Savignac-les-Églises

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France

Savignac-les-Églises est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

De 1790 à 2015, la commune était le chef-lieu du canton de Savignac-les-Églises.

Géographie

Généralités

Incluse dans l'aire d'attraction de Périgueux<ref>Modèle:Lien web.</ref>, et chef lieu de canton, la commune de Savignac-les-Églises est traversée d'est au sud par l'Isle, principal affluent de la Dordogne.

Le bourg de Savignac, établi sur la rive droite de l'Isle, est situé, en distances orthodromiques, 13 kilomètres au sud-ouest d'Excideuil et 18 kilomètres au nord-est de Périgueux, au croisement des routes départementales 4, 68 et 705 (l'ancienne route nationale 705).

La commune est également desservie au nord par la route départementale 74.

Communes limitrophes

Savignac-les-Églises est limitrophe de sept autres communes.

Modèle:Communes limitrophes

Géologie et relief

Géologie

Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Savignac-les-Églises est située dans le deuxième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de roches calcaires très dures du Jurassique que la mer a déposées par sédimentation chimique carbonatée, en bancs épais et massifs<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle est à la fois dans le causse de Cubjac et le causse de Savignac, qui, avec le causse de Thenon, forment un ensemble de collines karstifiées dans les calcaires liasiques et jurassiques à l'est de Périgueux jusqu'à Excideuil et Thenon, d'environ Modèle:Unité N-S et Modèle:Unité O-E, coupé par les vallées de l'Isle, de l'Auvézère et de la Loue.

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire datant du Cénozoïque et de roches sédimentaires du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée j3a-b, date du Bathonien inférieur à moyen, une alternance de calcaires micritiques gris cryptocristallins avec des argiles parfois ligniteuses ou des marnes noires (formation d'Ajat). La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « Modèle:N° - Périgueux (est) » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine<ref>Modèle:Géoportail</ref>,<ref name=SIGES>Modèle:Lien web</ref> et sa notice associée<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Fichier:24527-Savignac-les-Églises-géologie.svg
Carte géologique de Savignac-les-Églises.

Modèle:Boîte déroulante/début

Ère Période Époque Formations géologiques
Cénozoïque
(0 - Modèle:Donnée stratigraphique)
Quaternaire
(0 - Modèle:Donnée stratigraphique)
Holocène
Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Box-D24 Modèle:Nobr Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Leg-D24
Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Box-D24 Modèle:Nobr Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Leg-D24
Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Box-D24 Modèle:Nobr Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Leg-D24
Pléistocène
Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Box-D24 Modèle:Nobr Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Leg-D24
Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Box-D24 Modèle:Nobr Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Leg-D24
Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Box-D24 Modèle:Nobr Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Leg-D24
Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Box-D24 Modèle:Nobr Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Leg-D24
Néogène
(Modèle:Donnée stratigraphique - Modèle:Donnée stratigraphique)
 non présent
Paléogène
(Modèle:Donnée stratigraphique - Modèle:Donnée stratigraphique)
 non présent
Mésozoïque
(Modèle:Donnée stratigraphique - Modèle:Donnée stratigraphique)
Crétacé
(Modèle:Donnée stratigraphique - Modèle:Donnée stratigraphique)
Supérieur
Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Box-D24 Modèle:Nobr Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Leg-D24
inférieur non présent.
Jurassique
(Modèle:Donnée stratigraphique - Modèle:Donnée stratigraphique)
Supérieur  non présent
Moyen
Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Box-D24 Modèle:Nobr Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Leg-D24
Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Box-D24 Modèle:Nobr Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Leg-D24
Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Box-D24 Modèle:Nobr Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Leg-D24
Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Box-D24 Modèle:Nobr Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Leg-D24
Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Box-D24 Modèle:Nobr Modèle:BD-Charme50 SFGEOL/Leg-D24
Jurassique inférieur  non présent
Trias
(Modèle:Donnée stratigraphique - Modèle:Donnée stratigraphique)
 non présent
Paléozoïque
(Modèle:Donnée stratigraphique - Modèle:Donnée stratigraphique)
 non présent

Modèle:Boîte déroulante/fin

Relief et paysages

Fichier:Savignac-les-Églises causse Savignac (4).jpg
L'ancien terrain militaire sur le causse de Savignac.

Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (Modèle:Unité, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (Modèle:Unité à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre Modèle:Unité<ref name="Cassini"/> au sud, là où l'Isle quitte la commune pour entrer sur celle de Saint-Vincent-sur-l'Isle, et Modèle:Unité<ref name="Cassini"/> à l'extrême sud-est, à quelques dizaines de mètres de la limite avec la commune de Cubjac-Auvézère-Val d'Ans (territoire de l'ancienne commune de La Boissière-d'Ans), sur les hauteurs qui séparent les vallées de l'Isle et de l'Auvézère<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le Modèle:Date-, renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères<ref group=Note>Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. La commune fait partie du Périgord central, un paysage vallonné, aux horizons limités par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemés de prairies et de petits champs<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de Modèle:Unité<ref name="Cassini"/>,<ref>Modèle:Lien web</ref>,Modèle:Note. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de Modèle:Unité<ref name=SIGES/>.

Hydrographie

Réseau hydrographique

La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est drainée par un unique cours d'eau, l'Isle<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail</ref>.

L'Isle, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la Haute-Vienne dans la commune de Janailhac et se jette dans la Dordogne Modèle:Incise en rive droite face à Arveyres, en limite de Fronsac et de Libourne<ref>Modèle:Géoportail.</ref>,<ref>Modèle:Sandre</ref>. Elle traverse la commune de l'est au sud sur six kilomètres dont deux kilomètres et demi servent de limite naturelle en deux tronçons, face à Mayac et Saint-Vincent-sur-l'Isle.

Gestion et qualité des eaux

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de Modèle:Unité, a été approuvé le Modèle:Date-. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)<ref>Modèle:Lien web</ref>. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le Modèle:Date-<ref>Modèle:Lien web</ref>.

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000<ref name=Joly/>

  • Moyenne annuelle de température : Modèle:Tmp
  • Nombre de jours avec une température inférieure à Modèle:Tmp : 3,4 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à Modèle:Tmp : 7,8 j
  • Amplitude thermique annuelle<ref group=Note>L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.</ref> : Modèle:Tmp
  • Cumuls annuels de précipitationModèle:Note : Modèle:Unité
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,6 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,4 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:PdfModèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Coquille », sur la commune de La Coquille, mise en service en 1982<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Brive », sur la commune de Brive-la-Gaillarde, dans le département de la Corrèze, mise en service en 1987 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Milieux naturels et biodiversité

Espaces protégés

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

La commune fait partie du bassin de la Dordogne, un territoire d'une superficie de Modèle:Unité reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en Modèle:Date- et se situe à la fois dans sa « zone tampon » et dans sa « zone de transition »<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Réseau Natura 2000

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)Modèle:Note.

Aucun site Natura 2000 n'a été défini sur la commune<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

Fichier:Savignac-les-Églises causse Savignac.jpg
Le causse de Savignac à Savignac-les-Églises.

L'inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

En 2022, deux ZNIEFF sont recensées sur la commune d’après l'INPN<ref name=INPN1>Modèle:Lien web.</ref>.

Ces ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.</ref> sont des zones calcaires boisées :

La communauté de communes Causses et Rivières en Périgord a acheté à l'armée en 2008 un ancien terrain militaire au cœur du causse de Savignac et l'a aménagé pour des loisirs sportifs<ref name=Notice>Notice sur place : L'aménagement du Causse de Savignac, vue le 23 octobre 2016.</ref>. Un parc photovoltaïque de Modèle:Unité, la « centrale solaire des Crouzilloux », y est prévu<ref name=Notice/>. De 1930 jusqu'aux années 1960, le site était utilisé par les garnisons de Périgueux et n'a été dépollué que partiellement et des restes d'explosifs y subsistent ; de ce fait, la mise en service de la centrale solaire est repoussée à l'été 2024<ref>Hervé Chassain, « Le projet solaire retardé par des restes d'explosifs », Sud Ouest édition Dordogne, Modèle:Date-, Modèle:P..</ref>.

Urbanisme

Typologie

Savignac-les-Églises est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Périgueux, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (68,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (68,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (68,2 %), zones agricoles hétérogènes (27,8 %), mines, décharges et chantiers (2,2 %), zones urbanisées (1,4 %), cultures permanentes (0,4 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Prévention des risques

Le territoire de la commune de Savignac-les-Églises est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)<ref name=Géorisques>Modèle:Lien web</ref>. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Isle. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999, 2007 et 2009<ref>Modèle:Lien web, chapitre Risque inondation.</ref>,<ref name=Géorisques/>.

