Arras-en-Lavedan
Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France
Arras-en-Lavedan Modèle:API-fr est une commune française située dans l'ouest du département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans la province du Lavedan, partie sud-occidentale de la Bigorre et constituée d'un ensemble de sept vallées en amont de la ville de Lourdes.
Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par le gave d'Azun, le gave d'Estaing, le ruisseau du Bergons et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le Parc national des Pyrénées, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (le « moun Né de Cauterets, pic de Cabaliros ») et cinq zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Arras-en-Lavedan est une commune rurale qui compte Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année. Elle est dans l'agglomération d'Argelès-Gazost et fait partie de l'aire d'attraction d'Argelès-Gazost. Ses habitants sont appelés les Arrasiens ou Arrasiennes.
Géographie
Localisation
La commune d'Arras-en-Lavedan se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie<ref group=I name=meta>Modèle:Lien web.</ref>.
Elle se situe à Modèle:Unité à vol d'oiseau de Tarbes<ref>Modèle:Lien web.</ref>, préfecture du département, et à Modèle:Unité d'Argelès-Gazost<ref>Modèle:Lien web.</ref>, sous-préfecture.
Les communes les plus proches<ref group=Note>Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.</ref> sont<ref>Modèle:Lien web.</ref> : Arcizans-Avant (Modèle:Unité), Sireix (Modèle:Unité), Argelès-Gazost (Modèle:Unité), Gez (Modèle:Unité), Lau-Balagnas (Modèle:Unité), Arcizans-Dessus (Modèle:Unité), Bun (Modèle:Unité), Saint-Savin (Modèle:Unité).
Sur le plan historique et culturel, Arras-en-Lavedan fait partie de la province historique du Lavedan, partie sud-occidentale de la Bigorre et constitué d'un ensemble de sept vallées en amont de la ville de Lourdes. Historiquement, elle fait partie de la province de Gascogne, et plus particulièrement du comté de Bigorre. La commune est dans le pays du val d'Azun, qui bute au nord sur le bassin de Lourdes, à l'est sur la vallée de l'Adour, au sud sur l'Aragon (Espagne) par le Balaïtous et, à l'ouest sur le Béarn (département des Pyrénées-Atlantiques, région Nouvelle-Aquitaine),<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.
Modèle:Multiple image Modèle:Communes limitrophes
Paysages et relief
Hydrographie
La commune est dans le bassin de l'Adour, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle est drainée par le gave d'Azun, le gave d'Estaing, le Ruisseau du Bergons, le Bacherou, le ruisseau d'arribancie, le ruisseau de Banciole, le ruisseau de Bergouey, le ruisseau de Carasse, le ruisseau de Larrode et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de Modèle:Unité de longueur totale<ref name="Fiche Siges">Modèle:Lien web</ref>,<ref group=Carte>Modèle:Géoportail</ref>.
Le gave d'Azun, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune d'Arrens-Marsous et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Ayros-Arbouix, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre</ref>.
Le gave d'Estaing, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune d'Estaing et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Azun à Arras-en-Lavedan, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre</ref>.
Le Ruisseau du Bergons, d'une longueur totale de Modèle:Unité, prend sa source dans la commune d'Aucun et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Agos-Vidalos, après avoir traversé Modèle:Unité<ref>Modèle:Sandre</ref>.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole<ref name=Joly>Modèle:Article</ref>. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000Modèle:Note. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat<ref>Modèle:Lien web.</ref> complétée par des études régionales<ref>Modèle:Lien web</ref> prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ayros-Arbouix », sur la commune d'Ayros-Arbouix, mise en service en 1982<ref>Modèle:Lien web</ref> et qui se trouve à Modèle:Unité à vol d'oiseau<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=Note>La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.</ref>, où la température moyenne annuelle est de Modèle:Tmp et la hauteur de précipitations de Modèle:Unité pour la période 1981-2010<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Tarbes-Lourdes-Pyrénées », sur la commune d'Ossun, mise en service en 1946 et à Modèle:Unité<ref>Modèle:Lien web.</ref>, la température moyenne annuelle évolue de Modèle:Tmp pour la période 1971-2000<ref>Modèle:Lien web</ref>, à Modèle:Tmp pour 1981-2010<ref>Modèle:Lien web</ref>, puis à Modèle:Tmp pour 1991-2020<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>. Dans ce cadre, la commune fait partie de l'aire d'adhésion du Parc National des Pyrénées<ref group=Note>La réglementation dans la zone périphérique du parc, dite zone d'adhésion, est plus souple, afin bénéficier d'investissements d'ordres économique, social et culturel afin de freiner l'exode rural et de développer l'équipement touristique de la région.</ref>. Ce parc national, créé en 1967, abrite une faune riche et spécifique particulièrement intéressante : importantes populations d’isards, colonies de marmottes réimplantées avec succès, grands rapaces tels le Gypaète barbu, le Vautour fauve, le Percnoptère d’Égypte ou l’Aigle royal, le Grand tétras et le discret Desman des Pyrénées qui constitue l’exemple type de ce précieux patrimoine confié au Parc national et aussi l'Ours des Pyrénées<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)Modèle:Note. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : le « moun Né de Cauterets, pic de Cabaliros »<ref name=Natura>Modèle:Lien web.</ref>, d'une superficie de Modèle:Unité, présente une végétation caractéristique de la haute montagne pyrénéenne sur calcaire et substrats siliceux<ref>Modèle:Lien web</ref>.
