Andrésy

{{#ifeq:||Un article de Ziki, l'encyclopédie libre.|Une page de Ziki, l'encyclopédie libre.}}

Modèle:Infobox Commune de France

Andrésy est une commune française située dans le département des Yvelines dans l'arrondissement de Saint-Germain-en-Laye, en région Île-de-France à Modèle:Unité de Paris. Modèle:Sommaire

Géographie

Situation

Andrésy est une commune riveraine de la Seine, qui se trouve sur la rive droite du fleuve au confluent de l’Oise, dans le nord-est des Yvelines, près de la limite du Val-d'Oise. Elle se situe à Modèle:Unité environ au nord-ouest de Saint-Germain-en-Laye, chef-lieu d'arrondissement et à Modèle:Unité environ au nord-ouest de Versailles, préfecture du département.

Le territoire communal englobe une île de la Seine, l’île Nancy, ainsi qu’une bande de terre sur la rive gauche de la Seine, limitrophe d’Achères. Modèle:Multiple image

Communes limitrophes

Les communes limitrophes sont Maurecourt au nord, Chanteloup-les-Vignes à l’ouest, Carrières-sous-Poissy au sud et à l’est Achères sur la rive gauche de la Seine et Conflans-Sainte-Honorine sur la rive gauche de l’Oise.

Andrésy est également proche de l’agglomération nouvelle de Cergy-Pontoise au nord ainsi que de la ville de Poissy au sud.

Hydrographie

Fichier:Cygne andresy.jpg
Vue sur le pont de Conflans sur la Seine.

Andrésy appartient au bassin versant de la Seine.

Le territoire longe la rive droite de l'Oise sur environ un kilomètre, la rive droite de la Seine sur environ quatre kilomètres et la rive gauche sur environ Modèle:Unité.

Au droit d'Andrésy la Seine est divisée en deux bras, le bras principal côté rive gauche sur lequel se trouve le barrage d'Andrésy équipé de deux écluses, et le bras d'Oise ou bras d'Andrésy côté rive droite. Ce dernier, long de Modèle:Unité se prolonge vers le sud sur le territoire de Carrières-sous-Poissy le long de l'île de la Dérivation<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

L'île d'Andrésy, longue d'environ trois kilomètres et large de 100 à Modèle:Unité, est formée par la soudure de plusieurs îles. Dans sa partie nord, VNF a construit en Modèle:Date- une échelle à poissons sous la forme d'une rivière artificielle de Modèle:Unité de long et dix de large, pour permettre aux poissons migrateurs de contourner le barrage<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

La commune est concernée par les risques d'inondations liés aux crues de la Seine et de l'Oise. Côté ville, les zones inondables se situent surtout dans le secteur nord-est de la commune près du confluent. L'île Nancy et le territoire de la rive gauche sont totalement en zone inondable.

Dans le cadre du « plan de prévention des risques d’inondation (PPRI) de la vallée de la Seine et de l'Oise, les zones inondables ont été classées en zone verte, rouge ou bleue selon l'importance de l'exposition aux risques d'inondation. La zone verte, très exposée et peu urbanisée ou restée à l'état naturel voit son urbanisation interdite pour préserver le champ d’expansion de crue de la Seine ; il s'agit de l'île Nancy en quasi-totalité et du secteur de rive gauche en partie. Les zones rouge et bleue concernent des secteurs également exposés mais déjà urbanisés où toute nouvelle urbanisation est interdite, mais où l'entretien et le renouvellement des installations existantes peuvent être autorisés sous certaines conditions, lesquelles sont plus strictes en zone rouge où l'aléa inondation est plus élevé<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Transports et déplacements

La navigation sur la Seine devient un enjeu majeur à partir de 1837. À cette date, une première loi sur le perfectionnement de la Seine est votée, puis en 1946, la canalisation de cette dernière est votée. Le cours de la Seine offre un mouillage de Modèle:Unité et une navigation plus facile. Le trafic devient alors important.

La ville est desservie par deux gares de banlieue situées sur la ligne Paris-Saint-Lazare-Mantes-la-Jolie via Conflans-Sainte-Honorine : la gare d'Andrésy et la halte de Maurecourt, ainsi que par la gare du RER située à Conflans d’Oise. Elle est aussi desservie par cinq lignes de bus, qui rejoignent les villes limitrophes.

