Alfred Pellan
Alfred Pellan (né Alfred Pelland, à Québec, le Modèle:Date de naissance<ref name="patrimoine culturel 26363">Modèle:Lien web</ref> - mort à Laval, le Modèle:Date de décès<ref name="patrimoine culturel 26363" />) est un peintre, un muraliste, un illustrateur et un costumier québécois, domicilié à Auteuil (Laval) pendant près de quarante ans. Il est le premier peintre québécois à s'être illustré sur la scène française (plus précisément en 1935). Vingt ans plus tard, à la suite d'une exposition à Paris, son œuvre est reconnue au Québec et au Canada<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Biographie
Alfred Pellan naît à Québec, le Modèle:Date de naissance. Sa mère, Régina Damphousse, meurt lorsqu’il est en bas âge, et son père Alfred Pelland, mécanicien de locomotive<ref name="Gladu_Agora_1993">Modèle:Lien web.</ref>, élève les trois enfants. Lorsqu’il est à l’école, il couvre de dessins les marges de ses cahiers et réussit très bien ses cours d’arts plastiques, alors que les autres matières l'ennuient. En 1920, Alfred Pelland s'inscrit à l'École des beaux-arts de Québec. Il y obtient les premiers prix de cours supérieurs et y décroche des médailles en peinture, dessin, sculpture, croquis, anatomie et publicité. Il vend sa première toile à l’âge de dix-sept ans à la Galerie nationale du Canada<ref name="MnBAQ" /> (aujourd’hui le Musée des beaux-arts du Canada, à Ottawa). Puis, il obtient en 1926 la première bourse d'études en arts du Québec, ce qui lui permet de demeurer plusieurs années à Paris et de séjourner à Venise, notamment. Il poursuit des études à l'École nationale supérieure des beaux-arts de Paris (1926-1930)<ref name="Bigue">Modèle:Lien web.</ref>, où il obtient en 1928 « un Premier prix de peinture » (atelier Lucien Simon)<ref name="Gladu_Agora_1993" />. Après l'expiration de sa bourse, il prolonge son séjour à Paris, avec l'aide de son père<ref name="Gladu_Agora_1993" />, jusqu'en 1940, travaillant souvent seul tout en fréquentant les académies de la Grande Chaumière, Colarossi et Ranson. Il gagne le premier prix à l'exposition d'art mural de 1935 à Paris. Il côtoie plusieurs des artistes les plus connus de l'époque (dont : Picasso, Matisse, Derain, Dali…) et, en parcourant l'Europe, Modèle:Citation. Venu faire un bond à Québec, en 1936, dans le but d'être nommé professeur à l'École des Beaux-Arts de sa ville natale, il avait été refusé par le jury, qui l'avait trouvé trop « moderne »<ref name="Gladu_Agora_1993" />. Ses premières oeuvres étaient surtout des natures mortes, qui s'inscrivent dans une forme de cubisme académique, où se lisent, outre l'influence de Picasso et celle de Matisse<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Quand arrive la Seconde Guerre mondiale, il s'empresse de retourner au Québec (1940) et s'installe dans la métropole, Montréal. Il rapporte des œuvres qui sont louangées dans des expositions à Québec et à Montréal. Les œuvres cubistes ou surréalistes qu'il ramène avec lui sont, cependant, alors considérées comme trop avant-gardistes : la plupart ne trouvent pas preneur. De 1943 à 1952, pour survivre, il enseigne à l'École des beaux-arts de Montréal. Son opposition active aux fondements théoriques du directeur de l'École pousse ce dernier (Charles Maillard) à démissionner en 1944. L'école devient dès lors plus libérale dans son approche. En effet, Pellan est ouvertement contre l'académisme et s'engage pour un art indépendant, davantage ouvert à l'universalité et à l'évolution.
