Tourrettes-sur-Loup

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Voir paronymes Modèle:Infobox Commune de France

Tourrettes-sur-Loup (Torrettas de Lop en provençal) est une commune française située dans le département des Alpes-Maritimes, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Elle porta le nom de Tourrettes-lès-Vence du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle jusqu'à 1894. Ses habitants sont appelés les Tourrettans.

La commune doit sa renommée à son village médiéval situé sur un éperon rocheux dominant la Méditerranée ainsi qu'à la violette, devenue sa principale culture en 1880<ref>L'express international, 2002, page 48.</ref>.

Géographie

Localisation

La cité est établie à l'ouest de Vence (Modèle:Unité), sur un éperon rocheux tombant à pic dont les maisons extérieures forment un rempart surplombant des ravins arborés. Elle se situe ainsi en pays vençois, à Modèle:Unité du littoral et Modèle:Unité de Nice.

Communes limitrophes

Modèle:Communes limitrophes

Géologie et relief

Tourrettes-sur-Loup est comme séparée en deux ensembles géologiques distincts par la RD 2210 (route Vence-Grasse), qui traverse la commune d'est en ouest :

Le village est, quant à lui, fixé à Modèle:Unité d'altitude<ref>Modèle:Lien web</ref> et domine les vallons du Cassan et des Bouirades.

Hydrographie

Fichier:Gorges du Loup.jpg
Les gorges du Loup.

La commune appartient dans son intégralité au bassin hydrographique du Loup.

Elle est traversée par les cours d'eau suivants :

Voies de communication et transports

Transports routiers

Transports publics

Tourrettes-sur-Loup est desservie par une ligne du réseau de transport en commun Envibus, qui dessert la Communauté d'agglomération Sophia Antipolis, et se situe sur l'itinéraire de la ligne 511 (Grasse-Vence) du réseau Zou !, desservant la région Sud.

Le village fut desservi par la ligne ferroviaire Central-Var « Train des Pignes » de 1889 jusqu'à la destruction des viaducs du Loup − à Pont-du-Loup − et de Pascaressa − en dessous du village − par l'armée allemande en 1944, près de six ans avant la fermeture définitive de la ligne en 1950<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Hameaux

Pont-du-Loup, à l'entrée des gorges du Loup, est administrativement divisé entre les communes de Gourdon (Modèle:Unité) et de Tourrettes-sur-Loup (Modèle:Unité).

Urbanisme

Typologie

Tourrettes-sur-Loup est une commune urbaine<ref group=Note>Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Nice, une agglomération intra-départementale regroupant Modèle:Nobr<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Nice est la septième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française), Toulouse et Bordeaux<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nice, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en Modèle:Date- celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Nobr, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (71,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (74,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (45,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (25,4 %), zones urbanisées (20,8 %), zones agricoles hétérogènes (7,3 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,1 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>.

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat

D'après La Dépêche du Midi, Tourrettes-sur-Loup serait la troisième commune de France avec le plus faible taux de logement HLM (1,74 %), derrière Solliès-Toucas (0,79 %) et Le Castellet (1,03 %)<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Histoire

Toponymie

Modèle:Refnec

Préhistoire et Antiquité

Fichier:Tourrettes-sur-Loup BW 2011-06-09 13-40-52.JPG
Maisons-remparts de Tourrettes-sur-Loup.

Le territoire de Tourrettes-sur-Loup est riche en sites préhistoriques et protohistoriques (17 y ont été recensés). En effet, dès le Paléolithique moyen, la grotte de la Baume Obscure et, surtout, celle de Pié Lombard ont été fréquentées. L’occupation paléolithique de Pié Lombard, datée d’environ Modèle:Nombre, a également livré quelques restes d’homme de Néandertal.

Quelques traces d’installation des derniers chasseurs nomades (Épipaléolithique et Mésolithique, entre 11 000 et 6 000 Modèle:Av JC) ont été identifiées à Pié Lombard et aux Courmettes.