Sur le plan routier, la route départementale 55, établie à la limite ouest de la commune, constitue une voie de contournement de la ville entre le nord et le sud. Le pont Boussiron de la route départementale 48 relie la ville à Conflans-Sainte-Honorine. Modèle:Saut

Géologie

La colline sur laquelle repose Andrésy s'élève jusqu'à Modèle:Unité. Elle est recouverte de meulières, reposant sur Modèle:Unité de sable. S'ensuit une couche imperméable d'argiles et de marnes, qui retient une nappe aquifère. À la base, on découvre une épaisse couche de gypse sur un lit de calcaire lutétien<ref>Un belvédère en Yvelines, Images du patrimoine, éditions Somogy, Paris 2008, Modèle:P..</ref>.

Climat

Andrésy, à l'instar de la ville de Poissy jouit comme toute l'Île-de-France d'un climat océanique dégradé. La température moyenne annuelle est de Modèle:Unité. Les mois les plus froids sont décembre et janvier avec 0 à Modèle:Unité et les plus chauds, juillet et août avec 20 à Modèle:Unité (moyenne journalière). La moyenne des précipitations annuelles est de Modèle:Unité<ref>Météo-France - Climatologie</ref>.

Urbanisme

Typologie

Andrésy est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group="Note">Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en 2017, dont elle est une commune de la banlieue<ref name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal<ref group="Note">La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en Modèle:Date-, celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire regroupe Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Utilisation du territoire

Occupation des sols en 2008.
Type d'occupation Pourcentage Superficie
(en hectares)
Espace urbain construit 36,4 % 253,50
Espace urbain non construit 7,5 % 51,89
Espace rural 56,1 % 390,92
Source : Iaurif

Avec Modèle:Unité, soit moins que la moyenne yvelinoise de Modèle:Unité, le territoire communal est relativement restreint. Il est majoritairement rural, à 56,1 %, l'espace urbain construit occupant Modèle:Unité, soit 36,4 % du territoire total<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

L'espace rural se partage sensiblement à parts égales entre bois et forêts sur Modèle:Unité (18,6 % du territoire communal) et l'agriculture sur Modèle:Unité, soit 19,5 % du territoire, dont la grande majorité (Modèle:Unité) en grandes cultures, céréales, colza, le reste comprenant des cultures maraîchères.

La partie boisée se trouve d'une part sur les hauteurs du nord-ouest de la commune, qui appartiennent au bois de l'Hautil, massif forestier qui couvre au total Modèle:Unité sur huit communes, et d'autre part dans l'île Nancy qui est très boisée.

L'espace urbain ouvert, consacré aux parcs et jardins et terrains de sports, est relativement limité avec Modèle:Unité, soit 7,5 % du territoire.

La surface consacrée à l'habitat couvre Modèle:Unité (28,2 % de la superficie totale) et comprend essentiellement des habitations individuelles qui s'étendent sur Modèle:Unité.

L'habitat collectif couvre environ Modèle:Unité, notamment dans le centre ancien et dans le nord-est de la commune.

Les activités économiques et commerciales occupent Modèle:Unité (soit 2,1 % du territoire total). Ces implantations sont consacrées pour un cinquième à des bureaux.

Habitat

Logements<ref>Tableaux LOG T2 et LOG T7, Recensement général de la population 2017, document mentionné en liens externes.</ref> Nombre en 2007 % en 2007 nombre en 2012 % en 2012 nombre en 2017 % en 2017
Total 5 323 100 % 5 347 100 % 5 810 100 %
Résidences principales 4 935 92,7 % 4 904 91,7 % 5 420 93,3 %
→ Dont HLM 517 10,5 % 603 12,3 % 733 13,5 %
Résidences secondaires et
logements occasionnels
91 1,7 % 89 1,7 % 37 0,6 %
Logements vacants<ref group="Note">Les logements vacants comprennent notamment les logements neufs qui ne sont pas encore habités, ceux que leurs propriétaires laissent libres ou dans lesquels ils font réaliser des travaux, ou ceux qui sont libres entre deux ventes ou deux locations</ref> 297 5,6 % 354 6,6 % 353 6,1 %
Dont :
→ maisons 2 575 48,4 % 2 633 49,3 % 2 678 46,1 %
→ appartements 2 704 50,8 % 2 664 49,8 % 3 066 52,8 %

Entre 1949 et 1967, Andrésy connait une forte expansion de la construction d'habitat pavillonnaire. Après 1970, face à l'augmentation massive de la population, la commune se partage entre habitat individuel (44 %) et collectif, contrairement aux communes limitrophes, telles que Maurecourt ou Chanteloup-les-Vignes, où l'habitat collectif est prôné<ref>Un belvédère en Yvelines, Images du patrimoine, éditions Somogy, Paris, 2008, Modèle:P. 39.</ref>.

