Al Jazeera

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Chaîne de télévision

Al Jazeera (en arabe : Modèle:Langue, Modèle:Litt. « L'Île », référence ici à la presqu'île du Qatar<ref>Modèle:Lien web.</ref> ; parfois transcrit en français al-Jazira, al-Jezira ou al-Djezira) est une chaîne de télévision satellitaire d’information en continu qatarienne.

En 2013, la chaîne revendique 25,23 millions de spectateurs dans la région du Moyen-Orient et de l'Afrique du Nord, sur la base de deux sondages<ref>Modèle:Article</ref>.

Histoire

La chaîne Al Jazeera, dont le nom signifie littéralement « l'île », basée à Doha au Qatar, est lancée le Modèle:Date, par le cheikh Hamad ben Khalifa Al Thani, émir du Qatar, qui vient d'arriver au pouvoir en renversant son père. Elle vise à rompre la mainmise des Saoudiens sur le paysage médiatique international arabe, à briser le contrôle des gouvernements arabes sur l'information nationale et donc à libéraliser le paysage médiatique arabe. Pour représenter au mieux son public arabe, Al Jazeera ne prend pas seulement des journalistes libanais<ref>La plupart des journalistes des grands médias arabophones (et donc contrôlés par les capitaux saoudiens) sont de nationalité libanaise</ref> mais des journalistes de tous les pays arabophones. Le noyau dur de l'équipe éditoriale d'Al Jazeera provient de BBC Arabic Television<ref name="oifi" />.

Depuis 1998, la chaîne émet 24 heures sur 24 et elle est diffusée dans 35 pays, principalement du Proche-Orient, mais aussi en Europe. En France, elle est diffusée dans les bouquets Numericable, Canalsat et l'offre de Free et de Neuf. Néanmoins, on peut recevoir Al Jazeera gratuitement puisqu'elle diffuse en clair sur les satellites Hot Bird et Astra. Au Royaume-Uni, elle emploie soixante journalistes et disposait, en 2001, d'un budget de 30 millions USD.

Fichier:2008 Media Viewership in Middle East.PNG
Audiences comparées des chaînes de télévision d'informations internationales en Égypte, Jordanie, Liban, Maroc, Arabie saoudite et Émirats arabes unis en 2008.

En 1998, elle montre ses propres images des bombardements américains sur l'Irak et s'oppose à l'interprétation minimisant les bombardements faite par les chaînes nationales arabes<ref name="oifi" />.

Lors de la seconde intifada « al-Aqsa » en 2000, les journalistes locaux d'Al Jazeera interviewent régulièrement les responsables du Hamas et du Jihad islamique, la chaîne montre des images en direct. Les discours du Fatah ne sont plus les seuls reçus par les téléspectateurs<ref name="oifi" />.

Le Modèle:Date, la chaîne diffuse un enregistrement vidéo d'Oussama ben Laden lors de l'intervention américaine contre les talibans en Afghanistan. Elle s'affirme sur la scène internationale pendant toute la durée du conflit, car elle est la seule télévision internationale à disposer de correspondants en Afghanistan. Ses positions et ses reportages Modèle:Par qui d'être protalibans et antiaméricains, et de focaliser, de par ses reportages, l'opinion publique des pays arabes contre les États-Unis. Les chaînes américaines avaient alors censuré ses images et même appelé les militaires à la considérer comme cible potentielle pour un bombardement Modèle:Référence nécessaire. Le Modèle:Date-, Colin Powell, secrétaire d'État américain, s'adresse à Hamad ben Khalifa al-Thani, émir du Qatar et principal actionnaire de la chaîne, lui demandant d'intervenir auprès de la direction afin de modifier sa couverture des événements<ref>Reporters sans frontières - Qatar - rapport annuel 2003</ref>.

Fichier:Al jazeera arabic.jpg
Des locaux à Doha, Qatar.

