Quesnoy-sur-Deûle

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France

Quesnoy-sur-Deûle est une commune française située dans le département du Nord (59), en région Hauts-de-France.

Géographie

Fichier:Quesnoy-sur-Deûle.jpg
Quesnoy-sur-Deûle dans son canton et son arrondissement.

Sur l'ex-route nationale 49 (devenue en 2006 la route départementale 949), Quesnoy-sur-Deûle doit son nom au passage de la Deûle qui coupe la ville en deux.

Située à Modèle:Unité de Lille, à Modèle:Unité de la frontière belge et à Modèle:Unité de la rocade nord-ouest, cette ville présente à la fois les attraits de la ville et de la campagne.

Communes limitrophes

Modèle:Communes limitrophes

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000<ref name=Joly/>

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 2,8 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 1,8 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitationModèle:Note : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,9 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,6 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Roubaix », sur la commune de Roubaix, mise en service en 1965<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche<ref group=Note>Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).</ref>, « Lille-Lesquin », sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref> à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Urbanisme

Typologie

Quesnoy-sur-Deûle est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Lille (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Lille (partie française) est la quatrième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon et Marseille-Aix-en-Provence<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française) dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en Modèle:Date-, celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de Modèle:Unité ou plus (hors Paris)<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (87,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (78,9 %), zones urbanisées (17,1 %), zones agricoles hétérogènes (4 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

Attestations anciennes : Caisnoit 1132<ref>Albert Dauzat et Charles Rostaing, Kiezenet (en Flamand) Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Librairie Guénégaud 1979. Modèle:P.. Liste Quesnay-Guesnon.</ref>, De Kaisneto 1138<ref>Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, volume I, Librairie Droz 1990. Modèle:P..</ref>.

Du vieux picard caisnoi « chênaie », issu du bas latin cassinetu ou cassanetu<ref>A. Dauzat et Ch. Rostaing, Op. cité.</ref>, du bas latin d'origine gauloise cassanus ou cassinus (peut-être influencé par fraxinus, frêne), suivi du suffixe latin -etum désignant un « lieu planté d'arbres appartenant à la même espèce » et qui a évolué en -oit> -oy en picard, alors qu'ailleurs dans le domaine d'oïl, il a généralement donné -ay (> français moderne -aie, d'une forme féminine -aye. cf. chênaie).

Homonymie avec le Quesnoy, etc.

Héraldique

Modèle:Blason-ville-fr

Histoire

Quesnoy-sur-Deûle est située à l'écart des grandes voies gallo-romaines et médiévales<ref name=Fretin>Fretin C (1855) Notes historiques touchant Quesnoy-sur-Deule. Lefebvre-Ducrocq (avec Google Books).</ref>, mais sur l'unique route reliant Lille à Comines, sa voisine.

On ignore la date exacte de création du bourg ou village, mais il est cité par une bulle papale du Modèle:Date publiée par Célestin II, qui confirme la donation par Simon (évêque de Tournai) de l'autel du Quesnoy au Chapitre de Saint-Pierre, de Lille (ce territoire relève du Diocèse de Tournai du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle au Concordat)<ref name=Fretin/>.

En 1230, les Seigneurs de Quesnoy sont cités dans les lettres de fondation de l'abbaye de Marquette<ref name=Fretin/>. Le village est nommé Kezenet ou Kiezenet en flamand, la langue parlée dans la région.

La famille de/du Quesnoy reste seigneur du lieu jusqu'à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle puis la seigneurie passe par achat au comte de Flandre puis par donation au chapitre St Pierre de Lille (1425), par échange à Guy Guillebaut (1429) et enfin par succession aux d'Oignies (vers 1446), aux Mailly (vers 1572) puis aux Croÿ (1768).

Le Modèle:Date-, sont données à Vecca, en Castille, des lettres de chevalerie pour Louis de Mailly (Maison de Mailly), seigneur de Quesnoy-sur-Deûle<ref>Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 176, lire en ligne</ref>. Le Modèle:Date-, des lettres de Madrid érigent en marquisat (titre de marquis) la terre et seigneurie du Quesnoy en faveur de Philippe de Mailly, seigneur du Quesnoy, descendant en ligne directe de la très ancienne et très noble famille de Mailly qui compte dans ses rangs plusieurs chevaliers des ordres de France, un grand pannetier, un grand chambellan de ce royaume et Gilles de Mailly qui portait le heaume de guerre aux funérailles du comte de Flandre Louis de Male<ref>Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 318, lire en ligne.</ref>.

