Robert Charlebois
Robert Charlebois, né le Modèle:Date de naissance- à Montréal (Québec), est un auteur-compositeur-interprète, musicien et acteur québécois. Personnage polyvalent, il n'a pas cessé de se réinventer au fil des ans, semant l'étonnement ou la consternation chez ses fans.
Parolier mais avant tout compositeur-interprète et homme de scène, il a mis en musique des textes de Réjean Ducharme, de Marcel Sabourin, de Claude Péloquin, de Claudine Monfette (Mouffe), d'Arthur Rimbaud, de Daniel Thibon, d'Alfred Jarry et de Marcel Beauchamp. Dans les années 1970, alors qu'il est édité par les disques Barclay, il effectue une tournée française houleuse avec Léo Ferré. Au cinéma, il tient un rôle secondaire dans Entre la mer et l'eau douce en 1967. L'année suivante, il tient un premier rôle dans Jusqu'au cœur. Il signe quelques musiques de film, dont celle du populaire Deux femmes en or, en 1970. En 1975, aux côtés de Terence Hill et Miou-Miou, il est la vedette d'un western spaghetti produit par Sergio Leone, Un génie, deux associés, une cloche<ref>Québec info musique : Robert Charlebois</ref>.
Il est considéré comme un géant de la chanson québécoise aux côtés de Félix Leclerc et Gilles Vigneault (avec lesquels il a fait le spectacle J'ai vu le loup, le renard, le lion en 1974). Il a aussi eu une influence importante sur d'autres artistes tels que Daniel Boucher.
Pendant douze ans, il s'est investi dans des microbrasseries, et a été vice-président d'Unibroue. Il est récipiendaire de l'Ordre national du Québec et de l'Ordre du Canada.
Biographie
Enfance
le 13 juin 2012
Issu de parents petits-bourgeois<ref>https://www.erudit.org/en/journals/cd/2007-n89-cd1044971/6908ac.pdf</ref>, Robert Charlebois est le fils du lieutenant Maurice Charlebois (ARC), ingénieur dirigeant une usine métallurgique d’outils de précision qui fournissait l’armée américaine, et de Germaine Guay, secrétaire<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
En 1944, la famille<ref>Généalogie du Québec et d'Amérique française </ref> Charlebois habite à Montréal sur la rue Fabre<ref>CHARLEBOIS, PAR-DELÀ LINDBERG </ref> plus précisément au 4849 rue Fabre (Appartement 4)<ref>Bibliothèque et Archives nationales du Québec (BAnQ) Annuaires Lovell de Montréal et sa banlieue, 1842-2010</ref> dans l'actuel arrondissement du Plateau Mont-Royal. Initialement bon élève, malgré les fréquents changements d'école auxquels le contraignent les déménagements familiaux, Robert Charlebois est un enfant « timide, discret, taciturne »Modèle:Sfn. Supportant mal la discipline rigoriste de l'école, il soigne sa mélancolie par le piano, instrument pour lequel il a reçu très tôt des leçons.
Formation théâtrale
Après sa rhétorique (sixième année du cours classique), il travaille durant quelques mois Modèle:Incise à La Roulotte, théâtre itinérant de la Ville de Montréal pour amuser les enfants : c'est là qu'il Modèle:Citation, si bien qu'en septembre suivant il entre à l’École nationale de théâtreModèle:Sfn, où il étudie de 1962 à 1965<ref>sur Encyclopédie canadienne.</ref>. Il y rencontre Marcel Sabourin, qui est Modèle:Citation et qui composera plusieurs de ses chansonsModèle:Sfn.
Le chanteur
Débuts
Dès Modèle:Date-, il amorce une carrière de chansonnier et fait ses premières apparitions sur scène dans La boite à Clairette (Claire Oddera), où il passe en première partie des spectacles de Félix Leclerc<ref name=babbel>Modèle:Lien web</ref> avec qui il chante à plusieurs reprises dans différents festivals. Il accompagne aussi au piano Jean-Guy Moreau<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
Il enregistre en 1965 un premier album qui lui vaudra le titre de Modèle:Citation au Festival du disque de 1966. Il joue dans deux comédies musicales, Ne ratez pas l'espion de Hubert Aquin et Claude Léveillée et Il est une raison. Il crée la revue musicale Terre des bums à l'automne 1967.