Beaucoup plus près de nous, dans le courant du {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ve{{#if:|  }} }} millénaire Modèle:Av JC, on observe quelques traces de fréquentation des grottes par les pasteurs et paysans du Néolithique moyen (Chasséen) : Baume Obscure, grotte de Schlumberger, petit abri du vallon de la Tuilière.

La fin du Néolithique (3500-2000 Modèle:Av JC) n’est documentée que par des sépultures collectives, qu’il s’agisse de mégalithes (Dolmen de Camptrassier, fouillé au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle) ou de grottes (Baume Obscure, grotte du Sanglier).

La plupart de ces sites ont été réutilisés au cours de l’âge du bronze (2000-750 Modèle:Av JC) mais à la fin de cette période on remarque des traces de fréquentation humaine sur les hauteurs (Courmettes, Les Sabières II).

Enfin, trois enceintes semblent avoir été édifiées au cours de l’âge du fer. Deux d’entre elles se situent sur le sommet de la Colle de Naouriès et la dernière, sur le pic des Courmettes. Toutefois, les fragments de céramique non tournée, ramassés sur chacun des sites, n’autorisent pas une datation précise. Des structures pouvant s’apparenter à des habitats ont été observées à l’intérieur ou dans le voisinage de chaque enceinte, mais elles sont peu nombreuses. En outre, l’altitude des sites (Modèle:Unité et Modèle:Nombre), et la pauvreté du sol, rendent difficile une implantation humaine à l’année. Certaines particularités architecturales observées dans les murs de l’enceinte (présence d’un enclos, dimensions importantes des ouvertures), permettent d’envisager la pratique d’activités pastorales, sur ces sommets.

La tradition locale veut qu'un oppidum celto-ligure se trouve sous le village actuel et se serait transformé en un camp romain occupé et ce jusqu'en 476. L'oppidum protohistorique n'est pas attesté. Quant à la présence d'un camp romain, on peut évoquer quelques blocs ouvragés en réemploi dans les murs du village, ainsi que quelques céramiques sigillées qui semblent évoquer le tracé possible d'une enceinte d'époque romaine. Un autel païen voué à Mercure (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle) est réemployé en tant que bénitier dans l'église Saint-Grégoire<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Du Moyen Âge à la Révolution française

Le site subit à partir du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle les invasions barbares des Wisigoths, des Huns, des Francs et des Lombards. En 972, les Sarasins profitent de ce plateau tombant à pic, propice à la défense, pour y édifier une forteresse<ref>Modèle:Lien web</ref>.

On fait référence au site de Tourrettes en 1024 sous le nom de Castrum de Torretis. La ville s'organise autour du château et les maisons construites jusqu'au bord des ravins servent de remparts.

La mort de la reine Jeanne Ire ouvre une crise de succession à la tête du comté de Provence, les villes de l’Union d'Aix (1382-1387) soutenant Charles de Duras contre [[Louis Ier d'Anjou|Louis {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }} d'Anjou]]. Puis Aix se soumet en octobre 1387, ce qui précipite le ralliement des carlistes, dont le seigneur de Tourrettes, Guichard de Villeneuve. Il obtient un « chapitre de paix » de Marie de Châtillon le 2 janvier 1388 et prête hommage à Louis II d'Anjou, âgé de dix ans<ref>Geneviève Xhayet, « Partisans et adversaires de Louis d'Anjou pendant la guerre de l'Union d'Aix », Provence historique, Fédération historique de Provence, volume 40, Modèle:N°162, « Autour de la guerre de l'Union d'Aix », 1990, Modèle:P.408 (note 33).</ref>.

Fichier:Rathaus-Tourrettes1.jpg
Hôtel de ville de Tourrettes-sur-Loup, ancien donjon des Villeneuve.

Lors de la dédition de Nice à la Savoie, en 1387, le village, possession des Grimaldi qui se sont ralliés à la Savoie, est confisqué par le comte de Provence et attribué à Guichard de Villeneuve, dit Bâtard de Vence, issue d'une branche illégitime des Villeneuve-Vence<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>. Ses descendants conserveront la seigneurie jusqu'en 1789. La population s'empare alors du château et en fait son hôtel de ville, ce qu'il est toujours. Le dernier marquis s'enfuit mais est assassiné à Vintimille.