Jusqu'au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, Quesnoy souffre des pillages des armées françaises aux {{#switch: XVI

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}} ; château et église sont brûlés en 1579.

Quesnoy doit son essor à la Deûle où pas moins de 2 400 bateaux passent par an.

Lors des guerres de la Révolution française, en 1792, la ville a résisté à l'ennemi qui cherchait à l'occuper et a dû y renoncer<ref>Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 57, lire en ligne.</ref>

Dès le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, au village rural s'ajoutent de nombreuses industries (lin, huileries, brasseries, distilleries, sucrerie, tannerie…). Elles apportent une prospérité économique.

De par sa position, Quesnoy a souffert des guerres, notamment celle de 1914-1918 durant laquelle la ville est détruite à 95 %. La population, qui déplore 45 morts civils, est évacuée vers des communes moins exposées en mai-Modèle:Date-, et ne reviendra pas entièrement après la guerre, d'où le long creux qui apparaît dans l'histogramme démographique. On loge la population dans des logements provisoires appelés « tonneaux » en raison de leur forme. Le Modèle:Date-, Charles Reibel, ministre des régions libérées, vient se rendre compte de la situation lors d'une visite<ref>Cent ans de vie dans la région, Tome II : 1914-1939, La Voix du Nord éditions, n° hors série du 17 février 1999, p. 42</ref>.

La ville, chef-lieu du canton jusqu'à la réforme de 2015, appartient à la communauté urbaine de Lille depuis 1966 et s'est jumelée en 1990 à Swisttal-Buschhoven en Allemagne.

Politique et administration

Tendances politiques et résultats

Modèle:Article connexe Modèle:…

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin

Population et société

Démographie

Évolution démographique

Modèle:Population de France/section

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 36,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 22,4 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait Modèle:Unité pour Modèle:Unité, soit un taux de 51,13 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Modèle:Pyramide des âges communes de France

Jumelages

  • Modèle:Jumelage. Depuis plus de 25 ans Quesnoy entretient des rapports avec Buschhoven, une commune proche de Bonn. Les contacts avaient d'abord été établis entre leurs corps de pompiers et musiciens. En 1990 un jumelage officiel est scellé. Entretemps, Buschhoven est rattachée au regroupement de dix communes de la vallée de la Swist qui a pris le nom de Swisttal. Situées à Modèle:Unité l'une de l'autre, les communes échangent principalement entre municipalités par le biais d'un voyage annuel de micro-délégations, dans un sens les années paires et dans l'autre les années impaires.

Modèle:Jumelages

Lieux et monuments

De style néo-flamand, la mairie a été créée par l'architecte Lepercq. Le bâtiment est doté de pignons à pas de moineaux (en escaliers), fronton circulaire, clochetons, et utilisation de la brique et de la pierre. Dans le hall, se trouvait précédemment la maquette d'un château construit au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle pour protéger la cité et la campagne environnante qui a été détruit après la Révolution française<ref>. Cette maquette se trouve désormais dans un autre bâtiment municipal : le Château. À la Révolution, le château fut réquisitionné et transformé en prison. Fortement dégradé, il fut ensuite vendu à un marchand de matériaux qui le détruisit pour vendre les briques et les pierres.</ref>. Depuis l'an 2000, un carillon situé sur la façade sonne à chaque heure les notes de "l'eau vive" de Guy Béart, en référence à la vallée de la Deûle.

Redevenu l'axe majeur de la cité à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, assaini, bordé de chemins réservés aux piétons, cyclistes et cavaliers, il est très fréquenté dès qu'il fait beau notamment grâce au troquet<ref>Modèle:Article</ref>. Il bénéficie d'une halte nautique pour la plaisance, et d'une rampe de mise à l'eau pour la pratique du canoé-kayak. Le trafic commercial est en hausse, et, en 2012, plusieurs dizaines de péniches passent à Quesnoy chaque jour. Le gabarit, déjà porté à Modèle:Unité, devrait passer à Modèle:Unité d'ici quelques années. Une modification de l'écluse de Quesnoy pour en accroître la capacité de passage est étudiée par Voies Navigables de France.