Toponymie

Le tout premier nom d'Andrésy, au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, fut Anderitianorum Parisiis, « le grand gué des Parisiis », du gaulois ande, « grand », et ritu, « gué »<ref>Association des amis du vexin Français</ref>,<ref>Revue internationale d'onomastique - Volume 22 - Page 112</ref>,<ref>Charles Dezobry, Théodore Bachelet, C. Delagrave, Dictionnaire général de biographie et d'histoire, page 93.</ref>.

Le nom de la localité est attesté sous les formes Onresiacus villa en 851<ref>Ernest Nègre, 'Toponymie générale de la France, Volume 2, 1996, Modèle:P. Modèle:ISBN.</ref>, Undresiacum<ref name="Cocheris">Hippolyte Cocheris, Dictionnaire des anciens noms des communes du département de Seine-et-Oise, 1874.</ref> et Andriziacum au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref name="Cocheris" /> et Andresiacum en 1190<ref name="Cocheris" />, Andresi au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle<ref name="Cocheris" />.

Il s'agit d'une formation toponymique en -(i)acum, dont le premier élément Andrés- représente un anthroponyme.

Peut-être le nom de personne germanique Unricus<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Modèle:Lien web.</ref>, tombé plus tard dans l'attraction du prénom André.

Histoire

Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle Modèle:Av JCModèle:Vérification siècle, Jules César et les Romains installent, sous le nom de Classis Anderitianorum, une flotte chargée de surveiller le confluent entre Seine et Oise. Les Andéritiens s'installèrent définitivement en aval du confluent et donnèrent le nom de Undresiacum à leur campement, qui deviendra par la suite Andresiacum, Anderita puis « Andrésy »<ref name="ClubHist_p7">« Andrésy, entre Seine et Hautil », Club historique d'Andrésy, éditions du Valhermeil Modèle:ISBN, Modèle:P..</ref>.

Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle-Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

Sous le règne de l'empereur romain Dèce (249-251), les Andéritiens, devenus alors polythéistes se convertissent à la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle par saint Nicaise venu évangéliser les bords de Seine<ref name="ClubHist_p7" />.

Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle-Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

En l'an 500, Clovis fait don de la terre d'Andrésy, par un acte royal à l'évêché de Paris, qui en assure protection et sécurité. Cette donation fut confirmée six fois de Charlemagne à Charles VII<ref name="ClubHist_p7" />.

Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

Un diplôme de Chilpéric, en 710, est daté d'« Andresy ».

Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

Sous Inchad (810-831), successeur d'Erchanrade {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }}, eut lieu le Modèle:Date- le huitième concile de Paris où il fut décidé qu'Andrésy dépendrait de Saint-Germain-des-Prés.

À partir de cette époque, les Andéritiens enterrent leurs morts à flanc de coteau, d'abord en pleine terre puis dans des sarcophages. En 1890, lors de la construction de la voie ferrée Argenteuil-Mantes, une nécropole de 492 tombes fut découverte. Certains sarcophages renfermaient bijoux, poteries et fragments d'habits. Ils sont actuellement conservés au musée d'Archéologie nationale de Saint-Germain-en-Laye ainsi qu'au musée archéologique du Val-d'Oise à Guiry-en-Vexin<ref name="ClubHist_p7" />.

Pendant tout le Moyen Âge, le bourg féodal fut très important. Il est en effet dans la liste des lieux où le roi se doit d'avoir un gîte. De petites fortifications ont été construites : quatre portes principales, où se tenaient les corps de garde, fermaient le village. D'autres portes non gardées étaient fermées par les villageois eux-mêmes à la tombée de la nuit, afin de préserver le bourg des pillards ou des animaux sauvages<ref name="ClubHist_p7" />.

Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle - Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

Pendant la guerre de Cent Ans, le village fut occupé par les Anglais, de 1346 à 1423, jusqu'à sa libération par Charles VII en 1441. Pourtant lors du traité de Brétigny, en 1360, le parlement de Paris décide que la seigneurie d'Andrésy-Jouy-le-Moutier contribuerait pour une cotisation de Modèle:Monnaie pour la délivrance du roi Jean. Les seigneurs Mathieu de Villette et Guy de Guibray furent chargés de percevoir la cotisation et de la faire parvenir au Trésor.

À partir de 1450 environ, le village appartient à la famille de Lisle. Elle y possède un château (à l'emplacement du centre culturel).

Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

En 1592, Andrésy fut l'un des villages choisis pour tenir des conférences au sujet de la conversion de Henri IV.

Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

Le Modèle:Date-, Joachim de Lisle, marquis d'Andrésy, seigneur de Boisemont, Puiseux et Courdimanche<ref>Dictionnaire de la Noblesse.</ref> y mourut et y fut enterré. Son fils Charles de Lisle qui en hérita vendit la terre d'Andrésy au marquis de Louvois et au chapitre de Paris.

Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

En 1775, le domaine devient la propriété de la famille de Bourbon-Condé, puis en 1779, de la princesse Marie-Charlotte de Rohan-Bourbon, puis de Marie-Louise de Rohan-Soubise, gouvernante des enfants de France. Par la suite, les chanoines du chapitre de Paris échangèrent la terre de Vélizy contre celle d'Andrésy et en restèrent les seuls propriétaires jusqu'à la Révolution française.

À la Révolution, Andrésy comprend encore Maurecourt. Le village possède un grand vignoble (Modèle:Unité) et des terres cultivables (Modèle:Unité) : on cultive alors les céréales, les pommes de terre, la vigne et il y a de belles prairies. On y recense Modèle:Nbr habitants. Le Modèle:Date-, une délibération du district de Saint-Germain-en-Laye détache Maurecourt du territoire d'Andrésy. De même, Denouval est séparé de Chanteloup et rejoint Andrésy. Trois ans plus tard, la ville voit ses portes détruites, les bâtiments et les terres sont vendus à M. Durupt-Baleine de Versailles.

Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

Fichier:1883 vendanges à Andrésy.jpg
Vendanges à Andrésy en 1883, document non sourcé.

À la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, le château est détruit pour être reconstruit vers 1820 et transformé en maison de campagne. Il est ensuite transformé en manufacture d'articles de Paris, acquise par la municipalité en 1873, pour y installer la mairie, les services communaux, l'école des garçons, et en 1888, l'école des filles. En 1948, la bâtisse sera transformée en centre culturel<ref>Andrésy, entre Seine et Hautil, Club historique d'Andrésy, éditions du Valhermeil, Modèle:ISBN, Modèle:P..</ref>.

Après la prise de pouvoir de Modèle:Souverain-, les habitants de la commune doivent supporter l'occupation des Alliés et subir leurs réquisitions. En 1827, le général Louis Lepic meurt dans sa maison de notable, dite château Lepic<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>, à Andrésy.

Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle sont construits des barrages sur la Seine : un à Notre-Dame-de-la-Garenne (Saint-Pierre-la-Garenne), un à Poses, un à Meulan et deux à Andrésy même. Le premier, non éclusé, en amont à la tête de l'île de Nancy, et un autre à Denouval, mobile et éclusé. La ville connaît un trafic important. Très vite, on installe un premier service régulier de remorquage destiné à pallier l'absence de touage sur le cours de l'Oise<ref>Un belvédère en Yvelines, Images du patrimoine, éditions Somogy, Paris, 2008, Modèle:P..</ref>. De nombreux mariniers viennent alors vivre dans la commune, non loin de la Seine.

À partir de cette époque, la ville développe sa batellerie. À l'instar de Conflans-Sainte-Honorine, Andrésy devient une cité batelière. Au quartier de Fin-d'Oise, il a été sauvegardé le bâtiment de la Société générale de touage et de remorquage de la Seine et de l'Oise. Jusqu'en 1870, la ville connaît une forte prospérité. Lorsque la guerre franco-prussienne éclate, deux divisions prussiennes séjournent dans la région mais n'ont pas habité Andrésy<ref name="ClubHist_p9">« Andrésy, entre Seine et Hautil », Club historique d'Andrésy, éditions du Valhermeil Modèle:ISBN, Modèle:P..</ref>.