Période contemporaine

En 1894, le village prend le nom de Tourrettes-sur-Loup avec les Chemins de fer de Provence.

Le village se développe et les cultures d'orangers à fleurs, de jasmins et de roses à destination des parfumeries de Grasse sont délaissées au profit du tourisme et de l'artisanat à partir des années 1950<ref>Modèle:Lien web</ref>. Seules les cultures de l'olivier et de la violette, particularité marquante de la commune, ont survécu.

Politique et administration

Tendances politiques et résultats

Modèle:Article connexe Modèle:…

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Démographie

Modèle:Population de France/section

Économie

Fichier:Confiserie Florian des Gorges du Loup Le Pont du Loup Tourrettes sur Loup.JPG
Confiserie Florian.

La cité est essentiellement un centre touristique et un lieu de résidence apprécié. La cité médiévale abrite un artisanat d'art réputé : tissages, poteries, peintures, sculptures, bijoux. L'économie locale est axée sur :

Quant à la charge fiscale supportée par les habitants, le taux d'imposition de la taxe d'habitation était pour 2008 et 2009 de 13,23 %. Elle se classe Modèle:53e sur les 193 communes les plus taxées des Alpes-Maritimes<ref>Le Journal de l'Eco : Nice Matin lundi 12 octobre 2009</ref>.

Fichier:Tourrettes-sur-Loup - panoramio.jpg
Vue du village médiéval.

Culture locale et patrimoine

Village

Fichier:LaPorteNeuf-Tourrettes.jpg
Passage couvert.
Fichier:LaPortedeHorloge-Tourrettes.jpg
La porte de l'horloge, ou beffroi de Tourrettes-sur-Loup.
  • Le village de Tourrettes-sur-Loup possède un caractère médiéval avec ses hautes maisons posées en remparts au-dessus de la vallée du Loup ;
  • Ensemble médiéval du village (lacis de ruelles, voûtes, escaliers, porches, linteaux, etc.) ;
  • Le beffroi (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), place de la Libération, percé d'une porte de plein cintre s'ouvrant sur la Grand-Rue, artère principale du village<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Patrimoine civil

  • La Bastide aux Violettes : musée consacré à la fleur de violette, inaugurée le 6 mars 2010<ref>Modèle:Lien web</ref> ;
  • Les vestiges du viaduc du Loup (hameau de Pont-du-Loup) : achevé en 1892, le viaduc du Loup mesurait 310 mètres de long et 55 mètres de haut avec une courbe de 200 mètres. En 1944, les Allemands l'ont fait exploser. Plus tard, la Compagnie des grands travaux de Marseille a ordonné la destruction du viaduc qui menaçait de s'écrouler. Les piliers considérés comme non dangereux ont été conservés et représentent désormais le symbole du hameau auquel l'ancien ouvrage a donné son nom<ref>Modèle:Ouvrage.</ref> ;
  • L'ancienne commanderie de Templiers de Saint-Martin-de-la-Pelote, en ruine, à l'écart du village<ref>Modèle:Lien web</ref> ;
  • L'Oreille de Gaïa (privé) : construction en pierre en forme d'oreille d'environ 40 m de long sur 10 m de large. Il s'agit d'une aire de battage d'époque moderne destinée au dépiquage des céréales.

Châteaux

Quatre châteaux sont présents sur la commune<ref>Modèle:Lien web</ref> :

  • L'ancien château des Villeneuve (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), dans le village médiéval ;
  • Le château du Caire : c'est César de Villeneuve, seigneur de Tourrettes et de Malvans de 1630 à 1672, qui fait édifier cette demeure en 1646, flanqué de deux tours quadrangulaires en 1754 et 1765 avant d'être saisi à la Révolution et vendu ;
  • Le château des Valettes ;
  • Le château de Courmettes.
Fichier:Eglise-Tourrettes2.jpg
La nef de l'église Saint-Grégoire.

Patrimoine religieux

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}}, reliquaires du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Derrière le maître-autel, autel païen du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle dédié à Mercure ;

  • La chapelle Sainte-Madeleine, décorée de fresques contemporaines de Kralingen en 1953 ;
  • La chapelle Saint-Jean (restaurée en 2005), décorée de fresques de Ralph Soupault.