Pendant les années 1940, il illustre des recueils de poésie et conçoit des costumes et des décors pour le théâtre<ref>Modèle:Article</ref>. Son style prend de la maturité, se développe encore, pendant cette période. Le surréalisme l'attire de plus en plus : son imagerie devient plus érotique et ses peintures, aux couleurs toujours saisissantes, deviennent plus grandes, plus complexes et plus texturées. Ne croyant pas aux écoles d'art, il est cosignataire, au début de 1948, de « Prisme d'yeux », un manifeste rédigé par Jacques de Tonnancour prônant la liberté d’expression dans l’art<ref name="MnBAQ" />, un regroupement qui réclame un art libre de toute idéologie. Plus tard, cette même année, un autre groupe se forme, plus radical, qui signe le manifeste « Refus global » alors proposé par Borduas, reléguant dans l'ombre le premier manifeste, comme si les deux manifestes étaient totalement opposés et incompatibles l'un avec l'autre.
En 1952, Alfred Pelland reçoit une bourse de la Société royale du Canada et retourne à Paris jusqu'en 1955, avec celle qu'il avait épousée en 1949. Pendant ce séjour et sous le patronage des gouvernements de France et du Canada, le musée national d'Art moderne de la Ville de Paris accueille une exposition de 181 de ses œuvres. Il devient le premier Canadien à présenter une telle exposition individuelle à Paris<ref name="Gladu_Agora_1993" />.
Revenu au Québec depuis deux ans, il reprend ses cours de peinture en 1957 comme professeur au Centre d'art de Sainte-Adèle tout en vivant dans sa maison d'Auteuil à Laval, où il avait élu domicile en 1950. Sa réputation ne cesse ensuite de s'étendre auprès des experts canadiens : il se fait connaître dans différentes expositions, solo ou collectives, et reçoit des commandes de murales, qui établissent sa renommée dans l'ensemble du pays.
Plusieurs monographies et documentaires lui sont consacrés, de son vivant déjà, et il reçoit une cascade de récompenses et d'honneurs.
À partir de 1978, Alfred Pellan combat une leucémie, et il ne produit que cinq œuvres durant sa dernière période de dix ans<ref name="Bigue" />. Domicilié à Auteuil (Laval), il meurt à Laval, le Modèle:Date de décès. Il est inhumé au Parc du Souvenir à Auteuil.
Son épouse (depuis 1949, quand elle avait 23 ans, et lui, 43<ref name="Porter_30_septembre_2010">Modèle:Lien web</ref>), Maddalena Poliseno, ou Madeleine Pelland, qu'il a connue quand elle était étudiante à l'École des beaux-arts de Montréal, lui survit jusqu'au Modèle:Date<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
Le fonds d'archives d'Alfred Pellan est conservé au centre d'archives de Montréal de Bibliothèque et Archives nationales du Québec<ref>Fonds Alfred Pellan (MSS247) - Bibliothèque et Archives nationales du Québec (BAnQ).</ref>.