À la suite d'un séjour de trois mois en Californie, sa musique est influencée par l’anticonformisme et la contre-culture<ref name=babbel/>. Son quatrième album, Robert Charlebois avec Louise Forestier paraît en 1968, en pleine période psychédélique et inclut notamment son succès Lindberg, dont les paroles ont été composées par Claude PéloquinModèle:Sfn. Accompagné par le Quatuor de jazz libre du Québec, cet album réalise un alliage entre la poésie en langue populaire du Québec et les rythmes et les sons électriques du rock. En juin 1968, il se présente comme candidat du parti Rhinocéros à Longueuil pour les élections fédérales<ref>Modèle:Article</ref>. En juillet, il remporte au festival de Spa le Grand Prix de la chanson françaiseModèle:Sfn.
L'Olympia en 1969
Le succès de la chanson Lindberg, qu'il chante avec Louise Forestier, le conduit à monter sur la scène de l'Olympia de Paris à la fin mars 1969. Le duo s'y produit en première partie de la chanteuse Georgette Plana. Leur spectacle échevelé et la tenue de Charlebois, Modèle:Citation, déconcertent le public de l'Olympia, venu d'abord pour applaudir cette chanteuse de variétés des Modèle:Nobr. La situation se dégrade après une dizaine de jours : Modèle:Citation<ref>Modèle:Article.</ref> ,<ref>Modèle:Article</ref>. Interviewé par Philippe Vandel (sur France Info, Modèle:Date-), Robert Charlebois revient sur cet épisode en précisant qu'il avait tellement raté son solo que la caisse claire est tombée de la scène et que, furieux qu'on ait baissé le rideau pendant qu'il finissait de chanter, il avait carrément jeté le reste de la batterie dans la salle<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Excédé par ce geste et sensible à l'agacement d'un public dérouté par le psychédélisme rock de Charlebois et sa « gang », Bruno Coquatrix, propriétaire de l'Olympia, fait annuler les spectacles de la troupe québécoiseModèle:Sfn.
Le succès
Ce premier épisode mouvementé de Charlebois en France va largement contribuer à établir sa réputation. Les années qui suivent sont fastes et les succès s'enchaînent : Dolorès (inspirée de Dolorès Monfette), Tout écartillé, Québec Love, Te v'là, Les ailes d'un ange, Miss Pepsi, Mon pays ce n'est pas un pays c'est un job, Mr. Plum, Fu Man Chu, Conception, Ent' 2 joints, Je rêve à Rio.
En septembre 1970, il attire Modèle:Nombre personnes sur la Place des nations à Montréal<ref>Modèle:Article</ref>. Retournant sur la scène de l'Olympia en octobre 1972, il est ovationné par le public<ref>Modèle:Article.</ref>. L'année suivante marquera sa «consécration» par la critique française qui le décrit comme Modèle:Citation. En 1976, il donne 12 représentations au Palais des congrès et ravit la critique<ref>Modèle:Article.</ref>.
De cette époque féconde sur le plan de la créativité, resteront comme des classiques Ordinaire et, en France notamment, Je reviendrai à Montréal. Il déçoit toutefois certains critiques avec ses albums Swing Charlebois Swing et Longue distance<ref>Modèle:Article</ref> et, lors de sa tournée en France en 1979, il ne remplit plus les salles qu'à moitié<ref>Modèle:Article.</ref>. Avec les années, le chanteur révolutionnaire des débuts a connu la paternité avec un fils nommé Victor et a pris goût au golf. En 1981, Nathalie Petrowski exprime sa désillusion : Modèle:Citation. Charlebois reste cependant très populaire en France, où il triomphe à l'Olympia en janvier 1983<ref>Modèle:Article</ref>. Invité en septembre 1983 à la Fête de l'Humanité, il se fait remarquer par son appel à une minute de silence pour les victimes de la destruction du boeing sud-coréen par la chasse soviétique. Il restera en France la superstar emblématique du Québec jusque vers la fin des années 1990Modèle:Sfn.
