné de l'université Nice-Sophia-Antipolis, directeur de recherche CNRS, lauréat du prix Sophie-Germain en 2015<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Ouvrage</ref>,
- Clément Sire (1967-), mathématicien et physicien, professeur des universités à l'UPS depuis 1994, directeur du laboratoire de physique théorique (LPT) de 2007 à 2015, directeur de recherche CNRS depuis 2005<ref>Modèle:Lien web</ref>,
- Gaël Touya (1973-), escrimeur français médaillé d'or aux jeux olympiques d'été de 2004, professeur d'EPS à l'UPS depuis 2004<ref>Modèle:Article</ref>,
- Sylvie Vauclair (1946-), astrophysicienne à l'institut de recherches en astrophysique et planétologie, professeur émérite à l'UPS, officière de l'ordre national du Mérite (2015), grand prix des amis de la cité de l'espace (2009), chevalière de la Légion d'honneur (2009), officière des Palmes académiques (2007), membre senior de l'institut universitaire de France (2002), membre de l'Academia Europaea (2000), membre de l'académie de l'air et de l'espace (1995),
- Jean-Pierre Vinel (1951-), médecin et professeur des universités français depuis 1990, diplômé d'un doctorat en médecine à l'UPS en 1975, président de l'UPS de 2016 à 2019, président de la commission médicale d'établissement du CHU de Toulouse de 2003 à 2007, doyen de la faculté de médecine de Purpan depuis 2009<ref name=":10">Modèle:Lien web</ref>,
- Patrice Simon (1969-), maître de conférences (2001) puis professeur des universités (2007) de l'UPS en science des matériaux au Centre inter-universitaire de recherche d'ingénierie des matériaux (CIRIMAT), membre junior (2007) puis senior (2017) de l'Institut Universitaire de France, lauréat de l'Advanced Grant de l'European Research Council (ERC) en 2012, Membre de l'Académie des sciences depuis 2019, Membre de l'European Academy Of Sciences (Europe) depuis 2020.
Anciens étudiants
- Jonathan Atsu (1996-), nageur français, champion de France du Modèle:Unité nage libre en 2017,
- Aurore Avarguès-Weber (1983-), chercheuse en sciences cognitives.
- Hélène Bergès (1966-), biologiste française, diplômée d'un doctorat en génétique et biologie moléculaire à l'UPS en 1995<ref>Modèle:Lien web</ref>, directrice du centre national de ressources génomiques végétales (CNRGV) à l'INRA depuis 2003, chevalière de la légion d'Honneur depuis 2015,
- Richard Canal (1953-), écrivain et scénariste de science-fiction, et maître de conférences en informatique français, diplômé d'un doctorat en informatique en 1976 à l'UPS<ref>Modèle:Lien web</ref>,
- Anny Cazenave (1944-), océanographe française, diplômée d'un doctorat d’État à l'UPS en 1975, ingénieure émérite au CNES, élue à l’Académie des sciences en 2004 section sciences de l'Univers, officière de la légion d'Honneur depuis 2010<ref>Modèle:Lien web</ref>,
- Merieme Chadid (1969-), astronome franco-marocaine, diplômée d'un doctorat en Astronomie et études spatiales à l'UPS en 1996<ref>Modèle:Lien web</ref>,
- Corinne Charbonnel (1965-), astrophysicienne française, professeure associée à l'Observatoire de Genève et directrice de recherche au CNRS, diplômée d'un doctorat en astrophysique et techniques spatiales en 1992 à l'UPS<ref>Modèle:Lien web</ref>,
- Michel Chassang (1956-), médecin français, diplômé de médecine à l'UPS en 1984<ref>Modèle:Lien web</ref>,
- Pierre Cohen (1950-), homme politique français, maire de Toulouse de 2008 à 2014, diplômé d'un doctorat en informatique à l'UPS, ingénieur de recherche en informatique à l'IRIT jusqu'en 1997<ref>Modèle:Lien web</ref>,
- Patrice Dalle (1948-2014), professeur des universités en informatique à l'UPS, responsable d'équipe à l'institut de recherche en informatique de Toulouse (IRIT), fondateur et président (1995-2014) de l'association nationale de parents d’enfants sourds, diplômé d'une maîtrise d'informatique en 1970 et d'un doctorat en 1974 à l'UPS,
- Philippe Douste-Blazy (1953-), cardiologue diplômé de l'UPS et homme politique français, député et maire de Lourdes (1989-2000) puis de Toulouse (2001-2004), plusieurs fois ministre (Culture, Santé, Affaires étrangères), conseiller spécial du secrétaire général des Nations unies de 2017 à 2021, ancien professeur de médecine au CHU de Toulouse de 1988 à 2016, professeur invité à la Medical School de l'université Harvard depuis 2016,
- Bérengère Dubrulle (1965-), astrophysicienne française, diplômée d'un doctorat à l'UPS en 1990,
- Pierre Dukan (1941-), médecin nutritionniste français, diplômé de la faculté de médecine de Toulouse, radié à sa demande de l'ordre des médecins en 2012, inventeur du régime Dukan, impliqué dans l'affaire dite « du Médiator » (2011) et dans l'affaire dite « régime Dukan » (2012)<ref>Modèle:Article</ref>,<ref>Modèle:Article</ref>,
- Abdelhaq El Jai (1948-), mathématicien spécialiste de la théorie des systèmes, professeur émérite à l'Université de Perpignan et membre de l'Académie Hassan II des Sciences et Techniques (Maroc).