En 1892, la gare d'Andrésy-Chanteloup est ouverte, puis deux ans plus tard, la halte de Maurecourt. La population parisienne profite de ces ouvertures pour voyager et découvrir les bords de Seine. Des restaurants, guinguettes s'y installent. Se développent alors de nombreuses infrastructures : les adductions d'eau, la transformation des lanternes de pétrole, et le téléphone en 1898. S'ensuit l'arrivée des premières automobiles. Parallèlement, la production agricole s’accroît : on y compte 203 exploitations agricoles. La vigne y est prédominante avec une production de Modèle:Unité par an<ref name="ClubHist_p9" />. À partir de cette époque, de nombreuses célébrités viennent vivre dans la commune : Caroline Otero, actrice de variétés, l'écrivain Julien Green, le journaliste George Delamare.

Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle

Fichier:Andresy Denouval plaque commemorative.jpg
Plaque commémorative sur le site du manoir de Denouval.

Pendant la Première Guerre mondiale, la commune accueillit des troupes en cantonnement. Durant ce conflit, 69 Andrésiens sont morts ; leurs noms sont inscrits sur le monument aux morts.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, les Allemands s'installent à Andrésy à partir du Modèle:Date-<ref>Andrésy, entre Seine et Hautil, Club historique d'Andrésy, éditions du Valhermeil, Modèle:ISBN, Modèle:P..</ref>. Le Modèle:Date-, le bombardement du quartier de Denouval par l’aviation alliée cause 33 morts parmi la population. La ville est libérée le Modèle:Date-.

Le manoir de Denouval, construit entre 1904 et 1908 par Pierre Sardou, fils du dramaturge Victorien Sardou, fut de 1945 à 1949 la propriété de la Commission centrale de l'enfance (CCE) auprès de l'Union des juifs pour la résistance et l'entraide (UJRE), organisme qui s'occupe de recueillir des orphelins victimes de la persécution des juifs dans des foyers situés notamment à Andrésy, Arcueil, Montreuil, le Raincy, Livry-Gargan et Aix-les-Bains<ref>Michel Stermann, Maman Grète - Une éducatrice venue d'Allemagne pour des Orphelins de la Déportation en France, Edilivre, 2016 Modèle:ISBN.</ref>. Environ 200 enfants au total y ont séjourné. Une plaque commémorative en l'honneur de leurs parents est apposée sur un mur extérieur du site, rue du Général-Leclerc.

Après la guerre, la population quintuple. En conséquence du découpage du département de Seine-et-Oise par la loi du Modèle:Date- portant réorganisation de la région parisienne, Andrésy fait partie du département des Yvelines depuis le Modèle:Date-.

Politique et administration

Rattachements administratifs et électoraux

Rattachements administratifs

Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964<ref>Loi Modèle:N°64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF Modèle:N°162 du 12 juillet 1964, Modèle:P.6204–6209, fac-similé sur Légifrance.</ref>, la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département des Yvelines et à son arrondissement de Saint-Germain-en-Laye, après un transfert administratif effectif au Modèle:Date-.

Elle faisait partie de 1801 à 1964 du canton de Poissy, année où elle intègre le canton de Conflans-Sainte-Honorine de Seine-et-Oise puis des Yvelines. En 1985, la ville devient le chef-lieu du canton d'Andrésy<ref name="Cassini"/>. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Conflans-Sainte-Honorine. Modèle:Article détaillé Pour l'élection des députés, elle fait partie de la septième circonscription des Yvelines. Modèle:Article détaillé

Intercommunalité

Andrésy était membre de la communauté d'agglomération des Deux Rives de Seine, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2006.

Dans le cadre des prescriptions de la loi de modernisation de l'action publique territoriale et d'affirmation des métropoles (loi MAPAM), qui impose la création de territoires Modèle:Référence nécessaire dans la grande couronne de Paris, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le Modèle:Date-, la communauté urbaine Grand Paris Seine et Oise (GP S&O) qui regroupe 73 communes et environ Modèle:Nombre, et dont Andrésy est désormais membre.

