Villemomble

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Modèle:Infobox Commune de France Villemomble est une commune française située dans le département de la Seine-Saint-Denis, en région Île-de-France. Ses habitants sont appelés les Villemomblois.

Modèle:Sommaire

Géographie

Situation

Villemomble est située à Modèle:Unité à l'est de Paris, et recouvre, entre autres, le flanc nord du plateau d'Avron.

Communes limitrophes

Villemomble est limitrophe des 7 communes suivantes :

Voies de communication

Villemomble est desservie par :

Urbanisme

Villemomble est une ville résidentielle constituée de zones pavillonnaires et d'immeubles. 23,7 % (en 1999<ref>INSEE et DIV</ref>) de son parc de logements est constitué de logements sociaux comme l'exige la loi SRU.

Typologie

Villemomble est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs, la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en Modèle:Date-, celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire regroupe Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Quartiers de la ville

On peut distinguer différents quartiers, dans Villemomble :

  • au centre-nord : centre-ville - Orangerie
  • au nord-ouest : Les Coquetiers
  • au nord-est : Parc Carette
  • à l'est : Église
  • au sud-est : Époque - Saint-Exupéry
  • au sud : Plateau d'Avron - Mairie
  • à l'ouest : Les Marnaudes - La Fosse aux Bergers

Toponymie

D'après Guy Martignon, la version de l'abbé Lebeuf comme quoi un des compagnons du roi Childebert IV à qui il a distribué en bénéfices des terres entre Paris et Lagny, se nomme Mummole et que son domaine de Mummole ou Modèle:Langue en latin, aurait donné « villemomble » est plus probable que de l'attribuer à Saint Momble<ref name=":0">Modèle:Harvsp</ref>.

L'ouvrage État des communes à la fin du XIXe siècle indique la même étymologie Modèle:Langue mais argue que le nom de Mummole est simplement d'usage à l'époque carolingienne<ref>Modèle:Harvsp</ref>.

Histoire

Modèle:Sources à lier Source bibliographique : Le Grand Livre de Villemomble, des origines à nos jours, Guy Martignon, Editions SIDES, 2006.

Le site primitif de Villemomble prend ses racines dans une vallée marécageuse, formée par un ancien bras de la Marne et délimitée par la « Montagne d'Avron ». Non loin du hameau antique s'étend la forêt de Bondy. Très tôt la voie située en bordure du plateau d'Avron, l'actuelle Grande-Rue, tient lieu de chemin royal et c'est à partir de cet axe que se constitue, peu à peu, le hameau.

La première villa se met en place à l'époque de [[Dagobert Ier|Dagobert {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }}]] et appartient au comte de Paris, Mummolus. Village essentiellement agricole il dépend, à partir du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et jusqu'à la Révolution française, de l'abbaye Notre-Dame de Livry.

La seigneurie de Villemomble apparaît au début de la dynastie capétienne comme étant entre les mains de la famille Le Riche de Paris. Vers 1055 est cité comme seigneur de Villemomble Lisiard Le Riche de Paris, sous-chambrier du roi. Josselin de Beaumont-Gâtinais, chambrier de [[Philippe Ier (roi des Francs)|Philippe {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }}]], est seigneur de Villemomble de 1075 à 1120. Suit Josselin II de Beaumont-Gâtinais de 1120 à 1145.

Fichier:Villemomble.Cartes des Chasses du Roi.jpg
et }}Modèle:S mini- siècles }} }}.

Dans un chassé croisé d'alliance la seigneurie est détenue par la famille Mauvoisin. Vers 1215, [[Jean Ier de Beaumont-Gâtinais|Jean {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }} de Beaumont-Gâtinais]] (1190-1256), grand chambrier de [[Louis VIII le Lion|Louis {{#if:

 | Modèle:Abréviation discrète
 | VIII

}}]] et [[Louis IX|Louis {{#if:

 | Modèle:Abréviation discrète
 | IX

}}]], devient seigneur des terres de Villemomble et autres lieux. Ses droits et charges de seigneur de Villemomble par son premier mariage avec Alix Mauvoisin, passent à son fils aîné Guillaume IV de Beaumont, dit "Pied de Rat" (1214-1269), comte de Caserte. De 1357 à 1529 par l'intermédiaire de sa fille Isabelle de Beaumont-Gâtinais, comtesse de Caserte, le domaine appartient à la maison de Montmorency-Laval puis à Olivier V de Clisson, Connétable de France (1361-1407) - Alain VIII et Alain IX de Rohan lieutenant général de Bretagne - Gaspard Bureau, grand maître de l'artillerie, puis Antoine de Chabannes, Grand maître de France (1473-1448) conseiller de Louis XI, et enfin Florimond Robertet, Trésorier de France et conseiller de Louis XII et [[François Ier (roi de France)|François {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }}]] (1507-1527). De 1529 à 1700, les terres de Villemomble seront successivement possédées par Tristan de Rostaing (sa femme Françoise Robertet était la petite-fille de Florimond), chevalier des Ordres du Roi, baron de la Guerche, Grand-maître des eaux et forêts de France (cf. l'article Sury), puis de 1652 à 1765 par la fastueuse famille des Le Ragois de Bretonvilliers.

Au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, les Le Ragois de Bretonvilliers la possèderont encore avec moins de faste, jusqu'à la vente des terres de Villemomble, Noisy-le-Sec et Avron par Charlotte Le Ragois à Jean-Baptiste, Paulin d'Aguesseau de Fresnes, maître des requêtes, en 1765.

Louis-Philippe d'Orléans (1725-1785), premier prince du sang, achète en 1767 le domaine de Villemomble, Noisy-le-Sec, Avron et autres lieux, pour sa favorite Étiennette Le Marquis (1737-1806), dite « Madame de Villemomble » mais encore par dérision « Marquise ». Il fera les beaux jours de Villemomble à partir de 1767 jusqu'à 1800 et fera édifier le château actuel par l'architecte Alexandre-Théodore Brongniart (ancienne mairie).

La première école de Villemomble est ouverte vers 1720 au sein de la paroisse<ref name="Guerre"/>.

Plusieurs châteaux attestent de l'importance de la seigneurie du Modèle:S mini- au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle : le château seigneurial durant près de Modèle:Nombre, actuellement disparu, puis le château seigneurial d'Avron et le château actuel sur l'emplacement du chateau seignerial depuis 1769 ; le château de Launay (1840)<ref>Modèle:Lien web.</ref> ; le château de la Garenne (1518)<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

L'exploitation du gypse des flancs du plateau d'Avron pour produire du plâtre a duré du Modèle:S mini- au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Les ouvriers logeaient dans habitations troglodytes, représentées sur des cartes postales anciennes de la commune. Le Parc de la Garenne a été réalisé sur ces carrières, dont les rues avoisinantes rappellent ce passé industriel de la commune : rue de la Carrière, rue de la Plâtrière<ref name="Guerre"/>.

En 1822, la municipalité ouvre une école, et en 1824 est mis en place le premier service régulier de voitures publiques pour Paris. La route pour Pantin est créée en 1832<ref name="Dates">Modèle:Lien web.</ref>.

En 1848, la municipalité construit la première mairie, devenue depuis l’école maternelle Pasteur<ref name="Dates"/>.

En 1856 est mise en service la gare du Raincy - Villemomble - Montfermeil sur la ligne de Paris-Est à Strasbourg-Ville, qui avait été mise en service de Paris à Meaux en 1849<ref name="Dates"/>. Cela facilite le déplacement des habitants et le transport des marchandises, tout en favorisant le développement le Villemomble comme lieu de villégiatures. Le bourg devient un lieu de résidence recherché qui maintient sa vocation agricole tout en s'enrichissant de nombreux corps de métier<ref>Source de la section Histoire : Le grand livre de Villemomble, [[#GrandLivre|Modèle:Opcit en bibliographie]].</ref>. En 1859 est mis en service le premier bureau de poste de la commune, desservant également Le Raincy et Rosny<ref name="Dates"/>.

Lors de la Guerre franco-allemande de 1870, les habitants de la commune sont évacués à Paris et la commune occupée par les Allemands<ref name="Guerre">Modèle:Lien web.</ref>.

Vingt ans avant les lois Jules Ferry, la ville instaure la gratuité de l'enseignement primaire en 1872<ref name="Dates"/>. En 1875, le château de Villemomble est donné à la commune qui y installe la mairie en 1880. En 1879 est installé une usine à gaz, qui permet l'éclairage des habitations<ref name="Dates"/>.

L'urbanisation et le développement de la commune se poursuivent à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, avec en 1882 l'ouverture d’un bureau télégraphique et la création du marché du centre, l'installation des premières plaques de rue. En 1890 est construit un groupe scolaire rue des Écoles (les actuels collège Pasteur et école primaire Leclerc)<ref name="Dates"/>.