La vedette de cinéma
Dès 1967, il a son premier rôle au cinéma dans le film Entre la mer et l'eau douce de Michel Brault<ref>Modèle:Article</ref>. En 1968, il fait la musique et joue dans Jusqu'au cœur de Jean-Pierre Lefebvre.
Lors d'un spectacle en marge du festival de Cannes 1972, il attire l'attention de Sergio Leone. Ce dernier lui propose un rôle dans un film dont il écrit le scénario : Un génie, deux associés, une cloche<ref>Modèle:Article</ref>. Après ce film, qui sort en 1975<ref>Modèle:Article.</ref>, Charlebois jouera dans une dizaine de films, le plus récent étant Gabrielle de Louise Archambault paru en 2013.
Le brasseur d'affaires
En 1992, Charlebois achète Modèle:Nombre de la compagnie Unibroue<ref>Modèle:Article</ref>, une microbrasserie qui commercialise des bières Modèle:Incise dont il n'hésite pas à vanter les mérites lors de ses spectacles<ref>Modèle:Article</ref>,<ref>Modèle:Article</ref>. Il devient vice-président de la compagnie en 1994<ref>Modèle:Article</ref>.
Il s'investit pour la première fois dans une cause humanitaire en donnant un spectacle-bénéfice pour le Regroupement des magasins-partage en octobre 2003<ref>Spectacle-bénéfice de Robert Charlebois, La Presse, 3 octobre 2003, p. 6.</ref>.
Le romancier
En 1999, il publie On dirait ma femme... en mieux, un roman qui se veut Modèle:Citation tout en enfilant les lieux communs et fort mal écrit, décevant la critique en France comme au Québec<ref>Modèle:Article</ref>.
Hommages
En 1994, Robert Charlebois est nommé « parrain du Patriote » pour le Modèle:50e de fondation du théâtre Le Patriote de Saint-Agathe<ref>Modèle:Article</ref>.
Entre 2020 et 2023, Robert Charlebois, après avoir fait une tournée pour ses 50 ans de carrière, se lance dans une série de concerts - « Robert en Charleboiscope » reliant ainsi des images d’archives et ses chansons.
Discographie
Albums
Albums studio
Albums live
- 1975 J'ai vu le loup, le renard, le lion, double album enregistré en 1974 à Québec, sur les Plaines d'Abraham, lors de la Superfrancofête, avec Félix Leclerc et Gilles Vigneault
- 1976 1 fois 5, enregistré cette année-là les Modèle:Nobr, respectivement à Québec, au parc du Bois-de-Coulonge, et à Montréal, sur le mont Royal, à l'occasion de la Fête nationale du Québec, avec Robert Charlebois, Gilles Vigneault, Claude Léveillée, Yvon Deschamps et Jean-Pierre Ferland.
- 1977 Live de Paris, double album enregistré les Modèle:Nobr 1976 au Palais des congrès de Paris (rééd. en double CD)
- 1995 La Maudite Tournée, double CD enregistré au Spectrum de Montréal
- 2006 Au National, coffret de Modèle:Nobr
Simples
Compilations
Collaborations
Spectacles
- début 1960 : se produit sur scène avec Jean-Guy Moreau et pour la première fois Félix Leclerc.
- 1966 :
- Ne ratez pas l'espion de Louis-Georges Carrier.
- Terre des Bums revue avec Jean-Guy Moreau et Mouffe.
- 1968 :
- L'Osstidcho : spectacle total au Théâtre de Quat'sous<ref>« La première de l'Osstidcho », Les 30 journées qui ont fait le Québec, Eurêka! Productions, 47 minutes, 2000.</ref>.
- Peuple à genoux, revue avec Mouffe, le Quatuor de jazz libre du Québec, Yvon Deschamps et Louise Forestier .
- Représente le Québec au Cinquième Festival International de la Chanson Française.