En Modèle:Date-, le président égyptien Hosni Moubarak en visite dans ses modestes locaux aurait dit : « C'est donc de cette boîte d'allumettes que vient tout ce vacarme »<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Foreign Affairs; Glasnost In the Gulf, Thomas Friedman, The New York Times, 27 février 2001.</ref>.

Les locaux de la chaîne sont bombardés par les États-Unis à deux reprises : la première fois en Afghanistan (2001)<ref>Modèle:Article</ref> et la seconde fois en Irak (2003). Un journaliste, Tarik Ayyoub, est tué à Bagdad par le bombardement<ref>Modèle:Article</ref>. The Daily Mirror annonce le Modèle:Date- à la une que le Président des États-Unis George W. Bush a voulu bombarder les locaux de la chaîne à Doha, mais le Premier ministre du Royaume-Uni Tony Blair l'en a dissuadé. Sami al-Haj, un journaliste-cameraman soudanais, est aussi victime de cette politique. Arrêté en Modèle:Date- en Afghanistan et emprisonné à partir de Modèle:Date- à la prison de Guantanamo, il est libéré six ans plus tard en Modèle:Date-, sans qu'aucune charge ne soit portée contre lui.

Années 2010

Le Modèle:Date, Al Jazeera annonce la révélation de documents secrets sur les négociations au Proche-Orient contenant les « vrais détails tenus secrets sur les négociations entre l'Autorité palestinienne et Israël pendant la décennie écoulée ».

Le Modèle:Date, Al Jazeera Balkans commence ses émissions depuis Sarajevo pour les téléspectateurs de Bosnie-Herzégovine, Croatie, Monténégro, Serbie et Kosovo et d'Europe via le satellite Eutelsat W3C.

La chaîne d'information ferme son bureau anglophone à Pékin le Modèle:Date à la suite du non-renouvellement de l'accréditation de sa journaliste Melissa Chan<ref>Chine : une journaliste étrangère expulsée, Le Monde, 8 mai 2012.</ref> et au non-octroi de visas à d'autres journalistes. Le syndicat des journalistes étrangers en Chine lie cette mesure au traitement de l'information par Al Jazeera<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

La chaîne a annoncé le lancement d'une déclinaison de la chaîne en français<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Le Modèle:Date, Al Jazeera America, une chaîne d'information disponible aux États-Unis, est lancée. La chaîne, qui a recruté quelques vedettes de l'information aux États-Unis, est disponible sur les bouquets de Comcast, ATT et DirectTV mais pas ceux de Verizon et Time Warner qui ont refusé son inclusion<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

En Modèle:Date-, Al Jazeera annonce la suppression de 500 postes sur près de 4 500 salariés, dont une majorité à Doha, cette restructuration serait peut-être liée à la chute des prix des hydrocarbures dont est dépendant l'État du Qatar, propriétaire de la chaîne<ref>La chaîne de télévision Al-Jazira va supprimer environ 500 emplois, Le Monde, 27 mars 2016</ref>.

En Égypte, trois journalistes travaillant pour la chaîne Al Jazeera ont été arrêtés et condamnés à trois ans de prison ferme en 2015 par les autorités<ref>Modèle:Article</ref>.

En Modèle:Date-, l'accès au site Internet de la chaîne est bloqué en Égypte, en Arabie saoudite et aux Émirats arabes unis<ref>Modèle:Article</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>. Le Modèle:Date-, peu de temps après l'annonce de la rupture des liens entre l'Arabie saoudite, le Bahreïn, le Yémen et l’Égypte avec le Qatar, qui est accusé de « soutenir le terrorisme », le gouvernement saoudien annonce la fermeture des bureaux saoudiens de la chaîne<ref>Modèle:Article</ref>.

