Saint-Servais (Côtes-d'Armor)

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France

Saint-Servais {{#ifeq:1|0|[sɛ̃ sɛʁvɛ]|[[Alphabet phonétique international|Modèle:Nobr]]}} (Sant-Servez-Kallag en breton) est une commune française située dans le département des Côtes-d'Armor en région Bretagne.

Géographie

Situation

Fichier:Map commune FR insee code 22328.png
Carte de la commune de Saint-Servais (Côtes-d'Armor).

Modèle:Section communes limitrophes d'article de commune de France

Relief et hydrographie

Saint-Servais a un relief accidenté : les points les plus élevés de la commune se trouvent dans sa partie orientale (292 mètres au sud-est du hameau de Burtulet, ainsi qu'au nord de celui de Kermatahan ; la chapelle de Burtulet est à 270 mètres) ; sept éoliennes alignées nord-sud dans la partie centrale du finage communal sont implantées sur une ligne de hauteurs entre 280 et 255 mètres d'altitude ; plus à l'ouest le mont Saint-Michel est une colline isolée qui culmine à 273 mètres.

Les blocs de granite qui se trouvent à proximité de la chapelle du Burthulet sont dénommés "boules du diable", la légende disant que c'était des boules avec lesquelles le diable jouait pour tenter de se réchauffer<ref>Serj Le Maléfan, "Granites de Bretagne", Coop Breizh, 2013, Modèle:ISBN.</ref>.

Fichier:Ruisseau des Gorges du Corong.JPG
Le Ruisseau de l'Étang du Follézou dans les Gorges du Corong.

Les altitudes les plus basses se trouvent en périphérie du territoire communal dans les vallées encaissées des rivières servant de limite communale : à l'est et au nord le Ruisseau de Pont Ménez sépare Saint-Servais de Maël-Pestivien et Bulat-Pestivien ; plus en aval, après sa confluence avec le Ruisseau de Poull Goaz Hélou, il devient le Ruisseau de Pont Hellou et sépare alors Saint-Servais de Callac ; au sud-ouest la Ruisseau de Keranglet forme pour partie la limite avec Duault ; deux de ses affluents (le Ruisseau de Kerroux et le Ruisseau de Kerdren) traversent, dans des vallées aussi très encaissées, la partie sud-ouest de la commune, contribuant à accentuer son relief accidenté, notamment au voisinage du bourg de Saint-Servais qui est à 166 mètres d'altitude au fond de la vallée du Ruisseau de Kerdren alors que les hauteurs avoisinantes dépassent 200 mètres. Le point le plus bas de la commune est à son extrême ouest, à la confluence entre le Ruisseau de Pont Hellou et le Ruisseau de Keranglet, au lieu-dit Pont-ar-Rouz, à 132 mètres d'altitude.

À l'extrême sud du finage communal, le Ruisseau de l'Étang du Follézou sépare Saint-Servais de Locarn, formant à cet endroit des gorges très encaissées où la rivière coule par endroits sous des amoncellement de galets: les Gorges du Corong. Modèle:Article détaillé

Tous ces cours d'eau cités sont des affluents ou sous-affluents de rive gauche de l'Hyères, elle-même affluente de l'Aulne.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000<ref name=Joly/>

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 1,3 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 0,9 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitationModèle:Note : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 16,3 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,5 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rostrenen », sur la commune de Rostrenen, mise en service en 1954<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche<ref group=Note>Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).</ref>, « Saint-Brieuc », sur la commune de Trémuson, mise en service en 1985 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref> à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Transports

Saint-Servais est éloigné des grands axes de communication, desservi seulement par la RD 28, qui vient côté est de Maël-Pestivien et se dirige en direction du nord-ouest vers Callac.

Paysages et habitat

Le paysage agraire de Saint-Servais est le bocage avec un habitat dispersé en écarts formés de hameaux ("villages") et fermes isolées. Les principaux hameaux sont Trefflay,Burtulet, Kerbernès et Kerroc'h Braz. Cinq lieux-dits correspondant à des fermes isolées sont des convenants (Convenant Névez, Convenant le Deuff, Convenant Bercot, Convenant Guillou, Convenant Guernoquin) et situés en lisière de la forêt de Duault et correspondent à des défrichements datant probablement de la fin du Moyen-Âge.

Une part importante du finage communal est occupé par des bois (y compris une partie de la forêt de Duault) et des landes.

Éloignée des villes, la commune a conservé totalement son caractère rural, échappant donc à la rurbanisation.

Urbanisme

Typologie

Saint-Servais est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune est en outre hors attraction des villes<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

Occupation des sols en 2018
Type d’occupation Pourcentage Superficie
(en hectares)
Tissu urbain discontinu 1,2 % 33
Terres arables hors périmètres d'irrigation 10,5 % 297
Prairies et autres surfaces toujours en herbe 20,0 % 567
Systèmes culturaux et parcellaires complexes 36,6 % 1037
Surfaces essentiellement agricoles interrompues par des espaces naturels importants 3,1 % 88
Forêts de feuillus 19,0 % 539
Forêts mélangées 1,1 % 32
Landes et broussailles 1,2 % 35
Forêt et végétation arbustive en mutation 7,2 % 205
Source : Corine Land Cover<ref>Modèle:Lien web.</ref>

Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous les formes Saint-Servais en 1510, Capella Sancti Gervasii en 1549, Saint-Servais en 1675<ref name=infobretagne>Modèle:Lien web.</ref>.