- Tournée musicale dans le cadre de sa présentation sous la bannière du Parti du rhinocéros contre Jean-Pierre Côté dans la circonscription de Longueuil il obtient 354 voix<ref>sur le site du Parlement du Canada</ref>.
- 1969 : L'Osstidcho meurt au Palais Montcalm.
- 1970 : le Festival Express en train le long de Route transcanadienne avec des artistes comme The Grateful Dead, Janis Joplin, The Band.
- 1973 : tournée en France avec Léo Ferré.
- Modèle:Date- : Le Festival international de la jeunesse francophone, la Superfrancofête, qui a lieu à Québec et à Sainte-Foy du 13 au Modèle:Date- . L'événement, lui permet de créer des liens entre les citoyens de la communauté francophone internationale, en plus d'artistes comme Leclerc, Vigneault et aussi des politiques comme Pierre Elliott Trudeau, René Lévesque et Robert Bourassa.
- Après des tournées en France en 1969, 1970 à l'Olympia en 1972, 1973 et 1974 ; de 1974 à 1976 en congé sabbatique .
- 1976 :
- aux fêtes de la Saint-Jean au Mont-Royal ,
- et au village olympique de Montréal.
- Tournée au Québec et en France, dix concerts au Palais des Congrès.
- 1983 :
- ouverture du Festival d'été de Québec
- 1989 :
- lors du Festival d'été de Québec avec Louise Forestier ,
- aux fêtes de la st-Jean à Montréal.
- 2016
- A l’occasion de ses 50 ans de carrière, il remonte sur scène pour un concert électro acoustique accompagné de 5 musiciens afin de reprendre ses plus grands classiques. Il sera le 11 et le Modèle:Date- sur la scène de Bobino avant une tournée à travers toute la France en novembre / Modèle:Date-.
Extrait de sa filmographie
- 1967 : Entre la mer et l'eau douce de Michel Brault avec Geneviève Bujold, Claude Gauthier
- 1968 : Jusqu'au cœur de Jean-Pierre Lefebvre. Il en a fait la musique et il y joue un rôleModèle:Sfn
- 1969 : À soir on fait peur au monde de François Brault et Jean Dansereau (1969) avec Mouffe, Louise Forestier et le Quatuor de jazz libre du Québec<ref>
Modèle:Article</ref>
- 1975 : Un génie, deux associés, une cloche (Un genio, due compari, un pollo) de Damiano Damiani, Sergio Leone avec Terence Hill, Miou-Miou
- 1975 : L'Agression de Gérard Pirès avec Jean-Louis Trintignant, Catherine Deneuve
- 1983 : La Fiancée qui venait du froid de Charles Nemes avec Thierry Lhermitte, Barbara Nielsen
- 1985 : Les Longs Manteaux de Gilles Béhat avec Bernard Giraudeau
- 1986 : Sauve-toi, Lola de Michel Drach avec Carole Laure, Jeanne Moreau et Sami Frey
- 2000 : On n'est pas là pour s'aimer (TV) de Daniel Janneau, (+ musique)
- 2011 : French Immersion (C'est la faute à Trudeau) de Kevin Tierney
- 2012 : Un bonheur n'arrive jamais seul de James Huth : Jean-Seb Bigstone.