Sur le web

Le groupe Al Jazeera dispose de six sites web : trois sites pour la chaîne Al Jazeera (en arabe, en anglais et en bosnien), un pour Al Jazeera Sport, un pour Al Jazeera Documentary Channel et enfin un pour Al Jazeera Training Center. Le site d'Al Jazeera Children appartient à une autre chaîne, pour enfants, qui n'a aucun lien juridique avec le groupe Al Jazeera, mais appartient à la Qatar Foundation. Le groupe a dû changer d'hébergeur à plusieurs reprises à cause de ses orientations et des pressions politiques. Fin Modèle:Date-, au cours de la guerre d'Irak, les moteurs de recherches ont reçu trois fois plus de requêtes relatives à Al Jazeera. Sur Google, le nombre de requêtes avec le terme « Al Jazeera » avait connu la plus grande croissance lors de la dernière semaine de Modèle:Date-. Puis, durant la première semaine d'avril, cette requête est passée de la troisième place à la première. Al Jazeera lance alors un site web en anglais pour faire face à la demande croissante d'internautes occidentaux qui la voient comme une vision alternative aux informations fournies par les médias occidentaux et anglo-saxons pendant la guerre contre l'Irak<ref>Al Jazeera : Aljazeera.net, Al Jazeera Sport</ref>.

Lors de la guerre d'Irak, un informaticien de Los Angeles, John William Racine, redirige les visiteurs du site vers une page affichant un drapeau américain ainsi que la devise patriotique : Modèle:Citation. Il est condamné, en Modèle:Date-, à Modèle:Unité d'amende et Modèle:Unité de travaux d'intérêt public par un tribunal de Californie<ref>Reporters sans frontières - Internet - Qatar</ref>.

En 2008, le site d'Al Jazeera est le plus visité dans le monde arabe et est classé 222 sur l'échelle internationale<ref>aljazeera.net - Traffic Details from Alexa</ref>. Chaque jour, le site est visité par plus de Modèle:Nombre de personnes. En Modèle:Date-, Webby Awards nomme le site comme un des cinq meilleurs sites web avec les sites de BBC News, de National Geographic, de RocketNews et de The Smoking Gun<ref>Webby Awards</ref>.

Culture libre

Al Jazeera diffuse du contenu sous licence Creative Commons depuis Modèle:Date-<ref name="cc">{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} « Al Jazeera Launches Creative Commons Repository », creativecommons.org, 13 janvier 2009.</ref>, lequel est accessible depuis un référentiel dédié. La chaîne de télévision qatarienne s'avère ainsi le premier grand média mondial à se positionner dans la culture libre.

Chronologie

Fichier:Al Jazeera English Newsdesk.jpg
La salle de presse d'Al Jazeera English à Doha (Qatar).

Ligne éditoriale et réceptions critiques

La chaîne est considérée par certains comme une chaîne de propagande du gouvernement qatari<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>. En 2012, néanmoins, The Atlantic considère qu'Al Jazeera présente un visage beaucoup plus modéré et occidentalisé que le djihadisme islamique ou l'orthodoxie sunnite rigide et bien que le réseau ait été critiqué comme « cheval de Troie "islamiste" », il présente en fait peu de contenu spécifiquement religieux dans ses émissions<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Pour Gilles Kepel, la version arabe de la chaine satellitaire est devenue le canal de propagande principal des Frères musulmans à travers le monde<ref name="Kepel202112">Gilles Kepel, Macron à Dubaï, Doha et Djedda : géopolitique d’un itinéraire, legrandcontinent.eu, 10 décembre 2021</ref>.

Censure d'un documentaire sur l'esclavage dans le monde musulman

En août 2018, il a été rapporté qu'Al Jazeera avait censuré la série documentaire Rotas da Escravatura (Routes de l'esclavage) , une série européenne conjointe de la chaîne française Arte, de la RTP portugaise et de LX Filmes. L'intégralité du premier épisode, qui traitait du "processus qui a conduit l'empire musulman à tisser durablement un immense réseau de traite négrière à travers l'Afrique, le Moyen-Orient et l'Asie", avait été supprimée. En retour, la chaîne de télévision a affirmé que l'esclavage en Afrique était une pratique fondée par les Portugais<ref>Modèle:Lien web</ref>. Cependant, l'implication généralisée des musulmans dans la traite des esclaves depuis ses débuts est un fait historiquement établi par les historiens ; parmi d'autres, comme Murray Gordon, Kishori Saran Lal, Tidiane N'Diaye, Safiur Rahman Mubarakpuri, Christopher Scott Rose et Ronald Segal, Bernard Lewis a abordé ce thème dans son livre Race and Slavery in the Middle Eastː an Historical Inquiry.<ref>Modèle:Ouvrage</ref>