Tendances politiques et résultats

Modèle:… Modèle:Article connexe

Lors du second tour des élections municipales de 2020<ref>Modèle:Article Modèle:Citation.</ref>, où le maire sortant Hugues Ribault (DVD) ne se représentait pas, la liste menée par Lionel Wastl (EELV) obtient 44,97 % des suffrages exprimés, devançant celle , de Virginie Muneret (SE, 40,28 %) et celle de l'ancien maire-adjoint aux finances Denis Faist, soutenu par le maire sortant (DVD, 14,73 %)<ref>Modèle:Article Modèle:Citation.</ref>. Modèle:Article connexe

Liste des maires

Modèle:ÉluDébut |- |colspan="5" align="center" bgcolor="#f3fff3"| Modèle:Boîte déroulante/début Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:ÉluFin Source : Club Historique d'AndrésyModèle:Boîte déroulante/fin Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu

Modèle:Élu

Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Politique de développement durable

Modèle:Section à actualiser La ville a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2009<ref>FICHE | Agenda 21 de Territoires - Andrésy, consultée le 27 octobre 2017</ref>.

Jumelages

Andrésy est jumelée avec les communes de :

Population et société

Démographie

Évolution démographique

Modèle:Article connexe

Modèle:Population de France/section

Pyramide des âges

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à Modèle:Nobr s'élève à 36,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38,0 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à Modèle:Nobr est de 21,5 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait Modèle:Unité pour Modèle:Unité, soit un taux de 51,19 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,32 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Modèle:Pyramide des âges communes de France

Vie culturelle

Modèle:Référence nécessaire.

Santé

Modèle:Référence nécessaire

Enseignement

Modèle:Section à sourcer Modèle:Quand.

Le collège Saint-Exupéry regroupe environ Modèle:Nb<ref>http://www.andresy.com/page-1-86-79.html Écoles.</ref>. La ville disposait aussi du Centre des formations industrielles de la chambre de commerce et d'industrie de Paris. Existant depuis 1932, ce centre de formation d'apprentis a fermé ses portes en Modèle:Date-. Il devrait être démoli au profit d'un projet immobilier. Cette école accueillait des formations en mécanique automobile et poids lourds, en transport routier, en logistique, en horticulture, en chauffagiste et climatique, en acoustique architecture et menuiserie, et en électrotechnique. Le site dispose d'un internat en meulière classé, ainsi que son jardin, vendu dans le cadre associatif à la CCIP, d'une cantine, d'un gymnase, d'un terrain de football et d'un magnifique jardin... une perte inestimable pour le secteur de l'apprentissage que le gouvernement tente cette année de relancer.

Sports

La ville propose de nombreuses activités sportives à ses habitants : Triathlon, billard, basket-ball, cyclisme, tennis de table, pêche, aviron, natation, danse, judo, football, gymnastique, karaté, équitation, roller, volley-ball et yoga<ref>http://www.andresy.com/affiche_annu.php?act=3&IdContact=124 Sports.</ref>.

Modèle:Référence nécessaire

Associations

Modèle:Référence nécessaire.

Lieux de cultes

  • Culte catholique en la paroisse catholique, située en centre-ville.

Manifestations culturelles et festivités

La ville participe au concours des villes et villages fleuris et possède deux fleurs en 2007<ref>Palmarès 2008 du Modèle:49e des villes et villages fleuris. Consulté le 22 septembre 2009.</ref> ainsi que deux libellules du label Ville Nature.

Chaque année, la ville organise un rassemblement de voitures anciennes. En 2016, l'ancien rugbyman Sébastien Chabal y assiste d'ailleurs<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Économie

Modèle:... En 1846, Jacques Louis Lemaire-Daimé, manufacturier achète l'ancienne propriété de la comtesse de Marsan pour y installer une manufacture d'articles de Paris. Cette usine produisait des pétards, en papier et des articles pour fumeurs. Parallèlement, il fait construire une école pour garçons, pour y enseigner l'art du tourneur, le découpage, l'estampage des métaux<ref>Un belvédère en Yvelines, Images du patrimoine, éditions Somogy, Paris, 2008, Modèle:P..</ref>. Après la Première Guerre mondiale, en 1919, J.E. Jonhson fait construire une fabrique de clous et un atelier de serrurerie, qui cessa son activité en 1980, pour être détruite en 2007.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Fichier:Andrésy (78), église Saint-Germain, chevet 3.JPG
Chevet de l'église Saint-Germain.