- 2013 : Gabrielle de Louise Archambault
Livre
- On dirait ma femme... en mieux, roman paru en 1999. Les Éditions Internationales Alain Stanké, 1999, Éditions Robert Laffont S.A., Paris pour la France, la Belgique et la Suisse, 1999 Modèle:ISBN
Lauréats et nominations
Gala de l'ADISQ
artistique
Année | Catégorie | Pour | Résultat |
---|---|---|---|
1981<ref>Modèle:Lien web</ref> | chanson de l'année | Moi Tarzan, toi Jane (avec Luc Plamondon) | nomination |
1982<ref>Modèle:Lien web</ref> | interprète masculin de l'année | Robert Charlebois | nomination |
microsillon de l'année/auteur et/ou compositeur-interprète | Heureux en amour | nomination | |
1983<ref>Modèle:Lien web</ref> | artiste s'étant le plus illustré hors-Québec | Robert Charlebois | nomination |
chanson de l'année | J't'aime comme un fou (avec Luc Plamondon) | lauréat | |
Les talons hauts (avec Luc Plamondon) | nomination | ||
interprète masculin de l'année | Robert Charlebois | nomination | |
microsillon de l'année/auteur et/ou compositeur-interprète | Robert Charlebois | lauréat | |
1984<ref>Modèle:Lien web</ref> | interprète masculin de l'année | Robert Charlebois | nomination |
spectacle de l'année - musique et chansons | J't'aime comme un fou | lauréat | |
1985<ref>Modèle:Lien web</ref> | auteur et/ou compositeur de l'année | Robert Charlebois et Claude Péloquin pour C'est pas physique, c'est électrique | nomination |
chanson de l'année | C'est pas physique, c'est électrique | nomination | |
interprète masculin de l'année | Robert Charlebois | nomination | |
microsillon de l'année - pop | Super position | nomination | |
1986<ref>Modèle:Lien web</ref> | interprète masculin de l'année | Robert Charlebois | nomination |
1989<ref>Modèle:Lien web</ref> | chanson populaire de l'année | Silence on danse | nomination |
interprète masculin de l'année | Robert Charlebois | nomination | |
1990<ref>Modèle:Lien web</ref> | spectacle de l'année - pop/rock | Dense | nomination |
1993<ref>Modèle:Lien web</ref> | prix hommage | Robert Charlebois | lauréat |
1994<ref>Modèle:Lien web</ref> | interprète masculin de l'année | nomination | |
spectacle de l'année - auteur-compositeur-interprète | La maudite tournée | nomination | |
1996<ref>Modèle:Lien web</ref> | artiste québécois s'étant le plus illustré hors Québec | Robert Charlebois | nomination |
1997<ref>Modèle:Lien web</ref> | album de l'année - pop/rock | Le chanteur masqué | nomination |
2002<ref>Modèle:Lien web</ref> | album de l'année - folk contemporain | Doux sauvage | lauréat |
auteur ou compositeur de l'année | Robert Charlebois | nomination | |
2003<ref>Modèle:Lien web</ref> | spectacle de l'année - auteur-interprète-interprète | Doux sauvage brasse | nomination |
2006<ref>Modèle:Lien web</ref> | Tout écartillé | nomination | |
2007<ref>Modèle:Lien web</ref> | album de l'année - rock | Charlebois au national - tout écartillé | nomination |
2019<ref>Modèle:Lien web</ref> | album de l'année - adulte contemporain | Et voilà | nomination |
2020<ref>Modèle:Lien web</ref> | spectacle de l'année - auteur.e-compositeur, compositrice-interprète | Robert en CharleboisScope | lauréat |
industriel
Année | Catégorie | Pour | Résultat |
---|---|---|---|
1998<ref>Modèle:Lien web</ref> | metteur en scène de l'année | Robert Charlebois pour Raconte-moi, Gelsomina de Claude Dubois, Christian Durocher et Louise Marleau | nomination |
2002 | scripteur de spectacles de l'année | Robert Charlebois pour Charlebois doux sauvage | nomination |
2006 | metteur en scène de l'année | Robert Charlebois et Claude Larivée pour Tout écartillé | nomination |
scripteur de spectacles de l'année | Robert Charlebois pour Tout écartillé | nomination | |
2009<ref>Modèle:Lien web</ref> | metteur en scène de l'année | Robert Charlebois pour Il était une fois... la boîte à chansons d'artistes variés | nomination |
scripteur de spectacle de l'année | nomination |
Autres prix
Hommages
- La rue Charlebois a été nommée en son honneur, en 1977, dans l'ancienne ville de Beauport maintenant fusionnée avec la ville de Québec depuis 2002<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Références
Bibliographie
- « Robert Charlebois 1965-1975 » - Louise Lachapelle, Le Soleil Perspectives, Modèle:Date-, vol. 17, n° 7, p. 15-17.
- « Robert Charlebois déchiffré » - Claude Gagnon, Albin Michel / Rock & Folk, 1976.
- Modèle:Article