Saint Servais aurait été substitué, au bas Moyen Âge , à saint Gervais , traduction phonétique du breton Jelvest, saint Sylvestre<ref name=infobretagne/>.

Histoire

Préhistoire et Antiquité

« Dans la forêt située à environ un kilomètre de Saint-Servais se trouvent de curieux monuments mégalithiques. Menhirs, immenses blocs de pierres aux inscriptions bizarres, etc.. se rencontrent à chaque pas. Il en est une qui attire plus particulièrement l'attention. Ses dimensions sont énormes. elle mesure de 10 à 13 mètres de largeur et 4 à 5 mètres d'épaisseur. C'est un bloc formidable. Au-dessous se trouve une grotte où habitait autrefois un ermite qui avait un certain renom dans le pays. Son siège en pierre, qui ressemble vaguement à un fauteuil, se trouve à gauche de la grotte »<ref name=guillotin>J. Guillotin, 1929, cité par http://www.infobretagne.com/saint-servais.htm</ref>.

Selon une légende colportée par les habitants du pays, ce serait là que les druides autrefois auraient égorgé leurs victimes et recueillaient leur sang qui coulait dans les rigoles dans des coupes d'or, ce qui est bien entendu peu crédible<ref name=guillotin/>.

Moyen-Âge

Fichier:Saint-Servais - Vieille sculpture du XIIIe siècle - AD22 - 16FI5895.jpg
Vieille sculpture du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle près Saint-Servais (carte postale du début Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle).

Saint-Servais a d'abord fait partie de la trève du Burthulet. La chapelle, ancien lieu de pèlerinage, dépendait de la commanderie des Hospitaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem de La Feuillée et était située dans le fief du seigneur de Quélen<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Selon la tradition, le hameau de Kerléanès (Kerléanez) aurait été un marché important bien avant la création de celui de Callac. Ce hameau est situé en bordure du mur d'enceinte de l'ncien parc de Duault et on y trouve de nombreux débris de poteries enfoncés dans la terre<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Époque moderne

Fichier:Duault carte de Cassini.jpg
Carte de Cassini de la paroisse de Duault incluant ses trèves, dont celles de Saint-Servais et Burtulet (1787).

Jean-Baptiste Ogée décrit ainsi la chapelle de Saint-Servais et les coutumes qui y sont pratiquées en 1778 : Modèle:Citation bloc En 1856, à la suite de l'interdiction décidée par Mgr Lemée, évêque de Saint-Brieuc et de Tréguier, cette tradition s'arrêta, à la suite de l'intervention des gendarmes.ces combats sacrés finirent par être remplacés par la mise aux enchères de l'honneur de porter les bannières<ref>Yann Brékilien, "La vie quotidienne des paysans bretons au XIXe siècle", Librairie Hachette, 1976.</ref>.

Le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

Fichier:Fontaine de Saint-Servais 1891.jpg
La fontaine de Saint-Servais (dessin publié en 1891 dans le "Bulletin monumental").

Saint-Servais est érigée en paroisse par décret du Modèle:Date-. La commune de Saint-Servais (qui englobe Burthulet) a été créée, ainsi que celle de Saint-Nicodème, par l'arrêté du Modèle:Date- qui provoque la partition de la commune de Duault.

Nicolas Le Bras<ref group=Note>Nicolas Le Bras, né en 1825, fut successivement instituteur à Penvénan, Saint-Servais, Ploumilliau et Pleudaniel. Il périt dans le naufrage de la Marie-Thérèse à l'embouchure de la rivière de Tréguier, le Jaudy, le Modèle:Date-. Il était alors conseiller municipal de Tréguier. Il est le père d'Anatole Le Bras.</ref> écrit en 1860 que Saint-Servais, érigée en succursale en 1855, contient 241 maisons et Modèle:Nobr habitants et que la maison commune (mairie et école) de la commune de Duault, dont Saint-Servais est alors une section<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Joachim Gaultier du Mottay écrit en 1862 qu'il se rend chaque année au pardon de Saint-Servais « plus de dix mille pèlerins, non seulement du pays, mais encore du Morbihan et du Finistère<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Le manoir de Kerbournet

Le manoir de Kerbournet fut construit entre 1839 et 1850 à l'emplacement d'un ancien manoir datant du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle par Charles Joseph Tixier Damas de Saint Prix<ref>Charles Joseph André Tixier-Damas de Saint-Prix, né le Modèle:Date- à Brest, décédé le Modèle:Date- à Paramé.</ref> et son épouse Émilie Barbe Guitton<ref>Émilie Barbe Guitton, née le Modèle:Date- à Callac, décédée le Modèle:Date- à Morlaix</ref>, lesquels possédaient aussi le manoir de Traoufeuntenniou en Ploujean où ils séjournaient l'hiver. Émilie Barbe Guitton, comtesse de Saint Prix<ref>http://callac.joseph.lohou.fr/stprix_comtesse.html</ref>, entreprit de collecter les gwerz de la région de Callac, sans doute sous l'impulsion de Jean-François Le Gonidec, ami de son mari ; elle en aurait transmis à Théodore de La Villemarqué selon Anatole Le Bras<ref>http://callac.joseph.lohou.fr/kerbournet_manoir_chateau.pdf</ref>.