La nouvelle église est construite en 1901, année où est mise en service la ligne de tramway électrique à impériale reliant la Porte de Vincennes à la Gare de Villemomble, exploitée par une compagnie privée, les Chemins de fer nogentais<ref name="Dates"/>.

En 1903 et 1904 sont inaugurés la salle des fêtes (actuel théâtre Georges-Brassens) et une bibliothèque municipale<ref name="Dates"/>.

En 1914, le passage à niveau de la gare est supprimé, et, en 1920 l'éclairage au gaz est remplacé par l'éclairage électrique dans les rues<ref name="Dates"/>.

Pendant la Première Guerre mondiale, Modèle:Nombre de la commune sont tués<ref name="Guerre"/>.

En 1925, l'hôtel des postes est mis en service, et, en 1927, l'église Saint-Louis est dotée de son campanile, et, en 1928 la municipalité construit des bains-douches, et commence à réaliser l'assainissement des rues de la commune<ref name="Guerre"/>.

En 1930 est créé, à la demande du conseil municipal, un office municipal d'habitation à bon marché<ref>Modèle:Article, {{#if:|https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/{{{n}}}%7C{{ #if: |{{ #if: | {{{t}}} | lire en ligne]}} | {{ #if: |[{{{1}}} lire en ligne]|lire en ligne}} }} sur Gallica}}.</ref>. L'église Notre-Dame-d’Espérance. est construite la même année, suivie, en 1932 de l'inauguration du groupe scolaire Foch et en 1933 du centre d’ hygiène et d’assistance sociale<ref name="Guerre"/>.

Le stade Claude-Ripert est inauguré en 1938<ref name="Guerre"/>.

La Seconde Guerre mondiale est une époque difficile et troublée, pendant laquelle 26 Villemomblois sont tués. Une partie de la population résiste contre l'occupant<ref name="Guerre"/>.

Politique et administration

Fichier:Mairie de Villemomble.JPG
Hôtel de ville.

Rattachements administratifs et électoraux

La commune faisait partie en 1793 du département de la Seine, et en 1801 du canton de Vincennes au sein de l'arrondissement de Sceaux. En 1893, la commune intègre le canton de Noisy-le-Sec et l'arrondissement de Saint-Denis.

À partir de la loi du 10 juillet 1964<ref>Loi Modèle:N°64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF Modèle:N°162 du 12 juillet 1964, Modèle:P.6204–6209, fac-similé sur Légifrance.</ref>, la réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient depuis au département de la Seine-Saint-Denis après un transfert administratif effectif au Modèle:Date-. Lors de cette mise en place, elle devient le chef-lieu du canton de Villemomble<ref name="Cassini"/>. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle devient le bureau centralisateur de ce canton, qui est modifié, passant de une à trois communes.

Lors de la création du département, elle était rattachée à l'arrondissement de Bobigny, mais, afin de faire coïncider les limites d'arrondissement et celles des intercommunalités, elle intègre le Modèle:Date- l'arrondissement du Raincy<ref>Modèle:Article.</ref>.

Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la huitième circonscription de la Seine-Saint-Denis.

Intercommunalité

Dans le cadre de la mise en œuvre de la volonté gouvernementale de favoriser le développement du centre de l'agglomération parisienne comme pôle mondial est créée, le Modèle:Date-, la métropole du Grand Paris (MGP), à laquelle la commune, qui n'était membre d'aucune intercommunalité, a été intégrée<ref name="D2015-1212">Modèle:Légifrance, sur Légifrance</ref>.

Dans le cadre de la mise en place de la métropole du Grand Paris, la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du Modèle:Date- (loi NOTRe) prévoit la création d'établissements publics territoriaux (EPT), qui regroupent l'ensemble des communes de la métropole à l'exception de Paris, et assurent des fonctions de proximité en matière de politique de la ville, d'équipements culturels, socioculturels, socio-éducatifs et sportifs, d'eau et assainissement, de gestion des déchets ménagers et d'action sociale.