Expositions
Expositions individuelles
|
|
Expositions collectives
|
|
Œuvres
Peintures
- Jeune Fille au col blanc, 1934?, huile sur toile, 91,7 x 73,2 cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Fruits au compotier, 1934?, huile sur contreplaqué, 80 x 119,8 cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Nu de femme, 1935?, huile sur carton, 24,6 x 20 cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- La Spirale, 1938?, huile sur toile, 73 x 54 cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Vénus et le taureau, 1938?, huile sur toile, 73,5 x 50 cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Fleurs et dominos, 1940 ou peu avant, huile sur toile, 116 x 89,4 cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Homme et femme, 1943-1947, huile sur toile marouflée sur contreplaqué, 167 x 208 cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Citrons ultra-violets, 1948, huile, feuille d'or et peinture fluorescente sur toile, 208 x 167,3 cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- S'abstenir, 1958, huile et gouache sur toile, 60,6 x 93,7 cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Et le soleil continue, 1959 (1ere version, vers 1938), huile, silice et tabac sur toile, 40,6 x 55,8 cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Slurch, 1970, huile et silice sur toile, 63,3 x 91,5 cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Série noire - C, 1971, huile sur toile marouflée sur bois, 36,8 x 68,5 cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Bestiaire 24e, 1981, huile et silice sur contreplaqué, 122 x 122 cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Bestiaire 26e, 1984, huile et pastel à l'huile sur toile, 121,9 x 121,9 cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Masques
- Masque 60, 1971, acrylique sur masque de plastique, 21,7 x 17 x 11 cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Feste, 1971, acrylique sur masque de plastique, 21,7 x 17 x 11 cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Olivia, 1971, acrylique sur masque de plastique, 21,7 x 17 x 11 cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Valentin, 1971, acrylique sur masque de plastique, 21,7 x 17 x 11 cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Malvolio, 1971, acrylique sur masque de plastique, 21,7 x 17 x 11 cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Prêtre, 1971, acrylique sur masque de plastique, 21,7 x 17 x 11 cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Sire André, 1971, acrylique sur masque de plastique, 21,7 x 17 x 11 cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Maria, 1971, acrylique sur masque de plastique, 21,7 x 17 x 11 cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Sculptures
- Pour coups de pied au cul, 1974, soulier en cuir, tiges de métal effilées, plâtre, contreplaqué et peinture, 11 x 34,4 x 15 cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Pour marcher au plafond, 1974, soulier en cuir, ventouses en caoutchouc, plâtre, contreplaqué et peinture, 11 x 29,8 x 15,1 cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Le Casse-pieds, 1974, soulier en cuir, fer à repasser, plâtre, contreplaqué et peinture, 18,5 x 29 x 15,2 cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- L'Exhibitionniste, 1974, soulier en cuir vernis, plâtre, contreplaqué, encre et peinture, 15 x 32,5 x 15,4 cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Ivrognerie, 1977, crâne, ciment, verre et bouteilles cassées et acrylique, 27 x 24 x 18 cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Le Cendrier, 1977, dessus de crâne, maxillaire, ciment et pipe, 9 x 13,8 x 16 cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Good Luck, 1982, patin de hockey en cuir et en textile, plâtre, métal, bois et peinture, 38,2 x 29 x 10 cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Arts graphiques