En Occident

Selon Les Échos, Al Jazeera est considérée par ses détracteurs comme « trop favorable aux islamistes »<ref name="Échos201706">« Le Qatar, suspect numéro 1 de financement du terrorisme », Les Échos, 5 juin 2017</ref>, voire, pour Rue89, comme la « chaîne de Ben Laden » ou encore le porte-parole du Hezbollah ou du Hamas<ref name="Oifi_2">La revanche d'Al Jazeera sur les régimes arabes et Washington, Rue 89, Mohamed El Oifi, 12 février 2011.</ref>.

En France

Modèle:Section à sourcer En France, selon le journal Le Ravi, la chaîne présentée comme « la chaîne des parents » (c'est-à-dire des immigrés de première génération, arabophones), commence à se diffuser, sans doute depuis 2009 et le conflit à Gaza, auprès des jeunes générations qui pourtant, pour la majorité, ne comprennent pas l'arabe littéraire<ref>Article « Le nouveau muezzin des quartiers », Le Ravi, septembre 2011.</ref>.

Modèle:Référence nécessaire. Si les prises de position sociétales sur les femmes ou les LGBT peuvent surprendre alors qu'aucune femme ne siège au Parlement du Qatar, qu'Amnesty International dénonce « les discriminations dans la législation et dans la pratique » et que l'émirat est une monarchie de droit divin autoritaire prônant la charia, où la flagellation et la peine de mort sont en vigueur, il faut selon l'universitaire Mohamed El Oifi comprendre ainsi une forme de stratégie : « Al-Jazira ouvre son antenne à toutes les oppositions - sauf à celles du Qatar -, c'est la chaîne de toutes les contestations, de défense des gens marginalisés, le porte-voix des peuples. […] AJ+ ne change pas de ligne éditoriale mais d'interlocuteur. Pour capter un public jeune et radical, elle adapte ses contenus ». Ainsi, AJ+ n'a jamais présenté de contenu sur le Qatar, tandis que, note Marianne « d'innombrables faits divers sont égrenés sans cesse dans le but transparent d'instiller l'idée que l'islamophobie et le racisme sont omniprésents en France »<ref>Hadrien Mathoux, « "AJ+ français" : quand la propagande du Qatar se cache derrière un progressisme féministe et LGBT », marianne.net, 25 avril 2018.</ref>.

En 2021, la chaîne consacre de nombreux reportages à Éric Zemmour, dont elle fait, selon Gilles Kepel, « l’expression paroxystique de « l’islamophobie » française, dans une perspective proche des « décolonialistes » et fortement teintée d’idéologie frériste »<ref name="Kepel202112"/>.

En Israël

Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a annoncé le Modèle:Date- vouloir « expulser Al Jazeera d'Israël », cette chaîne étant accusée par les autorités israéliennes d'attiser les tensions aux alentours des lieux saints<ref>Modèle:Lien web</ref>. Le dimanche Modèle:Date-, le ministre israélien des Communications, Ayoub Kara, a déclaré que la chaîne serait devenue « le principal outil de Daesh, du Hamas, du Hezbollah et de l'Iran »<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Avigdor Liberman compare en 2017 Al Jazeera à un appareil de propagande « dans le style de l'Allemagne nazie ou de la Russie soviétique »<ref>Modèle:Lien web</ref>. Après avoir annoncé, mi-août, vouloir retirer la carte de presse à un journaliste d'Al Jazeera, le Bureau de Presse du Gouvernement israélien a décidé, fin août, de suspendre la résiliation d'accréditation pendant six mois et de vérifier l'impartialité de ses travaux avant de prendre une décision définitive<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Dans le monde arabe