Élaboré avec LMCU, cet écoquartier se construit peu à peu et ce jusqu’en 2023 (sur 11 hectares classés en ZAC<ref>Délibération Modèle:N° C 0084 DU Modèle:1er juillet 2011, par laquelle le Conseil de Communauté crée la « ZAC de l’Ange gardien » sur la commune de Quesnoy sur Deûle</ref>). Il concerne le site dit de « L'Ange gardien », urbanisable depuis 40 ans, et autrefois utilisé par l'usine linière VAN ROBAEYS, près du centre-ville<ref name=ConseilMunicip2014/> ; Outre 343 logements dont 30 % en locatif social, il prévoit des commerces, services et équipements publics sur 5,2 hectares construits, le reste étant consacré aux infrastructures urbaines (dont places, zones de rencontre et de convivialité, voiries bordées de noues) (et à 2,2 ha d'espaces verts (bois, jardins familiaux, prairie), aussi desservies par des liaisons douces piétonnes et cyclistes<ref name=ConseilMunicip2014/>. La zone dite de prairie, proche de la Deûle a Modèle:Citation. Les premiers habitants se sont installés en 2017.

Édifices Chrétiens

  • Église Saint-Michel (Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle) L'église d'origine sera reconstruite au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle par Charles Leroy, architecte lillois de la cathédrale Notre-Dame de la Treille. Cette église sera détruite durant la Grande Guerre en 1917 pour être reconstruite en 1932 dans l'état où nous la connaissons actuellement.
  • Statue de Saint Michel - Érigée en 1900 par les paroissiens pour marquer le nouveau siècle.  Rénovée en 2000.
  • Chapelle de l'Ange Gardien -  Située au chemin de l'Ange Gardien, une chapelle existe à cet endroit dès 1817.  Elle est reconstruite après la Première Guerre mondiale. Elle a été incendiée le Modèle:Date-.
  • Chapelle Marie Notre Mère - Située chemin du Loup.
  • Chapelle Notre-Dame des Affligés - Située chemin des patards, elle a été reconstruite en 1925.
  • Chapelle Notre-Dame des Champs - Aussi nommée "chapelle du château des Bois".  Édifiée en 1863 par la famille Crépel et dédiée à la Bonne Mort.  Endommagée durant la Seconde Guerre mondiale, elle est restaurée à cette époque par Mr Robert Crépel qui la dédie à Notre-Dame des Champs.
  • Chapelle Notre-Dame de Délivrance - Construite en 1820 par la veuve Rouzé.  Reconstruite en 1914 par Monsieur Paul Lepercq-Gruyelle. Elle est détruite pendant la première guerre mondiale puis rebâtie par Mr Paul Lepercq en 1924.  Rénovée successivement en 1945 puis en 2004 par les anciens combattants.
  • Chapelle Notre-Dame des Victoires - Située Route de Linselles.  Reconstruite en 1904.
  • Chapelle Notre-Dame des Victoires - située rue du Maréchal Foch, connue aussi sous le nom de chapelle Wagnon.
  • Chapelle de la Vierge Mère - Située rue du Quai.  Elle a été construite en 1904 par la famille Lehouck-Warlop, détruite pendant la Première Guerre mondiale et reconstruite en 1923.
  • Chapelle Notre-Dame du Bon Secours - Aussi nommée "Chapelle Wauquiez".  Construite en 1838.
  • Chapelle Saint Joseph - Aussi nommée chapelle du Cœur Joyeux.  Elle a été construite en 1874 en mémoire de Jean-Jacques Lutun, détruite pendant la Première Guerre mondiale, reconstruite en 1924 et rénovée en 1992.

Galerie d'images

Personnalités liées à la commune

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Cartes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références

Pour approfondir

Modèle:Autres projets

Bibliographie

  • Charles Fretin, Notes historiques touchant Quesnoy-sur-Deûle, Lille : Lefebvre-Ducrocq, 1855. Texte en ligne disponible sur NordNum
  • Fretin C (1855) Notes historiques touchant Quesnoy-sur-Deule. Lefebvre-Ducrocq (avec Google Books).
  • Quesnoy-sur-Deûle, Par nos rues et chemins. Ville de Quesnoy-sur-Deûle, 2004, Modèle:ISBN
  • Lefebvre R., Quesnoy-sur-Deûle dans la deuxième Guerre Mondiale, Quesnoy et son histoire, 2019 Modèle:ISBN
  • Lefebvre R., Quesnoy-sur-Deûle & ses maires au 19ème siècle, Quesnoy et son histoire, 2020 Modèle:ISBN

Articles connexes

Liens externes

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