Divers

La devise de Tourrettes-sur-Loup est Mantenen se, qui signifie « Se maintenir » (c'est-à-dire « toujours debout, vaillant »), en occitan provençal.

Chaque deuxièmes ou troisièmes dimanches du mois de mars, la violette est mise à l'honneur au cours de la fête des violettes, avec des défilés de chars fleuris<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Une communauté non-violente fondée par Lanza del Vasto sur le modèle des ashrams de Gandhi s'est établie pendant quelque temps au début des années 1950 à Tourrettes-sur-Loup.

Personnalités liées à la commune

Fichier:HenryExpert Tourrettes-sur-Loup.jpg
Plaque commémorative à Tourrettes.
  • Émile Dominique Baussy, né à Vence le Modèle:Date, élève de l'École des arts et métiers d'Aix, il devint agent secondaire des Ponts et Chaussées et attaché au bureau de l'Ingénieur en chef du Service spécial de la Durance à Marseille, puis nommé notaire à Tourrettes par décret du 5 mai 1867. Il y exerça jusqu'à fin avril 1877. Nommé maire de Tourrettes le 7 août 1869, il sera maintenu en 1870, démissionnaire en 1873, renommé en 1874 à la demande des habitants, il redémissionnera en 1875.
  • Henry Expert (1863-1952), musicologue, spécialiste de la musique de la Renaissance en France, a vécu et est mort à Tourrettes-sur-Loup.
  • Le compositeur Francis Poulenc (1899-1963) a vécu dans le village.
  • Jacques Prévert (1900-1977) et ses amis Joseph Kosma, Alexandre Trauner ont séjourné pendant la Seconde Guerre mondiale à la pension Les Belles Terrasses, ancien hôtel de la place de la Mairie. Une plaque marque aujourd'hui cet honneur sur la maison. Le film Les Visiteurs du soir fut tourné à cette époque dans les environs. C'est à Tourrettes-sur-Loup que Jacques Prévert et Joseph Kosma ont composé Les feuilles mortes<ref>Guide du Routard Côte d'Azur 2019, page 287.</ref>.
  • Raphaël (dit Ralph) Soupault (1904-1962), dessinateur de presse, a résidé dans la commune de 1951 à 1962. Il a laissé des fresques d'inspiration religieuse dans la chapelle Saint-Jean.
  • Seund Ja Rhee (1918-2009), artiste peintre coréenne, a vécu depuis 1968 jusqu'à son décès en 2009 à Tourrettes-sur-Loup. Elle construisit un atelier aux formes uniques (rappelant le ying et le yang), nommé Rivière Argent (La maison Rhee).
  • Guy Bourguignon (1920-1969), chanteur français, membre des Compagnons de la Chanson, est enterré à Tourrettes-sur-Loup.
  • Antti Lovag (1920-2014), habitologue, habita la Maison Gaudet (maisons bulles), une de ses créations. Dans les années 1960, il fut un des premiers, avec Pascal Häusermann et Jean-Louis Chanéac, à expérimenter en France une architecture organique, qui emprunte aux formes de la nature et tend à une liaison étroite avec les sites naturels.
  • Le sculpteur montréalais Robert Roussil (1925-2013) a vécu et travaillé à Tourrettes de la fin des années 1950 à sa mort.
  • Jacques Martin (1933-2007), le présentateur de L'École des fans sur Antenne 2, le réalisateur canadien David Cronenberg, l'humoriste Guy Bedos ont également habité la commune.
  • Victor Linton a inventé la Fête des violettes.
  • Peter Leslie est un historien anglais qui vécut trente ans à Tourrettes-sur-Loup. Il était un spécialiste de la Seconde Guerre mondiale. Il était marié à l'actrice Nicolette Bernard.
  • Jean Ordan Juste parmi les nations<ref>Jean Ordan, Juste parmi les nations</ref>.

Héraldique

Modèle:Blason commune

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Cartes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Palette Modèle:Portail