- Fabrice Garcia-Carpintero (1980-), éditeur, écrivain et réalisateur, directeur d'atelier d'écriture pour le service culturel de l'Université de Limoges<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Pierre Izard (1935-), médecin pédiatre et homme politique français, diplômé de la faculté de médecine de Toulouse en 1966<ref>Modèle:Article</ref>,
- Albert Jacquard (1925-2013), biologiste, généticien et essayiste français, diplômé d'un doctorat en génétique (1970) et d'un doctorat d’État en biologie humaine (1972) à l'UPS,
- Kevin Harley (1994-), basketteur français,
- Mohamed Saâd Hassar (1953-), homme politique marocain, diplômé d'une maîtrise en mathématiques à l'UPS,
- William Howard (1993-), basketteur français,
- Antony Labanca (1994-), basketteur français,
- Jean-Claude Laprie (1944-2010), chercheur en informatique français, diplômé d'un doctorat en informatique et d'un doctorat d’État en 1975 sur la tolérance aux fautes et la sûreté de fonctionnement des systèmes informatiques à l'UPS, chef d'équipe de recherche au laboratoire d'analyse et d'architecture des systèmes (LAAS) de 1975 à 1996, directeur du LAAS jusqu'en 2002, chevalier de l'ordre national du Mérite, directeur de recherche émérite CNRS<ref name=":6">Modèle:Lien web</ref>,
- Jean-Rony Leriche (1983-), chef cuisinier français, diplômé d'une licence de chimie à l'UPS<ref>Modèle:Lien web</ref>,
- Torann Maizeroi (1989-), taekwondoïste français,
- Françoise Mahiou, ingénieure française diplômée de la FSI Paul Sabatier, devenue UPSSITECH, dirigeante d'entreprises avec spécificité RSE<ref>Institut Français des Administrateurs</ref>,
- Matthieu Marchetti, docteur en médecine français, responsable du service des urgences du CHU de Poitiers,
- Sylvestre Maurice (1966-), astrophysicien à l’institut de recherche en astrophysique et planétologie depuis 1998, astronome à l'observatoire Midi-Pyrénées depuis 2007, docteur diplômé de l'UPS en 1993 et professeur des universités,
- Yannick Mellier (1958-), astrophysicien français, diplômé d'un doctorat en astrophysique à l'UPS en 1987<ref>Modèle:Lien web</ref>,
- Yannis Morin (1993-), basketteur français, diplômé d'un DUT GEA<ref>Modèle:Ouvrage</ref>,
- Bertrand Monthubert (1970-), mathématicien et homme politique français, ancien président de l'UPS (2012-2015), maître de conférences (1998) puis professeur des universités à l'UPS (2007), enseigne à l'institut universitaire de technologie de Tarbes<ref name=":7" />,
- Floriane Olivier (1987-), écrivaine française, diplômée d'orthophonie à l'UPS en 2010,
- Billy Yakuba Ouattara (1992-), basketteur français,
- Jean-Christophe Péraud (1977-), coureur cycliste français, diplômé d'un DUT génie chimique à l'IUT Paul Sabatier en 1998, puis une licence et une maîtrise en génie des procédés en 2000 et 2001 à l'UPS,
- Vincent Poirier (1993-), basketteur français,
- Jean-Pierre Riba (1944-2001), maître de conférences (1980) puis professeur des universités (1982) en biotechnologies à l'institut de génie chimique de l'UPS, diplômé d'un diplôme d'ingénieur (1968), d'un doctorat (1971) et d'un doctorat d'État à l'UPS (1978), mort deux mois après l'explosion de l'usine AZF de Toulouse probablement à la suite du blast subi et du stress intense ressenti lors de la destruction complète du laboratoire,
- Michèle Rozenfarb (1948-), écrivaine et médecin psychanalyste française, diplômée de médecine à l'UPS en 1977,
- Abdelkoddous Saâdaoui (1983-), homme politique tunisien, diplômé en 2014 d'un master en sciences informatiques analytiques de l'UPS<ref>Modèle:Lien web</ref>,
- Patrice Senmartin (1972-), coureur cycliste en tandem non voyant français, diplômé d'un DUT GEA à l'IUT Paul Sabatier Toulouse,
- Jean-François Soucasse (1972-), footballeur français, diplômé d'un master de gestion des métiers du sport à l'UPS,
- Maxime Valet (1987-), escrimeur handisport français, interne en médecine à l'UPS,
- Valérie Van Grootel (1981-), astronome et astrophysicienne belge, diplômée d'un doctorat en astrophysique à l'UPS, en contrat post-doctoral de 2008 à 2010 au laboratoire d’astrophysique de Toulouse-Tarbes,
- Thomas Vilaceca (1990-), nageur français, diplômé d'un master en ingénierie de la formation et des compétences des intervenants en matière de sécurité à l'UPS en 2017,
- Jean-Pierre Vinel (1951-), médecin et professeur des universités français depuis 1990, diplômé d'un doctorat en médecine à l'UPS en 1975, président de l'UPS de 2016 à 2019, président de la commission médicale d'établissement du CHU de Toulouse de 2003 à 2007, doyen de la faculté de médecine de Purpan depuis 2009<ref name=":10" />,
- Vincent Lecrubier (1986-), kayakiste de haut niveau (Modèle:7e en K2 Modèle:Unité (finaliste) aux JO 2008 à Pékin), titulaire d'un doctorat en informatique et mathématiques.
Notes et références
Annexes
Articles connexes
- Études en France, Études supérieures en France, Universités en France
- Jardin botanique Henri-Gaussen
- Journées médicales de Toulouse (1924)