La commune a donc également été intégrée le Modèle:Date- à l'établissement public territorial Grand Paris - Grand Est<ref name="Périmètre">Modèle:Légifrance sur Légifrance.</ref>. Modèle:Article détaillé

Tendances politiques et résultats

Robert Calméjane est maire de 1964 à 1977 puis de 1983 à 2001. Déjà battu aux élections législatives de 1973 par le maire PCF de Noisy-le-Sec, Roger Gouhier, avec 54,32 % des voix, il doit céder son siège au socialiste Jean-Paul Maitrias, qui conduit la liste d'union de la gauche aux élections municipales de 1977 et qui avait devancé le PCF dans la ville (22,33 % contre 19,34 %) au premier tour des élections cantonales de 1976<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Son fils, Patrice Calméjane, lui succède en cours de mandat, en 2001. Il est réélu en 2008, sa liste ayant obtenu la majorité dès le premier tour. De même, le 23 mars 2014, la liste qu'il conduit arrive en tête avec 65,75 % des voix au premier tour des élections municipales et il est réélu maire à la suite de celles-ci. Modèle:Article connexe

À partir du printemps 2018, la vie municipale subit une crise marquée et la majorité du conseil municipal se déchire<ref>Modèle:Article Modèle:Citation.</ref> ; certains élus menés par l'ex-maire-adjoint Jean-Michel Bluteau, se plaignant d'un manque d'écoute du maire Patrice Calméjane, démissionnent après le retrait des délégations de trois maires-adjoints par le maire<ref>Modèle:Article.</ref>, entraînant l'organisation de nouvelles élections municipales organisées fin 2018<ref>Modèle:Article Modèle:Citation.</ref>.

Celles-ci voient le succès de la liste menée par Patrice Calmejane, qui dépasse au second tour de Modèle:Nombre cette de Jean-Michel Bluteau (DVD) et largement celle d'union de la gauche menée par Marc Daydie<ref>Résultats du Modèle:1er de 2018 : Modèle:Article.</ref>,<ref>Résultats du Modèle:2d de 2018 ; Modèle:Article.</ref>. Le conseil municipal du Modèle:Date- réélit donc le maire sortant<ref name="LP09122018"/>. Toutefois, le Tribunal administratif de Montreuil, en mai 2019<ref>Modèle:Article Modèle:Citation.</ref>, puis en appel, le Conseil d'État, déclare Patrice Calméjane inéligible pour quatre mois, pour ne pas avoir respecté les délais dans lesquels il aurait dû rendre les comptes de cette campagne électorale. Patrice Calméjane est ainsi déclaré démissionnaire d'office d'élu municipal en septembre 2019<ref name="LP12092019"/>. En conséquence, le conseil municipal du Modèle:Date- élit maire Pierre-Étienne Mage, ancien premier adjoint (LR), pour la fin de la mandature 2014-2020<ref name="LP23092019"/>. Modèle:Article détaillé

Au second tour des élections municipales de 2020 dans la Seine-Saint-Denis , la liste DVD - UDI - menée par Jean-Michel Bluteau obtient la majorité des suffrages exprimés, avec Modèle:Unité (44,83 %, 26 conseillers municipaux élus dont 1 métropolitain), devançant les listes menées respectivement par<ref>Modèle:Lien web.</ref> :
- l'ancien maire Patrice Calméjane, dont la période d'inéligibilité avait pris fin (LR - SL, Modèle:Unité, 35,02 %, 6 conseillers municipaux élus ;
- Jean-Marc Minetto (PS - EÉLV - PCF - PP - GRS - G·s - RDG, Modèle:Unité, 20,13 %, 3 conseillers municipaux élus).
Lors de ce scrutin, marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 54,39 % des électeurs se sont abstenus. Modèle:Article connexe

Liste des maires

Modèle:Article connexe Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu

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Modèle:Élu

Modèle:Élu actuel

Modèle:ÉluFin

Distinctions et labels

Modèle:Section à actualiser En juin 2009, Villemomble obtient le prix régional des rubans du patrimoine attribué par la Fondation du patrimoine, à la suite des dossiers présentés par la commune concernant la restauration du château<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

La ville de Villemomble a obtenu en 2007<ref>Modèle:Lien web</ref> trois fleurs au concours des villes et villages fleuris<ref>Modèle:Lien web</ref>.

  • L'église Saint-Louis de Villemomble (campanile construit en 1926 par l'architecte Paul Tournon avec la collaboration de Carlo Sarrabezolles), a été choisie en 2022 par la Fondation du Patrimoine pour figurer dans les 18 sites du Loto du Patrimoine.

Jumelages

Population et société

Démographie

Évolution démographique

Modèle:Article connexe

Modèle:Population de France/section

Enseignement

Fichier:Villemomble - Ecole Privée Blanche de Castille.jpg
École privée Blanche de Castille

Modèle:...

Culture

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Sports

Source : Les associations de Villemomble et des environs, Guy Martignon, Éditions Sides (2000).