Le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

La Première Guerre mondiale

Fichier:259 Saint-Servais.jpg
Le monument aux morts de Saint-Servais.

Le monument aux morts de Saint-Servais porte les noms de 70 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale : parmi eux 10 sont morts en Belgique en 1914 ou 1915 ; François Coïc est mort en Turquie lors de la bataille de Sedd-Ul-Bahr ; Victor Le Tertre est mort en Grèce en 1916 alors qu'il participait à l'expédition de Salonique ; François Huitorel, mort le Modèle:Date- dans l'actuelle Macédoine du Nord ; Yves Le Corveller, Pierre Rinquin et François Huon sont morts en captivité en Allemagne (François Huon est le dernier soldat de la commune mort lors de cette guerre le Modèle:Date-, quatre jours avant l'armistice) ; les autres sont morts sur le sol français, à l'exception de Pierre Le Vern, quartier-maître canonnier, mort le Modèle:Date- lors du naufrage de son bateau, le cargo Pomone, torpillé par un sous-marin allemand<ref name=memorial>Modèle:Lien web.</ref>.

L'Entre-deux-guerres

Yves Le Clech est mort (de maladie) le Modèle:Date- à Tarsus lors de la Campagne de Cilicie<ref name="memorial" />.

La Seconde Guerre mondiale

Fichier:263 Saint-Servais.jpg
Saint-Servais : plaque commémorative en souvenir des déportés.

Le monument aux morts de Saint-Servais porte les noms de 15 personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale; parmi ces victimes, Philippe Tanguy, résistant, déporté, mort le Modèle:Date- à Brême (Allemagne) ; Joseph Guénégou, résistant arrêté le Modèle:Date- lors d'une rafle à Servais en même temps que son fils, déporté au camp de concentration de Neuengamme et décédé le Modèle:Date- dans ce camp ; Arsène Guillossou, résistant déporté au stalag X-B et mort le Modèle:Date- au camp de Sandbostel<ref name=memorial/>.

Politique et administration

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluDonnées Modèle:ÉluFin

Démographie

Modèle:Population de France/section

Économie

À Saint-Servais, la majorité des emplois sont en rapport avec l'agriculture, c'est-à-dire environ 7 entreprises agricoles. La plupart de ces agriculteurs font de l'élevage bovin laitier mais il y a aussi des éleveurs de volailles.

En dehors de ces agriculteurs il y a aussi des métiers qui sont en rapport avec la nature comme : un paysagiste, une exploitation forestière (groupement de la forêt de Duault), un commerce de produits pour agriculteurs et une pension équestre.

En dehors de ces entreprises en rapport avec la nature, il y a aussi un bar (épicerie de dépannage), un plâtrier et un chauffagiste. Enfin, il y a deux administrations : la Poste et la mairie.

Lieux et monuments

La commune compte trois monuments historiques classés :

Par ailleurs :

  • Fontaine près de l'église paroissiale.

Personnalités liées à la commune

Fichier:Saint-Servais-Callac. Plaque Anatole Le Braz.jpg
Saint-Servais : plaque commémorative en mémoire d'Anatole Le Braz.
  • Anatole Le Braz, écrivain et folkloriste, né à Saint-Servais le Modèle:Date-. Il est le premier président de l'Union régionaliste bretonne, le premier parti politique régionaliste breton.
  • Charles Tixier Damas de Saint-Prix, né le Modèle:Date à Tréguier (fils de Charles-Jean-André Tixier Damas, comte de Saint-Prix, qui fut maire de Ploujean, et d'Émilie Barbe Guiton), décédé le Modèle:Date à Ploujean, avocat, lieutenant de louveterie entre 1855 et 1883, grand chasseur de loup dans le centre de la Bretagne (il séjournait pendant la saison de chasse à Kerbournet en Saint-Servais). Il est évoqué à de nombreuses reprises dans le livre de Frank Davies : Chasse aux loups et autres chasses en Bretagne publié en anglais en 1875<ref>Frank Davies, Chasse aux loups et autres chasses en Bretagne, éditions des Montagnes Noires, 2012, Modèle:ISBN.</ref>.
  • Fanch Vidament, « Peintre-paysan », Modèle:Date à Kérity et mort le Modèle:Date à Saint-Servais. Fanch Vidament a peint de nombreux tableaux tout en tenant une petite exploitation agricole en Centre-Bretagne.

Voir aussi

Liens externes

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Notes et références

Notes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références

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