Saint-Laurent-la-Vallée
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France
Saint-Laurent-la-Vallée est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Géographie
Généralités
Saint-Laurent-la-Vallée se situe dans le Périgord noir. À proximité du bourg se trouve la Font d'Henri, source de la Vallée, affluent de la Nauze. Les bois, essentiellement du châtaignier, représentent un tiers de la surface communale<ref>CPRF Interbois, 2003, Étude préalable à la mise en œuvre de la rédaction d'une charte forestière de territoire au sud du Périgord.</ref>.
Communes limitrophes
Saint-Laurent-la-Vallée est limitrophe de six autres communes.
Géologie et relief
Géologie
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Saint-Laurent-la-Vallée est située dans le deuxième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de roches calcaires très dures du Jurassique que la mer a déposées par sédimentation chimique carbonatée, en bancs épais et massifs<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle est dans le causse de Daglan, au sud-ouest autour de Daglan, entre Saint-Cyprien, Domme et Villefranche-du-Périgord, vaste ensemble éclaté présentant de nombreux faciès calcaires, constitués principalement de pelouses sèches, de steppes, et de forêts perdant leurs feuilles en hiver.
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. Le sous-sol est constitué d'une couverture tertiaire (plateau éocène au sud-ouest du centre du village) qui recouvre en discordance stratigraphique les formations du Mésozoïque (Jurassique et Crétacé à l'est, Crétacé à l'ouest), faillées et plissées.
La formation la plus ancienne, notée j6-7, date du Kimméridgien terminal au Tithonien, composée de calcaires micritiques en petits bancs alternant avec des bancs marneux à lumachelles. La formation la plus récente, notée Fy3-z, fait partie des formations superficielles de type alluvions subactuelles à actuelles. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « Modèle:N° - Gourdon » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine<ref>Modèle:Géoportail</ref>,<ref name=SIGES>Modèle:Lien web</ref> et sa notice associée<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Relief et paysages
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (Modèle:Unité, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (Modèle:Unité à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre Modèle:Unité et Modèle:Unité<ref name="Cassini"/>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le Modèle:Date-, renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères<ref group=Note>Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune fait partie du Périgord noir, un paysage vallonné et forestier, qui ne s’ouvre que ponctuellement autour de vallées-couloirs et d’une multitude de clairières de toutes tailles. Il s'étend du nord de la Vézère au sud de la Dordogne (en amont de Lalinde) et est riche d’un patrimoine exceptionnel<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de Modèle:Unité<ref name="Cassini"/>,<ref>Modèle:Lien web</ref>,Modèle:Note. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de Modèle:Unité<ref name=SIGES/>.
Hydrographie
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est drainée par la Vallée, le ruisseau de Mandalou, le Fonbounou, le Merdalou, le Lécadou et par un petit cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail</ref>.
La Vallée, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans le nord-ouest de la commune et se jette dans la Nauze en rive droite à Siorac-en-Périgord<ref>Modèle:Sandre</ref>. Elle baigne le territoire communal sur un kilomètre et demi en deux tronçons, dont Modèle:Nobr en limite de Grives.
Son affluent de rive droite le Fonbounou borde la commune au nord-ouest sur près de deux kilomètres et demi face à Castelnaud-la-Chapelle et Grives.
Le ruisseau de Mandalou, affluent de rive gauche de la Lousse et sous-affluent du Céou, arrose le sud de la commune sur deux kilomètres.
Son affluent de rive droite le Merdalou borde le sud du territoire communal sur Modèle:Nobr, face à Saint-Pompont.
Son affluent de rive gauche le Lécadou baigne le sud de la commune sur près de deux kilomètres, dont un kilomètre et demi sert de limite naturelle, face à Doissat et Saint-Pompont.
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne amont ». Ce document de planification, dont le territoire s'étend des sources de la Dordogne jusqu'à la confluence de la Vézère à Limeuil, d'une superficie de Modèle:Unité est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)<ref>Modèle:Lien web</ref>. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web</ref>.
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Belves », sur la commune de Pays de Belvès, mise en service en 1988<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, dans le département du Lot, mise en service en 1961 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Urbanisme
Typologie
Saint-Laurent-la-Vallée est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (52,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (55,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (48,9 %), forêts (47,4 %), prairies (3,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,2 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.
Prévention des risques
Le territoire de la commune de Saint-Laurent-la-Vallée est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Saint-Laurent-la-Vallée est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du Modèle:Date- fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février<ref>Modèle:Lien web, chapitre Feux de forêts.</ref>. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels<ref>Modèle:Lien web, chapitre Mouvements de terrain.</ref>. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie<ref>Modèle:Lien web</ref>. 68,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>. Depuis le Modèle:Date-, en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort<ref group=Note>Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999, par la sécheresse en 2005 et par des mouvements de terrain en 1999<ref name=Géorisques/>.