La plus vieille association sportive, toujours en activité est la 1re Compagnie d'Arc de Villemomble, recréée en 1821. Il y a aussi dans les années 1850 deux sociétés de "Chevaliers d'Arc" qui forment 2 compagnies distinctes, ainsi qu'une "Compagnie d'Arbalétriers" comptant chacune une vingtaine de membres. D'autres sociétés se constituent dans la deuxième moitié de ce siècle afin de pratiquer le tir comme "Le Rigodon", la gymnastique comme les sociétés "L'Amitié" et "L’Étoile de Villemomble", constituée en 1885. La "Société Sportive du Raincy-Villemomble"", est fondée en juin 1894, elle est constituée de marcheurs et de cyclistes tandis que "La Stella du Raincy-Villemomble" est une société d'éducation physique, 7, bd du Nord, au Raincy. Dès la création en 1921 de "Villemomble-Sports (Société municipale d'éducation physique, de préparation militaire et de Sports) des disciplines sportives vont se développer au sein de cette association telles que l'athlétisme, le football, le Cross-country, le basket-ball, la natation, la lutte, la boxe et l'éducation physique. La section de football est la première à voir le jour en 1922. À la suite de la disparition du club raincéen, nombre de joueurs viennent rejoindre la section villemombloise. L'équipe de football du Raincy, "La Raincéenne" avait été fondée en 1910, l'une des grandes équipes française. Une section de basket-ball est créée en 1933 et les 47 joueurs s'entrainent dans la nouvelle salle d'éducation physique construite sur le stade municipal, rue de Neuilly. En 1937, le capitaine de l'équipe est Raymond Hoinant, futur promoteur du handball en France. Dans l'entre-deux-guerres, Villemomble-Sports-Athlétisme, figure en bonne place parmi les grands clubs parisiens. Dans les années 1930, la direction technique de cette section est confiée au professeur G. Coulon. C'est Raymond Hoinant, athlète et professeur d'éducation physique, qui lui succède en 1940. La section tennis de Villemomble-Sports voit le jour en 1938 sous la présidence de de M. Claude Ripert. Les joueurs du TCV évoluent au plus haut niveau national. L'équipe première sera championne de France et tiendra sa place en Modèle:1re division pendant de longues années avec les joueurs Pestre et Renoult sous la direction de M. Hermann Saladin.

Le 5 décembre 1915, dans le cadre du patronage paroissial est fondée "La Jeanne d'Arc de Villemomble", société de gymnastique qui s'est peu à peu transformée pour ne rester, en 1955, qu'un club essentiellement tourné vers le handball<ref name="FFHB89">Modèle:Article</ref>, dans l'ombre des voisins de "La Villemomble Sports".

Alors que le handball se jouait encore à onze joueurs sur un terrain de football, la Villemomble Sports était alors le meilleur club français, remportant sept Coupes de France entre 1945 et 1953 et trois Championnats de France dont le premier Championnat à sept joueurs en 1953. À cette époque, Villemomble est véritablement « La Mecque du Handball » et va marquer de son empreinte le Handball à 11 et à 7 et faire connaître notre commune à travers l'Europe. Au début de la Seconde Guerre mondiale, Raymond Hoinant, responsable de l'athlétisme à Villemomble-sports propose à M. Ripert, maire de Villemomble, la création d'une section de handball. Cette proposition est adoptée lors de la réunion du Comité directeur de Villemomble-Sports en date du 17 janvier 1942. M. Ripert suggère que les matchs soient joués au stade moderne "Claude Ripert", 103 rue de Neuilly que ce dernier a fait édifier en 1938 à ses frais personnels. Raymond Hoinant débauche un certain nombre de joueurs des sections d'athlétisme et de basket-ball et les initie au jeu avec pour partenaires, dans les premiers mois, des joueurs allemands qui s'entraient sur la pelouse du stade Ripert. Raymond Hoinant sera l'entraineur et par la suite celui de l'équipe de France. Les deux premiers capitaines de l'équipe villemombloise, Robert Hébert et Henri Girard seront tués avant la fin de la guerre. Villemomble-sports apporte à l'équipe de France de nombreux internationaux dont les plus connus sont le gardien de but, Rochepierre, le Modèle:1er capitaine de l'équipe de France, Marcel Gaudion, J.C. Hoinant, A Sannier et "Le Grand Chasta", capitaine de l'équipe de France, considéré encore aujourd'hui comme l'un des meilleurs joueurs de tous les temps.