- Prisme d'Yeux, 1948, encre, mine de plomb et aquarelle sur papier, 12,4 x 20,2 cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- L'Homme A grave, 1948, gouache et encre sur papier, 29,8 x 22,8 cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Voltige d'automne - A, 1973, encre de couleur et encre de Chine sur papier velours, 25,4 x 33,2 cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Hollywood, 1974, encre de couleur et encre de Chine sur papier velours, 25,4 x 33,2 cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Bestiaire d'après « Arrivée de l'Amirauté, Territoires-du-Nord-Ouest », 1984, encre sur offset couleur sur papier collé sur carton, 20,4 x 23,6 cm (papier); 18,4 x 22,3 cm (image); 24,2 x 28 cm (carton), Musée national des beaux-arts du Québec, Québec<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- La Mine de charbon 1984, encre sur offset sur papier collé sur carton, 15,6 x 19 cm (papier); 13,8 x 18 cm (image); 18,2 x 25,4 cm (carton), Musée national des beaux-arts du Québec, Québec<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Bestiaire d'après « Aiglefeu » de Léon Bellefleur, 1984, encre sur offset couleur sur papier collé sur carton, 28 x 37,4 cm (papier); 30,5 x 39,5 cm (carton), Musée national des beaux-arts du Québec, Québec<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Café-Tabac, 1984, sérigraphie, épreuve d'essai, 66,6 x 48 cm (papier); 32,5 x 25,3 cm (image), Musée national des beaux-arts du Québec, Québec<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Fées d'eau, 1984, sérigraphie, épreuve d'essai, 90,5 x 66 cm (papier); 71,3 x 50,7 cm (image), Musée national des beaux-arts du Québec, Québec<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Au clair de lune, 1984, sérigraphie, épreuve d'essai, 98,5 x 66,2 cm (papier); 73,6 x 44 cm (image), Musée national des beaux-arts du Québec, Québec<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Beau Port de mer, du livre d'artiste «Septuor maritime», 1984, sérigraphie, H.C. II/XXX sur 68, 56 x 66 cm (papier); 45,6 x 55,7 cm (image), Musée national des beaux-arts du Québec, Québec<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Montage sur Borduas, vers 1984, gouache et encre sur offset sur papier collé sur carton, 40,5 x 32,6 cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Peinture internationale, vers 1984, gouache et encre sur cartons découpés (2) et encre sur offset sur papier collé sur carton, 40,5 x 32,6 cm (chacun), Musée national des beaux-arts du Québec, Québec<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Acceptation globale, 1984, encre sur offset sur papier collé sur carton, 40,5 x 32,6 cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Oiseau, 1985, encre sur papier de couleur découpé, 6,5 x 5 cm, Musée national des beaux-arts du Québec, Québec<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Les Tulipes, 1994, sérigraphie d'interprétation, E.A. II/XV, 61,3 x 50,5 cm (papier); 45,4 x 38 cm (image), Musée national des beaux-arts du Québec, Québec<ref>Modèle:Lien web</ref>.
- Le Chat Roi, 1999, sérigraphie d'interprétation, E.A. 25/25, 76 x 76,3 cm (papier); 61 x 61 cm (image), Musée national des beaux-arts du Québec, Québec<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Honneurs
- 1926 - Boursier du Québec, pour études à Venise et à Paris
- 1928 - Prix de l'École des Beaux-Arts de Paris (atelier Lucien Simon)<ref name="CV_Guilde_graphique">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="Gladu_Agora_1993" />
- 1935 - Premier prix de l'exposition de murales de Paris
- 1948 - Soixante-cinquième exposition du printemps, Musée des beaux-arts de Montréal
- 1951- Troisième prix du Concours artistiques de la province de Québec
- 1956 - Premier prix du concours de murales, City Centre Building, Montréal
- 1957 - Murale pour le City Centre Building, Montréal
- 1958 - Bourse spéciale du Conseil des arts du Canada
- 1958 - National Painting Prize, Université de l'Alberta
- 1965 - Médaille du Conseil des arts du Canada
- 1965 - Membre du jury à la Quatrième Biennale de Paris
- 1967 - Compagnon de l'ordre du Canada
- 1967 - Médaille du Centenaire de la Confédération canadienne
- 1969 - Doctorat honorifique, de l'Université d'Ottawa
- 1971 - Associé de l’Académie royale des arts du Canada (RCA)
- 1971 - Doctorat honorifique de l'Université Laval
- 1971 - Doctorat honorifique de l'Université Concordia
- 1971 - Président Honoraire de la Guilde graphique
