Bey (Ain)

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Modèle:Voir homonymes Modèle:Infobox Commune de France

Bey est une commune française, située dans le département de l'Ain en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Modèle:Sommaire

Géographie

Fichier:Bey - Ain - Vonnas.svg
Localisation de Bey dans l'Ain et le canton de Vonnas.

Localisation

Bey est une petite commune du département de l'Ain, l'une des dernières de la Bresse, située entre les bords de Saône et le Mâconnais, à la limite des départements du Rhône et de la Saône-et-Loire et limitrophe de la Dombes. Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, les actes d'état civil stipulent Garnerans en Dombes et Bey en BresseModèle:Référence souhaitée.

Elle se situe à Modèle:Unité à au sud-est de Mâcon, à Modèle:Unité à l'ouest de Bourg-en-Bresse, à Modèle:Unité au nord de Lyon et à Modèle:Unité au sud de Paris.

La population est dispersée dans huit hameaux dont certains sont très proches les uns des autres<ref name="Village" />. La Vallée, le Sausey, le Basson et les Baudets sont situés dans la partie basse de la commune. Le Cottet est le plus dense et est celui où est érigé la mairie. Près de l'église et du château, les hameaux du Bourg et du Commissaire se font face. Enfin, sur le plateau, Monspey est isolé des autres et on n'y trouve qu'une ferme.

Communes limitrophes

Points extrêmes

Hydrographie

Les cours d'eau traversant la commune ne font qu'office de frontière avec les communes limitrophes. En effet, l'Avanon qui se jette dans la Saône forme la totalité de la frontière entre le village et Garnerans. Au nord de ce ruisseau, le Creusençon se jette lui dans la même rivière et sépare la commune de Cormoranche-sur-Saône.

Climatologie

Le climat de Bey est un climat tempéré à légère tendance continentale. Sa proximité avec Mâcon lui confère les données climatiques de la ville-préfecture qui sont les suivantes pour la période entre 1981 et 2010.

Modèle:Climat

Fichier:Temperature down.svg Fichier:Temperature up.svg Fichier:Rain icon.svg Fichier:Rain icon.svg Fichier:Sun01.svg Fichier:Sun01.svg
Température
minimale
Température
maximale
Hauteur de
précipitations
Nombre de jours
avec précipitations
Durée
d’ensoleillement
Nombre de jours avec
bon ensoleillement
Modèle:Tmp Modèle:Tmp Modèle:Unité 113,9 j 1881,9 h 73,25 j

Voies de communication et transports

Fichier:Routes Bey.svg
Axes de communication.

Réseau routier

Fichier:Panneau entrée Bey 1.jpg
Route départementale Modèle:Nobr.
  • La route départementale Modèle:Nobr traverse une petite partie du nord-est du territoire. Elle permet de rejoindre Laiz et Pont-de-Veyle par le nord-est et Thoissey et Garnerans par le sud-ouest.
  • La route départementale Modèle:Nobr traverse le sud du village en passant entre le centre et le bourg de Bey. En prenant l'est, les automobilistes rejoignent Cruzilles-lès-Mépillat tandis qu'en prenant le sud-ouest, on parvient à rejoindre Garnerans.
  • La route départementale Modèle:Nobr débute au carrefour giratoire de la route Modèle:Nobr aux Jaillets à Cormoranche, elle permet aux de rejoindre cette commune. Elle termine à la sortie du village à l'intersection avec la Modèle:Nobr.

Aucune autoroute ne traverse la commune bien qu'il en existe trois à proximité.

Voies ferroviaires

Au début du Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, avec l'exploitation du réseau des tramways de l'Ain, la commune était traversée par la ligne de Trévoux à Saint-Trivier-de-Courtes longue de Modèle:Unité. Elle longeait la ligne PLM<ref>Ligne Trévoux <> Saint-Trivier-de-Courtes, sur tramdelain.fr.</ref> mais ne desservait pas la commune. Avant 1940, ce réseau ferroviaire ferma et fut remplacé par un service de transport par cars. Aujourd'hui, la route D933 remplace la voie.

Aujourd'hui, on ne trouve plus aucune voie ferrée traversant Bey mais une traverse à proximité. La ligne à grande vitesse Paris - Lyon - Marseille traverse à l'est de la commune à Cruzilles-lès-Mépillat. La gare de Mâcon-Loché-TGV, au sud-ouest de Mâcon, est desservie par quelques TGV Paris - Marseille et Paris - Genève.

Cependant, la commune ne profite pas que de cette ligne ferroviaire. La ligne de Mâcon à Ambérieu, desservie par les TER de la région Rhône-Alpes<ref>Dépliant PDF de la ligne Mâcon-Bourg-Ambérieu.</ref>. Une gare pour les TER Rhône-Alpes est située à proximité : la gare de Pont-de-Veyle installée à Crottet. De plus, la ligne traditionnelle Paris - Marseille via Dijon passe à Mâcon. La gare de Mâcon-Ville, est desservie par des TER Dijon - Mâcon - Lyon et quelques TGV reliant le nord-est de la France à la Méditerranée.

Transport fluvial

La Saône, qui marque la frontière ouest du département de l'Ain, est navigable à grand gabarit européen depuis Verdun-sur-le-Doubs jusqu'à Lyon. Elle constitue un axe de transport fluvial important entre l'est et la Méditerranée. Mâcon possède un port fluvial. La Saône est aussi appréciée pour le tourisme fluvial.

Transport aérien

Transports en commun

Depuis 2016, la commune est reliée au réseau départemental des bus car.ain.fr<ref>Horaires ligne 114 sur car.ain.fr</ref> et dessert le seul arrêt nommé Village.

Urbanisme

Typologie

Bey est une commune rurale<ref group=Note>Selon le zonage publié en décembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le Modèle:Date- en comité interministériel des ruralités.</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee<ref>Modèle:Lien web</ref>,<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mâcon, dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en Modèle:Date- celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.</ref>. Cette aire, qui regroupe Modèle:Unité, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de Modèle:Unité<ref name="AAV2020">Modèle:Lien web</ref>,<ref name="AAV20202b">Modèle:Lien web.</ref>.

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (98,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (66 %), prairies (23,1 %), zones urbanisées (10,9 %)<ref name="CLC">Modèle:Lien web</ref>.

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>Modèle:Lien web.</ref>.

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

Fichier:Panneau entrée Bey 6.jpg
Panneau d'entrée du village.

Attestations anciennes

La première mention de la commune date de 968<ref>Dictionnaire topographique de l'Ain, Modèle:P.</ref> où on trouve le nom de Beto dans le recueil des chartes de Cluny. Trente années plus tard, en 998, le cartulaire de Saint-Vincent de Mâcon fait référence à Bex. Dans le même ouvrage, on retrouve le nom de Betis vers 1023.

Au milieu du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle, le pouillé de Lyon utilise le nom de Bei pour décrire la commune bressane tandis que les archives du Rhône mentionne Beys en 1287. À la même période, on trouve Beyes.

En 1492, Bey est mentionné pour la première fois selon les archives de l'Ain alors que celles de la Côte-d'Or note le nom de Bees en 1563.

En 1793, Bey est considéré comme le nom de la commune. En 1796, la commune est absorbée par Cormoranche, la nouvelle commune prend le nom de Cormoranche-Bey. Toutefois, la commune sera rétabli en 1817 et reprendra le nom de Bey.

Origine du nom

Le nom de Bey vient du gaulois Bega qui signifie lieu d'eau<ref name="Village">Sentier Eaux & Patrimoine - Panneau Modèle:N° : Le village de Bey</ref>.

Histoire

Paroisse (Ecclesia sancti Cypriani in Beo, in loco ubi dicitur Behi, Bez, villa que dicitur Bex, de Bayo, de Bees, Beyes, Bei, Bay) sous le vocable de saint Martin. Au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, l'église était sous celui de saint Cyprien. C'est sous ce vocable qu'elle fut confirmée à l'abbaye de l'Ile-Barbe, en 974, par l'empereur Conrad, et qu'elle fut donnée, le Modèle:Date-, par un gentilhomme nommé Gauthier et sa femme Blismode, laquelle l’avait reçue de ses frères le jour de son mariage, à l'obédience de Saint-Barnard, près de Trévoux.

Les religieuses de l'Ile-Barbe avaient perdu, on ne sait comment, le patronage de cette église, mais ils le recouvrèrent dans la suite, car le pape Modèle:Souverain2 leur en donna une nouvelle confirmation en 1183. Ils le conservèrent jusqu'en 1506, qu'il fut uni au chapitre de la collégiale de Pont-de-Vaux. Les revenus de la cure, au Modèle:S mini- siècleModèle:Vérification siècle, s'élevaient à Modèle:Nombre. Ils consistaient dans la sixième partie des grosses dîmes et dans le produit d'une vigne et de douze journaux de terre contigus à la maison curiale.

En 1601, après la fin de la guerre franco-savoyarde qui se termine par le Traité de Lyon, Bey appartient à la France avec l'acquisition de celle-ci de la Bresse, du Bugey, du Valromey et du pays de Gex. Elle est par la suite intégrée à la province bourguignonne.

Entre 1790 et 1795, Bey était une municipalité du canton de Pont-de-Veyle, et dépendait du district de Châtillon-les-Dombes.

Madame la comtesse d'Esclinac était dame de la paroisse en 1789.

En 1796, la commune est absorbée par Cormoranche, la commune prend le nom de Cormoranche-Bey<ref name="Cassini"/>, les deux communes sont rétablies en 1817.

Politique et administration

Découpage territorial

La commune de Bey est membre de la communauté de communes de la Veyle, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le Modèle:Date- dont le siège est à Pont-de-Veyle. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux<ref>Modèle:Lien web</ref>.

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Bourg-en-Bresse, au département de l'Ain et à la région Auvergne-Rhône-Alpes<ref name="meta">Modèle:Lien web.</ref>. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Vonnas pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015<ref name="meta"/>, et de la quatrième circonscription de l'Ain pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010<ref name="Rattachements-elect">Modèle:Lien web.</ref>.

Administration municipale

Fichier:Mairie - Bey (FR01) - 2022-04-24 - 1.jpg
Mairie.

Le conseil municipal se compose de onze conseillers en comptant le maire et ses deux adjoints<ref>Conseil municipal de Bey, sur bey01.fr.</ref>.

Maires successifs

Modèle:ÉluDébut Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu Modèle:Élu actuel Modèle:ÉluFin

Politique de développement durable

La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21<ref>FICHE | Agenda 21 de Territoires - Bey, consultée le 27 octobre 2017</ref>.

Jumelages

Fichier:Panneau Straubenhardt Bey 1.jpg
Panneau annonçant le jumelage avec Straubenhardt.
Modèle:Début de carte[[Image:Modèle:Géolocalisation/France|center|300px|Localisation des villes jumelées avec Bey.]]

Modèle:G Modèle:G

Modèle:Fin de carte

La communauté de communes du canton de Pont-de-Veyle dont la commune fait partie est jumelée avec la commune de Straubenhardt localisée dans le Bade-Wurtemberg (Modèle:GER-d Allemagne) à la porte nord de la Forêt-Noire entre Karlsruhe et Pforzheim. Après quelques échanges entre associations en 1999, le jumelage entre Straubenhardt et le canton de Pont-de-Veyle a été concrétisé par la signature de la Charte lors de la grande fête organisée au château de Pont-de-Veyle en 2000<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Population et société

Démographie

Modèle:Article détaillé

Modèle:Population de France/section

Enseignement

Au début du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle une école était installée dans une dépendance du château de Bey jusqu'en 1876<ref name="Château">Sentier découverte Eaux & Patrimoine - Panneau Modèle:N° : Le château et son hameau</ref>, année à laquelle l'école communale composée d'une classe mixte d'installe dans les nouveaux locaux de la mairie. L'ancienne école est alors occupée par une école privée de filles jusqu'en 1937. L'enseignement à Bey se termine en 1970<ref name="Mairie">Sentier découverte Eaux & Patrimoine - Panneau Modèle:N° : La Mairie - École</ref>, année de la fermeture de l'école. Les élèves sont alors redirigés vers l'école de Cormoranche-sur-Saône.

Médias

  • Le journal Le Progrès propose une édition locale aux communes de l'Ain. Il paraît du lundi au dimanche et traite des faits divers, des évènements sportifs et culturels au niveau local, national, et international.
  • Le journal Voix de l'Ain est un hebdomadaire publié les vendredis qui propose des informations locales pour les différentes régions du département de l'Ain.
  • La chaîne France 3 Rhône Alpes Auvergne est disponible dans la région.

Numérique

Début 2012, la commune devient la Modèle:100e de l'Ain à disposer du très haut débit avec la fibre optique grâce au réseau public de fibre optique LIAin régi par le syndicat intercommunal d'énergie et de e-communication de l'Ain<ref>Bey : Modèle:100e de l’Ain ouverte au réseau public Fibre Optique Li@in, sur siea.fr.</ref>.

Économie

Il y a une petite épicerie éphémère depuis 2021.

Culture et patrimoine

Lieux et monuments

  • L'église avec son cimetière fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le Modèle:Date. Elle était, jusqu'en 1698, l'église paroissiale de Bey et de Garnerans. Située sur un promontoire, elle était un poste privilégié pour les comtes de Savoie pour faire face à Garnerans qui était autrefois une enclave beaujolaise dans la Bresse jusqu'en 1601<ref>Panneau situé devant l'église de Bey.</ref>.
  • À côté de l'église se situe l'ancienne cure qui accueilli son dernier curé, Geoffray, jusqu'en 1941<ref name="Cure">Sentier Eaux & Patrimoine - Panneau Modèle:N° : La cure</ref>. Dans le mur d'enceinte, une statue du christ date du Modèle:Lien siècleModèle:Vérification siècle avec la statue de la vierge au dos. Au sud du même mur se trouve un petit puits.
  • Dans le même hameau, on trouve le château médiéval de Bey qui fut remanié par le maire de l'époque, Louis Alphonse de Valbreuze<ref name="Château" />. Très actif, il hébergea dans une dépendance la première mairie et la première école. On y trouvera dans une autre dépendance une bibliothèque qui sera en service jusque dans les années 1940.
  • Le bâtiment de la mairie qui accueillait aussi l'école jusqu'en 1970 fut construit en 1876 avec le mur d'enceinte par l'architecte Pinchard<ref name="Mairie"/>. Contrairement aux autres bâtiments, celui-ci n'est pas situé au bourg du village.
  • Deux pigeonniers sont visibles sur le territoire de la commune. Un est situé à la ferrme de Monspey, l'autre au Sauzet.
  • La maison de Maître actuelle construite au {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XIXe{{#if:|  }} }} siècle, s'est substituée à la Maison forte d'origine qui a vu son propriétaire Jean François Legat chassé de son fief par les dragons de Louis XIV pour cause de protestantisme. Son épopée "Voyage au pays des Mascareignes" font de lui le Robinson Bressan qui inspira Defoe pour son livre Robinson Crusoé.
  • Au hameau de la Mantillère a été érigé en 1968 le château d'eau de la commune.
  • Six croix de chemins parsèment le village.

Espaces verts et fleurissement

Fichier:Panneau village fleuri Bey 1.jpg
Panneau avec la fleur.
  • En 2014, la commune obtient le niveau «deux fleurs » au concours des villes et villages fleuris<ref name="vilfleur2014">Modèle:Lien web.</ref> La commune a reçu le Prix spécial du jury pour la protection de l'environnement.
  • Depuis 2019 l' espace de "chou d'ânes" propose, près de l'église, bancs, tables et prairie fleurie.
  • Un grand espace détente (city parc, jeux d'enfants, jeu de boules) se trouve face à la Mairie.
  • Deux boucles de sentier communal permettent de découvrir le patrimoine et les paysages variés de la commune. Le départ se trouve proche de la mairie. Ces boucles sont ponctuées de bancs permettant de contempler divers points de vue.
  • Un verger conservatoire égrène les variétés locales de fruitiers avec une documentation au pied de chacun des arbres.
  • La cour de la mairie-école est devenue espace vert en 2017.
  • La mairie s'est ornée d'une élégante marquise très inspirée du {{#ifeq: | s | Modèle:Siècle | XIXe{{#if:|  }} }} siècle en 2019.
  • La place du Cottey a été également traitée de manière paysagère et permet le repos en proposant trois bancs.

Gastronomie

Les spécialités culinaires sont celles de la région bressane, c'est-à-dire la volaille de Bresse, les gaudes, la galette bressane, les gaufres bressanes, la fondue bressane<ref>Bourg-en-Bresse, ville départ, sur letour.fr.</ref>.

La commune se situe dans l'aire géographique des Volailles de Bresse<ref>Aire géographique de l'AOC Volaille de Bresse.</ref>.

Elle a aussi l'autorisation de produire le vin IGP Coteaux de l'Ain (sous les trois couleurs, rouge, blanc et rosé)<ref>Modèle:Lien web.</ref>.

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes

Modèle:Références

  • Cartes

Modèle:Références

Références

Modèle:Références

Voir aussi

Modèle:Autres projets

Articles connexes

Modèle:Palette Modèle:Portail