Savignac-les-Églises est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du Modèle:Date- fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février<ref>Modèle:Lien web, chapitre Feux de forêts.</ref>. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Fichier:24527-Savignac-les-Églises-argile.jpg
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Savignac-les-Églises.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels<ref>Modèle:Lien web, chapitre Mouvements de terrain.</ref>. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie<ref>Modèle:Lien web</ref>. 33,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)<ref group=Carte>Modèle:Lien web</ref>. Depuis le Modèle:Date-, en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort<ref group=Note>Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :

  • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
  • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
  • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1992, 1995 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999<ref name=Géorisques/>.

Toponymie

Le nom de la commune provient du nom d'un personnage d'origine gallo-romane, Sabinius, suivi du suffixe -acum<ref name=lieux>Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, éditions Fanlac, 2000, Modèle:ISBN, Modèle:P..</ref>, indiquant le « domaine de Sabinius ». La seconde partie du nom correspond au village établi autour des deux églises médiévales du lieu<ref name=lieux/>.

En occitan, la commune porte le nom de Modèle:Langue<ref>Le nom occitan des communes du Périgord - Savinhac de las Gleisas sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 27 septembre 2021.</ref>.

Histoire

Fichier:Savignac-les-Églises église clé de voûte.JPG
Clé de voûte du chœur de l'église Saint-Martin.

Avant le Premier Empire

Le territoire communal est occupé dès le Moustérien, comme le prouvent les vestiges retrouvés dans l'abri de Pommier<ref name=lieux/>, sur les bords de l'Isle.

L'église actuelle dédiée à saint Martin porte en sa clé de voûte au-dessus du chœur un blason présentant : Modèle:Citation et la notice entourant celui-ci Modèle:Citation. En effet, Richard était abbé de l'abbaye Saint-Pierre-ès-Liens de Tourtoirac qu'il aurait fondée au cours du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. L'église de Savignac était sans doute un des premiers prieurés dépendant de l'abbaye<ref>Sce A.C.P.S. (Association Culturelle du Pays de Savignac) Bulletin l'Ascalaphe Modèle:N° de juillet 2008</ref>. Ce pourraient être les vestiges d'un ex-voto à l'attention du vicomte Guy Modèle:1er qui a été inféodé suzerain de ce territoire au début des années 1030 pour contrebalancer l'autorité du comte du Périgord par le successeur de l'évêque Frotaire.

En 1120, la chapelle Saint-Christophe est mentionnée sous le nom de Sanctus Christoforus de Savinhaco<ref name=lieux/> parmi la liste des biens de l'abbaye de Tourtoirac dans une bulle du Pape Calixte II. La paroisse de Savignac dépendait de la châtellenie d'Auberoche, elle-même dépendant du château d'Excideuil qui était une des résidence des vicomtes de Limoges.

En 1555, on parle de Savinhac<ref>Archives départementales de Pau dans des documents relatifs à la châtellenie du Périgord alors rattachée à la Navarre.</ref>. En 1680, la paroisse revient à la châtellenie des Bories et la famille de Saint-Astier qui y avait droit de basse, moyenne et haute justice. Modèle:Citation<ref>Le château des Bories à Antonne-et-Trigonant, consulté le 27 juillet 2011.</ref>. En effet, depuis 1572, Henri de Navarre était héritier de la vicomté de Limoges.

Au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, le village s'appelait Savignac-les-Deux-Églises<ref name=lieux/>. En 1724, Louis XV, par des lettres patentes, déclare : Modèle:Citation. C'est à cette époque, entre 1720 et 1750, que semble être désaffectée la chapelle Saint-Christophe.

En 1794, la commune de Saint-Privat-d'Excideuil fusionne avec Savignac-les-Églises. Les villages de Saint-Privat, La Peytelie et La Bourrelie, forts de leur population de 75 feux (environ 200 habitants), gonflent la population communale. Saint-Privat et La Peytelie possèdent également leurs églises. La commune possède donc quatre lieux de culte : l'église paroissiale Saint-Martin, la chapelle Saint-Christophe, la chapelle Saint-Privat et la chapelle Notre-Dame du Mont Carmel. Il subsiste encore à cette époque, en 1794, les vestiges de l'ancienne chapelle de l'hôpital à l'entrée sud du bourg.