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
Modèle:Article connexe L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.</ref> sont recensées sur la commune<ref name=INPN1>Modèle:Lien web.</ref>,
- le « Gave d'Azun, ruisseau du Bergons et Gave de Lourdes » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité dont deux dans les Pyrénées-Atlantiques et 29 dans les Hautes-Pyrénées<ref>Modèle:Lien web.</ref> ;
- le « massifmontagneux entre Argelès-Gazost et l'Ouzom » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité dont une dans les Pyrénées-Atlantiques et 11 dans les Hautes-Pyrénées<ref>Modèle:Lien web.</ref>,
- les « massifs du Cabaliros et du Moun Né » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité du département<ref>Modèle:Lien web.</ref> ;
et deux ZNIEFF de Modèle:Nobr<ref group="Note">Les ZNIEFF de Modèle:Nobr sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.</ref>,<ref name=INPN1/>,
- les « massifs calcaires de l'Estibète, du Granquet et du Pibeste, forêt de Très Crouts, vallée du Bergons et crêtes » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité dont trois dans les Pyrénées-Atlantiques et 21 dans les Hautes-Pyrénées<ref>Modèle:Lien web.</ref> ;
- le « val d'Azun et haute vallée du Gave de Cauterets » (Modèle:Unité), couvrant Modèle:Unité dont une dans les Pyrénées-Atlantiques et 21 dans les Hautes-Pyrénées<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
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Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
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Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Arras-en-Lavedan est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref group=Note>Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Lien web.</ref>. Elle appartient à l'unité urbaine d'Argelès-Gazost, une agglomération intra-départementale regroupant Modèle:Unité<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> et Modèle:Unité en Modèle:Population de France/dernière année, dont elle est une commune de la banlieue<ref group=I name="UU2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="UU20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Argelès-Gazost dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en Modèle:Date-, celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de moins de Modèle:Unité<ref group=I name="AAV2020">Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.
- Sélection de vues de plaques de rues du village.
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Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (82,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (82,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (46,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (33,1 %), prairies (8,7 %), zones agricoles hétérogènes (7,3 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (3,3 %), zones urbanisées (1,1 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>.
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web. Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.</ref>.
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Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
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Carte orthophotogrammétrique de la commune.
Logement
En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 385<ref group=I>Insee : Rapport statistique communal pour la ville d' Arras-en-Lavedan</ref>.
Parmi ces logements, 58,9 % sont des résidences principales, 35,4 % des résidences secondaires et 5,7 % des logements vacants.
Risques naturels et technologiques
Voies de communication et transports
Cette commune est desservie par la route départementale Modèle:Route départementale N et par les routes départementales Modèle:Route départementale, Modèle:Route départementale et Modèle:Route départementale.
Toponymie
On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail<ref>Modèle:Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées.</ref> qui rapporte les dénominations historiques du village.
Dénominations historiques :
- Arras (entre 1025 et 1078, cartulaire Saint-Savin ; v. 1025-1070, cartulaire de Bigorre ; v. 1200-1230, ibid. ; etc.) ;
- de Ras (1168, bulle d'Alexandre III ; 1313, Debita regi Navarre) ;
- d’Aras (v. 1184, cartulaires Bigorre) ;
- Garsias Arnaldi de Ratz, latin et gascon (1300, enquête Bigorre) ;
- Guillelmus d’Aratz, latin et gascon (ibid.) ;
- De Arasio, latin (1342, pouillé de Tarbes) ;
- de Arassio, latin (1379, procuration Tarbes) ;
- Arras (1429, censier de Bigorre) ;
- Arras (fin Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, carte de Cassini) ;
- Arras prend le nom d’Arras-en-Lavedan en 1937.