Andrésy compte trois monuments historiques sur son territoire :

  • l'église Saint-Germain, boulevard Noël-Marc (classée monument historique par arrêté du Modèle:Date-<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>) : son noyau est un édifice gothique de plan allongé, avec un vaisseau central avec triforium et fenêtres hautes, et deux bas-côtés, le tout voûté d'ogives, et se terminant par un chevet plat. Hormis sa grande fenêtre du chevet, qui fut aménagée après coup, la période de construction de cette église de dimensions considérables et de belle facture peut être située entre la fin du Modèle:S mini- et le premier quart du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Comme la plupart des grandes églises de la région, elle subit des modifications de structure après la guerre de Cent Ans. À partir de 1517, la moitié orientale du bas-côté sud est reconstruite, et munie de quatre petites chapelles rectangulaires, le tout dans le style gothique flamboyant. Une génération plus tard, sous le règne de [[François Ier de France|François {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | Ier{{#if:|  }} }}]], un agrandissement de plus grande envergure est entrepris du côté nord. Pour l'adjonction d'un vaste collatéral, presque aussi large que la nef et son bas-côté sud réunis, l'ancien bas-côté nord est démoli, et l'élévation septentrionale du vaisseau central est successivement reprise en sous-œuvre. Le collatéral Renaissance est remarquable pour ses chapiteaux évoquant Saint-Maclou de Pontoise et trois verrières datant en partie d'origine, mais ses proportions sont peu favorables, tant pour l'aspect trapu que pour la stabilité. Deux autres verrières du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle subsistent dans le bas-côté sud<ref>Modèle:Ouvrage.</ref> ;

Modèle:Article détaillé

  • la demeure dite Rêve Cottage, 18, avenue de Fin-d'Oise (inscrite monument historique par arrêté du Modèle:Date-<ref name="PA00087359">Modèle:Base Mérimée.</ref>) : ce pavillon de plan polygonal irrégulier, accolée à une maison plus ancienne, proviendrait de l'Exposition universelle de 1900. Des panneaux en céramique signés H. Cannes recouvrent l'ensemble des élévations extérieures, et évoquent l'Asie d'est. Ils ont été fabriqués par Villeroy & Boch. À l'intérieur, plus grand-chose du décor d'origine ne subsiste. Le soubassement rustique, en ciment armé gravé de branchages feints, n'a été créé qu'au moment du transfert du pavillon vers Andrésy. Il le met au même niveau que la salle à manger de la maison attenante<ref name="PA00087359" /> ;
  • la croix de cimetière romane, au cimetière municipal (classée monument historique par arrêté du Modèle:Date-<ref>Modèle:Base Mérimée.</ref>).

On peut également signaler :

Fichier:Andrésy Barrage-écluse.jpg
Le barrage-écluse.
  • le barrage-écluse d'Andrésy, en aval immédiat du confluent de la Seine et de l'Oise au point kilométrique 72.500, remplace un premier barrage à aiguilles construit en 1845. C'est un barrage à vannes levantes / abaissantes type wagon. Il comporte trois passes navigables de Modèle:Unité. Son inauguration et mise en service intervient en Modèle:Date-. À partir de novembre 1959, le barrage ancien est démonté. En période de crue, lorsqu'il y a égalité des biefs aval et amont, et une tendance à la hausse, les vannes des trois passes sont levées en partie haute de l'ouvrage. La navigation s'effectue ainsi directement par le barrage ;
  • la construction de l'écluse à grand gabarit de Modèle:Tunité d’Andrésy a commencé en 1970. Les travaux de construction se sont poursuivis jusqu'en 1975 avec la réalisation de nouveaux abords. Sans qu'il y ait de date officielle de mise en service de l'ouvrage, la date à retenir est le Modèle:Date-, jour où le premier bateau, le pousseur Okapi, a été éclusé ;
  • dès 1989, la ville s'est dotée d'une zone de protection du patrimoine architectural et urbain (loi de décentralisation du Modèle:Date- qui crée les ZPPAU devenues les ZPPAUP depuis 1993)<ref>Un belvédère en Yvelines, Images du patrimoine, éditions Somogy, Paris, 2008, Modèle:P..</ref> : certains espaces architecturaux, urbains ou paysagers sont donc protégés ;
  • les vestiges d’un cimetière mérovingien ;
  • le château du Faÿ, Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle ;
  • le château de la Barbannerie ;
  • le manoir de Denouval. Il fut construit entre 1904 et 1908, à l'instigation de sa propriétaire madame Sarah Hershey Marsh, par Pierre Sardou architecte en chef des monuments historiques et fils du dramaturge Victorien Sardou<ref>« Manoir de Denouval » sur histoire.andresy.free.fr.</ref> ;
  • la mairie : le bâtiment, de style Louis XV, a été édifié par Jean Anatolie en 1861. Les aménagements du jardin (grotte, kiosqueModèle:Etc.) ont disparu avec le temps ;
  • le collège Saint-Exupéry, 2008, des architectes Philippe Ameller et Jacques Dubois.