La viticulture

Les communes des causses périgourdins connaissaient une importante activité liée à la culture de la vigne. L'ensemble des zones de causse était planté de vigne et ce jusqu'au moment où le phylloxéra a ravagé le vignoble français.

On appelait « vin de Sorges » le vin produit dans le canton de Savignac-les-Églises. Présent depuis l'époque romaine, la vigne a perduré sur la commune jusqu'à nous jours. Le vin faisait partie de l'alimentation quotidienne des personnes et sa culture était un revenu non négligeable pour beaucoup de paysans. Le canton était très viticole jusqu'au milieu du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et l'arrivée des maladies de la vigne. Ces maladies, l'oïdium vers 1850, le phylloxéra vers 1863 et le mildiou vers 1896, commencent à toucher le vignoble français. L'oïdium et le mildiou se traitent grâce à la bouillie bordelaise. Le phylloxéra est plus problématique, touchant la commune vers 1870. Les parcelles ont été replantées avec des cépages américains dont les plus célèbres sont : le Noah<ref>le Noah sur le site de la société Comagri. Consulté le 5 octobre 2009</ref>, le Clinton, l'Herbemont, l'Isabelle, le Jacquez et l'Othello.

La culture de ces six cépages a été interdite, officiellement pour des raisons sanitaires. En effet, le taux de méthanol contenu dans le vin issu de ces cépages est plus élevé que dans celui de Vitis vinifera. Pourtant, une simple analyse permet de prouver que ce taux n'est pas si élevé qu'on le dit<ref>Lettre à la Commission européenne du 25 août 2003 sur le site de l'Association mémoire de la vigne. Consulté le 5 octobre 2009</ref>. D'autre part, seule la fermentation du jus de raisin peut produire le méthanol ; on peut donc manger le raisin ou boire le jus sans risque.

Le contexte politico-économique du début du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, notamment la surproduction, a amené à remettre en question la culture de ces cépages (voir la révolte des vignerons du Languedoc en 1907). On peut imaginer que la légende du Noah « qui rend fou et aveugle » a aidé les paysans à abandonner ce cépage productif et facile à cultiver, ne nécessitant pas de traitements phytosanitaires. Dans des régions vinicoles telles que la région nantaise, productrice de muscadet, sa réputation de « vin qui rend fou » reste tenace encore aujourd'hui<ref>Site du Guichet du savoir. Consulté le 5 octobre 2009</ref>.

Sur l'ensemble de la commune subsistent des murs et des cabanes de pierres sèches. Parce que le travail de la vigne était réparti sur l'ensemble du territoire communal et du fait de sa présence sur le causse, il y avait abondance de pierres. Les générations successives ont constitué tous les murs de pierres sèches longeant les chemins lors de l'épierrage permanent réalisé dans les parcelles de vigne. C'est aussi l'origine de la construction de toutes les cabanes que l'on trouve aujourd'hui : simples abris de travail, remises à outils ou habitats temporaires lors des gros travaux exigés par l'entretien des vignes.

Durant la guerre de 1914-1918, un manque de bras n'a pas permis d'entretenir l'ensemble du vignoble. Beaucoup de parcelles difficiles ou trop éloignées ont été abandonnées et sont revenues à la forêt. Les surfaces en vigne ont continué à décliner jusqu'à la décision d'interdire six plants de vigne en raison de leur prétendue dangerosité. Il convient de se rappeler qu'on est à l'époque de la naissance des traitements phytosanitaires, la viticulture connaît aussi une crise de surproduction sans précédent. Après 15 années de tergiversations, l'État français crée en 1935 l'INAO pour tenter de mettre un semblant d'organisation dans la viticulture française. La première mesure consiste à rendre la production de certains cépages impropre à la consommation afin de résorber des excédents.

Depuis, le territoire cultivé a été utilisé par une agriculture de poly-élevage avec une diminution très importante des actifs agricoles. L'arrivée en 1857 à Périgueux de la ligne de chemin de fer en provenance de Bordeaux, via Coutras, et la création ultérieure à Périgueux des ateliers de la Compagnie du chemin de fer de Paris à Orléans ont encouragé l'exode rural.