Étymologie : peut-être du basque aquitain arr (= pierre) et as/aitz (= pointe rocheuse).
Nom occitan : Arràs.
Histoire
On a longtemps exploité à Arras-en-Lavedan des mines de cuivre et de plomb.
Cadastre napoléonien d'Arras-en-Lavedan
Le plan cadastral napoléonien d'Arras-en-Lavedan est consultable sur le site des Archives départementales des Hautes-Pyrénées<ref>Archives départementales des Hautes-Pyrénées : Plan cadastral d' Arras-en-Lavedan en 1834</ref>.
Politique et administration
Liste des maires
Modèle:ÉluDébut Modèle:ÉluDonnées Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin
Rattachements administratifs et électoraux
Historique administratif
Pays et sénéchaussée de Bigorre, Lavedan, Vallée d'Azun, canton d'Azun, Argelès (1790), d'Aucun (depuis 1801). Arras prend le nom d'Arras-en-Lavedan en 1937<ref>Archives départementales des Hautes-Pyrénées</ref>.
Intercommunalité
Arras-en-Lavedan appartient à la communauté de communes Pyrénées Vallées des Gaves créée en janvier 2017 et qui réunit 46 communes.
Services publics
La commune d'Arras-en-Lavedan dispose d'une agence postale. Modèle:Liste juridictions/Hautes-Pyrénées
Population et société
Démographie
Évolution démographique
Modèle:Population de France/section |
Enseignement
La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle dispose d’une école en 2016<ref>Modèle:Lien web.</ref>.
- École primaire: Joseph Contraires
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte Modèle:Unité fiscaux<ref group=Note>Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.</ref>, regroupant Modèle:Nombre. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de Modèle:Unité<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref> (Modèle:Unité dans le département<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>).
Emploi
Modèle:Tableau En 2018, la population âgée de Modèle:Unité s'élève à Modèle:Nombre, parmi lesquelles on compte 71,8 % d'actifs (65,7 % ayant un emploi et 6,2 % de chômeurs) et 28,2 % d'inactifs<ref group=Note>Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.</ref>,<ref name=EmpT1C group=I />. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des Modèle:Nobr est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Argelès-Gazost, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>,<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Elle compte Modèle:Unité en 2018, contre 68 en 2013 et 79 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 200, soit un indicateur de concentration d'emploi de 35,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 52,1 %<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Sur ces 200 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 48 travaillent dans la commune, soit 24 % des habitants<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>. Pour se rendre au travail, 84,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,5 % les transports en commun, 7,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)<ref group=I>Modèle:Lien web.</ref>.
Tourisme
Station de sports d'hiver de Val d’Azun.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Martin d'Arras-en-Lavedan. Église de montagne (inscrite à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques) avec une porte gothique de cagots emmurée, un clocher rectangulaire qu'abrite une toiture d'ardoise à trois pentes, un maître autel en bois doré du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, une peinture du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle du martyre de sainte Catherine et une « Vierge assise à l'Enfant » en bois polychrome du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle.
- À côté de l'église, seul vestige de l'Abbadie ou manoir des abbés lays d'Arras, se dresse une tour cylindrique aux murs épais dont le rez-de-chaussée est une salle en voûte.
- Surplombant le village, les ruines d'une petite forteresse, le Castet-Naou en cours de restauration, rappellent qu'Arras-en-Lavedan fut anglais pendant quarante ans sous la domination du Prince Noir.
- Menhir de Bayle.
- Sélection de vues de l'église Saint-Martin en 2017.
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Le clocher. -
Personnalités liées à la commune
- Henri Lemoine, célèbre escroc de la Belle Époque. Il employa l'argent que le millionnaire Wernher et d'autres actionnaires lui avaient confié, à construire une centrale électrique à Arras-en-Lavedan.
Héraldique
Voir aussi
Bibliographie
Articles connexes
- Liste des communes des Hautes-Pyrénées
- Communauté de communes du Val d'Azun
- Le Pays des Sept Vallées : le Lavedan
- Val d'Azun
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Cartes