Modèle:Saut

Personnalités liées à la commune

  • le général Lepic (1765-1827) a terminé sa vie à Andrésy où il s’était retiré en 1815.
  • Ludovic-Napoléon Lepic (1839-1889), membre fondateur des impressionnistes, graveur, peintre, archéologue, séjournant fréquemment dans la propriété familiale d'Andrésy, est enterré à Andrésy.
  • Caroline Otero (1868-1965), courtisane de la Belle Époque, possédait une maison dans la commune.
  • Raymond Renefer, pseudonyme de Jean-Constant-Raymond Fontanet (1879-1957), dessinateur, et peintre post-impressionniste, résida à Andrésy de 1928 à sa mort.
  • Marcel Allain (1885-1969), romancier, co-créateur de Fantômas avec Pierre Souvestre (1874-1914) résida à Andrésy, villa Eden-Roc de 1939 à sa mort.
  • Julien Green (1900-1998), écrivain, a vécu une partie de son enfance dans la commune. L'espace culturel de la commune porte son nom.
  • Ivry Gitlis (1922-2020), violoniste, a donné son nom à l'école de musique de la ville.
  • Ahmed Mouici (né en 1963), chanteur du groupe Pow Wow, a vécu dans le centre-ville d'Andrésy.
  • Randy de Puniet (né en 1981), pilote de moto GP, a passé son enfance dans la commune.
  • Bernard Lancret (1912-1983), acteur français, a habité la propriété sise 55, rue du Général-Leclerc.
  • Marcel Mouloudji (1922-1994), chanteur compositeur, vécut quelque temps au 56, rue du Général-Leclerc.
  • Léon Gaumont (1864-1946), inventeur et industriel français qui fut l’un des pionniers de l’industrie du cinéma, possédait une maison sur l’île du Devant, achetée en 1924 et détruite par les bombardements de la Seconde Guerre mondiale.
  • Annie Ducaux (1908-1996), comédienne, s'est installée à Andrésy à la fin des années 1930 et a habité la propriété sise 57, rue du Général-Leclerc.
  • Andrée Pollier (1916-2009), artiste peintre, vécut à Andrésy.
  • David Gitlis (né en 1978), chanteur du groupe de néo-metal Enhancer formé en 1997 à Andrésy.
  • Gérard Baste (né en 1973), chanteur du groupe de rap Svinkels et présentateur télé sur Game One puis D17, réside à Andrésy.
  • René Ravo (1904-1998), dessinateur et affichiste, y a longtemps résidé<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Andrésy dans les arts

Modèle:...

Fichier:Un coin du village d'Andrésy.jpg
Alfred Sisley, Chemin montant. Un coin du village d'Andrésy (1875), localisation inconnue.
  • Alfred Sisley y a peint Chemin montant. Un coin du village d'Andrésy en 1875 (œuvre non localisée).
  • Maurice Leblanc a donné à son héro de romans policiers Arsène Lupin le pseudonyme de Raoul d'Andrésy (Andrésy étant le nom de Jeune fille de la mère d'Arsène).

Héraldique

Modèle:Blason-ville-fr

Notes et références

Notes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

Modèle:Liens

Modèle:Palette Modèle:Portail