Le tramway

En 1888, la commune a vu la construction d'un autorail dénommé « Tacot ». Il prenait son départ à Périgueux, place Francheville, à destination d'Excideuil<ref>Modèle:Lien brisé, consulté le 27 juillet 2011.</ref>. Une gare a été construite au sud du bourg, à l'emplacement actuel de la place du Souvenir. La ligne venait de Périgueux, via Trélissac, Antonne-et-Trigonant et Sarliac, traversait la commune et continuait son parcours vers Excideuil. Le parcours de la voie se faisait sur le tracé de la route départementale 705 jusqu'à la sortie du bourg, puis la voie prenait la route dite de Mayac, avec la gare du Dognon. Les gares suivantes étaient celles de Coulaures, La Reille, Saint-Pantaly-d'Excideuil, Saint-Martial-d'Albarède et enfin Excideuil où la gare retrouvait la ligne de Thiviers à Saint-Aulaire en Corrèze pour rattraper une nouvelle ligne allant de Nexon à Brive-la-Gaillarde.

La ligne de tramway a été fermée en 1948, mais les rails et la gare existaient encore quelques années plus tard. La gare possédait une activité voyageurs, mais aussi une grosse activité de fret, avec la présence d'une bascule pour peser les wagons. Celle-ci a été déconstruite au début des années 1950.

Cette ligne a créé une nouvelle activité économique pour la commune, outre les agriculteurs qui pouvaient expédier plus facilement leur production vers les acheteurs, il y avait aussi une demande de fagots et de bois de chauffage pour la locomotive. Tout au long de la voie, des tas de bois étaient disposés. Ceux-ci faisait l'objet d'un contrat entre l'entreprise et les producteurs. Telle personne avait un contrat envers la Compagnie de chemins de fer départementaux (CFD) pour une quantité de bois à déposer le long de la voie, à un endroit donné, et cela au fil de l'année.

La ligne de tramway était aussi connue pour son arrêt à quelques centaines de mètres avant la gare de Savignac en provenance de Périgueux. Cet arrêt se faisait au lieu-dit Les Graves, proche de l'ancienne carrière désaffectée. Cet arrêt permettait de puiser de l'eau pour la chaudière de la locomotive. De nombreux enfants quittaient alors leur wagon pour finir le parcours à pied à destination de la gare… et se faisaient rattraper par le convoi juste avant leur arrivée.

Politique et administration

Rattachements administratifs et électoraux

La commune de Savignac-les-Églises (appelée Savignac dans un premier temps) est devenue, dès 1790, le chef-lieu du canton de Savignac qui dépendait du district d'Excideuil jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton, qui devient celui de Savignac-les-Églises, est alors rattaché à l'arrondissement de Périgueux<ref name=Cassini/>.

Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du Modèle:Date-, ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015<ref name="Décret2014">Modèle:Lien web.</ref>. La commune est alors rattachée au canton d'Isle-Loue-Auvézère, dont le bureau centralisateur se trouve à Excideuil.

Intercommunalité

Fin 2003, Savignac-les-Églises intègre dès sa création la communauté de communes Causses et Rivières en Périgord.

Au Modèle:Date-, Savignac-les-Églises quitte la communauté de communes Causses et Rivières en Périgord pour rejoindre la communauté d'agglomération Le Grand Périgueux<ref>Modèle:Pdf « Arrêté Modèle:N° portant extension de la CA Le Grand Périgueux aux communes de la CC Pays Vernois Terroir de la Truffe (excepté Limeuil et Trémolat) et aux communes de Manzac-sur-Vern, Sorges et Ligueux en Périgord et Savignac les Eglises », Préfecture de la Dordogne, 15 septembre 2016, Modèle:P..</ref>.

Administration municipale

La population de la commune étant comprise entre 500 et Modèle:Unité au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020<ref>Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 14 septembre 2020.</ref>,<ref>Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 25 novembre 2020.</ref>.