Toponymie
La première mention écrite connue du lieu, Ecclesia Sancti Laurentii, remonte au début du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle et concerne son église<ref name=lieux/>.
Jusqu'au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, Saint-Laurent-la-Vallée avait pour nom « Saint Laurent (de) Castelnau », nom remontant à l'époque féodale relative à la seigneurie de Castelnaud<ref name=lieux/>,<ref name=Carles/>.
Par décret du Modèle:Date-, la commune de Saint-Laurent-de-Castelnaud prend le nom de Saint-Laurent-la-Vallée<ref name=Cassini/>.
Le nom du lieu se réfère à saint Laurent, martyr chrétien du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle<ref name=Carles>Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), Modèle:ISBN, Modèle:P..</ref>. La seconde partie du nom correspond au ruisseau, la Vallée<ref name=lieux>Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, Modèle:P., éditions Fanlac, 2000, Modèle:ISBN, Modèle:P..</ref>, qui prend sa source au nord-ouest du village.
En occitan, la commune porte le nom de Modèle:Langue<ref>Le nom occitan des communes du Périgord - Sent Laurenç de Valech sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le Modèle:Date-.</ref>.
Histoire
Outre un dolmen indiquant une présence humaine au Néolithique, le territoire communal présente plusieurs sites (Boissac, Laumède, Mitou) fréquentés à l'époque préhistorique<ref name=lieux/>.
Politique et administration
Rattachements administratifs
La commune de Saint-Laurent-la-Vallée a, dès 1790, été rattachée au canton de Daglan qui dépendait du district de Sarlat jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviôse an IX (Modèle:Date) portant sur la « réduction du nombre de justices de paix », la commune est rattachée au canton de Domme dépendant de l'arrondissement de Sarlat (devenu l'arrondissement de Sarlat-la-Canéda en 1965)<ref name=Cassini/>.
Intercommunalité
Fin 1997, Saint-Laurent-la-Vallée intègre dès sa création la communauté de communes du Canton de Domme. Celle-ci est dissoute au Modèle:Date- et remplacée au Modèle:Date- par la communauté de communes de Domme-Villefranche du Périgord.
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 100 et Modèle:Unité au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020<ref>Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 11 septembre 2020.</ref>,<ref>Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 18 novembre 2020.</ref>.
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Équipements et services publics
Justice
En 2023, dans le domaine judiciaire, Saint-Laurent-la-Vallée relève<ref> Modèle:Lien web.</ref> :
- du tribunal de proximité de Sarlat-la-Canéda ;
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes et du tribunal de commerce de Bergerac ;
- du pôle Nationalité du tribunal judiciaire de Périgueux (compétent uniquement dans le domaine de la nationalité) ;
- de la cour d'appel et de la cour administrative d'appel de Bordeaux.
Population et société
Démographie
Modèle:Population de France/section
Manifestations culturelles et festivités
- Au mois d'août, fête annuelle sur trois jours<ref>« C'est la grande fête annuelle à Saint-Laurent-la-Vallée », Sud Ouest édition Dordogne, Modèle:Date, Modèle:P..</ref>.
Économie
Emploi
En 2015<ref>Dossier complet - Commune de Saint-Laurent-la-Vallée (24438) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 17 janvier 2019.</ref>, parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent Modèle:Unité, soit 44,5 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (21) a augmenté par rapport à 2010 (six) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 17,8 %.
Établissements
Au Modèle:Date-, la commune compte Modèle:Nombre<ref>Modèle:Lien web.</ref>, dont quinze au niveau des commerces, transports ou services, six relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, cinq dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, trois dans la construction, et deux dans l'industrie<ref>Dossier complet - Commune de Saint-Laurent-la-Vallée (24438) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 17 janvier 2019.</ref>.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Saint-Laurent située au centre du village comprend un portail du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle inscrit en 1970 au titre des monuments historiques<ref>Modèle:Base Mérimée, consultée le 7 février 2018.</ref>. Le chœur est ancien, mais la nef a été construite en 1870. Une des deux voûtes de la nef s'est effondrée en Modèle:Date- et l'édifice est fermé depuis<ref>Sud-Ouest : L’église de Saint-Laurent-la-Vallée (24) devra être entièrement classée (22/06/2010)</ref>. La nef possède plusieurs vitraux, dont deux représentant saint Laurent et une sainte bergère sont de Jean Besseyrias, et un vitrail représentant un saint avec lis et hache est de Louis-Victor Gesta.
- La Tour des Anglais au village de la Gardelle.
- Mégalithe appelé la Peyre-Longue, au bord de la route de Doissat.
-
L'église Saint-Laurent. -
Son portail roman.
Personnalités liées à la commune
Héraldique
Modèle:Article connexe Modèle:Blason commune
Pour approfondir
Articles connexes
- Liste des communes de la Dordogne
- Liste des anciennes communes de la Dordogne
- Communauté de communes de Domme-Villefranche du Périgord
- Dordogne (département)
- Périgord
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes