Bestiaire

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Page du Bestiaire d'Aberdeen (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle).

En littérature, un bestiaire désigne un manuscrit du Moyen Âge regroupant des fables et des moralités sur les « bêtes », animaux réels ou imaginaires. Par extension, on appelle bestiaire une œuvre consacrée aux bêtes. Par métonymie, le bestiaire d'un auteur ou d'un ensemble d'œuvres désigne les animaux mentionnés par l'auteur ou dans ces œuvres<ref>Modèle:Ouvrage</ref>.

Les bestiaires médiévaux connurent leur plus grande popularité en Angleterre et en France aux {{#switch: e

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}}s. Il s'agissait de compilations de multiples sources, en particulier le Physiologus ou Physiologos, que l'on date généralement du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, l’Histoire naturelle de Pline l'Ancien et les Étymologies d'Isidore de Séville, du début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. Ces œuvres reflétaient la conviction que le monde est le livre dans lequel Dieu a écrit, et que tout pouvait trouver une explication et des correspondances. Les animaux étaient ainsi mis en relation avec Dieu et le Christ. La plupart de ces manuscrits étaient illustrés de miniatures.

Origines

Fichier:75-Fisiologo di Berna - Leone.jpg
Le Physiologos de Berne

Modèle:Article connexe

Le Physiologos, qualifié de Modèle:Citation, est un recueil de brefs récits vraisemblablement rédigé en Égypte probablement dans la région d'Alexandrie<ref name="Zucker2005p12-17">Modèle:Harvsp.</ref>. Le manuscrit original n'est pas parvenu jusqu'à nous, mais les citations de cet ouvrage permettent de le dater entre le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. On pense que le manuscrit a été traduit dès le Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, les plus anciens manuscrits en latin remontent au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.

Concernant les oiseaux, des éléments de De avibus de Hugues de Fouilloy sont intégrés à certains bestiaires anglais<ref>Modèle:Harvsp.</ref>.

Bestiaires médiévaux

Selon une classification introduite en 1928 par M. R. James<ref name="James1928">Modèle:Harvsp</ref> et revue en 1960 par Florence McCulloch<ref name="McCulloch1962">Modèle:Harvsp</ref>,<ref>Modèle:Harvsp</ref>, on peut classer les bestiaires en latin en familles<ref name="Clark2006p10-13">Modèle:Harvsp</ref>. La première famille est elle-même divisée en trois groupes :

  • le groupe B-Is de la première famille est constitué de manuscrits issus de la version B du Physiologos et d'extraits du chapitre XII des Étymologies d'Isidore de Séville (à l'exception de sept chapitres). Cette version du bestiaire en latin a servi de base à des manuscrits postérieurs en latin ou en langue vernaculaire,
  • le groupe H de la première famille est constitué de manuscrits comportant 37 chapitres, basés sur la version B-Isidore du Physiologos,
  • le groupe de transition de la première famille est constitué de manuscrits intermédiaires entre la première et la deuxième famille. Ces ouvrages introduisent une classification des animaux (mammifères, oiseaux, serpents, insectes, poissons), ils comportent également beaucoup plus de chapitres avec des illustrations de bonne qualité<ref name="Clark2006p10-13"/>.

La deuxième famille est la plus nombreuse<ref name="Clark2006p7">Modèle:Harvsp</ref>. Les manuscrits sont basés sur la version B-Isidore du Physiologos, avec des extraits des Étymologies d'Isidore de Séville, mais aussi de Solin, de l'Hexaemeron de Saint Ambroise ou encore de Raban Maur. La plupart de ces manuscrits datent du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle (par exemple le Bestiaire d'Aberdeen).

La troisième famille de manuscrits latins est constituée de manuscrits du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.

La quatrième famille est constituée d'un seul manuscrit : Cambridge, University Library MS. Gg.6.5.

La famille des bestiaires Dicta Chrysostomi est constituée de bestiaires qui furent attribués à Jean Chrysostome et furent principalement produits en Allemagne.

Le premier bestiaire en français est l'œuvre de Philippe de Thaon. C'est un ouvrage en vers rédigé en dialecte anglo-normand qui comporte 38 chapitres. Probablement issu d'un bestiaire latin affilié au Physiologos B-Isidore, il est composé après 1121. On n'en connait que trois exemplaires dont deux illustrés. Composé vers 1210 ou 1211, le Bestiaire divin de Guillaume le Clerc est le bestiaire français le plus long, également basé sur un bestiaire latin affilié au Physiologos B-Isidore. Le Bestiaire de Gervaise, manuscrit unique, se dit être de la filiation des bestiaires Dicta Chysostomi et le bestiaire de Pierre de Beauvais existe en deux versions.

On trouve des bestiaires dans d'autres langues : anglais, italien, catalan.

À partir du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, la description des animaux se fait plus scientifique. Ainsi l'encyclopédie de Barthélemy l'Anglais ne comporte pas les allégories des bestiaires<ref>Modèle:Harvsp, de même pour le De Naturis Rerum de Thomas de Cantimpré.</ref>.

Le Bestiaire d'Amour de Richard de Fournival se démarque notablement des bestiaires médiévaux par l'introduction d'une intrigue amoureuse.

Moyen Âge et animaux

Les animaux sont classés au Moyen Âge en cinq catégories : quadrupèdes (incluant des animaux fantastiques comme la licorne, le manticore, le pard), oiseaux (dont le caladre, le phénix ou le griffon), poissons (baleines, dauphins, évêque de mer, sirènes), serpents (incluant les dragons), « vers » (insectes, petits rongeurs, mollusques). Les animaux domestiques comprennent les animaux de la ferme ou ceux des ménageries, mais incluent aussi les animaux vivant autour de la domus, la « maison » (pie, corbeau, renard, belette, souris, rat)<ref name="Pastoureau">Michel Pastoureau, Bestiaires du Moyen Âge, éditions du Seuil, Paris, 2011, Modèle:Nobr, Modèle:ISBN</ref>.

De manière générale, le Moyen Âge européen correspond à une dépréciation de la plupart des animaux sous l'influence des autorités chrétiennes, à travers l'interdiction des cultes et des rituels païens liés à ces derniers. Les rituels et traditions païens célébraient les saisons, la nature, la position des astres et les animaux, et furent peu à peu remplacés par des fêtes chrétiennes célébrant les saints dont les animaux sont les attributs, les compagnons, ou les esclaves<ref name="Ours">Modèle:Ouvrage.</ref>.

La foi chrétienne médiévale, elle-même imprégnée des récits de Saint Augustin, prônait la supériorité de l'homme sur les animaux considérés selon lui comme des êtres inférieurs et imparfaits<ref name="Ours"/>. Dans la Bible, Dieu a en effet créé l'homme Modèle:Citation. Il existe toutefois un autre courant, plus discret parmi les théologiens, qui consistait à mettre les animaux en relation avec Dieu et le Christ, et à voir dans les habitudes de ces derniers des manifestations divines, comme la résurrection et le repentir<ref name="Ours"/>. De plus, la culture chrétienne peut donner une valeur à un animal opposée à celle que lui donne la culture populaire, imprégnée de mythes païens et de folklore : les bestiaires, qui sont des traités moralisés sur les propriétés des animaux, montrent cette ambivalence. L'Église influe sur la hiérarchie des animaux : l'ours roi des animaux au haut Moyen Âge (animal des traditions orales païennes) étant remplacé par le lion (animal des traditions écrites chrétiennes) au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle. L'Église tient notamment les animaux pour responsables de leurs actes, ce qui explique les procès d'animaux jugés selon une échelle de valeur inspirée des sept péchés capitaux<ref name="Pastoureau"/>.

Animaux réels

Cerf

Dans les bestiaires, le cerf est un animal christique, ennemi des serpents qui eux sont associés au péché et donc au diable.

Le pouvoir du guérisseur et protecteur du cerf contre les serpents est déjà mentionné par Pline l'Ancien. Un peu plus tard, le Physiologos décrit le cerf chassant les serpents en utilisant de l'eau pour les faire sortir de leur trous avant de les piétiner. Cette purification du mal par l'eau est associée à la façon dont Modèle:Citation<ref>Physiologus Latinus, versio Y, XLIII, de cervo, cité par Modèle:Harvsp.</ref>. Isidore de Séville affirme lui que le cerf peut chasser les serpents de leur trou en soufflant puis se guérir lui-même en les mangeant<ref name="Voisenet2006">Modèle:Harvsp.</ref>.

On retrouve le cerf dans la mythologie celtique, sous les traits de Cernunnos, dieu cerf des Gaulois, qui pour retrouver ses bois après l'hiver doit tuer son ennemi juré, le serpent, avant de vider l'eau d'une source. Le mélange du venin et de l'eau pure permet alors la repousse de ses bois, lui rendant ainsi son essence divine.

Colombe

Modèle:Article détaillé

Éléphant

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Éléphant dans le bestiaire d'Aberdeen.

Lion

Modèle:Article connexe

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Lions dans le Bestiaire d'Ashmole vers 1210.

Tout comme le lion est le premier à entrer dans l'Arche de Noé, il est également le premier animal décrit dans le Physiologos et dans les bestiaires, car c'est le « Roi des animaux »<ref name="Reboldp82">Modèle:Harvsp.</ref>.

Dans le Physiologos, le lion est dit particulièrement vigilant, ne fermant même pas les yeux pour dormir, ce qui suggère que seul son corps est réellement endormi, son esprit restant en veille. Comme l'affirmait déjà Pline l'Ancien dans son Histoire naturelle, le Physiologos explique que le lion épargne ceux qui sont prosternés à terre. C'est le troisième trait caractéristique du lion qui semble le plus remarquable : les petits mis bas par la lionne seraient mort-nés et après trois jours dans les limbes, le lion les ramènerait à la vie (selon les versions : en les léchant, en rugissant ou en leur soufflant dessus). Ce dernier trait associe le lion à la Résurrection du Christ<ref name="Reboldp82"/>,<ref name="Favreau1991">Modèle:Harvsp.</ref>.

Dans les bestiaires, on trouve d'autres caractéristiques, comme le fait que si le lion s'aperçoit qu'il est poursuivi par des chasseurs il sait effacer ses traces avec sa queue, tout comme le Christ sut échapper à la poursuite du Diable<ref name="Reboldp82"/>.

Ours

Fichier:Oursebestiaire.jpg
Une ourse léchant son ourson pour le mettre en forme dans un bestiaire anglais, vers 1200.

Modèle:Article connexe Les auteurs des bestiaires mentionnent que l'ours met bas des oursons ébauchés, informes, et quasiment mort-nés, par simple volonté de pouvoir copuler le plus souvent possible puisque le mâle refuse de saillir la femelle tant qu'elle est pleine. Cependant, l'ourse lèche ensuite longuement ses petits pour les ranimer et leur donner forme. Cet acte est mis en relation avec le repentir, la résurrection divine et le baptême<ref name="Damien">{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}} Pierre Damien, De bono religiosi status, opuscule LU dans PL 145, chap XXIV.</ref>,<ref name="Pastoureau100">L'ours : Histoire d'un roi déchu Modèle:P.100</ref>.

L’ours est un animal doté d’une grande vision donc de clairvoyance. Connu pour ses vertus médicinales (ex : pattes, bile, graisse d’ours), sa force. Il est aussi représenté comme l'emblème de l'ancestralité.

Pélican

Le pélican était une représentation du Christ : en effet, on croyait que cet oiseau s'ouvrait le ventre pour faire revivre ses petits par son sang.

Renard

Dans le Bestiaire de Pierre de Beauvais<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Taureau

Modèle:Article connexe Modèle:...

Animaux fantastiques

Les bestiaires contiennent également les descriptions d'animaux fantastiques.

Dragon

Modèle:Article connexe Modèle:...

Licorne

Fichier:Unicorn hunt - British Library Royal 12 F xiii f10v (detail).jpg
Chasse à la licorne dans le Bestiaire de Rochester.
Fichier:Unicorn Worksop Bestiary 1185.jpg
Licorne bleue sur un bestiaire du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle.

Modèle:Article connexe La licorne fut l'animal imaginaire le plus important et le plus souvent mentionné du Moyen Âge à la Renaissance. Dès la fin du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle et au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, elle devient l'un des thèmes favoris des bestiaires dans l'occident chrétien<ref name="Nicus1">Modèle:Lien web.</ref>. On compte des centaines, voire des milliers de miniatures de licornes présentant la même mise en scène inspirée du Physiologos : la bête est séduite par une vierge traitresse et un chasseur lui transperce le flanc avec une lance<ref name="Faidutti17">Modèle:Harvsp.</ref>. Tous ces récits et leurs illustrations d'inspiration chrétienne veulent que la licorne représente la trahison envers le Christ, flanc percé par une lance comme dans l'épisode biblique de la Passion de Jésus-Christ<ref name="Faidutti54">Modèle:Harvsp.</ref>.

Le Physiologos fait figurer pour la première fois le récit de la capture d'un monocéros par des chasseurs utilisant une jeune vierge comme appât, et présente cette capture comme une technique de chasse bien réelle et non comme un mythe<ref name="Faidutti27">Modèle:Harvsp.</ref>. Cette version inspira d'innombrables auteurs de bestiaires occidentaux durant le Moyen Âge<ref name="Rursus">Modèle:Lien web.</ref>. La version grecque originale traduite du Physiologos dit que l'unicorne est Modèle:Citation<ref name="Zucker2005p155">Modèle:Harvsp.</ref>.

Le plus détaillé des récits de capture de la licorne figure dans le Bestiaire divin de Guillaume Le Clerc de Normandie, au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle. La licorne est décrite comme Modèle:Citation

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Chasse à la licorne dans le Bestiaire d'Amour de Richard de Fournival, fin Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle.
Fichier:La Mise à mort de la licorne.jpg
Mise à mort d'une licorne sur un bestiaire italien du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle.

Brunetto Latini (1230-1294) donne dans son Livre du Trésor la description d'une licorne redoutable dont le corps ressemble un peu à celui d'un cheval, mais avec le pied de l'éléphant, une queue de cerf et une voix épouvantable. Sa corne unique est extraordinairement étincelante et a quatre pieds de long, elle est si résistante et acérée qu'elle transperce sans peine tout ce qu'elle frappe. La licorne est cruelle et redoutable, personne ne peut l'atteindre ou la capturer avec un piège. La description de la chasse est la même que dans les autres bestiaires<ref name="Bianciotto">Modèle:Ouvrage</ref>.

Philippe de Thaon (entre 1121 et 1135) précise que la vierge doit découvrir son sein, puis Modèle:Citation, ce qui entraîne sa mort<ref>Philippe de Thaon, Bestiaire, ch 2. « unicorne » Détail des éditions.</ref>.

Pierre de Beauvais cite littéralement le Physiologos pour parler d'un Modèle:Citation ayant la taille et la forme d'un chevreau avec une corne au milieu de la tête, si féroce qu'aucun homme ne peut s'en emparer, sauf en conduisant une jeune fille vierge à l'endroit où demeure la licorne et en la laissant seule dans le bois, assise sur un siège. Quand la licorne voit la jeune fille, elle s'endort sur ses genoux, les chasseurs s'en emparent et la conduisent dans les palais des rois<ref name="BiancettoBeauvais">Pierre de Beauvais, Bestiaire, cité dans Bestiaires du Moyen Âge de Gabriel Bianciotto, Paris, Stock, 1980, Modèle:P.36 Modèle:ISBN.</ref>. Il compare Jésus-Christ à Modèle:Citation, et fut pris puis crucifié à cause de son incarnation. La corne ornant le front de la licorne est pour lui le symbole de Dieu, la cruauté de la licorne signifiant que personne ne peut comprendre la puissance de Dieu, et sa petite taille symbolisant l'humilité de Jésus Christ dans son incarnation<ref name="Bianciotto"/>.

Un bestiaire daté de 1468 dit a contrario que Modèle:Citation.

Giovanni da San Geminiano parle dans son Modèle:Lang d'une odeur de virginité qui rend la licorne douce comme un agneau lorsqu'elle se réfugie dans le giron d'une jeune vierge<ref>{{#invoke:Langue|indicationDeLangue}}Modèle:Lang Anvers, 1957, livre V, ch. 123.</ref>.

Muscaliet

Modèle:Méta bandeau de section Modèle:...

Phénix

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Renaissance du phénix consumé par le feu dans le bestiaire d'Aberdeen

Modèle:Article connexe Le phénix était le symbole même de la résurrection. En effet, cet oiseau fabuleux censé venir d'Arabie était réputé pour mettre le feu à son propre nid et renaître de ses cendres.

Bestiaires dans l'histoire de l'art

Modèle:Article connexe

Arts graphiques

Les animaux sont largement représentés dans l'iconographie. Cependant les représentations de collections d'animaux sont plus rares. Deux thèmes iconographiques religieux s'y prêtent particulièrement bien : les représentations du Paradis terrestre (Genèse), et celle de l'entrée des animaux dans l'arche de Noé<ref group="N" >Voir par exemple Jan Brueghel l'Ancien (de Velours) au J. Paul Getty Museum ou Paul de Vos, musée du Louvre.</ref>.

Notons aussi l'étonnant bestiaire brodé au Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, et que nous pouvons admirer sur les frises haut et bas qui bordent la Tapisserie de Bayeux.

Sculpture

Le terme « bestiaire » s'applique aussi pour désigner un ensemble de représentations animales sculptées, quel que soit le matériau utilisé (pierre, bois, métal, céramique...)<ref>Modèle:Lien web.</ref>,<ref>Modèle:Ouvrage.</ref>.

Notes et références

Notes

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Références

Modèle:Références

Annexes

Bibliographie

Bestiaires
Ouvrages et publications généraux

Articles connexes

Liens externes

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