Dans le monde arabe, Al Jazeera est diversement perçue : certains la considèrent comme proaméricaine et prosioniste<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Josh Rushing, Mission Al Jazeera: Build a Bridge, Seek the Truth, Change the World, Palgrave Macmillan, Modèle:ISBN.</ref>, les gouvernements arabes lui reprochant de porter atteinte à leur contrôle total sur les médias, et les « néo-libéraux arabes » critiquent son populisme<ref name="oifi">Mohammed El Oifi. L'effet Al-Jazira. In: Politique étrangère, Modèle:N°, 2004 - Modèle:69e pp. 649-660. doi : 10.3406/polit.2004.1140. http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/polit_0032-342x_2004_num_69_3_1140</ref>.

Pour Mohammed El Oifi, maître de conférences à l'Institut d'études politiques de Paris, Al Jazeera bénéficie dans le monde arabe d'« une légitimité populaire dont les autres chaînes d’information ne bénéficient pas ». Elle jouit ainsi dans la région d'« une véritable hégémonie médiatique »<ref name="Oifi_2"/>.

Au Bahreïn

Depuis Modèle:Date-, Bahreïn interdit aux journalistes d'Al Jazeera de travailler — la chaîne d'information n'a ainsi pas pu relater les premières élections nationales de Bahreïn où les femmes avaient le droit de vote et le droit de se présenter. Le gouvernement bahreïni estime qu'Al Jazeera chercherait « délibérément à nuire à Bahreïn » lorsqu'elle retransmet, sans autorisation gouvernementale, des manifestations antiaméricaines ; le ministre de l'Information Nabil al-Hamr ajoute qu'Al Jazeera serait biaisée en faveur d'Israël et « infiltrée par les sionistes » — mais les autorités n'ont pas confirmé cette seconde accusation<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} "Bahrain bans Al Jazeera TV", BBC, 10 mai 2002</ref>.

En Algérie

Le Modèle:Date-, à la suite des attentats du 11 décembre 2007 à Alger, la chaîne pose la question suivante sur son site web : « Soutenez-vous les attentats d'Al-Qaïda en Algérie ? ». La presse et le gouvernement algérien critiquent la couverture de la chaîne qatarie<ref>Djamel Ould Abbès pris à partie, El Watan, 24 décembre 2007</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Qatar / Algérie : quelles relations ?, Mehdi LAZAR, diploweb.com, 18 mars 2013</ref>.

En Égypte

Le Modèle:Date-, le journaliste Mahmoud Hussein d'Al Jazeera a été arrêté en Égypte, les autorités égyptiennes accusant la chaîne et le journaliste de soutenir l'opposition islamiste dans le pays à travers la production de documentaires<ref>Modèle:Article.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Notes et références

Modèle:Références

Annexes

Modèle:Autres projets

Bibliographie

  • Bibliographie Télévision et nouveaux médias dans le monde arabe Site d'André Lange « Histoire de la télévision et de quelques autres médias ».
  • Hugh Miles, Al-Jazira, la chaîne qui défie l'Occident, éd. Buchet Chastel (trad.fr.), 2006.
  • {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Mohammed El-Nawawy, Adel Iskandar, Al-Jazeera: The Story of the Network That Is Rattling Governments and Redefining Modern Journalism, réimpression, 2003.
  • Olfa Lamloum, L'impact des chaînes satellitaires arabes, article paru dans la Revue internationale et stratégique, Modèle:N°, 2004.
  • Riadh Sidaoui, Al Jazeera constitue-t-elle l'opinion publique arabe ou s'harmonise-t-elle avec elle ?, Al Jazeera Centre for Studies, 9 février 2009.
  • Claire Gabrielle Talon, Al Jazeera. Liberté d'expression et pétromonarchie, PUF, 2011.

Articles connexes

Modèle:Colonnes

Voir aussi

Liens externes

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