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Jumelages

Modèle:Jumelage<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Équipements et services publics

Justice

En 2023, dans le domaine judiciaire, Savignac-les-Églises relève<ref> Modèle:Lien web.</ref> :

Population et société

Démographie

Modèle:Article connexe

Modèle:Population de France/section

Économie

Emploi

En 2015<ref>Dossier complet - Commune de Savignac-les-Églises (24527) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 30 janvier 2019.</ref>, parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent Modèle:Unité, soit 38,6 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (46) a diminué par rapport à 2010 (51) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 12,2 %.

Établissements

Au Modèle:Date-, la commune compte Modèle:Nombre<ref>Modèle:Lien web.</ref>, dont quarante-trois au niveau des commerces, transports ou services, treize dans la construction, dix relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, huit dans l'industrie, et quatre dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche<ref>Dossier complet - Commune de Savignac-les-Églises (24527) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 30 janvier 2019.</ref>.

Entreprises

Fichier:Savignac-les-Églises carrière (2).JPG
La carrière de calcaire.

Dans le secteur du BTP, parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, la société « Seca SN » (construction d'autres bâtiments) implantée à Savignac-les-Églises se classe en Modèle:42e quant au chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016, avec Modèle:Unité<ref>« BTP », Sud Ouest éco & entreprises édition Dordogne, novembre 2017, Modèle:P..</ref>.

  • École de Savignac : école supérieure de management, spécialisée dans l'hôtellerie, la restauration et le tourisme<ref>École de Savignac consulté le 28 juin 2012.</ref>, ouverte en Modèle:Date-<ref>1988-2008 L'école de Savignac a 20 ans sur le site de l'école de Savignac, consulté le 28 juin 2012.</ref>. Dans son secteur d'activité, elle est classée Modèle:1re au niveau national et Modèle:3e au niveau européen, derrière deux écoles suisses<ref>« Deux nouveaux cursus », Sud Ouest édition Dordogne, 14 février 2013, Modèle:P..</ref>.
  • Exploitation de calcaire sur une importante carrière pouvant traiter Modèle:Unité<ref>Carrière de Savignac les Églises sur le site des carrières de Thiviers.</ref> au nord-ouest du bourg, le long de la route départementale 68.
  • Nombreuses entreprises du bâtiment : (maçonnerie, charpente, plomberie, ferronnerie, menuiserie).
  • Commerces dans le bourg : alimentation, bar, boucherie, dépôts de pain, couturière, fleuriste, quincaillerie, repas à domicile, restaurant, salon de coiffure, tabac, traiteurs.
  • Professionnels de la santé : médecin, infirmière, kinésithérapeute, pharmacie, socio-esthéticienne.
  • Affichage sur panneaux.
  • Marché le mardi matin sur la place de la Mairie. Tous commerces.
  • Nombreux gîtes ruraux et chambres d'hôtes.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Personnalités liées à la commune

Né à Savignac-les-Églises :

Ils ont habité à Savignac-les-Églises :

Héraldique

Fichier:Savignac-les-Églises église peintures (3).JPG
À droite, le blason de la famille du Chaylard.

Modèle:Blason-ville-fr Ce blason a été réalisé au cours du mandat du maire Jacques Mougnaud, la commune n'ayant pas d'armoiries historiques propres mises à part celles de ses seigneurs. Une maxime était jointe sur le filet : Plaisance je fus, plaisante je reste. Celle-ci se référait à l'ouvrage Le Périgord illustré, écrit par l'Abbé Audierne, conservateur des monuments de la Dordogne, qui mentionnait que « Plaisance » était l'ancien nom d'une partie du bourg<ref>Abbé Audierne, Le Périgord illustré, Périgueux, 1851.</ref>. Il est à noter que des héraldistes se sont offusqués de cette mode des armoiries jugées trop descriptives puisque les deux églises étaient citées dans le blasonnement.

Auparavant étaient souvent utilisées les armoiries de la famille du Chaylard<ref>Famille du Chaylard sur Nobiliaire universel de France, Volume 1, Modèle:P. de Nicolas Viton de Saint-Allais, consulté sur Google books le 5 août 2011.</ref> qui se blasonnent ainsi : Modèle:Citation. Ce blason est représenté dans le chœur de l'église Saint-Martin en septième position sur la gauche.

Pour approfondir

Modèle:Autres projets

Articles connexes

Liens externes

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Notes et références

Notes et cartes

  • Notes

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  • Cartes

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Références

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