- 1972 - Prix Louis-Philippe-Hébert
- 1972 - Prix Molson, du Conseil des arts du Canada (aujourd'hui « prix du Gouverneur général »)
- 1973 - Membre de l'Académie royale des arts du Canada (RCA)
- 1974 - Doctorat honorifique de l'Université de Montréal
- 1978 - Déclaré Modèle:Citation
- 1983 - Prix d'excellence de l'IRAC (médaille des Arts connexes de l'Institut royal d'architecture du Canada)
- 1984 - Prix Paul-Émile-Borduas<ref name="Prix_1984">Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Paul Gladu (op. cit.) — ami avoué de Pellan — écrit, en rappelant le froid permanent qui s'était créé en 1948, par manifestes interposés, entre Pellan et Borduas : Modèle:Citation</ref>
- 1985 - Officier de l'Ordre national du Québec<ref name="OnQ">Modèle:Lien web.</ref>
- Honneurs posthumes
- 1998 - Médaille de l'Académie royale des arts du Canada
- Un monument à sa mémoire dans la ville de Québec, sa ville natale
- Une exposition permanente lui est aussi consacrée au Musée national des beaux-arts du Québec
- Une salle porte son nom à la Maison des arts de Laval : la salle Alfred-Pellan
- Une rue porte son nom dans les municipalités de<ref>Modèle:Lien web</ref>:
Collections
Filmographie
- Pellan, un long-métrage d'André Gladu, 1986 (seul long métrage consacré à Pellan<ref name="Gladu_Agora_1993" />)
- Alfred Pellan, peintre, de Louis Portugais, ONF, 1974, 05 min 58 s, couleur (id=633)
- Voir Pellan, de Louis Portugais, ONF, 1969, 18 min 52 s (id=696)
Notes et références
Annexes
Bibliographie
- Germain Lefebvre, Alfred Pellan au Musée national des beaux-arts du Québec, préface de John R. Porter, 2008, 142 p. Modèle:ISBN Modèle:OCLC
- Germain Lefebvre, Pellan [sa vie, son art, son temps], Éditions Marcel Broquet, Collection Signature, La Prairie, 1986, 2009, 203 p., Ill. Modèle:ISBN Modèle:OCLC
- {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}}/{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Marie-Hélène Lépine, Alfred Pellan : la modernité [traduction, Axel Harvey], [Saint-Jérôme] : Musée d'art contemporain des Laurentides ; [Saint-Sauveur] : Galerie d'art Michel Bigué, impression 2006, 47 p. : ill. en coul., portr. (certains en coul.), Modèle:Unité; Catalogue de l'exposition présentée au musée du Modèle:Date- au Modèle:Date-. Cf. p. [4]. — Bibliogr.: Modèle:P.. — Texte en français et en anglais Modèle:ISBN
- Danielle Lord, Les enfants et Alfred Pellan -Une présentation du Musée des enfants de Laval et de la ville de Laval. Madeleine Therrien, commissaire, Madeleine Pelland, présidente d'honneur, Maison des arts de Laval, salle Alfred-Pellan, du Modèle:Date- au Modèle:Date- — Laval : Ville de Laval, impression 2005, 28 p., ill. en coul., portr. (certains en coul.), Modèle:Unité Modèle:ISBN
- Alfred Pellan, Sonia Sarfati, Le cueilleur d'histoires, un conte de Sonia Sarfati, inspiré du Bestiaire d'Alfred Pellan, musée du Québec, Québec (ville), 1999, 47 p.; Modèle:Unité × Modèle:Unité × Modèle:Unité Modèle:ISBN
- Musée national des beaux-arts du Québec, Alfred Pellan [boitier], Les Publications du Québec, 1993, 317 p. ill.
- Gilles Daigneault, L'Art au Québec depuis Pellan : Une histoire des prix Borduas, musée du Québec (auj. Musée national des Beaux-Arts du Québec), 1988, 93 p. Modèle:ISBN
- {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Reesa Greenberg, The Drawings of Alfred Pellan, Galerie nationale du Canada, Ottawa, 1980, 150 p. Modèle:ISBN
- {{#invoke:Langue|indicationDeLangue}}/{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Guy Robert, Pellan, sa vie et son œuvre [traduction anglaise de George Lach : Pellan: His life and his art], Éditions du Centre de psychologie et de pédagogie, collection Artistes canadiens, Montréal, 1963, 135 p. : ill. (certaines en coul.), portr. ; Modèle:Unité
Articles connexes
- Prisme d'yeux
- Musée national des beaux-arts du Québec
- Lucyl Martel
- École des beaux-arts de Montréal
- Charles Maillard
Liens externes
- Modèle:Autorité
- Modèle:Bases art
- Bibliographie consacrée à Alfred Pellan au centre de documentation Artexte
- Biographie d'Alfred Pellan, sur le site de l’Encyclopédie canadienne (Institut Historica-Dominion)