Si la commune est appelée "La Mecque du Handball", elle a été avec le Judo-Club du Raincy-Villemomble, le creuset du judo en Ile-de-France, des années 50 aux années 1970. M. et Mme Jean Bergounioux fondent ce club prestigieux en 1948, l'une fut la première femme ceinture noire en France, l'autre ex-champion d'Europe. Le Dojo est logé dans un ancien garde-meuble situé 10-12 avenue Gallieni. L'Oscar des professeurs est décerné à Jean Bergounioux. Il forme dans le cadre du Judo-Club plus de 400 ceintures noires et plusieurs champions internationaux : Cuissard, Miclo, J.J. Mounier, Decherchi, Drux; Gautier et Armand Desmet, champion d'Europe, plus de 30 fois sélectionné en équipe de France et qui aujourd'hui a été nommé l'un des rares judokas mondiaux, Modèle:8e Dan.

Cultes

Fichier:Église Notre-Dame Espérance Villemomble 5.jpg
Église Notre-Dame d’Espérance.

Ne disposant pas de lieu de culte :

Économie

Modèle:...

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Fichier:Villemomble.Nouvelle église.jpg
Le clocher moderne de l'église Saint-Louis domine la ville.

Modèle:Article détaillé

  • Le château de Villemomble :
    En 1767, Louis-Philippe d'Orléans acheta les terres de Villemomble pour sa maîtresse Étiennette-Marie-Périne Le Marquis, Dame de Villemomble. Elle fait raser ce qui reste du château renaissance construit pour Florimond Robertet et fait construire son château par Alexandre Brongniart. Baronne et seigneur de Villemomble, elle y séjourne jusqu'à la fin du siècle pour le vendre à M. Nicolas Bourelle de Sivry, payeur général de la guerre. En 1875, Julie Outrebon (née Papin) en est la dernière propriétaire. Lors de la séance du Conseil Municipal de la même année, le maire, M. Detouche annonce qu'étant devenu acquéreur en société avec Madame Outrebon, née Papin, du château de Villemomble, ils l'offraient afin d'y installer la mairie et des écoles de garçons et de filles ; qu'ils ajoutaient à ce don, un espace environnant afin de faire une vaste place publique, autour de la mairie.
    Réalisés dans le respect des prescriptions de l'architecte des bâtiments de France, des travaux de rénovation du château sont achevés début 2007.
    Actuellement, le château seigneurial, restauré, est utilisé pour des activités culturelles<ref>Modèle:Lien web.</ref> et est le siège de l'Association des amis du château seigneurial de Villemomble.

Modèle:Article détaillé

  • L'ancienne gare désaffectée de la ligne des Coquetiers (à côté de l'actuelle station des Coquetiers, qui témoigne de l'importance de cette voie ferrée à l'époque de sa création (1900).
  • Le théâtre Georges Brassens date de 1903 construit par l'architecte Abel Simonet et a été rénové en 1982 et en 2013.
  • Le stade Claude-Ripert, du nom du maire de l'époque, a été inauguré en 1939, en présence du maréchal Pétain<ref>Le stade Claude Ripert sur Villemomble Sports</ref>.
  • Les parcs-promenades :
    • parc de la Garenne (rue de la Carrière) ;
    • parc Jean-Mermoz (118, Grande-Rue, rue Denfert-Rochereau, rue Beausire) ;
    • parc René-Martin (rue Marcelin-Berthelot).
  • Les squares :
    • square de Gaulle, angle rue Pasteur, avenue de la République ;
    • square de Verdun, place de la République ;
    • hôtel de ville, place Émile-Ducatte ;
    • square François-Mauriac, angle des rues François-Mauriac et Nicolas-Becker ;
    • square Jean-Moulin, avenue Galliéni.
  • Un espace animalier : rue du Plateau, un canidrome.

Mémoriaux

Personnalités liées à la commune

Onze rues de la ville portent le nom de résistants de Villemomble pendant la Seconde Guerre mondiale, dont celle du Capitaine Louys, Marc Viéville, Robert Jumel et Léo Desjardins<ref name="Guerre" />.

Sont nés à Villemomble :

Ont étudié à Villemomble :

Fichier:Louis Emile Train 1911.jpg
Émile Train devant son monoplan lors de la course Paris-Madrid, 21 mai 1911.

Sont morts à Villemomble :

Ont habité à Villemomble :

Habitent à Villemomble :

  • Joël Favreau, compositeur, guitariste, accompagnateur de Georges Brassens.

S'entraînent à Villemomble :

Héraldique

Modèle:Blason-ville-fr

Sources

Notes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références nombreuses

Bibliographie

Annexes

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Autres projets

Modèle:Palette Modèle:Portail